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La hausse des frais de scolarité universitaires


Pour des hausses rétroactives  

112 membres ont voté

  1. 1. Voulez-vous que la hausse des frais de session soient rétroactives

    • Oui, que ceux qui ont profité du gel passé payent aussi.
    • Non, je suis droitiste: faisons payer les autres
    • Haussons les impôts à la place
    • Arrêtons le gaspillage: ça va suffire


Déchet(s) recommandé(s)

FEUQ ET FECQ doute que cette offre ramenra les étudiants sur les bancs de classe mais ils promettent tout de même d'analyser l'offre.

De son côté, la CLASSE va réagir sous peu à cette annonce du gouvernement.

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Il y a anguille sous roche!

325$ sur 5 ans = 1625$

254$ sur 7 ans = 1778$

Uh oh!

Et criss que JC et LB sont manipulateur de la population dans leurs propos.

Si t'as lu l'annonce du gouvernement (j'en doute fort), le montant a été indexé pour les 2 années additionnelles. Le taux actuel d'inflation au Canada est autour de 2%. Le coût actuel d'une année universitaire est de 2160. Après la hausse de 325 x 5 = 1625, t'obtient 3793. Si t'indexe le nouveau montant (après 5 ans) à 2%, ça devient 3946, ce qui correspond à la nouvelle offre (2168+254x7 = 3946).

Magie!

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Avec notre amie «l'indexation» la hausse devient plus élevée au final. Je... What?

Montréal va brûler. Pour vrai, ça va finir par péter avec des propositions absurdes qui ne règlent rien comme ça. (Sans compter tout le bullshittage qui sort des bouches de Charest et Beauchamp... dire que les associations étudiantes ont pas posé de geste et le gouvernement oui... C'est pas justement les gestes posés par les étudiants qui vous font faire des propositions? Connerie.)

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C'est pas 1778/7, donc 254$ par année? Moins le crédit d'impôt, ça revient à 177$ par année. Avant c'était 1625/5, donc 325$ par an. Moins le crédit, c'était un montant que j'ai oublié, mais certainement plus cher que ce qu'on a présentement.

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Charest ne peut-il pas simplement «repousser» la hausse d'un an, le temps de laisser tomber la poussière et que tous les partis négocient la tête froide? C'est si compliqué? Parce que là, ce n'est pas près de finir.

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Il ne veut rien savoir de repousser ça et il l'avait dit il n'y a pas si longtemps. Ça s'enligne pour devenir un monstre de taille colossale ce qu'ils sont en train de créer avec leurs propositions et ils savaient pertinemment que ce que ça allait donner.

Je ne crains que nous n'ayons moins à craindre des manifestants que du ras-le-bol de la population face aux étudiants justement. J'espère me tromper en pensant que ça risque de mal finir cet histoire là, mais à entendre et lire les commentaires de certaines personnes ça ne donne pas une bonne impression.

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(modifié)

Les gauchistes sont prêt à tout protéger leurs acquis !

Un poids trop lourd pour sept des 11 signataires

Des 11 signataires de l'injonction contre l'Université de Sherbrooke pour que les cours reprennent, sept se sont retirés. Menaces, critiques, messages haineux, la pression est devenue très forte.

«Plusieurs personnes ne me parlent plus, a-t-elle dit. Plusieurs se sont laissé aller sur les réseaux sociaux, qui ont manifesté de la haine à notre endroit. C'est vraiment difficile à porter.»

Son geste, Amélie estime le payer cher. Des amitiés y sont passées, un déménagement s'est même imposé. «Faire valoir nos droits contre la majorité de nos collègues, ça a un prix», a-t-elle dit.

Philippe et Yannick croient en leur cause, mais craignent pour leur sécurité. À la dernière assemblée générale de l'AGEFLESH, un comité Bombe a été proposé, puis rejeté. «Il faut passer outre ça, sinon on ne dormira plus», a confié Yannick.

«J'ai un collègue qui a eu du vandalisme chez lui, a raconté Philippe. Ils ont mis de la peinture sur son appartement, sur ses marches, sur son auto. Je ne tiens pas à ce que ça arrive ici.»

#

...

LOL

Un «garde du corps» pour un écolier intimidé

20120419-165531-g.jpg

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...

bodyguards-training.jpg

Modifié par Bernhard Bernhardt
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Et ce sera bien sûr la faute des manifestants. C'est toujours leur faute. Mais effectivement, on dirait qu'on attend que quelqu'un meure pour faire «okay, repousser la décision ou engager un médiateur c'est peut-être pas si fou.»

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Charest ne peut-il pas simplement «repousser» la hausse d'un an, le temps de laisser tomber la poussière et que tous les partis négocient la tête froide? C'est si compliqué? Parce que là, ce n'est pas près de finir.

Non parce qu'il veut montrer avant les élections (qui auront lieu au maximum à l'automne) qu'il est capable de ne pas plier face à des revendications qui déplaisent traditionnellement à son électorat.

Jean Charest pense pas à l'avenir du Québec en ce moment, c'est pas ça qui motive ses actions, c'est vraiment le capital politique en vue de la prochaine élection.

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