Aller au contenu

Morphe

Éboueur en formation
  • Contenus

    27
  • Inscription

  • Dernière visite

À propos de Morphe

Informations

  • Sexe
    Masculin

Mes derniers visiteurs

Le bloc de visiteurs récents est désactivé et il n’est pas visible pour les autres utilisateurs.

  1. Une autre victime de la feminisation de la des societes occidentales. On commence a peine a compter les cadavres pour l'heure.
  2. Sinon quoi ? Tu vas sortir ton couteau l'nigger, appeler tes back up de St-Michel ? Se faire donner des ordres par un fils d'esclave... klol
  3. Il m'a épaulé pour l'écriture de mes derniers message. Il me souffle d'ailleurs à l'oreille, que si ce type aspire à devenir enseignant, il devrait s'acheter une nouvelle voix parce que celle qu'il possède est à la fois ridicule et désagréable. C'est pas vrai que des jeunes gens vont pouvoir la supporter 2h durant, sans se révolter.
  4. Oswald a posté son dernier message ya pas longtemps. Il m'a désigné pour le succéder. Il est derrière moi et joue au DS.
  5. Lol, je suis pas Jesse, je crois qu'il est pas loin de l'analphabétisme, alors ça serait compliqué pour lui de participer à votre forum. Mais je persiste et je chie, change d'avatar pour être plus cohérent avec ta persona. Check moi, je suis un "dépravé" comme tu le dis, alors je portes du rose, couleur officielle du psychédélisme. Avec la silhouette tordues d'un crucifié parce que je suis un "rockeur sanctifé" comme dirait notre grand poète national, Lucien Francoeur.
  6. Pourquoi tu changes pas d'avatar ? Fais un osti d'boutte que t'empestes partout avec celui là- Celui-là- l'avatar d'un grand comique alors que t'es drôle comme des funérailles national. Devrait mettre celui d'un sportif millionaire ou d'un cinéastes inconnu du grand public. Fitterait plus.
  7. Je pourrais-tu me servir de tes deux paintes de lait pour en mettre dans mes céréales le matin ?
  8. wtf ? Je saisi un peu mal les dialogues et le contexte... Se savait-il atteint du cancer du colon à cette époque ? lol
  9. http://www.youtube.com/watch?v=egLrp24eOSQ J'ai été longtemps en Exil Éblouï par le grandiose Obnubilé par ma prose Tes battements de cils L'Éveil de la sensualité Sa révoltante éphémérité M'ont fait vibré, m'ont exalté L'Arc de tes pieds Mais toi créature Où converge tant de splendeurs D'où émane tant d'allure Je te fuis, t'ignore, car tu me fais peur
  10. C'est pas ça le point criss de cave. Tu soulignes la propension des hommes à juger leur prochain sur la base de leur ethnicité et après tu dis que t'aimes le hockey et certains joueurs... Ça a juste aucun sens ton sujet, relis-toi.
  11. lol, une analogie avec le hockey. Que c'est bête comme sujet. Le progrès social est une chimere.
  12. Voici l'ébauche d'un poème. (je le reposte pour plus de visibilité) Un monde sans voix J’aimerais entendre un monde sans voix Sans cris, sans désarrois Sans pleurs, sans chagrins Un monde où la vie suffit, où des bras, des mains... J’aimerais sentir la perdition du logos Rugir pour une dernière fois, la disparition du pathos Enfin libéré désormais plus enchevêtré Par ces mots, leur encodage, leur décryptage Par ces sons, leur hauteur, leur grandeur, leur désespoir Par une sorte de télépathie nous sommes déjà tous unis Qu’elle se fasse radicale ou réconfortante Jamais elle n’est désintéressée, Qu’elle cherche à se faire endosser ou à faire incriminer Qu’elle fornique dans la provocation, qu’elle fraie dans la bonne conscience, Ô voix du Père, viens chercher ce quelque chose au plus profond de mon être Ce quelque chose de démiurge, ce quelque chose de déviergé. De frais, d’unique, de prêt à émerger. Sans voix qui quémande et qui se plaint Petite et pudique qu’elle se fait quand elle craint Lourde et impérieuse quand elle prend le relais de ma vanité Mais finalement toujours résignée à une volonté.
  13. Voici l'ébauche d'un poème. Un monde sans voix J’aimerais entendre un monde sans voix Sans cris, sans désarrois Sans pleurs, sans chagrins Un monde où la vie suffit, où des bras, des mains... J’aimerais sentir la perdition du logos Rugir pour une dernière fois, la disparition du pathos Enfin libéré désormais plus enchevêtré Par ces mots, leur encodage, leur décryptage Par ces sons, leur hauteur, leur grandeur, leur désespoir Par une sorte de télépathie nous sommes déjà tous unis Qu’elle se fasse radicale ou réconfortante Jamais elle n’est désintéressée, Qu’elle cherche à se faire endosser ou à faire incriminer Qu’elle fornique dans la provocation, qu’elle fraie dans la bonne conscience, Ô voix du Père, viens chercher ce quelque chose au plus profond de mon être Ce quelque chose de démiurge, ce quelque chose de déviergé. De frais, d’unique, de prêt à émerger. Sans voix qui quémande et qui se plaint Petite et pudique qu’elle se fait quand elle craint Lourde et impérieuse quand elle prend le relais de ma vanité Mais finalement toujours résignée à une volonté.
×
×
  • Créer...