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  1. On ne va pas le résoudre. On va juste s'arrêter là au pire s'il ne vieux plus en parler. Je ne vais quand même pas continuer à lui bucher dessus s'il décide d'arrêter de me répondre et d'arrêter de "scrapper le sujet" avec moi.
  2. Tout comme les caractéristiques que tu as identifiées dans ta définition. Elles sont accidentielles, et non essentielles. C'est ce que j'ai expliqué, autant avec l'exemple des "Daves", qu'avec les arguments qui s'en suivent et qui ne dépendent en rien de l'exemple des "Daves".Nom propre ou nom commun ça change rien car dans ta définition tu fais la même erreur que celle que j'ai identifiée dans l'expérience de pensée des "Daves". J'aurais pu formuler une autre expérience de pensée avec des noms communs et arriver au même résultat. Disons que c'est pas vraiment pertinent que tu stickes sur l'aspect "nom propre". Ne t'as-t-il jamais passé à l'esprit que les premières personne qui ont utilisé l'expression "jeu de rôle" ont utilisées cette expression parce que c'était l'expression la plus proche de l'ideé qu'ils avaient en tête à ce moment là. S'ils avaient en tête une idée qui ressemble à ta définition, ils auraient trouvé une autre expression que "jeu de rôle" pour identifier cette catégorie. "Jeu de personnalisation", ou "jeu de choix", auraient été des expressions tellements meilleures pour représenter cette idée, mais à ce moment là, "personnalisation" et "choix" étaient des caractéristiques très accidentelles à l'idée qu'ils avaient en tête. C'était le "rôle" qui était au centre de leur idée. D'où l'expression choisie. Si ça ne c'était pas passé comme ça, alors ça veut dire que les premières personnes qui ont utilsé les mots "jeu de rôle" les ont utilisé de manière totalement random sans trop savoir ce qu'ils disaient. Ils auraient utisé le mot "rôle" au lieu de "personnalisation" ou "choix" (ou une autre expression qui revient au même) parce que tsé, ils sont caves, incapables de s'exprimer clairement sans baver, et ne bénéficiaient pas de la lumière d'un philosophe du futur pour leur inventer des définitions après coup.
  3. C'est une méthode qui semble faire du sens si tu cherches une définition conforme à l'usage qu'en font les gens.Mais, comme je t'ai dit d'entrée de jeu. Je ne cherche pas à donner une définition conforme à l'usage qu'en font les gens. Je cherche à donner une définition conforme à l'usage que devraient en faire les gens. Ta méthode fonctionne grosso modo comme ceci: tu prends un premier ensemble de jeux qui sont tous clairement identifiés comme des rpgs, et tu prends un second ensemble de jeux clairement identifiés comme n'étant pas des rpgs. Ensuite, tu identifies les caractéristiques qu'on en commun les rpgs et qui les distingues des non-rpgs. Tu rassembles ces caractéristiques, et hop, tu as une définition. Imagine que tu as un groupe d'une centaines d'individus. Là-dedans, il y en a 25% qui sont clairement des Daves, et 75% qui n'en sont clairement pas, pcq c'est pas leur nom. Là, quelqu'un te demandes c'est quoi la définition d'un Dave. Conforme à ta méthode, tu identifies les caractéristiques qu'ont en commun les Daves et qui les distingues des Gustaves, Ginettes et autres, et hop, tu formules ta définition qui implique des styles vestimentaires, des couleurs de cheveux et des saveurs de crèmes glacées préférées. Là, moi j'arrive et je te demande "Mais pourquoi, au départ, ceux-là ont-ils clairement été identifiées comme étant des Daves, mais pas ceux-là.". Et je réponds à ta place: "C'est parce que leurs mères les a appelés ainsi. Même s'ils ont tous la même préférence de crème glacée, cela n'a rien à voir, peu importe si cela nous donne 25% de Daves, ou 98% de Daves". Les jeux vidéos n'ont pas de mères qui ont autorité sur la catégorie à laquelle ils appartiennent, mais on peut toujours reformuler la même question: "pourquoi final fantasy, diablo, baldur's gate, etc. ont-ils été clairement identifiés comme étant des rpg, mais pas Need For Speed, NHL, etc. ?" Historiquement, ce n'est pas la conformité à ta définition (tirées des traits communs que tu as identifiés), mais la ressemblance aux jeux de rôles sur "board" comme Dungeons and Dragons qui ont valu à ces jeux l'étiquette de rpg. Et pourquoi ces derniers jeux sur planche ou papier étaient-ils appelés des jeux de rôles? Eh bien, pcq dans ces jeux les joueurs jouaient un rôle. Tout simplement. C'est pas les sets de dés bizarres, la présence de créatures fantastiques ou le choix des armes et habiletés qui faisaient que ces jeux faisaient partis de cette catégorie, mais juste le fait de jouer un rôle, tout simplement. Les premiers jeux vidéos qui se sont grandement inspirés de ces jeux de rôles sur papier, ou qui leurs ressemblent grandement, ont été étiquettés comme des jeux de rôles. Certains de ces jeux ont mis beaucoup plus d'emphase sur des caractéristiques populaires des board games (la customisation, des maths impliquant du hasard,de nombreux items, etc.) que de l'aspect "jouer un rôle" et ont néanmoins été taggés comme étant des rpg, à cause de leur ressemblance à ces jeux de rôle sur planche/papier qui existaient déjà.
  4. D'entrée de jeu, j'ai précisé ce que devrait-être la définition, et non ce qu'elle est.Pour ce qui est de l'usage que les gens font de l'expression "rpg", le problème c'est que les gens ne s'entendent pas sur l'usage. C'est pourquoi plusieurs débattent de l'inclusion ou non de jeux tels que les Mass Effect, Farcry3 ou les Zelda dans cette catégorie. Ta définition correspond à l'usage de certain, et non à l'usage d'autres, mais t'as la prétention d'avoir la vraie définition. On peut juste éviter le problème en utilisant le sens que les mots ont déjà, plutôt que de leur en donner de nouveaux. Tu dis que ma définition n'est pas appropriée au contexte comme si la tienne était appropriée au contexte. C'est juste que le contexte, Vac, il change tout le temps, d'une discussion à l'autre, ou d'une situation à l'autre. Tu définis une catégorie que je trouve utile et appropriée à plusieurs contexte. Je donnerais néanmoins un nom différent à cette catégorie que tu as définie, qui rejette plusieurs cas où on "joue un rôle" dans un jeu vidéo, même des cas où c'est l'aspect central. Plusieurs jeux sont conventionnellement considérés (lire: l'usage conventionnel) comme étant des rpg, mais offrent vraiment très peu de customisation, sinon pas du tout. Histoire linéaire, une seule fin, pas de conséquences à long termes des choix, et peu de choix (sinon aucun) dans les habilités ou aptitudes à développer, mais tout le monde dit que c'est des rpg quand même. De plus, l'usage ne semble pas vraiment dériver d'une définition précise telle que la tienne. Il semble plus relié à la descendance/influence pas rapport à des niches bien particulières: le groupe des jrpg à la square-enix, le groupe des "diablo-like" rpg, et le groupe qui s'inspire des "board games" à la dnd.
  5. C'est comme rejetter le critère "graphisme en 3d" pour définir les jeux de la catégorie "jeux 3d" sous prétexte que ça englobe trop de jeux, que ça fait de la catégorie "jeux 3d" une catégorie trop générale.Si tu veux des catégories plus spécifiques, tu peux toujours combiner 2 catégories pour en faire une 3e. Par exemple, tu combines "2d" et "rpg" pour obtenir "rpg 2d". Tu peux combiner d'avantage et combiner "rpg 2d" avec "jeux japonais" pour obtenir "j-rpg en 2d". Tu peux aller plus loin et faire "j-rpg 2d sur SNES". Etc. Et si par exemple tu es dans un contexte où le 2d/3d n'est pas pertinent, tu peux toujours retrancher le 2d de la catégorie précédente pour obtenir "j-rpg sur SNES". Si tu es dans un contexte où même l'aspect "rpg" n'est pas important, tu peux toujours utiliser la catégorie "jeux japonais sur SNES". Tant que tu combines des catégories qui ne sont pas contradictoires, il n'y pas de problème. L'important, c'est d'utiliser le degré de généralité/spécificité approprié au contexte. Dans certain cas, juste dire "rpg", c'est trop vague alors que dans d'autres cas c'est exactement le degré de généralité voulu, qu'on le dise en ayant en tête ta définition, la mienne où n'importe qu'elle autre.
  6. À mon avis, le critère devrait être: "joue-t-on le rôle d'au moins un personnage?". À la base, un jeu de rôle est un jeu où on joue un rôle, qu'on prenne un board game tel que donjon dragon, des jrpg tel que les Final Fantasy, ou des rpg occidentaux tels que diablo.Ajouter le feature "customization du personnage" à un jeu de rôle, c'est comme ajouter du sel ou du ketchup à des frites: la plupart des gens trouvent que c'est meilleur avec. C'est pourquoi la plupart des jeux rôles ont ce feature. Jouer un rôle et personnaliser son personnage sont 2 choses qui se marient bien ensemble. Néanmoins, jouer un rôle ne nécessite pas d'avoir la possibilité de choisir les aptitudes pour son personnage ou de faire des choix qui vont changer le cours de l'histoire (ex.: un acteur qui joue un rôle appris par coeur, sans improvisation). C'est mieux avec la customization, à mon avis, mais ce n'est pas nécessaire. Autres choses qui se marient bien avec l'idée de jouer un rôle : une histoire complexe et des personnages développés. Encore une fois, ce n'est pas nécessaire, mais c'est beaucoup mieux avec. Chrono Trigger, Farcry3, Mass Effect, God of War, et Zelda peuvent tous être "taggés" comme étant des jeux de rôles à mon avis, bien qu'ils ont tous un style très distincts. Que tu sautes sur des plateformes, que tu mashes X pis carré ou que tu tire avec des guns, ça change pas le fait que tu joues un rôle, un personnage.
  7. Quelqu'un peut-il certifier que dans le beurre de peanut sans nom, il n'y a jamais de marre d'huile qui flotte par-dessus le beurre, même quand il fait chaud? Je suis vraiment sceptique, et je trouve ça désagréable les marres d'huiles. Sinon, je prend du beurre de peanut skippy crémeux ou kraft velouté. J'aime beaucoup les deux. Actuellement, j'ai du skippy. Pour le cola, c'est Pepsi et Coca-Cola. Pepsi max et Coke Zéro sont les seules versions diètes acceptées. Les colas génériques sont généralement passables, mais relativement poches. Pour des vitamines, je prends pas les centrum, mais les personnelles. Certains disent que tous les produits de marques maisons sont équivalents aux grandes marques. Je suis d'accord pour certains produits, mais pour beaucoup d'autres je suis complètement en désaccord. Il y a des cas où la différence de goût, de texture ou d'odeur est clairement perceptible. Parfois, je le perçois comme une amélioration, mais la plupart du temps je trouve ça moins bon.
  8. Plusieurs films pour enfants sont uniquement destinés aux enfants alors que d'autres tentent d'être aussi intéressants pour les adultes, le but étant que les parents qui écoutent un film avec leurs enfants ne s'ennuient pas et apprécient eux aussi le moment. À cette fin, certains films réussissent complètement alors que d'autres échouent lamentablement. C'est de ce thème là que je veux qu'on parle. Qu'est-ce qui fait qu'un film "familial" soit pénible à écouter pour un parent, alors qu'un autre soit un joie totale? Quels sont ces films qui d'après-vous échouent ou réussissent. On peut discutter de la question autant d'un point de vue personnel et appréciatif que d'un point de vue technique et critique. Par exemple, l'une des choses que je déteste et qui d'après-moi contribue à gâcher l'expérience d'un film familial est lorsque le film est rempli d'humour facile avec un double-sens uniquement perceptible aux adultes, comme les références sexuelles par exemple. Les Ice Age, Shrek et cie. sont des exemples qui me viennent en tête. Un autre élément qui peut gâcher l'expérience est les chansons à répétitions. Les bons vieux films de Disney sont particulièrement coupables. En contrepartie, j'apprécie quand un film tente d'attirer l'intérêt des enfants en mettant en scène des personnages principaux qui sont aussi des enfants, mais qui sont particulièrement développés, et qui ont donc une certaine profondeur, au lieu d'être tout simplement enfantins. J'apprécie également quand un film tente de faire appel à l'émerveillement. Hugo me semble être un excellent exemple. Je m'attend à ce que vous développiez la question plus que moi car plusieurs ici sont plus calé que moi en cinéma, et beaucoup plus intéressants.
  9. * effacé: j'allais en rajouter, mais j'ai choisi d'effacer mon message pcq ça en valait pas la peine *
  10. Désolé, j'aurais dû citer le message que j'avais en tête. Je pensais précisément à ce message-là: C'est pas un raisonnement mathématique très avancé, mais c'en est un quand même. L'idée c'est que la personne qui prête 500$ sur une période de temps x ne fait pas que prêter de l'argent, mais elle en donne. Elle donne les intérêts (qui sont composés en plus de ça). C'est une considération que les gens, en général, ne perçoivent pas si on ne prend pas le temps de leur expliquer.Inquiète-toi pas, je me baserai pas sur son document pour tirer des conclusions à la hâte.
  11. Je ne me souviens pas de l'avoir vu exposer des calculs, mais je sais qu'il expose parfois des raisonnements qui nécessitent certaines connaissances (sinon une bonne intuition) mathématiques pour être compris. La dernière fois que je l'ai vu faire ça, c'est dans le sujet d'Aradia sur le fond de caisse, ce qui est assez récent. C'était pas quelque chose de bien compliqué, mais je suis sûr qu'il y a plusieurs personnes qui ne l'ont pas suivi. On est entouré de mathématiques, mais pas de mathématiciens. La plupart des choses qui m'entourent en ce moment même ont été conçues en faisant usage de mathématiques avancées. Notre niveau de vie élévé est principalement attribuable aux mathématiques.
  12. Il règne au Québec un climat d'anti-intellectualisme et les math sont l'une des principales victimes, avec les sciences et la philosophie. J'ai personnellement été dégouté des math durant mon secondaire et mon cegep, bien que j'aie passé les niveaux les plus élevés (536 et les math de sciences pures + probabilités et statistiques) avec un haut le coeur et en me pinçant le nez. J'attribue ce dégout au système d'éducation et à la mauvaise influence de mon entourage, principalement constitué de québécois anti-intellectuels qui n'auraient jamais eu le potentiel d'éveiller en moi le moindre intérêt, moi qui a toujours eu le potentiel d'y être intéressé. Le système d'éducation, lui, il est coupable de les enseigner de la manière la plus désagréable et machinale qu'on puisse imaginer. Il est trop axé sur la résolution de problème, et pas assez sur la compréhension des concepts mathématiques. Il cherche à former des calculatrices humaines, et non des penseurs mathématiques. J'ai des connaissances en logique et en programmation. J'ai lu de la philo des math, des sciences et du language qui touchent aussi au sujet. J'ai aussi lu sur l'histoire des math. Je suis un autodidacte, et je vais continuer d'apprendre d'autres choses en math, sinon rafraichir ce que j'ai déjà appris, mais il faut que je débloque du temps et de l'énergie. Maintenant j'aime les mathématiques et c'est autant motivé par une prise de conscience que par un sentiment de révolte. J'ai jamais aimé faire des calculs machinalement, mais j'aime cependant analyser et comprendre.
  13. Je sourcille à chaque fois que quelqu'un argumente qu'il n'y a pas d'action dans un roman. Pourquoi faudrait-il qu'il y ait de l'action? Est-ce vraiment l'action qui constitue l'élément le plus intéressant d'un roman, ou même d'une lecture en général? Pour moi, la réponse a toujours été non. C'est pourquoi la presque totalité de mes lectures volontaires, au cours de ma vie, n'ont rien eu à voir avec des récits, et n'ont contenu aucunes péripéties. Néanmoins, j'ai lu une certaine quantité de romans et quand j'ai été intéressé par la lecture en cours, ça toujours été parce que l'auteur a su exciter mes neurones d'une manière ou d'une autre. De ce point de vue là, les péripéties sont un peu plates en général. Elles servent plus souvent de support à ce qui est véritablement intéressant. Le développement psychologique des personnages, mentionné par Humbert, est un bon candidat, mais beaucoup d'autres aspects peuvent aussi soutenir notre intérêt.
  14. J'étais juste venu dropper les raisons qui me font croire qu'un jeune ne devrait pas être décrédibilisé pour le simple fait qu'il soit jeune. C'est tout. Le reste, ça sort de ton imagination. Merci quand même pour ta psychanalyse gratuite. Le jour où je serai malheureux, je penserai à tes sages paroles et mon coeur sera réchauffé.
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