P'tit Rimbaud 7 janvier 2011 Partager 7 janvier 2011 Tous les messages de P'tit Rimbaud ont été supprimés à sa demande. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chicken of the infinite 7 janvier 2011 Partager 7 janvier 2011 Mon genre de poésie! Je te suis: Le postiche de ma mère Souillé de matières Fécales, j'ai ri hier Un trombone dans le derrière. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chicken of the infinite 7 janvier 2011 Partager 7 janvier 2011 C'est très bien tout ça. Ton écriture est jolie, quoique un peu maladroite.En fait, j'suis tellement touchée par la poésie. J'apprécie que des gens prennent encore le temps d'en écrire. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mâle Alpha 7 janvier 2011 Partager 7 janvier 2011 Pas besoin d'en faire plus P'tit Rimbaud, tu peux la farcir. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheval 7 janvier 2011 Partager 7 janvier 2011 Il est pas mort de la syphilis, Rimbaud? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chicken of the infinite 7 janvier 2011 Partager 7 janvier 2011 Pas besoin d'en faire plus P'tit Rimbaud, tu peux la farcir.J'aimerais mieux que ce soit toi qui me farcisse, jeune et fougueux Mâle Alpha.Je t'attends sous le saule. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lux 7 janvier 2011 Partager 7 janvier 2011 C'est pour ça que la poésie est taxée de quétainisme. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mâle Alpha 7 janvier 2011 Partager 7 janvier 2011 J'aimerais mieux que ce soit toi qui me farcisse, jeune et fougueux Mâle Alpha.Je t'attends sous le saule.Excellent, je n'attendais que ça. J'ai lit double, j'ai pris ma douche cette semaine et j'ai un gros pot de vaseline à peine entamé! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Porthos 7 janvier 2011 Partager 7 janvier 2011 Ah ! si j’avais sutrouver de joliesfillettes qui sussentme rendre à la joie,Moi l’irrésolu,je les eusse empliesde mon amour jus-qu’à mourir d’émoi.Fillettes menuesaux seins si déli-cieux que Vénusen pâlit parfois…Un soir au menu,mille et un délitsqu’on aurait voulusavourer cent fois.— Et le jour venu,sans mélancolie,jeter à la rueces filles de joie. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lux 7 janvier 2011 Partager 7 janvier 2011 Anal rectalement parlant. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chicken of the infinite 7 janvier 2011 Partager 7 janvier 2011 Que j'aie si gouluement respirél'effluve de tes mirettestroublantes, réclâmant d'enlacerta trop pâle cuiretteJ'ai jadis eu peu de tenueverbalisant à l'aveugletteDès lors, mon courage menua la gloire d'une fausse trompetteJ'ai jadis un peu parcourule dédale enfièvréde tes seins charnussans trop apprécierJ'ai oublié par coeurleur saveur de blanche oiequi a fait naître en moi l'émoid'une trompeuse pudeur. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mâle Alpha 7 janvier 2011 Partager 7 janvier 2011 Pas besoin d'en faire plus P'tit Rimbaud, tu peux la farcir.Je vais reformuler ça pour rester dans le sujet.Cher P'tit Rimbaud,(Lol, quel nick de nabot)Tu peux arrêter d'écrire,Car tu peux déjà la farcir. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chicken of the infinite 7 janvier 2011 Partager 7 janvier 2011 Pas besoin de réitérer, grand dadais. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Blablablaprout 8 janvier 2011 Partager 8 janvier 2011 Vous ressentez vraiment de quoi en lisant des poèmes? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Porthos 8 janvier 2011 Partager 8 janvier 2011 Vous ressentez vraiment de quoi en lisant des poèmes?«Je me rappelle toujours un beau texte de Reverdy, “Cette émotion appelée poésie”, dans lequel il se bat contre l'idée que la poésie, c'est l'émotion, le sentiment. Reverdy y tente d'expliquer que ce n'est pas le sentiment et l'émotion qui font le poème, mais que le lecteur du poème recevra du texte une certaine qualité d'émotion qui va au-delà des sentiments personnels, tels qu'ils ont pu aussi alimenter du reste la poésie du siècle précédent dans le style du lyrisme subjectif. Pour lui, il y a autre chose et il procède à un déplacement lorsqu'il dit qu'il faut “fixer le lyrisme de la réalité”. Ce qui suppose précisément qu'au lieu d'être tourné vers soi, vers ses sentiments, c'est dans le regard à l'extérieur que les choses se passent.»— Pierre Chappuis, Entretien avec Patrick Amstutz***«Mais le miracle c'est qu'en vous parlant de sa propre misère, le poète vous libère de la vôtre par la seule vertu de l'expression qu'il vous en donne et que, sans lui, vous n'auriez pas trouvée.»— Pierre Reverdy, «Cette émotion appelée poésie»***Bien sûr, il faut savoir / vouloir lire. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rotten 8 janvier 2011 Partager 8 janvier 2011 T'es quoi en 1730? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Napkin 8 janvier 2011 Partager 8 janvier 2011 (modifié) Il est pas mort de la syphilis, Rimbaud?Il est mort des suites d'une tumeur cancéreuse, non? L'amputation n'avait pas réussi à le sauver, le pauvre bougre. Quoique tu as peut-être raison, mes cours de littérature sont un peu loin dans ma mémoire.Peut-être confonds-tu avec la majorité des auteurs français de l'époque, si t'avais pas la syphilis t'étais pas cool.Parlant de Rimbaud, je me souviens de ce poème qu'on avait vu au secondaire qui m'avait bien fait rire.Voyelles : Arthur rimbaudA noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu : voyelles,Je dirai quelque jour vos naissances latentes :A, noir corset velu des mouches éclatantesQui bombinent autour des puanteurs cruelles,Golfes d'ombre ; E, candeur des vapeurs et des tentes,Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d'ombelles ;I, pourpres, sang craché, rire des lèvres bellesDans la colère ou les ivresses pénitentes ;U, cycles, vibrements divins des mers virides,Paix des pâtis semés d'animaux, paix des ridesQue l'alchimie imprime aux grands fronts studieux ;O, suprême Clairon plein des strideurs étranges,Silence traversés des Mondes et des Anges :- O l'Oméga, rayon violet de Ses Yeux ! -Ça m'avait pris un bout de temps avant que je comprenne qu'il comparait les voyelles à un corps de femme. Modifié 8 janvier 2011 par Marcous Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chicken of the infinite 8 janvier 2011 Partager 8 janvier 2011 Je fais un poème totalement sur le moment:J'ai oublié hierEn un vendredi soirCharnièreQui de croire, qui de bièreEn ce loire amère.J'ai cessé de ciblerCe qui était derrièreEn ce son endiabléFoi de ménagère.J'ai gerbé en son seinDélavéLa promesse certaineD'un esprit engagé.Et j'ai vomi, ho certainUn dédain endiabléQui gère le serpentinDe mes jours allégésJe t'ai donné une fleurQui m'a subitementLevé le coeurD'une certitude en espoirMais mon bon vieux coeurDe ne pas vouloir.C'est ça être poète, c'est pitcher sur le moment.On l'est ou on niais pas. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thunder McFuck 8 janvier 2011 Partager 8 janvier 2011 Regarde plus, explose ta visionJe pogne ton ex dans six positions en faisant une expositionOn dit que je suis le plus dope pour troller Je brise tes os en multiples fragments...Don QuijoteQu'est-ce que tu dis si j'éviscère ta petite soeur avec vingt-six lames de blenderGodzilla qui sort de sa cage reptilienneLa vision change, la rage saturnalienneHey je pars 34 manèges avec un almanach de pêches qui s'en tabarnak des brèches lors de l'attaque du siège.Je suis la créature dans ton armoire avec son grimoire décalisse ta logique à soirL'arabe, stockings, fève, dix fétides théorèmes avec des pics lire et cocelucheLe gars fucking laid qui rédige des poèmes avec des geeks pis des autruches 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chicken of the infinite 8 janvier 2011 Partager 8 janvier 2011 Je n'ai pas perdu ma langue au jeuferme la tienne qui tienne au jeuJ'ai cru longtemps que tu tenais le feuMaintenant, j'ai pour gloire toi le pneu.J'ai pour office toi qui tient d'idiotDe ta notice signée: sot.Tué femme, enfants, marmotsSimplement pour un agneau.Lâche moi l'interprétation douteuseDe ta vieille bonasse hargneuseQui en son règne est gueuseDe ta passion hideuse.J'ai craché sur toi l'attente,De ta patience en rente.Je t'ai tué en baqueMange moé le monk. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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