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La hausse des frais de scolarité universitaires


Pour des hausses rétroactives  

112 membres ont voté

  1. 1. Voulez-vous que la hausse des frais de session soient rétroactives

    • Oui, que ceux qui ont profité du gel passé payent aussi.
    • Non, je suis droitiste: faisons payer les autres
    • Haussons les impôts à la place
    • Arrêtons le gaspillage: ça va suffire


Déchet(s) recommandé(s)

Che est mort depuis longtemps. Y'a que des naïfs et des ordures comme toi qui en parlent encore.

Get over it.

Les personnages mythiques sont immortels. Ce sont des icônes, des références.

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Voici notre arrivé sur Ste-Catherine. La fin manque un peu d'action, parce que juste avant que les policiers nous chargent à nouveau, mon ami à appelé sur mon cell et ça à coupé mon vidéo.

http://youtu.be/z4il5Stfwoo

Et pour le plaisir de tous, 2-3 minutes après le premier vidéo, je choke sur lacrymogène, c'était ben le fun.

http://youtu.be/3LivcBgYqwQ

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Les idées, ça meurt pas. La preuve : Oswald flirt encore avec le fascisme.

Mourir pour des idées, l’idée est excellente

Moi j’ai failli mourir de ne l’avoir pas eu

Car tous ceux qui l’avaient, multitude accablante

En hurlant à la mort me sont tombés dessus

Ils ont su me convaincre et ma muse insolente

Abjurant ses erreurs, se rallie à leur foi

Avec un soupçon de réserve toutefois

Mourrons pour des idées, d’accord, mais de mort lente,

D’accord, mais de mort lente

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Bonus: CUTV Montréal. Oui oui, ceux-là, avec Laith Marouf, leur caméraman. On l'entend TRÈS souvent dans les vidéos. Il s'était fait arrêté dans une manif le 4 avril dernier, vous vous en souviendrez peut-être. http://montreal.openfile.ca/blog/curator-blog/curated-news/2012/cutv-cameraman-arrested-while-filming-student-protest

Après quelques recherches pour le plaisir, je me rends compte que c'est un militant de longue date. Le Devoir en 2001.

Les Actualités, mardi 27 novembre 2001, p. A4

Un étudiant de Concordia porte plainte pour racisme

Dufour, Valérie

Laith Marouf a célébré son 24e anniversaire le visage triste hier. Assis derrière une petite table pliante dans le bruyant hall du 1455, boulevard de Maisonneuve, cet ancien étudiant de l'université Concordia a annoncé qu'il porterait plainte à la Commission québécoise des droits de la personne contre les administrateurs de Concordia, le B'nai Brith Canada et les journaux The Suburban, The Canadian Jewish News et The Jewish Tribune

M. Marouf estime avoir été victime de racisme et de discrimination depuis son élection à la Concordia Student Union (CSU) en avril dernier. "On a accusé plusieurs fois les Arabes d'avoir infiltré l'association", souligne l'actuel vice-président des affaires internes de la CSU. "Je suis Arabe, je suis musulman, je suis Palestinien et je ne l'ai jamais caché. Je ne comprends pas qu'on parle d'infiltration." De plus, il souligne qu'il est le seul Arabe parmi les six membres du comité exécutif.

Les membres de l'actuel exécutif ont été élus sous la bannière Alternative for Campus Community Empowerment and Student Solidarity (ACCESS). Leur passage au pouvoir a été marqué par la controverse si bien qu'un nouveau scrutin se tiendra le 12 décembre.

En juillet dernier, Laith Marouf a été surpris à deux reprises en train d'inscrire des graffiti à la peinture sur la propriété de l'université Concordia. L'un de ces incidents a donné lieu à une prise de bec entre les agents de sécurité et l'étudiant. Aucune accusation criminelle n'a cependant été portée contre Laith Marouf, ce dernier jouissant de l'immunité diplomatique parce que son père travaille pour un organisme international.

Il faut également souligner qu'au début du moins d'octobre l'agenda distribué par la CSU a été dénoncé par le B'nai Brith et par des étudiants de Concordia. Intitulé Uprising [soulèvement], cet agenda contient des textes revendicateurs dénonçant la mondialisation, le capitalisme, le sexisme et le racisme. On y fait également la promotion des droits des gais, des pauvres et des handicapés. Et on y prône la désobéissance civile comme moyen de reconnaissance.

Le parcours du vice-président aux affaires internes a donc été marqué par une foule d'incidents qui font qu'aujourd'hui il ne peut plus mettre le pied sur le campus. Laith Marouf est convaincu qu'il y a eu campagne de dénigrement à son endroit. "Dès le premier jour de mon élection j'ai dû me battre contre le racisme", soutient M. Marouf. "Il y a beaucoup de bigoterie et de racisme qui se cache dans le placard ici."

C'est dans l'illégalité (mais à la vue de tous) qu'il a tenu sa conférence de presse hier après-midi à l'université Concordia. Il a d'ailleurs été escorté hors de l'édifice par une vingtaine de gardes de sécurité et de policiers de la CUM.

De dire que CUTV offre une alternative remarquable comme le disent les Justiciers Masqués est vraisemblablement faux à mon sens.

Un autre, pour la forme, plus crunchy.

Concordia student handbook may be 'blueprint' for terrorists: Jewish group

Brian Daly

The Canadian Press

MONTREAL (CP) - A student handbook distributed at Concordia University may be a "blueprint" for terrorist groups and may be anti-Semitic, says a Jewish advocacy group.

B'nai Brith Canada said Monday that it has asked Montreal police and the RCMP to investigate the contents of the annual handbook, entitled Uprising.

The booklet opens with a poem about the intefadeh, the Palestinian uprising in Israeli-occupied territories. An excerpt reads:

"Crush capitalism. Throw them in the rivers to wash into the oceans and wither along the shoreline like a grain of sand."

Another passage says the North American media are largely controlled by Zionists. Zionism is the movement for the establishment and development of the state of Israel.

B'nai Brith president Rochelle Wilner urged police to investigate any links between the handbook and any future acts of terrorism. She made several references to the Sept. 11 terrorist attacks on New York and Washington, D.C.

"We cannot ever again take the risk of becoming complacent and overlooking what could be serious danger signs that at the very least are a threat to Canadian civil society," Wilner told a news conference.

B'nai Brith also took issue with drawings and articles in the booklet which, among other things, describes how to defy police.

One caricature depicts several fighter jets poised to strike a boardroom full of executives.

Another passage refers to July 1 as "Anti-Canada Day" and suggests that readers "burn the flag."

Student union spokesman David Bermans said it's ridiculous for B'nai Brith to suggest a terrorist connection.

"We have no contact with any terrorist groups," Bermans said. "It really reflects poorly on the people that made these accusations because they clearly haven't done their homework."

Bermans said that the booklet does not advocate violence, but does criticize several Canadian government policies on race, free trade and the environment.

The student union has courted controversy this year for its pro-Palestinian stance and its anti-establishment politics.

Wilner said that the handbook crosses the line between free speech and insurrection.

"The booklet smacks much more of a document that police would have uncovered in the execution of search warrant on the premises of some fringe, radical organization," she said.

Frank Dimant, B'nai Brith executive vice-president, said the contents of the booklet indicate that the student union has been taken over by militants.

"Is this the blueprint for Osama bin Laden's youth program in North America?" Dimant asked, referring to the Saudi Arabian millionaire who's the No. 1 suspect in the terrorist attacks.

"We must not be complacent today . . this issue obviously has national and international implications."

Thousands of copies of the student handbook were made available on the Concordia campus in September. Much of the book contains innocuous information such as discount coupons, campus information and a calendar for the school year.

But the political views of the student union are evident throughout. One essay says that "the majority of the Canadian media are owned by two Zionists," media mogul Conrad Black and CanWest Global CEO Izzy Asper.

The essay, entitled Arabophobia, also blasts what the author calls "hate-mongering" against the student union by Montreal's "Israeli lobby."

The essay was written by Laith Marouf, a student union executive who was barred from campus this summer following a scuffle with a security guard.

University spokesman Dennis Murphy said that while many of the passages in the handbook were in bad taste, the university's hands are tied.

"Concordia University has no authority over the student union just like you'd have no authority over any labour union," Murphy said.

The student union also is pressuring the university to cease all dealings with several large corporations, including BCE and Nortel.

The group opposes the companies' business dealings in Colombia, a country where several union leaders have been killed in recent years.

Billy Mandelos, who represents 5,000 business and administration students, said the student union executive must be replaced.

"They're basically using their position as a political platform," said Mandelos, who is circulating a petition to have the student executive ousted in a recall election.

© 2001 The Canadian Press. All rights reserved.

Je pense d'ailleurs que c'est lui qui se fait poivrer dans face à 2H10 du vidéo de CUTV.

Je sais, les textes datent de 10 ans. Il peut avoir changé et tout. Mais quand même, permettez-moi de douter de "l'intégrité journalistique" que plusieurs prêtent à CUTV... Ça remet quand même en perspective leur crédibilité, tout comme celle de Québécor par exemple dans le conflit. Laith Marouf a par contre déjà organisé plus récemment des manifs où aucun incident ne s'est déroulé!

Général, dimanche 6 juin 2010, p. 22

Rassemblements à Montréal et Toronto

Les manifestants dénoncent Israël

Presse Canadienne

Montréal - Des manifestations ont eu lieu à Montréal, à Toronto et ailleurs dans le monde, samedi, pour dénoncer l'intervention de l'armée israélienne contre un navire qui transportait de l'aide humanitaire en direction de Gaza, lundi dernier.

À Montréal, environ 500 personnes ont participé à l'événement organisé par la Coalition élargie pour la paix et la justice en Palestine. Les manifestants ont réclamé la levée de l'embargo sur la bande de Gaza, qualifié "d'immoral et d'inhumain".

Les manifestants ont défilé au centre-ville, brandissant des drapeaux turcs et palestiniens. Ils ont entonné des chansons appelant à la libération de la Palestine et au boycott d'Israël.

Laith Marouf, l'un des organisateurs de la marche, affirme qu'il est temps que le gouvernement conservateur cesse d'accepter des ordres émanant du premier ministre israélien, Benjamin Néthanyahou.

"La position du gouvernement canadien a été très dérangeante, estime le militant pro-palestinien de longue date. C'est dommage que le gouvernement ne défende pas le droit international."

Une attitude qui, selon M. Marouf, devrait perdurer. "Il semble que les Conservateurs ont une idéologie très christano-sioniste", a-t-il dit.

À l'avant du cortège, Arayi Sherifa, 53 ans, s'est exclamée: "Nous avons honte d'être Canadiens par la faute de Harper. On dépouille les Palestiniens de leurs droits pour aider les Israéliens."

Les activistes en ont profité pour recueillir des fonds au profit du Free Gaza Movement.

De plus, ils espèrent mettre sur pied une flotille regroupant des militants québécois et canadiens et qui pourrait prendre la mer d'ici quelques mois.

Après avoir défilé dans les rues du centre-ville, les manifestants se sont dirigés vers le Vieux-Port de Montréal, où un campement symbolique de réfugiés devait être érigé.

Une manifestation similaire a eu lieu à Toronto. Les protestataires se sont massés à l'extérieur du consulat israélien alors qu'un groupe plus restreint de partisans d'Israël se trouvait de l'autre côté de la rue.

La tension était palpable d'un côté comme de l'autre. Les policiers, certains à dos de cheval, se sont présentés sur place afin de superviser l'événement.

Les manifestants pro-palestiniens ont exprimé leur colère face aux événements survenus lundi dernier. "En tant qu'activiste des droits humains et en tant qu'activiste politique, il est de mon devoir de me lever et de dire qu'assez, c'est assez", a lancé Ehssan Tehrani. Ce qui est arrivé, selon lui, est "déplorable" puisque "les gens qui étaient sur les flottilles, des activistes et des humanitaires, ne voulaient qu'apporter de l'aide" aux Gazaouis.

Des manifestations semblables ont également eu lieu aujourd'hui à Halifax, Calgary, Edmonton et Vancouver.

À Paris, environ 5000 personnes ont manifesté dans les rues.

De son côté, le Comité Québec-Israël a réagi à la manifestation par voie de communiqué. Selon lui, la Coalition pour la paix et la justice en Palestine "fait le jeu du régime islamiste de Gaza en contribuant à l'affaiblissement du camp palestinien modéré".

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Mourant!

C'est de l'humour en passant..

Commentaire impertinent :

Régina-Assumpta est à un coin de rue de chez nous et je passe souvent vers les 15h en allant faire mes courses pour me rincer l'oeil, histoire de lorgner quelques belles cuisses ennylonées d'adolescentes tight et plein d'avenir, et si je me fie au nombreuses voitures de luxes de parkées là qui attendent de les ramener, c'est du monde riches et privilégiés qui fréquentent ce collège.

ET entendre GND dire qu'il serait pour l'abolition du financement public des écoles privés lol...

S'il avait été au public, il ne serait pas porte-parole d'une organisation étudiante, je sais de quoi je parle.

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