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La hausse des frais de scolarité universitaires


Pour des hausses rétroactives  

112 membres ont voté

  1. 1. Voulez-vous que la hausse des frais de session soient rétroactives

    • Oui, que ceux qui ont profité du gel passé payent aussi.
    • Non, je suis droitiste: faisons payer les autres
    • Haussons les impôts à la place
    • Arrêtons le gaspillage: ça va suffire


Déchet(s) recommandé(s)

En tout cas, j'aimerais vraiment ça que W00t nous expliquent le lien entre gratuité scolaire et service militaire obligatoire et nécessaire.

Il est incapable, anyway le service obligatoire non payé, ça coûte pareil beaucoup d'argent au gouvernement... dortoir, bouffe, plus d'instructeur pour rien... un service militaire obligatoire c'est aucunement rentable comme dépense.

ça fait pas full de sens... c'est l'éducation et la défense ce n'est pas lié.

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Le seul lien qu'on pourrait faire avec le Canada, c'est que les études universitaires sont payées par l'armée canadienne contre un engagement de 36 à 48 mois.

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C'est vrai qu'une brique sur un casque, ça tue une personne, mais qu'une balle de plastique dans l'oeil, c'est un accident pis il y a rien là. Comme toujours, obviously.

Ça a surtout à voir avec le fait que les gens voient des conspirations de Québécor partout...

Pour ce qui est de "L'arnaque Montmarquette", je crois que venant d'un fondateur de Québec Solidaire, on peut considérer que c'est un peu, beaucoup, passionnément partisan comme prise de position.

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Ça a surtout à voir avec le fait que les gens voient des conspirations de Québécor partout...

Pour ce qui est de "L'arnaque Montmarquette", je crois que venant d'un fondateur de Québec Solidaire, on peut considérer que c'est un peu, beaucoup, passionnément partisan comme prise de position.

Il y a quand même des limites à croire que tout étudiant ou citoyen en colère est nécessairement un extrémiste / casseur / policier infiltré. Des gens pissed ça existe, et leurs expressions ne se limiteront pas qu'à de vulgaires insultes ou bruits. Celui qui a lancé la brique, bah oui, il l'a lancé. Des pavés ont été lancées. Des lacrymogènes. Des balles de plastiques ont été tirées, etc. Ça fait partie de l'expression de la répression politique (le bras armé de l'État) et la contestation (les manifestants). C'est tout à fait normal dans ce genre de situation.

lol @ conspirations.

La prise de position est toujours partisane / politique. C'est jamais « neutre ». Faut arrêter de voir ça comme une forme d'impartialité : il n'y en a juste pas et il n'y en aura jamais en politique. Néanmoins, on peut faire des critiques et voir le fondement de l'offre : donner plus de pouvoirs aux acteurs non-étudiant, c'est à se questionner si les étudiants peuvent avoir un réel exercice de pouvoir dans cette promesse de « meilleure gestion des universités ».

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Il y a quand même des limites à croire que tout étudiant ou citoyen en colère est nécessairement un extrémiste / casseur / policier infiltré. Des gens pissed ça existe, et leurs expressions ne se limiteront pas qu'à de vulgaires insultes ou bruits. Celui qui a lancé la brique, bah oui, il l'a lancé. Des pavés ont été lancées. Des lacrymogènes. Des balles de plastiques ont été tirées, etc. Ça fait partie de l'expression de la répression politique (le bras armé de l'État) et la contestation (les manifestants). C'est tout à fait normal dans ce genre de situation.

lol @ conspirations.

J'ai l'impression qu'on ne parle pas du tout de la même chose. Retourne voir mon précédent message avec photos. Ce que j'ai vu sur Facebook, c'est que des gens pensent que Québécor a photoshoppé la couverture du Journal De Montréal pour faire passer ce manifestant comme lançant une brique, alors que ça serait faux, pour faire valoir un agenda caché. Alors que ce n'est clairement pas le cas. Je ne remets aucunement en question le fait que des trucs ont été lancés de part et d'autre.

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Excellent article de Marc-André Cyr.

Cette entente est une insulte.

Cette entente est une reddition!

En l’analysant, les plus optimistes – ou les plus fatigués – y verront un « moratoire » sur la question de la hausse des frais de scolarité. Pourtant, il n’en est rien. La hausse prévue de 1778$ sur sept ans est bel et bien maintenue et sa « suspension temporaire » est financée par une diminution des frais afférents payés par les étudiantes et les étudiants [1].

Le gouvernement maintient donc la hausse contre laquelle les grévistes luttent depuis plusieurs semaines. Il crée toutefois un « Comité provisoire » qui sera chargé de recommander certaines coupures dans les « dépenses inutiles ». Ce « Comité », bien entendu, ne serait pas dominé par les voix étudiantes (elles ne seraient que quatre sur 19). Autrement dit, la hausse sera amortie par des coupures dans les institutions d’enseignement; coupures qui seront imposées par un comité où domineront les recteurs (farouchement pour la hausse), les représentants des cégeps, les hommes de main de la ministre et le milieu des affaires.

De plus, rien dans cette entente ne garantit que la hausse ne sera pas appliquée totalement dans les années subséquentes. Si l’augmentation des frais de 125$ pourra être comblée sans trop de peine par quelques coupures plus ou moins importantes la première année, on se demande bien comment les universités trouveront les 1778$ d’augmentation projetée pour les sept années suivantes.

Encore une fois fidèle à son arrogance, le gouvernement a effectué les négociations sans la CLASSE (toujours considérée comme « violente »), lui préférant l’ASSÉ (qui en est le cœur sans en porter le nom). Non sans paternalisme, il a même ajouté, comme si ce n’était pas assez, que les étudiantes et les étudiants ne devaient « pas organiser de manifestations liées à cette entente » (heureusement, ils ne respecteront manifestement pas cette clause grotesque…).

En d’autres mots, cette entente, puisqu’elle ne revient aucunement sur la hausse annoncée, ne répond pas à la revendication principale des grévistes. Elle n’est rien d’autre qu’une nouvelle tentative de faire capituler la protestation. Pour ceux et celles qui sont naïvement tentés de crier victoire et de mordre à l’hameçon, rappelons que le gouvernement lui-même affirme qu’il « maintient intégralement les hausses » et qu’il « est faux de prétendre que l’augmentation des frais de scolarité sera obligatoirement compensée par la baisse des frais [2] ».

...

Lire la suite : Cette entente est une farce - Voir

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Les plus grands succès de Normand Lester sur la crise étudiantes

Un mot sur le conflit étudiant

http://www.985fm.ca/audioplayer.php?mp3=132512

Normand Lester s'exprime sur la crise étudiante.

http://www.985fm.ca/audioplayer.php?mp3=131562

Normand Lester ne mâche pas ses mots à la suite des manifestations étudiantes de la journée.

http://www.985fm.ca/audioplayer.php?mp3=130980

Une injonction judiciaire, c’est plus que du papier de toilette!

Les idéologues de la CLASSE sont vraiment de dangereux idiots dont les élucubrations gauchistes, si elles étaient acceptées par le gouvernement, compromettraient l'avenir du Québec.

Ces barjots voudraient qu'on prenne l'argent consacré à la recherche pour assurer la gratuité de l'enseignement universitaire. Peut-on imaginer une revendication plus absurde? Une université se définit d'abord comme un centre de recherche. Le progrès économique et le développement du Québec dépendent des découvertes scientifiques et technologiques des universités. Ces connaissances essaiment ensuite vers les entreprises privées où elles créent des emplois bien rémunérés.

Dans l'esprit tordu de ces jeunes nostalgiques de Staline et de Mao, le financement de la recherche universitaire par l'entreprise privée constitue une compromission de classe. Comment peut-on encore propager de telles insanités?

Mais il faut comprendre que la plupart des dirigeants de la CLASSE sont issus de départements de «sciences molles» (socio, psy, philo, etc.) où les idéologies à la mode en France et aux États-Unis se substituent aux faits. Oui bien sûr, je regarde dans la direction de l'UQÀM.

Autre aspect troublant de cette crise des frais de scolarité. Elle permet de confirmer une réalité qu'on aime mieux généralement ne pas évoquer: le droit dans la société ne s'applique que dans les temps calmes. Dès qu'il y a contestation sérieuse, par des groupes suffisamment bien organisés, le droit est mis de côté, l'illégalité prend le dessus. Ceux qui contestent l'ordre établi sont les premiers à aller vers l'illégalité, mais l'État suit généralement rapidement. En bafouant les règles de droit ou en créant de nouvelles règles antidémocratiques et liberticides.

C'est ce que nous avons vécu durant la crise d'octobre. C'est ce que nous vivons, dans une moindre mesure, aujourd'hui.

Une minorité d'étudiants (peut-être 25-30%) boycotte les cours pour s'opposer à une décision contestée. Quand le gouvernement ne cède pas, ils décident d'avoir recours aux tactiques syndicales courantes d'épreuve de force: violence contre les personnes, intimidation, destruction de biens publics et privés. Les tribunaux interviennent finalement. Des injonctions sont émises ordonnant la reprise des cours, mais le gouvernement et la police refusent d'appliquer les ordonnances des juges.

Dans une sortie publique incroyable, le juge en chef de la Cour supérieure du Québec, François Rolland, fustige l'État qui a renoncé à faire appliquer ses propres lois.

C'est vraiment le summum de la poltronnie. Bon, de la part des libéraux, rien ne me surprend. Ce qui m'afflige terriblement, c'est de voir Pauline Marois, la chef de l'opposition officielle, se ranger du côté de Charest. Marois laisse entendre, sans le dire ouvertement, que les étudiants peuvent ignorer les injonctions parce qu'ils ont raison contre le gouvernement. Son attitude est inacceptable et même proprement scandaleuse. On ne peut pas traiter des injonctions émises par les tribunaux comme du papier de toilette.

Au début des années 80, il aurait donc été légitime pour les syndicats de la fonction publique en conflit avec le gouvernement péquiste de défier les tribunaux parce qu'ils croyaient avoir raison contre René Lévesque?

Le PQ recrute une bonne partie de ses électeurs, de ses militants et de ses députés dans la petite bourgeoise des fonctionnaires, des enseignants et des cadres dont les enfants privilégiés sont descendus dans la rue. Normal, me direz-vous, qu'un parti défende les intérêts des groupes sociaux qu'il représente.

Mais avant d'être le parti de la petite bourgeoisie francophone, ce parti incarne la volonté d'indépendance des Québécois. Malheureusement, il me semble qu'à chaque fois qu'il est placé devant un dilemme entre sa mission première d'être le rassemblement pour l'indépendance nationale et les intérêts de classe de ses adhérents, il choisit en leur faveur.

Pour beaucoup de Québécois comme moi, aux prochaines élections, il va nous être difficile de voter pour un tel parti.

http://fr-ca.actualites.yahoo.com/blogues/la-chronique-de-normand-lester/une-injonction-judiciaire--cest-plus-que-du-papier-de-toilette-.html

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C'est vrai qu'une brique sur un casque, ça tue une personne, mais qu'une balle de plastique dans l'oeil, c'est un accident pis il y a rien là. Comme toujours, obviously.

Alors c'est correct de lancer une brique sur un policier qui a un casque parce que ça le tuera pas? Si un policier tire une balle de caoutchouc sur un étudiant avec un masque de goaler, c'est tu mieux?

Deux poids deux mesures de ton coté aussi on dirait.

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Alors c'est correct de lancer une brique sur un policier qui a un casque parce que ça le tuera pas? Si un policier tire une balle de caoutchouc sur un étudiant avec un masque de goaler, c'est tu mieux?

Deux poids deux mesures de ton coté aussi on dirait.

C'est pas une affaire de c'est correct ou pas. C'est plutôt une affaire de conséquence qui vient avec et pourquoi le geste a été posé. Le policier n'est pas nécessairement en colère et est entraîné pour éviter de tuer / blesser quelqu'un gravement avec ses outils de répressions. Le contestataire lui ne fait qu'exprimer sa colère - le plus souvent sans rien faire, tel un moine.

La police a été entraînée de ne pas tirer au niveau de la tête. Mais on a vu à Victoriaville - et même avant - que cette situation s'est quand même produite : traumatisme crânien, oreille arrachée, perforation au niveau du cou, etc. C'est super dangereux. Les contestataires sont pas habillés en fonction d'une émeute. Ils n'ont pas d'armure comme l'anti-émeute et une organisation pour limiter les dégâts (ici répressifs de la police).

Que la police tire ou tabasse la foule, c'est juste normal : elle détient le monopole de la violence légitime. Mais qu'elle le fasse de façon préventive sur des gens désarmés jusqu'à les envoyer à l'hôpital, il y a un sérieux problème.

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Ça nous prendrait un Mythbusters québécois pour vérifier quelles sortes de dégâts peuvent faire les flashbangs, les grenades fumigènes, les balles de caoutchouc ainsi que de la brique, de l'asphalte et des boules de billard.

Ah c'est vrai, on a "Testé sur des humains"!

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Un texte de Coup de Théatre concernant le présent conflit

Entre la vie et la mort: autopsie d'un conflit étudiant

Au moment d'écrire ces lignes, une entente de principe a été conclue entre le gouvernement et les associations étudiantes et un manifestant se trouvait entre la vie et la mort (bien qu'on ne craigne plus pour sa vie) à la suite des violentes manifestations tenues à Victoriaville. Pour la première fois, le conflit étudiant peut maintenant se targuer d'avoir trouvé un (malheureux) porte-parole représentant bien malgré lui l'aboutissement annoncé de la situation prévalant au Québec depuis trop longtemps.

Dire qu'au début, nous ne considérions que la mort de l'accessibilité aux études. Seulement ça. Un jour en santé et l'autre sur son lit de mort, elle a soudainement soulevé les passions populaires. Avec les progrès faits par la médecine sociale, plusieurs croyaient possible de la sauver. Car c'est ce qu'on fait. On veut vivre et faire vivre.

Malgré tout, on nous a dit qu'il fallait que chacun fasse sa part et accepte de vivre ce deuil en silence. Sans maugréer. Cette mort annoncée par le croque-mort provincial devait clore un chapitre. Cependant, certains ont décidé de le prolonger quitte à ce qu'il se termine en été ... ou plus tard. C'était la vie qui tentait de reprendre le dessus, un jour, une page à la fois. Accusés d'être irresponsables, ils plaidaient coupables à plusieurs chefs d'espoir.

Puis vint la mort annoncée de la session. Une arme idéologique pointée sur sa tempe, elle était prise en otage. La sachant précieuse pour plusieurs, il avait été décidé qu'aucune concession ne serait faite pour qu'elle soit retournée saine et sauve. Tout ou rien. La vie ou la mort. La session contre le retour docile en classe et l'acceptation d'un deuil que plusieurs trouvaient encore prématuré.

Certains ont alors insisté pour négocier. Ils croyaient aux miracles. Ceux qui doivent faire de nous des saints. Mais le miracle, accompagné des négociations, tomba dans un profond coma. Et pendant qu'on s'engueulait collectivement dans les rues et les chaumières au sujet des causes, ce sont les conséquences qui refirent violemment surface. Il n'était plus question que d'ego meurtris. Les blessures devenaient soudainement réelles.

Quand plus rien ne va, plusieurs ont tendance (naïvement, vous me direz) à se tourner vers l'entité suprême. Celle qui, supposée veiller à notre bien, doit surgir dans les moments les plus troubles pour rétablir l'équilibre.

Car c'est sa seule raison d'être.

L'appel fut donc lancé de partout. L'écho produit par ces voix du désespoir retentit bruyamment.

Aucune réponse. Rien. Rien pour masquer les cris de colère et les supplications si ce n'est que le retentissement des grenades assourdissantes.

Mais finalement, à l'approche de la mort, l'espoir apparut! Les négociations reprirent. Tous autour de la même table pour en venir à une entente permettant de ressusciter notre société. Un conte de fées. C'est ce dont on vous parlera sûrement. Et c'est ce que vous retiendrez. Pendant tout ce conflit étudiant, nous nous sommes dangereusement balancés entre la vie et la mort. La vie de la justice sociale pour certains. La mort du bon sens et de la juste part pour d'autres.

Mais quand une personne en vient à être coincée entre ces deux états, on ne peut que se demander ce qui aurait pu être fait pour ne pas en arriver là. C'est la seule question qui mérite d'être posée. Et la réponse se trouve à une extrémité de notre société. Là où notre gouvernement a décidé de se terrer pour éviter trop longtemps d'avoir à prendre ses responsabilités. Pendant qu'il a choisi le sud pour réchauffer ses ambitions politiques, une victime a travaillé pour survivre dans le nord. Le fossé n'aura jamais été aussi grand. Sans blague.

L'auteur est diplômé en ingénierie habitué de regarder la vie à travers un écran. Il se dit amoureux du Québec qui insiste pour colorer l'actualité des ses opinions et soulever les passions.

http://www.lapresse....it-etudiant.php

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La grève est présentement reconduite dans de très nombreuses assemblées et l'offre est massivement rejetée parmi celles-ci. Le seul endroit où l'offre a été acceptée, c'est au cégep de Gaspé (qui n'est pas en grève) à une faible proportion.

Le déroulement de tout ça reste à voir... mais chose certaine : lol Beauchamp et son offre.

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(modifié)

Une assemblée générale de retour en grève sera convoquée par l'association étudiante de médecine de l'UdeM pour mercredi MAINTENANT, LIVE. Il y a le 9e point de l'ordre du jour qui parle de « moyens de pression ».

Vont-ils revenir en grève et gonfler le nombre de grévistes ?

Modifié par Pomo Story
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Une liste non-exhaustive des votes de la journée et de leurs résultats.

Rejet de l'entente de principe :

  1. Association des étudiants de maîtrise et de doctorat en histoire de l’Université de Sherbrooke
  2. Collège de Bois-de-Boulogne
  3. Cégep Marie-Victorin
  4. Cégep de Valleyfield
  5. Cégep de Saint-Laurent
  6. Cégep de Saint-Hyacinthe
  7. Association des étudiants au D.E.S.S. en arts, création et technologie de l'Université de Montréal
  8. Association des étudiants du département des littérature de langue française de l'Université de Montréal
  9. Association des étudiants en sociologie de l'Université Laval
  10. Association des étudiants en études québécois de l'Université de Trois-Rivières (AEEQ)
  11. Association des étudiants en littérature de l'Université Laval
  12. Association des étudiants en géographie de l'Université Laval
  13. Association des étudiants en langues et en communication de l'UQAM

Adoption de l'entente de principe :

  1. Cégep de la Gaspésie et des Île

EDIT : ça portait à confusion ...

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Une assemblée générale de retour en grève sera convoquée par l'association étudiante de médecine de l'UdeM pour mercredi MAINTENANT, LIVE. Il y a le 9e point de l'ordre du jour qui parle de « moyens de pression ».

Vont-ils revenir en grève et gonfler le nombre de grévistes ?

MONTRÉAL, le 2 avril 2012 – L'Association des étudiants et étudiantes en médecine de l'Université de Montréal (A.É.É.M.U.M.) a choisi, lors d’une séance de son Assemblée générale du 28 mars 2012, de réitérer sa position contre toute hausse des frais de scolarité.

L’A.É.É.M.U.M. a choisi d’exprimer cette revendication par une grève des activités du pré-clinique depuis le 20 mars dernier et par deux jours de grève des étudiants à l’externat, soit les 22 et 28 mars 2012.

L’Association a consulté ses membres par voie référendaire, ce soir, quant à la poursuite de la grève pour trois jours. Ceux-ci se sont prononcés à 61,5 % contre le moyen de pression. La question référendaire était : « Désirez-vous une continuation de la grève générale illimitée des membres de l’A.É.É.M.U.M, reconductible dans 3 jours ouvrables en incluant l’ensemble des activités d’enseignement (cours magistraux, A.P.P., séances I.M.C./I.D.C., examens, C.A.A.H.C. et les travaux d’épidémiologie ou écrits de toutes sortes) du préclinique? » et il y a eu 342 votes pour, 547 contre et 94 abstentions. Le taux de participation était de 92 % pour les étudiants du pré-clinique et 47 % pour les étudiants à l’externat.

Les activités pédagogiques du pré-clinique reprendront donc dès demain matin. Le Conseil général de l’Association travaillera de concert avec la direction pour faciliter la reprise des activités manquées.

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