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La hausse des frais de scolarité universitaires


Pour des hausses rétroactives  

112 membres ont voté

  1. 1. Voulez-vous que la hausse des frais de session soient rétroactives

    • Oui, que ceux qui ont profité du gel passé payent aussi.
    • Non, je suis droitiste: faisons payer les autres
    • Haussons les impôts à la place
    • Arrêtons le gaspillage: ça va suffire


Déchet(s) recommandé(s)

Qu'est-ce qui rend une manifestation illégale? La réponse du SPVM: ici

Bref, faudrait que 10 000 personnes arrêtent leur marche pacifique et s'en aillent chez eux à cause de quelques individus qui cassent des vitres?

Qu'on arrête de démoniser la SPVM!La manifestation d'hier soir fût déclarée illégale, mais quand la casse a rapidement cessée, ils ont permis aux manifestants pacifique de continuer leurs marche.

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Qu'on arrête de démoniser la SPVM!La manifestation d'hier soir fût déclarée illégale, mais quand la casse a rapidement cessée, ils ont permis aux manifestants pacifique de continuer leurs marche.

Quand la CLASSE a cessé?

Tu... Tu niaises right? Parce que tsé, la CLASSE, c'est la majorité des étudiants en grève en ce moment. Donc probablement une majorité de ceux qui manifestaient aussi. Donc ils ont tous, pouf, arrêté?

J'comprends pas ton raisonnement. (Sans compte que GND est un porte-parole et non quelqu'un qui prend des décisions).

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Hum étaler ça sur 7 ans...j'aurais peut-être mis même sur 10 ans...ou 15...non je blague haha!

J'aurais garder sur 5 ans et même AUGMENTÉ la hausse pour couvrir les 75 Millions de frais que les étudiants en feront payer aux contribuables avec les bien et propriétés brisés depuis le début de la grève ( + de 100 commerces et instituts avec des 10aines de milliers de dollars de dommages et plusieurs MILLIONS en supplémentaire pour les policiers en services lors des manifestations. ET C'EST PAS FINI)

Dans le fonds, vous allez payer encore plus avec toute la casse qu'il y a eu. Vous l'avez déjà payer votre hausse avec tout casse pis vous la repayerai encore. Vous auriez du accepter depuis le début.

PS : Il y aura un mort bientot (policer ou manifestant, au choix) et ca virera en guerre civile!

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S'il y a des comptes à rendre dans la société québécoise, je doute que les étudiants devraient être les plus facturés... Si la moitié des gens qui s'insurgent contre les casseurs montraient la même hargne envers la corruption et les cartels... Mais c'est certains que ca pas le meme impact que la réalisation du fantasme populiste de voir un policier fesser un philosophe dans la face... et, apres tout, la corruption... va toujours n'avoir... À quoi bon s'en soucier?

PS: Pourquoi tout le monde parle d'une mort inévitable depuis 2 jours?

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(modifié)

1625$ sur 7 ans, y aurait eu quelque chose à proposer, sauf que là, c'est vraiment du foutage de gueule, c'est comme si le gouvernement disait : Ok vous (les étudiants en grève) allez moins subir les hausses, mais on va quand même se rattraper sur ceux et celles qui vont vous suivre. Je crois que le gouvernement cible mal les enjeux de cette grève, c'est pas un débat sur le JE, mais plutôt sur le type de société qu'on veut avoir, qu'on veut donner à nos enfants.

Le gouvernement devrait lâcher sa référence à 1968, ça ne tient plus.

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On pourrait demander 5$ par jour pour l'ensemble des compagnies minières du Québec. Ça réglerait le problème, incroyable non?

Edit : peut-être pas finalement.

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On pourrait demander 5$ par jour pour l'ensemble des compagnies minières du Québec. Ça réglerait le problème, incroyable non?

Edit : peut-être pas finalement.

On pourrait vendre nos ressources à un prix non-dérisoire par exemple.

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2011-111-fig1-f.gif

?

Officiellement oui mais ça ne comprends pas la nouriture ni l'énergie (ni l'expansion de la base monétaire je crois???)... Ce qui est "con en crisse"...

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IPC global, ça contient toutes les composantes, même les plus volatiles. L'indice de référence (nommé IPCX) est l'indice auquel on enlève les 8 composantes volatiles.

Sur le graphe, l'IPC global est à 3%, l'IPCX est à 2%. L'expansion de la base monétaire n'est pas enlevée dans le calcul je crois. Et en général, les mesures d'indexation utilisent l'IPCX.

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23 h 10 : Des arrestations sont en cours. Les gens peuvent continuer à manifester pacifiquement, dit le SPVM.

23 h 9 : Les manifestants hurlent des slogans anti-police.

23 h 8 : Les policiers retiennent toujours un millier de manifestants sur Ste-Catherine à l'ouest de Bleury.

23 h 7 : Les policiers ont coupé la tête de la manif et l'ont encerclée. Une vingtaine de personnes seront arrêtées.

L'état fasciste de Vacpower.

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Une conductrice dont la voiture immobilisée sur la rue de Bleury a été prise d'assaut a dû s'enfuir à pied.

[irony]C'est surement des agents perturbateurs.[/irony]

(Notez que je suis conscient que des agents perturbateurs, ça existe et c'est possible qu'il y en ait. Cependant, ce que j'entends ses temps-ci, c'est que les gens ne parlent que d'agents perturbateurs et négligent le fait que, peut-être, outre des groupes radicaux, que certains d'entre eux peuvent dépasser les bornes. Le syndrôme de la tête dans le sable, quoi!)

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Etre policier au SPVM en avril 2012 : Silence, peur et fatigue

Dans le conflit étudiant, on esquive souvent le vécu des policiers, si ce n’est pour dénoncer avec éclat l’utilisation de la force ou parler de leurs heures supplémentaires. En étant proche de l’un d’entre eux et en travaillant de façon régulière avec des policiers du SPVM, je me rends compte à quel point ils sont incompris, mal jugés, méprisés dans leur travail.

Je me demande bien comment je me sentirais si un de mes collègues avait une ecchymose tout le long de la jambe, après avoir reçu un bloc d’asphalte. Si je m’étais fait lancer des balles de billard, des roches, si je m’étais fait lancer les pires insultes, vilipender par les médias, vandaliser ma voiture de travail, portant l’effigie du service que je serais habituellement si fier de servir. Si l’édifice dans lequel je travaille se faisait briser ses vitres, si on dépeçait le symbole de ce que je représente, sans que j’aie droit à la réplique.

Si je faisais 20 à 30 heures supplémentaires par semaine, pas des heures à jaser avec mes collègues, travailler un peu et naviguer sur internet, non, 20 à 30 heures à avoir peur, à me faire coincer entre deux groupes de manifestants dans le métro, à me faire huer dès que je me présente dans un attroupement, à recevoir une litanie de préjugés et d’idées préconçues sur l’idéologie que je prône (et que je ne peux partager), à me faire identifier comme étant un clone ou un représentant du gouvernement en place.

Si je n’avais pas le droit d’exprimer mon opinion, en raison de la neutralité et objectivité exigée de la part des policiers. Si je devais, malgré tout, revêtir mon uniforme, tenter de me motiver par la solidarité avec mes pairs, en voir un se faire blesser presque chaque jour, un autre se faire critiquer ou démolir par des images vidéos. Risquer de me faire filmer en tout temps, n’avoir aucun droit à l’erreur, la moindre soit-elle.

Avoir peur. Car il y en a, des personnes en difficulté et des personnes ayant un lourd passé judiciaire, dans les rues de Montréal. Elles se faufilent parmi les manifestants et derrière les cagoules et les masques, je ne pourrais savoir si un fou furieux veut me blesser, me tuer. Et, n’oublions pas, 70-90% du travail habituel des policier consiste à aider des personnes en difficulté, ayant des problèmes de santé mentale, vivant de la violence conjugale, manquant de compétence dans l’éducation de leurs enfants, à pacifier des conflits en voisin, bref, presque tout sauf faire de la répression.

C’est ce que je perçois de la réalité policière, et je crois qu’il est grand temps que le respect se rétablisse. La police est là pour maintenir l’ordre dans la population, « servir et protéger », rien de plus, rien de moins. Et tout le monde devrait les respecter et être fiers d’avoir droit à un corps policier aussi tolérant et ouvert. Dans plusieurs autres pays, jamais la police n’aurait toléré autant d’écarts.

https://www.facebook.com/notes/st%C3%A9phane-sylvain/etre-policier-au-spvm-en-avril-2012-silence-peur-et-fatigue/10150691598006120

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Une conductrice dont la voiture immobilisée sur la rue de Bleury a été prise d'assaut a dû s'enfuir à pied.

[irony]C'est surement des agents perturbateurs.[/irony]

(Notez que je suis conscient que des agents perturbateurs, ça existe et c'est possible qu'il y en ait. Cependant, ce que j'entends ses temps-ci, c'est que les gens ne parlent que d'agents perturbateurs et négligent le fait que, peut-être, outre des groupes radicaux, que certains d'entre eux peuvent dépasser les bornes. Le syndrôme de la tête dans le sable, quoi!)

Je te le confirme que des agents perturbateurs, il y en a, tu peux cesser de te poser la question dès maintenant. Pour ce qui est de "ces temps-ci on ne parle que des trouble fete..." Ca sera jamais pire que tout ceux qui blâme encore l'intégralité du mouvement étudiant pour les vitres petées ou les briques sur le metro.

Mais ca va de soit, qu'il y a sans doute des gens qui, sans etre des radicaux, donne dans le vandalisme ou la violence parce qu'ils sont à bout

Etre policier au SPVM en avril 2012 : Silence, peur et fatigue

Dans le conflit étudiant, on esquive souvent le vécu des policiers, si ce n’est pour dénoncer avec éclat l’utilisation de la force ou parler de leurs heures supplémentaires. En étant proche de l’un d’entre eux et en travaillant de façon régulière avec des policiers du SPVM, je me rends compte à quel point ils sont incompris, mal jugés, méprisés dans leur travail.

Je me demande bien comment je me sentirais si un de mes collègues avait une ecchymose tout le long de la jambe, après avoir reçu un bloc d’asphalte. Si je m’étais fait lancer des balles de billard, des roches, si je m’étais fait lancer les pires insultes, vilipender par les médias, vandaliser ma voiture de travail, portant l’effigie du service que je serais habituellement si fier de servir. Si l’édifice dans lequel je travaille se faisait briser ses vitres, si on dépeçait le symbole de ce que je représente, sans que j’aie droit à la réplique.

Si je faisais 20 à 30 heures supplémentaires par semaine, pas des heures à jaser avec mes collègues, travailler un peu et naviguer sur internet, non, 20 à 30 heures à avoir peur, à me faire coincer entre deux groupes de manifestants dans le métro, à me faire huer dès que je me présente dans un attroupement, à recevoir une litanie de préjugés et d’idées préconçues sur l’idéologie que je prône (et que je ne peux partager), à me faire identifier comme étant un clone ou un représentant du gouvernement en place.

Si je n’avais pas le droit d’exprimer mon opinion, en raison de la neutralité et objectivité exigée de la part des policiers. Si je devais, malgré tout, revêtir mon uniforme, tenter de me motiver par la solidarité avec mes pairs, en voir un se faire blesser presque chaque jour, un autre se faire critiquer ou démolir par des images vidéos. Risquer de me faire filmer en tout temps, n’avoir aucun droit à l’erreur, la moindre soit-elle.

Avoir peur. Car il y en a, des personnes en difficulté et des personnes ayant un lourd passé judiciaire, dans les rues de Montréal. Elles se faufilent parmi les manifestants et derrière les cagoules et les masques, je ne pourrais savoir si un fou furieux veut me blesser, me tuer. Et, n’oublions pas, 70-90% du travail habituel des policier consiste à aider des personnes en difficulté, ayant des problèmes de santé mentale, vivant de la violence conjugale, manquant de compétence dans l’éducation de leurs enfants, à pacifier des conflits en voisin, bref, presque tout sauf faire de la répression.

C’est ce que je perçois de la réalité policière, et je crois qu’il est grand temps que le respect se rétablisse. La police est là pour maintenir l’ordre dans la population, « servir et protéger », rien de plus, rien de moins. Et tout le monde devrait les respecter et être fiers d’avoir droit à un corps policier aussi tolérant et ouvert. Dans plusieurs autres pays, jamais la police n’aurait toléré autant d’écarts.

https://www.facebook.com/notes/st%C3%A9phane-sylvain/etre-policier-au-spvm-en-avril-2012-silence-peur-et-fatigue/10150691598006120

Les policiers sont des être humains faillibles comme les manifestants. La vague de répression lancée par le gouvernement épuise tout le monde. CE N'EST CLAIREMENT PAS UNE SUBSTITUT EFFICACE AU DIALOGUE. Le gouvernement Charest porte le blâme pour avoir au pire ignoré la crise pendant plus de 6 semaines et au mieux inviter les étudiants à négotier pour mieux les insulter et leur mettre la faute sur le dos. C'est un gachi spectaculaire... et de se servir des mauvaises tournures de la crise pour se faire réélire? C'est le comble.

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Le policier a peur ?

Peur ?

Les manifestants québécois sont parmi les plus dociles et les plus sages du monde ! Tellement dociles qu'ils préfèrent s'en prendre à des objets que des humains. Sauf quand il s'agit de gens qui, justement, s'en prennent à des objets; les autres manifestants lui sautent au cou. Mais le policier est très loin d'être menacé ou de quoi. Il est insulté, détesté, mais Ô combien respecté dans sa fonction d'Ordre et d'Autorité.

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Le policier a peur ?

Peur ?

Les manifestants québécois sont parmi les plus dociles et les plus sages du monde ! Tellement dociles qu'ils préfèrent s'en prendre à des objets que des humains. Sauf quand il s'agit de gens qui, justement, s'en prennent à des objets; les autres manifestants lui sautent au cou. Mais le policier est très loin d'être menacé ou de quoi. Il est insulté, détesté, mais Ô combien respecté dans sa fonction d'Ordre et d'Autorité.

Et les policiers Québécois sont parmi les plus tolérants et dociles au monde. S'en prendre à des objets c'est pas plus légal que de s'en prendre à des humains et c'est le travail des policiers de protéger le matériel des payeurs de taxes.

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