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La hausse des frais de scolarité universitaires


Pour des hausses rétroactives  

112 membres ont voté

  1. 1. Voulez-vous que la hausse des frais de session soient rétroactives

    • Oui, que ceux qui ont profité du gel passé payent aussi.
    • Non, je suis droitiste: faisons payer les autres
    • Haussons les impôts à la place
    • Arrêtons le gaspillage: ça va suffire


Déchet(s) recommandé(s)

Quelques chiffres calculés rapidement par moi, sans fondement scientifique, mais qui me poussent à faire cette réflexion plus bas.

Environ 455 000 étudiants collégiaux et universitaires au Québec. (Sources CRÉPUQ et Fédération des Cégeps)

Environ 186 000 étudiants en grève aujourd'hui au Québec.

Donne donc 41% des étudiants en grève. Déjà, on pourrait dire que la minorité de gens concernés contre la hausse perdent leur débat. (Considérant que les grèves veulent mettre un terme à la hausse des frais de scolarité.) La démocratie aurait parlée.

CEPENDANT, de toutes ces associations en grève, combien, par associations, se font avec des AG au quorums très bas? Et à quels pourcentages des membres des assos ont voté POUR et/ou CONTRE la grève? Et ce partout. Est-ce que les chiffres pourraient monter pour les anti-hausse? J'en doute. Nous aurions peut-être donc une minorité de gens contre celle-ci, ou qui souhaitent la bloquer. Il faut toujours considérer ceux qui s'en foutent comme de l'an 40, même si c'est platte. Alors, le brouhaha médiatique serait-il causé par une minorité bien organisée? C'est une idée de même qui m'a traversé l'esprit. Parce que la seule fois où une majorité était en grève, c'était le 22 mars.

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C'est souvent une minorité qui s'oppose ou qui veut le changement. La majorité se conforme parce que c'est plus simple et moins risqué. Ca ne veut pas dire qu'ils veulent plus la hausse... ca peut simplement vouloir dire qu'ilns ne sont pas pret à risquer leur session. On a pu constater ça avec la manifestation du 22 mars.

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Environ 455 000 étudiants collégiaux et universitaires au Québec. (Sources CRÉPUQ et Fédération des Cégeps)

Environ 186 000 étudiants en grève aujourd'hui au Québec..

Les 186 000 étudiants en grève tu sors ça d'où cet approximation?

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Quelques chiffres calculés rapidement par moi, sans fondement scientifique, mais qui me poussent à faire cette réflexion plus bas.

Environ 455 000 étudiants collégiaux et universitaires au Québec. (Sources CRÉPUQ et Fédération des Cégeps)

Environ 186 000 étudiants en grève aujourd'hui au Québec.

Donne donc 41% des étudiants en grève. Déjà, on pourrait dire que la minorité de gens concernés contre la hausse perdent leur débat. (Considérant que les grèves veulent mettre un terme à la hausse des frais de scolarité.) La démocratie aurait parlée.

CEPENDANT, de toutes ces associations en grève, combien, par associations, se font avec des AG au quorums très bas? Et à quels pourcentages des membres des assos ont voté POUR et/ou CONTRE la grève? Et ce partout. Est-ce que les chiffres pourraient monter pour les anti-hausse? J'en doute. Nous aurions peut-être donc une minorité de gens contre celle-ci, ou qui souhaitent la bloquer. Il faut toujours considérer ceux qui s'en foutent comme de l'an 40, même si c'est platte. Alors, le brouhaha médiatique serait-il causé par une minorité bien organisée? C'est une idée de même qui m'a traversé l'esprit. Parce que la seule fois où une majorité était en grève, c'était le 22 mars.

De très nombreuses révolutions ont été faites par une minorité.

Dernier exemple : la guerre civile en Libye.

Je veux dire, le nombre est facultatif. On ne peut pas, tout le monde, participer à tout en même temps pour la même chose. C'est impossible. Il y a tant de facteurs et complications qui arrivent qu'on a juste pas le temps. Alors on fait avec ce qu'on peut. Certaines assos le font par référendum; d'autres par vote secret; d'autres en assemblée, etc. Les plus petites associations étudiantes sont les plus participatives; les plus grosses, les moins. Cela est normal. Très normal.

Tsé, le gouvernement libéral gouverne en ce moment avec l'appuie de 23.8% des électeurs inscrits, alors ...

Just sayin'

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La CLASSE ne veut pas négocier, elle exige.

Québec — Ne pas « négocier » mais « exiger » : tel est le mandat qu'a obtenu le quatuor de représentants de la CLASSE, une des quatre associations étudiantes à participer depuis lundi aux pourparlers de sortie de crise avec le gouvernement.

Ces représentants ont été élus parmi sept candidats le 18 février lors d'un Congrès de la Coalition large de l'association pour une solidarité syndicale étudiante (CLASSE). Jusqu'à lundi, l'organisation était considérée comme une indésirable par Québec. « Ce comité, dit de négociation, devra non pas négocier, mais exiger », arguait Philippe Lapointe dans une lettre ouverte où il défendait sa candidature en février. L'étudiant à l'UQAM est aussi responsable aux affaires académiques sur l'exécutif de la CLASSE. « Je n'aime pas négocier, je n'aime pas les fédés [fédérations étudiantes] et je n'aime pas le gouvernement », affirmait dans sa lettre Shanie Morasse, étudiante à l'UQAM aussi élue au comité. Mme Morasse y expliquait qu'elle n'aime pas ce type de réunion « dans lesquelles personne ne s'aime et que tout est faux » et où, « quand tu quittes la salle, tu as mal aux joues parce que tu as trop fait des sourires "fake"». « De toute façon, moi je n'ai pas vraiment envie de négocier, moi je veux exiger ce que le Congrès exige. »

Conformément à la structure de « démocratie directe » qui fonde la CLASSE, le comité n'a pas de marge de manoeuvre et doit se rapporter aux assemblées. « Le fait que ce comité n'a aucun pouvoir le rend vraiment cool », notait Mme Morasse. Un autre membre élu, Nicolas Lachance-Barbeau, dans sa lettre, affirmait qu'aller « s'asseoir avec les gens du ministère de l'Éducation » était « contre [ses] valeurs ». « J'ai finalement compris que c'est justement PARCE QUE c'est contre mes principes qu'on me le demande », opinait l'étudiant à l'Université de Sherbrooke avant d'ajouter : « En processus de négociation, je suis plutôt connu pour ne pas négocier. Ça tombe bien. »

L'autre élu au comité, Justin Arcand, du cégep de Valleyfield, expliquait pour sa part dans sa missive que toute négociation entre les étudiants et le gouvernement devrait se tenir « à l'extérieur » en signe de transparence, proposition que « Mme Beauchamp et ses acolytes n'accepteront sûrement pas » étant donné leur « attitude de petite-bourgeoisie et leur historique de manigance ». M. Arcand promettait aussi de lutter contre les « magouilles gouvernementales et fédérationnelles ».

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Jean Lapierre vient de commenter la situation. Mon dieu qu'il est pertinent! Il a parfaitement expliquer en quoi la ministre (et le gouvernement) s'est tirée dans le pied.

Cool story bro, tu as la télévision.

Maintenant rapportes-nous ce qui a été dit =)

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Cool story bro, tu as la télévision.

Maintenant rapportes-nous ce qui a été dit =)

Je vais te résumer ça rapidement, parce que je ne me souviens plus des termes exacts. En somme, il qualifie la réaction de la ministre de «pas très clair». D'avoir exclu la CLASSE à cause d'un site qui, il faut se le rappeler, couvre le mouvement étudiants depuis le début était peut-être réellement un prétexte. C'est certain que les deux autres associations allaient soutenir leur comparse suite à son exclusion.

Aussi, qu'il serait temps que le premier ministre s'en mêle, parce que le tout risque tôt ou tard de prendre une tournure où tous les parties en sortiront perdants.

Jean Lapierre et son point de vue sur un seul sujet...LA CRISE!

http://www.985fm.ca/audioplayer.php?mp3=131437

Merci Woot Woot.

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C'est un buffet gastronomique pour les casseurs en tout genre.

Le fait que la CLASSE exige et que la Beauchamp parle comme un robot condescendant et maternaliste démontre comment les positions sont polarisés.

Comprenez-vous que la CLASSE exige la gratuité scolaire (ce qui est impossible et le gouvernement ne peut pas plier face aux exigences d'un regroupement qui est en train de devenir presque criminel) et désire une révolution sociale et qu'il n'est pas seulement question de la hausse des droits de scolarité.

J'en suis à me dire que certains membres de la CLASSE se complaisent dans cette situation de désordre.

.. Ça ne va pas bien..nous sommes dans un cacth 22.

Tout cette histoire me fait penser à ça

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