Popsita

Je songeais surtout au retrait des nipples, où, dans la photo, la personne semble avoir des gants non stériles et des manches à relever. Et, sur ses poignets, assez de tatoos pour que ça soit statistiquement probablement pas un médecin.

1) Les bagels heads sont hilarants. (c'est grave) 2) Ce qui m'inquiète est que l'opération chirugicale semble accomplie par les tatoueurs? Pas mal certaine qu'il n'apprenent pas les détails de l'asepsie chirurgicale à l'école des tatoos!

Pourtant, ça doit relever d'une rigueur énorme, l'analyse avant le geste. On ne peut qu'espérer que la formation soit assez complète pour mettre en valeur les droits de l'autres et les risques réels de danger ou non. (En tk, je'l'fra po! Ni être policier, ni leur faire une formation, ni les juger)

Parfois la violence est utilisée pour montrer l'autorité. C'est là que ça tourne au vinaigre. Genre un gars qui parle beaucoup trop, traite les policiers de chiens sales, etc, mais qui est immobilisé et menoté. Sa violence verbale est très stressante pour le policier et ce dernier doit faire part d'un sang froid incroyable. Le policier est souvent est mis à l'épreuve de ne pas répondre par la violence (physique ou verbale)... Toute une job-

1) GTFO avec ton mépris (juste ignore le leurs) 2) On peut discuter si tu veux : ) * * * Dans les pays ou l'aide au suicide ou l'euthanasie est autorisée par la loi, cette option est connue des gens, et le taux de suicide est alors augmenté. Si cette option n'avait pas étée là, eh bien pas autant de personnes ne se seraient suicidées. Le fait que quelqu'un aie le droit ou la possibilité de faire quelque chose ne fait pas en sorte qu'au final, c'est bonne décision pour lui. C'est dans une optique ou on care pour la personne qu'on lui souhaite de faire le bon choix en voulant l'encadrer. Une décision de mourir ne doit pas être prise à la légère, (bon yeu c'est plus irréversible qu'un tattoo). Par exemple, une personne qui aura survécu à une tentative de suicide pourrait vivre un moment d'espoir et voir la vie autrement par la suite. Dans le cas de l'euthanasie, le geste est fatal, faudra bien avoir pris la bonne décision.

En tout cas, si le slut-shaming n'est pas la chose à faire, alors il faut certainement pencher plus vers la slut-sensibilsation que dans l'encouragement que font en quelque sortes les personnes anti-slut-shaming. Stigmatiser quelque chose de dangeureux, ce n'est pas injuste.

Sur ce je vais réellement fermer mon laptop; mes articles imprimés juste à côté se sont senti visés!

Mais est-ce que le choix est réellement une décision libre et éclairée, lorsque influencée par des facteurs de désespoir? Quand faut-il dire, oui, alors là, tout a été bien revu. Votre décision est amplement correcte?

J'avoue que j'ai présumé une réflexion raisonnée de la part de behemoth. C'est simplement que dans le cas d'un problème éthique ou plusieurs pour et plusieurs contre peuvent exister, cette discussion a lieu d'être, tout comme le commentaire de behe (contrairement à ce que tu as dit (en joke)).

"Concrètement, si une fille se frotte à moi totalement nue, écarte les cuisses et me dit qu'elle n'a pas envie de coucher avec moi, je n'ai aucun droit" Mes propositions vont dans l'idées que le fait de se frotter l'entrejambe, en chuchotant des choses très préliminaires vont probablement provoquer des réactions naturelles chez l'homme de manière à ce qu'il veuille en avoir plus. (mais il ne devrait pas?) Cela n'est-il pas une souffrance infligée? Une forme autre de violence? C'est un pouvoir exercé sur l'homme, que de montrer toute l'essence de sa beauté sexuelle. C'est irréaliste de dire que ce ne sont que les hommes qui ont tout les pouvoirs de décision et de responsabilité lorsqu'une relation bonne ou néfaste est créée. "Le problème est du côté des violeurs et autres pervers sexuels, pas du côté des victimes." L'exicitation sexuelle n'est elle pas un signe de bonne santé? De réaction normale? Il est tout aussi important de conscientiser la femme sur son effet réel sur l'homme.