Ça pourrait vous sauver

[HSW]

Il y a des adolescents qui me surnommaient ¨Mr. Pornographie¨ ...

De tout ce que j'ai dit sur mes créations, il se rappelait seulement mes projets pornographiques...

[Detilly]

L'humain moyen est doté d'une mémoire assez limité. Il ne se souvient que de ce qui l'intéresse.

[FosseAsceptique]

Je vous raconte la mienne aussi

Je sortais du bureau, en plein mois de juin, à 16h15. Ma voiture est stationnée dans un stationnement extérieur, au centre-ville, à côté du terminus d'autobus Orléans Express, d'un stationnement étagé fort fréquenté, et de plusieurs commerces.

J'arrive au stationnement, et comme à l'habitude plusieurs personnes s'apprêtaient à quitter avec leurs voitures. Je m'approche de la mienne, un homme était en train de fouiller la valise. Un grand criss de BS vieux et mou, l'air trop imbécile, avec un chapeau.

À environ 10 pieds de la voiture, je crie comme une dingue "Hey mon tabarnak kess tu fâ là?" Le bonhomme fige, me regarde, mais ne répond pas. En m'approchant, je répète: 'Hey mon tabarnak j'viens d'te demander kess tu faisais là. Réponds caliss!"

Je m'approche encore, et il commence à bégayer que les portes étaient débarrées. Je lui gueule dessus que les portes n'ont jamais été débarrées, pis que je le savais, parce que CE char, C'EST LE MIEN OSTI. Je lui demande pas poliement pantoute de me redonner mes affaires sur-le champ. Il ne bouge pas. Je lui gueule de me redonner mes affaires tout de suite. Finalement il s'avance, ouvre son sac-à-dos et me redonne mon radio et quelques bébelles qu'il avait piqué, dont des CD et mes lunettes (!!). Je le regarde, et je lui dit que je m'en caliss de lui et que pour une fois il va payer ses conneries.

Je prends mon cellulaire, et j'appelle la police. Il commence à marcher d'un pas plus ou moins rapide, et tout en parlant avec le dispatch je le suis, pour leur indiquer dans quelle direction il va. Il passe par le stationnement étagé situé juste à côté du mien, et un bon ami a moi (qui finit de travailler à la même heure que moi, et chez qui d'ailleurs je devais aller) passe en voiture au même moment. quand il me voit marcher vite ainsi il ouvre sa fenêtre pour savoir ce qui se passe, je lui crie d'aller stationner sa voiture et de m'aider a suivre le voleur, chose qu'il s'empresse de faire.

Je le suis jusqu'à ce que mon ami réussisse à me rejoindre, et comme les policiers arrivaient, je dois aller les rejoindre pour leur indiquer ou ils sont partis. Je rejoins le policier, et je rappelle mon ami sur son cellulaire afin de savoir ou ils sont rendus, puisqu'on les a perdus de vue. Après 3 appels de la sorte, il confirme que le voleur est entré dans une maison un peu plus loin, qu'il surveille pour ne pas qu'il sorte, étant certain qu'il ne pourrait pas s'enfuir par l'arrière. Il confirme l'adresse au policier qui était avec moi, et le policier s'y dirige sur le champ, en signalant les lieux aux renforts.

J'étais rendue à environ 5 minutes de marche de ma voiture, je me dirige donc vers celle-ci. Au retour, mon ami m'appelle pour que j'aille le chercher, il était rendu lui à environ 10 minutes de marche, et toute cette course l'avait épuisé (il fait quand même 300lbs...).

Arrivée à ma voiture, je constate les dommage (serrures brisées, portes pas ouvrables, radio et fils arrachés, valise qui ne ferme plus...), et en beau tabarnak que je suis je me mets à varger sur celle-ci. Un jeune homme m'approche alors, me demandant si c'était ma voiture. Je lui confirme que oui, avec tout le calme dont je peux disposer, et un sourire pas très poli. Il m'explique qu'il a vu le bonhomme se tapper ma voiture, et qu'il a lui aussi appelé la police, mais qu'il croyait que j'étais sa complice, puisqu'il m'a vu partir avec lui (alors que je le suivais), je lui explique alors ce qui s'est passé, on échange quelques phrases, mais sans plus car je dois aller chercher mon ami.

Je fais deux coins de rue, et une voiture de police part à ma poursuite. Je me stationne sur le côté de la rue, et je sors de ma voiture. Le policier me crie de rester et de ne pas bouger. Je comprends quand il parle à son collègue qu'il croit que je suis la complice. Je prends mon cellulaire dans le but d'appeler mon ami pour qu'il me ramène l'autre policier, qui pourra régler cette histoire. Impossible, il est même prêt à dégainer quand il m'ordonne de placer mon cellulaire sur le toit de ma voiture. Je l'entends parler à son collègue, en disant que c'est moi, en me décrivant. J'essaie de lui parler "Mais monsieur..." "Taisez-vous madame je vous ai dit, la prochaine fois je vous embarque". Super.

Finalement, l'autre policier s'est ramené à toute vitesse, lorsqu'il a entendu ma description sur les ondes. Une fois arrivé, il a dit à l'autre qu'il s'en chargeait, que c'était une erreur et qu'il était avec moi tout à l'heure. Il a pu réglé tout ça et m'enlever le statut de "complice".

J'ai été vraiment chanceuse, je n'avais pas pu payer mes plaques encore, et le policier qui m'avait arrêté avait déjà déclaré le véhicule comme non-immatriculé.

J'explique que je sais que je n'ai pas payé, mais je suis dans un cercle vicieux, je commence un nouveau boulot, je dois avoir une voiture car je reste loin, mais j'attends la première paye pour pouvoir payer, que je recevais cette nuit-là.

Le gentil policier m'a permis de laisser ma voiture là sans la saisir jusqu'au lendemain, puisque j'avais promis d'aller payer mes plaques à l'ouverture.

Combien de fois je l'ai remercié d'avoir rappliqué alors que j'étais en train de me faire arrêter, et d'en plus ne pas avoir fait saisir ma voiture? Au moins MILLE! Première fois que je rencontrais un policier avec autant de jugement et si sympathique...

Le temps de faire les déclarations et tout, il était déjà presque 20h. (Ouân, j'étais sortie du travail à 16h15...)

Soirée ratée avec mon ami, on est arrivés chez lui et on a bu comme des trous en riant de tout ça.

Un article

[Louise Cyphre]

Chevalain, tu ne sais pas à quel point cette histoire me touche à chaque fois que je l'entend.

[Thunder McFuck]

Je confirme que c'est vrai cette histoire là.

[Le Messie]

Je confirme que c'est vrai cette histoire là.

T'étais là ?

[HSW]

T'étais là ?

Poumon est la tumeur extérieure de Chevalain.

[Chevalain]

Si tu n'avais pas évité le regard du gars dans le wagon de métro, il ne t'aurait pas vu comme une victime facile. T'avais la trouille, il l'a bien vu.

T'avais juste à le fixer jusqu'à ce qu'il baisse les yeux, pis t'aurais pas eu à sortir ton petit numéro de tapette pleurnicharde.

Tellement fif.

Bon, faut que je réexplique certains détails pour le gros criss de chien. Évidemment que j'ai pas baissé les yeux tout le long. Je le regardais régulièrement, puisqu'on a croisé nos regards quelques fois. Je l'ai même en quelque sorte légèrement défié, avec une expression du genre "Ok, est-ce qu'il y a problème?".

C'est ben facile de dire: Moé jles aurais confronté sti jpas fif de même!. Mais quand tu te retrouves dans une situation comme ça, et que tu sais très bien que tu feras face 6 individus, les affronter n'est clairement pas la meilleure idée. Criss que c'est pas dur à comprendre. T'en reviens juste pas parce que moi, je parviens à m'en sortir avec la parole seulement. Je n'ai pas besoin d'en arriver à la violence, et si ça avait été le cas, je te répète ceci: 6 contre 1. Vieux tabarnak de mongol.

[Detilly]

Deux jeunes adolescentes ont décidé de passer une fin de semaine ensemble.

Noémie, âgée de 15 ans, est une jeune fille frêle, craintive et réservée. Son amie Claudia, 17 ans, est du genre contraire, fonceuse, audacieuse et enjouée.

Les parents de Claudia étaient partis et les deux filles ont profité de l'occasion pour être ensemble.

Bien installées dans un grand fauteuil, on est sans peur parce que toutes les portes de la maison sont bien verrouillées. Il faut maintenant trouver un moyen de rigoler un peu.

Claudia possède plusieurs films d'horreur, mais après quelques visionnements, Noémie avoue avoir peur et qu'elle aimerait faire autre chose.

Elles décident de se raconter des histoires de fantômes.

Claudia est une experte dans l'art de raconter des histoires terrifiantes et elle veut vraiment faire peur à Noémie.

Elle raconte ses histoires de gardiennes d'enfants tués à la machette, des enfants dévorés vivants et toutes sortes d'événements terribles.

Pour clore la soirée, Noémie mentionne qu'elle est fatiguée et qu'elle veut prendre un bain avant de se coucher.

Elle se dirige vers la salle de bain et verrouille la porte, comme elle commençait à se dévêtir, elle sentit un courant d'air lui chatouiller le cou. Elle frissonna mais ne porta pas plus attention à ce phénomène.

Elle fait couler l'eau puis après quelques minutes, l'eau se coupe, plus rien. Comme elle avait encore dans la tête les histoires qu'elle venait d'entendre, elle commença à s'inquiéter.

Mais elle se dit que Claudia lui joue un tour, puis le téléphone sonna et Noémie nerveuse sursauta.

Le téléphone sonna encore et encore comme si Claudia était incapable de répondre. Alors Noémie décrocha l'appareil et dit nerveusement: "Allo!

Tout ce qu'elle entendait, c'était la respiration d'une personne à l'autre bout, puis un clic.

Noémie a commencé à paniquer. Elle monta dans le lit de Claudia et se mit la couverture sur la tête, tremblant de peur.

Puis elle a entendu des bruits provenant d'une bousculade et des bruits de pas sur le plancher, elle a présumé qu'il s'agissait de Claudia, mais ces bruits ne s'arrêtèrent pas.

Noémie était trop effrayée pour crier le nom de Claudia. Finalement, elle a entendu des pas à nouveau, mais ils semblaient s'éloigner. Tout à coup, un cri terrifiant envahit toute la maison.

Des sueurs froides lui coulaient dans le dos, laissant présager un drame.

Puis un silence de mort régnait dans la pièce. L'inquiétude, l'angoisse et l'incompréhension gagnaient Noémie.

Elle était terrorisée par ces bruits étranges et ne comprenait pas ce qui se passait dans la maison.

Noémie a finalement rassemblé son courage et a commencé à visiter la maison à la recherche de son amie. Elle pensait toujours que c'était un tour qu'on lui jouait.

Toutes les lumières étaient éteintes à l'exception d'une petite veilleuse et la lumière de la lune à l'extérieur.

Une forme étrange semblait se mouvoir dans la maison, accompagnée d'un déplacement d'air inquiétant, mais la recherche de Claudia était plus importante.

Enfin, elle la retrouve assise à l'extrémité du corridor.

Son pyjama était rouge et elle semblait être appuyée contre le mur. Noémie soupira et sa crainte a disparu. Elle était certaine maintenant que c'était juste un tour.

Elle a trouvé l'interrupteur et a allumé la lumière. Elle découvre Claudia à genoux contre le mur, elle était couverte de sang, les yeux vitreux et un foulard autour du cou.

De ses plaies ouvertes, jaillissait une coulée de sang provoquée par les derniers soubresauts de l'agonie de la pauvre victime.

Son agresseur l'avait poignardée à plusieurs reprises et elle ne respirait plus. Quel drame !

C'est la fin tragique d'une jeune fille, débordante de vie et d'énergie, dont la mort demeure toujours inexpliquée.

Des traces d'introduction par effraction dans la maison ne sont pas apparentes. Que s'est-il passé réellement ?

L'ancien propriétaire de cette maison a déclaré avoir entendu des bruits étranges dans cette maison. Ne pouvant plus supporter ce phénomène, il avait décidé de la vendre.

On raconte aussi qu'un tueur en série aurait habité cette maison et que son corps pourrait être enterré au sous-sol.

Des esprits maléfiques ont-ils élu domicile dans cette demeure ???

Incapables de fournir des explications plausibles, les policiers en sont venus à la conclusion que c'est l'oeuvre d'un fantôme.

On raconte aussi qu'étant passionnée de films d'horreur et d'histoires terrifiantes, Claudia serait l'artisane de son propre malheur, en attirant les mauvais esprits.

[HSW]

Play. Fast Forward. End.

[Detilly]

Fuck, jme suis tellement trompé de topic. J'étais sur qu'on était dans le sujet dont tout le monde se caliss. J'voulais vous partagez cette histoire que je viens de lire parce que je l'aime bien.

My bad.

[Thunder McFuck]

Vermin a l'air d'un criss de cave à chaque fois qu'il utilise son clavier, même plus besoin de feuder avec.

[Detilly]

À chaque fois que je lis Poumon, je l'imagine toujours avec une voix nasillarde et fendante d'un petit ado de 15 qui se prends pour un tough. Suis-je seul?

[Chevalain]

À chaque fois que je lis Poumon, je l'imagine toujours avec une voix nasillarde et fendante d'un petit ado de 15 qui se prends pour un tough. Suis-je seul?

Chercher la reconnaissance des autres pour valider son message. Esti que t'es insécure Vermin.

[Thunder McFuck]

À chaque fois que je lis Poumon, je l'imagine toujours avec une voix nasillarde et fendante d'un petit ado de 15 qui se prends pour un tough. Suis-je seul?

Quand je lis vermin j'imagine un dude de 23 ans qui tient un skyblog

[HSW]

Quand je lis vermin j'imagine un dude de 23 ans qui tient un skyblog

Ça me fait penser à Bernard, je vais tellement lui donner un password qui va lui donner l'accès à un endroit de mon site que lui seul pourra voir.

[Detilly]

Chercher la reconnaissance des autres pour valider son message. Esti que t'es insécure Vermin.

Je vois pas le rapport de l'insécurité dans mon message. Mais bon, être à côté de la track t'es le roi la dedans.

[Doupirate]

Je n'ai pas besoin d'en arriver à la violence, et si ça avait été le cas, je te répète ceci: 6 contre 1.

Voici Chevalain à l'oeuvre. Notez la verve et la classe:

[Chevalain]

Je remonte mon propre sujet pour deux raisons.

1- Les utilisateurs récents vont découvrir une histoire 5 étoiles, ainsi qu'une stratégie qui pourrait leur sauver l'existence,

2- Il me manque 4 maigres points pour obtenir le DÉCHET CULTE.

-xxxxxxx-

[OOO]

Ton histoire est epic, +1

J'ai deja eu affaire avec 2 blacks dans à Radisson, un peu la même histoire. Je sors, ils sortent derrière moi. J'ai punché le plus gros en sucker-surprise-punch. KO, j'ai pris mes jambes à mon coup, sayonaraaaa!

Depuis, plus jamais mit les pieds à Radisson.