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La hausse des frais de scolarité universitaires


Pour des hausses rétroactives  

112 membres ont voté

  1. 1. Voulez-vous que la hausse des frais de session soient rétroactives

    • Oui, que ceux qui ont profité du gel passé payent aussi.
    • Non, je suis droitiste: faisons payer les autres
    • Haussons les impôts à la place
    • Arrêtons le gaspillage: ça va suffire


Déchet(s) recommandé(s)

Pour que la position libertarienne ne soit pas ridicule, il faudrait, parmi tant d'autres prérequis, que les comportements et actions des individus n'aient pas de conséquences sur la vie des autres individus. Or, comme nous vivons en société, ce n'est pas le cas, et c'est pourquoi les individus sont très souvent concernés par les comportements d'autrui.

Le libertarien demande à autrui d'être irrationnel en faisant comme si les actions de l'individu (le libertarien) ne les affectaient pas ou ne les concernaient pas de manière négative.

En fait, le libertarien est lui même irrationnel parce que, premièrement, c'est lui-même qui ne tient pas compte des conséquences négatives des actions d'un individu sur autrui. Deuxièmement il est irrationnel puisqu'il ne propose aucune solution intelligente en cas de conflit, c'est-à-dire quand les actions d'un individus ont des conséquences négatives sur les vies d'autres individus. La seule solution qu'il à proposer, et qui n'est tout simplement pas une solution, c'est "laissez-le faire", ce qui reviens concrètement à "laissez-vous faire". Et sa justification est la suivante : "Si vous l'empêchez de faire ce qu'il veut, si vous le contraignez, alors vous êtes des gaugauchisses qui brimez les libertés individuelles. Les gaugauchisses sont contre la liberté et n'y comprennent rien".

Et c'est bien amusant de lire des chevaliers de la libÂrté tels que Forb soutenir que tous les gauchistes ne savent pas ce qu'est la liberté, alors qu'eux mêmes sont trop stupides pour comprendre que les actions d'un individu peuvent avoir des conséquences négatives sur les vies d'autres individus, et que parmi toutes ces conséquences là figurent une perte de libertés individuelles, et que c'est un problème qu'ils ne savent pas résoudre.

Les libertariens sont fondamentalement trop stupides pour avoir quoique ce soit de pertinent à dire dans un débat politique. Si les scientifiques étaient atomistes d'une manière aussi extrême que le sont les libertariens, ils n'auraient jamais découvert la chimie, cette science non molle qui ne considère pas que les atomes sont des entités agissant isolément comme si elles n'avaient aucun impact les unes sur les autres.

À peu près tous les gauchistes avec qui j'ai discuté comprennent ce que ça implique de vivre en société, et comprennent par conséquent qu'on ne peut pas faire comme si les actions des individus n'avaient pas de conséquences sur les vies d'autrui. Ils comprennent que dans de nombreuses situations où un individu fait une action X ou se comporte de manière X, d'autres individus sont affectés de manière négative et que ces conséquences négatives là incluent une perte de libertés individuelles. Ils comprennent par conséquent que se laisser faire, comme le propose le libertarien, enlève en somme plus de libertés de de bien-être aux gens, que de contraindre l'individu de marde qui se crisse des autres. Le libertarien est trop "short minded" pour comprendre ça, et c'est pourquoi il joue au chevalier de la liberté.

Et pour éviter d'éventuels niaisages, je vais anticiper une éventuelle critique, et y répondre d'avance. Et j'espère qu'on aura pas à revenir sur ce point.

Maintenant que c'est dit, crissez moi patience avec votre braillage. Sim4444 devrait se sentir concerné puisqu'il est l'un ceux qui me fait le plus souvent entendre ce genre de pleurnichage là.

Bien sûr que les comportements individuelle ont des conséquences sur la collectivité. Sincèrement, je ne pense pas que les libertariens affirment le contraire. Par exemple, je pense que beaucoup de libertarien croît à l'efficacité du libre marché, donc il croît à l'offre et la demande, donc il croît que l'action d'un (ou plusieurs) individu peut avoir une influence sur la collectivité par le biais de ajustement du prix d'un bien ou de ça quantité produite.

Il s'agît plutôt de définir des droits fondamentaux et de ne pas laisser une forme de pouvoir(association, état,...) les transgressé dans ces intérêts. Le fait que l'utilisation d'un bien est une influence en dehors de l'individu qui le possède n'empêche pas la possibilité qu'il puisse l'utiliser selon sa volonté en respect des autres droit fondamentaux.

Finalement, je rajouterai qu'on peut croire que le laisser faire est la moins pire méthode pour amélioré le bien-être d'une population. En effet, il n'est pas prouvé que la somme des effets du laisser faire sur la collectivité est négative comme tu semble le dire.

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(modifié)

C'est le genre d'article qui risque de disparaître de Cyberpresse rapidement:

L'agente 728 a déjà été condamnée en déontologie policière

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Matricule 728, cette policière du SPVM qui a suscité une grande controverse en poivrant des manifestants qui l'insultaient sans la menacer physiquement, a déjà été condamnée en déontologie policière.L'agente matricule 728, Stéfanie Trudeau, a été condamnée à une suspension de six jours ouvrables en 2001, pour des incidents survenus à l'hôpital Ste-Justine, en 1996 (lisez le jugement). Le Comité de déontologie policière avait jugé qu'elle avait eu une attitude agressive et obtuse envers certains membres du personnel de l'hôpital Sainte-Justine, alors qu'elle enquêtait à cet endroit, le 14 juillet 1996, suite à une plainte de viol sur une mineure. D'ailleurs, le Comité avait aussi estimé que, lors du même incident, Mme Trudeau n'avait pas préservé la confidentialité qui se rattachait à ce type d'enquête.Mme Trudeau en avait appelé de sa condamnation à la Cour du Québec, mais cette instance a maintenu la décision. «L'appelante a manqué de jugement et de discernement en adoptant une attitude agressive et obtuse envers le personnel de l'hôpital Sainte-Justine. Elle ne respectait en aucune façon l'autorité du personnel en fonction et a nui à la tranquillité des lieux. Elle a eu recours à son statut de policier afin d'imposer une autorité dans une situation qui ne la justifiait en aucune façon», peut-on lire dans la décision de la Cour du Québec.Mme Trudeau et une collègue s'étaient d'abord présentées au guichet de renseignements de l'hôpital vers 23h10, en demandant: «C'est qui le plaignant... Où est le plaignant?» Elles se sont ensuite rendues au quatrième étage de l'hôpital, et se sont entretenues avec le plaignant, un certain M. Joseph. Comme le ton de voix était fort, des infirmières ont demandé aux policières d'aller faire leur enquête en bas, étant donné que les jeunes patientes avaient besoin de repos. «Je m'en foute qui vous êtes, j'ai un travail à faire, j'ai une enquête à compléter», avait répondu Mme Trudeau. Plus tard, elle a aussi lancé à une autre infirmière: «Y'a personne qui va m'empêcher de faire mon travail, j'enquête sur une agression sexuelle.» Au même moment, la nièce du plaignant était sortie d'une chambre, et s'était assise par terre en pleurant. La jeune fille de 14 ans, enceinte, devait être au repos pour elle et le bébé, signale-t-on dans le jugement de la Cour du Québec.Une infirmière a témoigné à l'effet que la policière Trudeau était agressive et intimidante et qu'elle ne se préoccupait aucunement de l'état de santé de la patiente et de la confidentialité qui devait lui être reconnue. Les autres patientes pouvaient entendre l'histoire de cette adolescente.Il est à noter qu'une autre plainte a été portée dans le passé contre la policière Trudeau, pour un incident survenu en 1998. Mais au terme de l'audition, Mme Trudeau et son collègue avaient été blanchis.Mme Trudeau et une autre collègue ont par ailleurs poursuivi à la Cour des petites créances, un homme qui avait porté plainte en déontologie policière contre elles. L'affaire avait été entendue, mais les policières avaient été exonérées. Les policières ont par la suite réclamé chacune 7000$ au plaignant, au motif que celui-ci avait agi avec malice et mauvaise foi, dans le but de leur nuire. Mais la Cour du Québec, division des petites créances, a rejeté leurs recours, estimant que la preuve ne démontrait pas de mauvaise foi ou de malice.YouTubeRappelons que l'incident impliquant la policière Matricule 728 est survenu le dimanche 20 mai. Elle a été filmée en train d'asperger copieusement des manifestations. La vidéo s'est retrouvée sur YouTube et a été visionnée plus de 400 000 fois. Le SPVM a décidé de retirer Matricule 728 des manifestations.

&

Modifié par Bernhard Bernhardt
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Reste qu'il faut supposer que l'éducation est le bien collectif de l'ensemble des étudiants d'un certain programme ou d'un certain CÉGEP et non un bien individuelle.

(exemple moyen douteux) Au lieu de ce partager une tarte chaque individus c'est acheté une tarte et les 5 autre individus veulent obliger les trois autre à partager, car ils ont décidé de partager, or les trois individus ont le droit de disposer de leur tarte à leur guise puisqu'elle leur appartienne.

Il me semble que le problème soit là, il n'est pas claire pour tout le monde s'il s'agit de l'un ou de l'autre.( Vision des étudiants pour la grève vs Vision des juges qui ont soumis des injonctions). Alors, si ont suppose que c'est un bien individuelle la position libertarienne n'est pas ridicule.

Je pense qu'il y a deux choses a prendre en compte ici:

-D'abord, une certaine réalité des faits, qui impose qu'un étudiant doive partager l'enseignement d'un prof, la salle de classe, etc. avec d'autres étudiants. Personne ne peut nier cette réalité, car elle découle simplement du fait qu'il y a plus d'élèves que de prof. et de classes. Cette réalité des faits impose une interaction entre les décisions des étudiants qui ressemble bien plus a mon analogie qu'a la tienne: si un étudiant décide de retarder la tenue des séances de cours en y allant pas(si un copain décide de repousser l'heure du festin), il va manquer des cours(il n'aura pas de part de tarte) a moins que les autres décident de le suivre(a moins que les autres décident conjointement avec lui de repousser l'heure du festin). La question devient alors: a partir de combien d'étudiants(de copains) est-il légitime de faire cesser la tenue des cours(de repousser l'heure du repas). Est-ce qu'il faut qu'absolument tout le monde s'entende sur la cessation des cours(sur l'heure du repas), ou est-il suffisant qu'une majorité d'étudiants veuillent le faire(majorité de copains veuillent repousser l'heure du repas), ou s'attendent a ce que ce soit le cas? Je pense que la question ''bien privé vs bien public'' se superpose a cette dichotomie sans en changer la nature(même si elle a évidemment des conséquences pour celle-ci). En théorie, on pourrait avoir une éducation conçue comme une espèce de somme de contrats individuels entre le prof et chaque étudiant, mais les étudiants, entre eux, devraient toujours décider d'une attitude a adopter vis-a-vis de cette dichotomie, via des arrangements privés contraignants. Ces arrangements pourraient d'ailleurs bien prendre la forme d'associations étudiantes, seulement ils pourraient aussi avoir pour résultat de donner beaucoup trop de pouvoir a un étudiant récalcitrant qui voudrait absolument que ses cours se tiennent hic et nunc.

-Ensuite, une certaine réalité des pratiques qui, je crois, est plus conforme aussi a mon analogie: si on reprend mon analogie, on pourrait soutenir qu'un juge puisse imposer un découpage égal de la tarte pour régler le litige. Donner aux 10 copains leurs parts de tarte et les 8 qui veulent partager s'arrangeront bien avec 8 parts de tarte, même si cela implique une plus petite part de tarte pour le 11ième copain. De la même façon on pourrait imposer une vision de l'éducation qui se résume a un contrat entre l'étudiant et son prof(chaque étudiant a ''sa part'' de tarte), le prof étant tenu de donner ses cours a horaire fixe a l'étudiant, qu'il soit la ou pas. Ce n'est absolument pas ce qui se passe en pratique: le prof est engagé par un établissement pour donner un cours a une CLASSE, a laquelle des étudiants s'inscrivent. L'acte de s'inscrire a un cours n'est pas, dans les pratiques courantes, confondu avec le fait de passer un contrat avec le prof mais de se greffer a un contrat collectif entre un prof et ses étudiants. Ce contrat implique souvent(toujours?) des décisions prises a majorité de la part des étudiants(plan de cours, etc.). Le contrat de travail du prof avec l'établissement implique la possibilité de reporter une séance de cours pour accomoder les gens qui s'y inscrivent. Ce sont les pratiques qui se sont établies pour balancer les choix des uns et des autres, les contraintes des uns et des autres. Donc si tu me dis: oui, mais on peut changer les pratiques, je dis: ''évidemment, mais ça n'a aucun rapport avec la liberté individuelle. Un juge qui aurait tranché en faveur d'un partage égal de la tarte aux détriments d'un report de l'heure du repas n'aurait PAS tranché en faveur de la ''liberté individuelle'', il aurait tout simplement choisi les deux copains qui ne veulent pas partager la tarte aux détriments des 8 autres qui voudraient le faire, même s'il était coutume normalement de le faire et même si, normalement, la tarte était conçue comme étant donnée en partage a tout le monde(par contrat collectif). Le libertarianisme s'apparente trop souvent a ce juge qui voudrait charcuter des pratiques courantes, pour les remplacer par d'autres qui ne sont pas plus libertaires, qui impliquent souvent moins de liberté d'agir, qui impliquent un découpage qui avantage certains(souvent la minorité) et nuit a d'autres(souvent la majorité). Ils ont beau se gargariser avec leurs belles phrases de liberté, personne n'est dupe sur le genre de projet de société qu'ils proposent, sauf eux.

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http://www.youtube.com/watch?v=G_y6lH6n8mk

Inb4 : « c'est de sa faute ! » « elle avait juste pas à lui crier après » « elle avait qu'à rester chez elle » « ouais mais elle avait un gun » « crisse de sauvage, s'en prendre à l'honnête policier, elle l'a mérité ! » « ouais mais on voit rien là, c'est relatif. »

Critique à apporter : vos câlisses de « HEY ! HEEEEEEEEEY » et vos caméras n'aident en aucun crisse de cas la fille qui se fait arrêter. Bande de pourris qui voient dans cette situation un spectacle.

Je vais pouvoir apporter une précision à ce vidéo d'ici 48heures. La fille en question est une amie à moi et je vais être en mesure d'avoir sa version des faits.

Elle aurait été accusée de voie de fait (duuuh)

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Je pense qu'il y a deux choses a prendre en compte ici:

-D'abord, une certaine réalité des faits, qui impose qu'un étudiant doive partager l'enseignement d'un prof, la salle de classe, etc. avec d'autres étudiants. Personne ne peut nier cette réalité, car elle découle simplement du fait qu'il y a plus d'élèves que de prof. et de classes. Cette réalité des faits impose une interaction entre les décisions des étudiants qui ressemble bien plus a mon analogie qu'a la tienne: si un étudiant décide de retarder la tenue des séances de cours en y allant pas(si un copain décide de repousser l'heure du festin), il va manquer des cours(il n'aura pas de part de tarte) a moins que les autres décident de le suivre(a moins que les autres décident conjointement avec lui de repousser l'heure du festin). La question devient alors: a partir de combien d'étudiants(de copains) est-il légitime de faire cesser la tenue des cours(de repousser l'heure du repas). Est-ce qu'il faut qu'absolument tout le monde s'entende sur la cessation des cours(sur l'heure du repas), ou est-il suffisant qu'une majorité d'étudiants veuillent le faire(majorité de copains veuillent repousser l'heure du repas), ou s'attendent a ce que ce soit le cas? Je pense que la question ''bien privé vs bien public'' se superpose a cette dichotomie sans en changer la nature(même si elle a évidemment des conséquences pour celle-ci). En théorie, on pourrait avoir une éducation conçue comme une espèce de somme de contrats individuels entre le prof et chaque étudiant, mais les étudiants, entre eux, devraient toujours décider d'une attitude a adopter vis-a-vis de cette dichotomie, via des arrangements privés contraignants. Ces arrangements pourraient d'ailleurs bien prendre la forme d'associations étudiantes, seulement ils pourraient aussi avoir pour résultat de donner beaucoup trop de pouvoir a un étudiant récalcitrant qui voudrait absolument que ses cours se tiennent hic et nunc.

-Ensuite, une certaine réalité des pratiques qui, je crois, est plus conforme aussi a mon analogie: si on reprend mon analogie, on pourrait soutenir qu'un juge puisse imposer un découpage égal de la tarte pour régler le litige. Donner aux 10 copains leurs parts de tarte et les 8 qui veulent partager s'arrangeront bien avec 8 parts de tarte, même si cela implique une plus petite part de tarte pour le 11ième copain. De la même façon on pourrait imposer une vision de l'éducation qui se résume a un contrat entre l'étudiant et son prof(chaque étudiant a ''sa part'' de tarte), le prof étant tenu de donner ses cours a horaire fixe a l'étudiant, qu'il soit la ou pas. Ce n'est absolument pas ce qui se passe en pratique: le prof est engagé par un établissement pour donner un cours a une CLASSE, a laquelle des étudiants s'inscrivent. L'acte de s'inscrire a un cours n'est pas, dans les pratiques courantes, confondu avec le fait de passer un contrat avec le prof mais de se greffer a un contrat collectif entre un prof et ses étudiants. Ce contrat implique souvent(toujours?) des décisions prises a majorité de la part des étudiants(plan de cours, etc.). Le contrat de travail du prof avec l'établissement implique la possibilité de reporter une séance de cours pour accomoder les gens qui s'y inscrivent. Ce sont les pratiques qui se sont établies pour balancer les choix des uns et des autres, les contraintes des uns et des autres. Donc si tu me dis: oui, mais on peut changer les pratiques, je dis: ''évidemment, mais ça n'a aucun rapport avec la liberté individuelle. Un juge qui aurait tranché en faveur d'un partage égal de la tarte aux détriments d'un report de l'heure du repas n'aurait PAS tranché en faveur de la ''liberté individuelle'', il aurait tout simplement choisi les deux copains qui ne veulent pas partager la tarte aux détriments des 8 autres qui voudraient le faire, même s'il était coutume normalement de le faire et même si, normalement, la tarte était conçue comme étant donnée en partage a tout le monde(par contrat collectif). Le libertarianisme s'apparente trop souvent a ce juge qui voudrait charcuter des pratiques courantes, pour les remplacer par d'autres qui ne sont pas plus libertaires, qui impliquent souvent moins de liberté d'agir, qui impliquent un découpage qui avantage certains(souvent la minorité) et nuit a d'autres(souvent la majorité). Ils ont beau se gargariser avec leurs belles phrases de liberté, personne n'est dupe sur le genre de projet de société qu'ils proposent, sauf eux.

Je suis assez d'accord avec toi et je rajouterai que l’attribution des notes se fait principalement de façon comparative (pour moi au moins) pour appuyer qu'un cour est plus une activité de groupe qu'une somme d'activité individuelle.

Par contre, pour revenir à la question de liberté individuelle, dont nous avons déjà quelque peu discuté, je croit que le juge qui aurait tranché en faveur du partage de la tarte aurait en effet tranché en faveur de la liberté individuelle. Ce que je veux dire c'est que chaque copains individuellement n'a pas les moyens de rapporter le moment de la dégustation( la session), seulement le groupe à les moyens de le faire, du moins s'il n'y a pas de dictateur dans le groupe. En revanche chaque copains à la liberté de participé ou pas à la séance de dégustation. Alors, oui le juge favorise la liberté individuelle, mais au dépend de la liberté du groupe. Même si je ne suis pas d'accord sur la décision du juge, comme toi j'imagine, ma vision de liberté diffère de la tienne.

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Je suis assez d'accord avec toi et je rajouterai que l’attribution des notes se fait principalement de façon comparative (pour moi au moins) pour appuyer qu'un cour est plus une activité de groupe qu'une somme d'activité individuelle.

Par contre, pour revenir à la question de liberté individuelle, dont nous avons déjà quelque peu discuté, je croit que le juge qui aurait tranché en faveur du partage de la tarte aurait en effet tranché en faveur de la liberté individuelle. Ce que je veux dire c'est que chaque copains individuellement n'a pas les moyens de rapporter le moment de la dégustation( la session), seulement le groupe à les moyens de le faire, du moins s'il n'y a pas de dictateur dans le groupe. En revanche chaque copains à la liberté de participé ou pas à la séance de dégustation. Alors, oui le juge favorise la liberté individuelle, mais au dépend de la liberté du groupe. Même si je ne suis pas d'accord sur la décision du juge, comme toi j'imagine, ma vision de liberté diffère de la tienne.

Il me semble que le choix s'opère entre ''tenir la séance de dégustation'' maintenant ou plus tard. Si reporter la séance plus tard est un choix de groupe, pourquoi n'en serait-il pas de même de la décision de la tenir maintenant? Le juge qui tranche en faveur des deux ptits cons se substituerait alors au processus de décision collective non? De plus, qu'il ouvre la séance maintenant ou plus tard, la ''liberté individuelle de participer a la dégustation'' reste non? Je veux dire par la que les gens ont le choix de participer a la séance de dégustation qu'elle s'ouvre maintenant ou qu'elle s'ouvre plus tard. Donc du point de vue de la liberté individuelle, suivant ce que tu dis, le juge a pris une décision qui est neutre, non?

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(modifié)
Bien sûr que les comportements individuelle ont des conséquences sur [autrui] la collectivité. Sincèrement, je ne pense pas que les libertariens affirment le contraire.
Je n'ai pas dit qu'ils affirmaient le contraire. J'ai dit qu'ils n'en tenaient pas compte, ce qui reviens à dire qu'ils n'affirment rien à ce sujet. Les libertariens sont incapable de découvrir par autocritique cette problématique, et il faut toujours leur expliquer (et leur réexpliquer car ils oublient toujours). C'est seulement après leur avoir expliqué qu'ils ont quelque chose à répondre, et c'est toujours stupide. Et ils finissent toujours par oublier cette critique pour revenir à la charge avec des raisonnements qui n'en tienne pas compte.

L'individualisme radical des libertariens est bien connu, et c'est d'ailleurs lui qui explique pourquoi ils reviennent toujours à la charge avec des raisonnement qui ne tiennent pas compte du fait que les actions d'un individu ont souvent des conséquences négatives sur le bien-être et les libertés d'autres individus.

C'est pourquoi, dans tous les cas, ils reviennent avec leur principe du laisser faire. Ils ne comprennent pas que dans de nombreuses situations, il est mieux pour un maximum d'individu d'imposer une contrainte. C'est d'ailleurs assez ironique pour une philosophie fondé sur le droit, puisqu'un droit se traduit concrètement par l'interdiction de brimer ce droit, et donc une contrainte.

Par exemple, je pense que beaucoup de libertarien croît à l'efficacité du libre marché, donc il croît à l'offre et la demande
C'est facile de dire que les libertariens croient en l'efficacité du marché. Or, il a été démontré dans de nombreuses situations que le libre-marché est sous optimal et que l'intervention peut être moins sous-optimale.

On s'attendrait à ce que cette réalité coupe l'herbe sous le pied du libertarien mais ce n'est pas le cas. Les libertariens se sont exprimés sur cette question, et ils ont soutenu que même lorsque les marchés sont sous-optimaux et que l'intervention de l'état était moins sous-optimale, ils demeuraient en faveur du laissez-faire.

C'est donc facile de dire que le libertarien croit en l'efficacité du marché, mais peu importe que le libre-marché soit efficace ou non, le libertarien demeure borné à son libre-marché. La philosophie libertarienne est plus proche du déontologisme que de l'utilitarisme ou du conséquentialisme. C'est un fait reconnu.

Finalement, je rajouterai qu'on peut croire que le laisser faire est la moins pire méthode pour amélioré le bien-être d'une population. En effet, il n'est pas prouvé que la somme des effets du laisser faire sur la collectivité est négative comme tu semble le dire.
En effet, on peut croire cela. Or c'est irrationnel de croire cela. A fortiori, on peut croire à tout ce qu'on envie de croire, que ce soit rationnel ou non.

Je n'ai pas soutenu que la somme des effets du laissez-faire sur la collectivité était négative. Ce que j'ai plutôt soutenu, et que je soutient toujours, c'est que dans de nombreuses situations, laisser faire un individu, ce qui reviens à se laisser faire par lui, implique plus de conséquences négatives ou de pertes de libertés que de le contraindre.

Et comme il existe de nombreux cas où laisser faire implique plus de conséquences négatives ou de pertes de libertés que de contraindre, il est faux de dire que dans tous les cas, ne pas laisser faire implique plus de conséquences négatives ou de pertes de libertés que de contraindre.

Or, les libertariens raisonnent a priori chaque situation sur la base du principe (qu'ils croient universel mais qui est faux) que le laisser faire maximise la liberté dans toutes les situations. Et ça, c'est le résultat du fait qu'ils sont stupides, bornés, dogmatiques et irrationnels.

Les non-libertariens ne raisonnent pas chaque situation sur la base d'un tel apriorisme. Ils évaluent plutôt séparément chaque situation afin d'établir des jugements a posteriori et spécifiques aux cas étudiés. C'est la seule manière rationnelle de procéder. Ils se demandent, par exemple, si laisser faire un homme qui bat sa femme apporte plus de bien-être et de liberté que de le contraindre. Dans ce cas, et dans de nombreux autres cas, ils évaluent qu'en contraignant on augmente le bien-être et la liberté. Dans de nombreux autres cas, ils évaluent qu'il vaut mieux laisser faire.

Comprendre cela est un prérequis pour forger une société où le bien-être et les libertés individuelles sont maximisées. Or, ce prérequis est absent de la mentalité libertarienne de nos valeureux chevaliers de la libarté.

Modifié par 1000+
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Bon, vieux de quelques jours, mais bon. Pour les amateurs de battle rap : D

tes ententes sont comme ta tête, tes enquêtes frisent le ridicule

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(modifié)

Il me semble que le choix s'opère entre ''tenir la séance de dégustation'' maintenant ou plus tard. Si reporter la séance plus tard est un choix de groupe, pourquoi n'en serait-il pas de même de la décision de la tenir maintenant? Le juge qui tranche en faveur des deux ptits cons se substituerait alors au processus de décision collective non? De plus, qu'il ouvre la séance maintenant ou plus tard, la ''liberté individuelle de participer a la dégustation'' reste non? Je veux dire par la que les gens ont le choix de participer a la séance de dégustation qu'elle s'ouvre maintenant ou qu'elle s'ouvre plus tard. Donc du point de vue de la liberté individuelle, suivant ce que tu dis, le juge a pris une décision qui est neutre, non?

Si ça ne te dérange pas je vais écarter l'exemple de la tarte, leur du souper approche et sa commence à me donner franchement faim, et me concentrer sur la vrai situation. Ma vision est que tant que le groupe n'a pas de différend sur l'idée de reporter les cours ou non, la participation au cours est libre à chaque personne, elle est une liberté individuelle. Or lorsque que le litige apparaît et que le groupe prend la décision de reporter ou pas la session la liberté du groupe prend le dessus sur la liberté individuelle, chaque individu ne peut pas agir selon ça volonté il doit suivre la ligne du groupe. Le fait d'être d'accord avec la ligne du groupe n'empêche pas la perte de la liberté individuelle, la preuve que tu ne peut pas agir selon ta volonté est que si tu change d'idée tu doit encore respecté la décision du groupe. Je trouve ce processus légitime, mais je ne suis juste pas d'accord d'affirmer qu'il apporte plus de liberté individuelle. Mon ancien paragraphe n'était pas vraiment clair, je pense que ça devrait éclairé mon point de vue.

Modifié par e028182
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Si ça ne te dérange pas je vais écarter l'exemple de la tarte, leur du souper approche et sa commence à me donner franchement faim, et me concentrer sur la vrai situation. Ma vision est que tant que le groupe n'a pas de différend sur l'idée de reporter les cours ou non, la participation au cours est libre à chaque personne, elle est une liberté individuelle. Or lorsque que le litige apparaît et que le groupe prend la décision de reporter ou pas la session la liberté du groupe prend le dessus sur la liberté individuelle, chaque individu ne peut pas agir selon ça volonté il doit suivre la ligne du groupe. Le fait d'être d'accord avec la ligne du groupe n'empêche pas la perte de la liberté individuelle, la preuve que tu ne peut pas agir selon ta volonté est que si tu change d'idée tu doit encore respecté la décision du groupe. Je trouve ce processus légitime, mais je ne suis juste pas d'accord d'affirmer qu'il apporte plus de liberté individuelle. Mon ancien paragraphe n'était pas vraiment clair, je pense que ça devrait éclairé mon point de vue.

Mais on s'entend que ça marche dans les deux sens, que tu peux changer dans les deux cas et devoir agir contre ta volonté? Personne ne dit que ça apporte ''plus'' ou ''moins'' de liberté, le point est que la décision du juge en faveur de l'une ou l'autre des parties n'a rien a voir avec le principe de liberté individuelle.

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Mais on s'entend que ça marche dans les deux sens, que tu peux changer dans les deux cas et devoir agir contre ta volonté? Personne ne dit que ça apporte ''plus'' ou ''moins'' de liberté, le point est que la décision du juge en faveur de l'une ou l'autre des parties n'a rien a voir avec le principe de liberté individuelle.

Des fois, quand je commence à débattre, je ne peux plus m'arrêter et ça tendance à devenir ridicule. C'est tout ce que j'ai à dire présentement.

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Un autre beau powertrip policier qui vire au vinaigre parce que les jeunes ne se laissent pas berner par l'abus de pouvoir et de confiance des policiers. Ça s'est passé à Gatineau.

L'histoire semblerait être la suivante (on peut l'entendre au début de la vidéo) :

D'une source présente au poste de Police

apres la manif, quand il se sont séparé, les policiers ont voulus arrêter 2 personnes pour avoir bouger les cones

alors les manifestant se sont mis devant

il y a eu coup de matrque et poivre de cayenne

en tout 4 arrestations

Ils doivent être libérés en matinée

http://www.youtube.com/watch?v=wWXkqf6L_JU

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http://www.youtube.com/watch?v=G_y6lH6n8mk

Inb4 : « c'est de sa faute ! » « elle avait juste pas à lui crier après » « elle avait qu'à rester chez elle » « ouais mais elle avait un gun » « crisse de sauvage, s'en prendre à l'honnête policier, elle l'a mérité ! » « ouais mais on voit rien là, c'est relatif. »

Critique à apporter : vos câlisses de « HEY ! HEEEEEEEEEY » et vos caméras n'aident en aucun crisse de cas la fille qui se fait arrêter. Bande de pourris qui voient dans cette situation un spectacle.

Je vais pouvoir apporter une précision à ce vidéo d'ici 48heures. La fille en question est une amie à moi et je vais être en mesure d'avoir sa version des faits.

Elle aurait été accusée de voie de fait (duuuh)

Alors, je l'ai croisé hier après sa job mon amie et voici sa version des faits.

Elle finissait de travailler et allait rejoindre des amis à l'abreuvoir. En se rendant, elle a constaté qu'une souricière (c'est ce soir là) avait été crée par les policiers pour arrêter les manifestants. Elle s'est rendue compte que ses amis étaient donc dans ce merdier.

Après avoir demandé au policier si il y avait un moyen qu'elle voit ses amis ou si y'avait un moyen qu'eux sortent de là..ou qu'elle contourne la police, elle a essuyée un refus. Elle s'est ensuite mise à quelqu'un peu chialer sur la police en disant que ces derniers ne travaillait pas pour le peuple mais pour le gouvernement.

S'en suit plusieurs discussions (comme en peut voir dans le video). La raison pour laquelle elle se fait arrêter reste COMPLÈTEMENT absurde. Quand le policier baisse sa visière, c'est que mon amie s'emballait énormément et à probablement, par accident, postilloné sur le gendarme (lol). Elle a été arrêté et mise en cellule. Accusé de voie de fait pour avoir CRACHER sur un policier..chose qui est COMPLÈTEMENT fausse.

Au moins, à sa sortie de cellule pendant la nuit, elle n'a eu aucune contravention. Comme si la police avait juste voulu l'effrayer ou je ne sais pas trop.

Une autre arrestaton injustifiée de la part du SPVM. Dommage mais on commence à être habitué hein !

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L'histoire du jour: Des policiers cachent leur matricule.

Des érudits mentionnent que des policiers du SPVM cacheraient leur matricule sur le derrière de leur casque lors des manifs. Photo à l'appui.

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Le SPVM réplique: Pas de # de matricule derrière les casques. D'oh!

https://twitter.com/#!/SPVM/status/206579287166423042

MAIS... Notez la nuance dans la réponse du SPVM. Rien n'est dit sur le devant du casque...

Donc:

On attend toujours de savoir si le # qui est devant le casque des policiers du SPVM est leur numéro de matricule. En attendant, c'est en vérification. Perso, je n'ai aucune fuckin' idée de où est le # de matricule des policiers. Pour certains, c'était SÛR que c'était derrière. Mais aujourd'hui, ces mêmes sont CERTAINS que c'est devant. C'est mêlant tout ça. Non?

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En spammant cette crap mensongère contre les policiers sur les réseaux sociaux, ils contribuent à alimenter le mépris des citoyens envers les institutions et les conventions. C'est inquiétant de voir que la révolte se répand en étant soutenue par des faits bidon ou exagérés. Tout laisse croire que les policiers ont mis ces stickers fluo sur leur casque pour coordonner leurs interventions. On voit clairement sur cette photo que le numéro de matricule n'apparaît pas sur leur casque :

60412-rapport-csst-presse-obtenu-blame.jpg

Si les policiers voulaient vraiment cacher leur numéro, ils ne prendraient certainement pas du tape flash, mais du tape blanc. Non?

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L'arrestation est assez straight foward tant qu'à moi. Le gars a été observé en train de déplacer les cônes d'une barricade (ou whatever ce que ça peut être). Il l'a lui-même admis sur un ton condescendant. Je ne sais pas exactement de quelle infraction il s'agit, mais probablement la même que d'arracher une pancarte d'arrêt stop. L'action a clairement été faite dans le but de nuire ou déranger. Le policier lui a demandé à deux reprises, calmement, de s'identifier en l'avertissant qu'il serait arrêté s'il n'obtempère pas. Le gars s'obstine effrontément. Ça devient une entrave. Le policier tente de l'arrêter (tel qu'annoncé), mais ses copains qui s'improvisent avocats de la Défense interviennent. Ça donne le cafouillage qu'on voit là.

Je vois seulement de la résistance baveuse dans ce vidéo. Aucun power trip ici. Je vois pas pourquoi un policier devrait accepter qu'un tit coune effronté qui a l'air chaudasse déplace leur équipement.

Tu ne connais pas les droits et ces jeunes sur le terrain les connaissent.

Tu n'as pas à t'identifier hormis si tu poses une infraction criminelle et qu'on t'arrête. À ce moment, tu dois donner ton nom, ta date de naissance et ton adresse. C'est tout. Tant que tu n'as pas commis d'infraction criminelle, t'as rien à dire. Tu peux t'en câlisser royalement. Les policiers l'ont harcelé, encerclé, avec une attitude intimidante du « c'est moi le boss ». Les autres jeunes sont venus l'aider parce que visiblement il savait pas ce qui se passait, il ne connaissait pas ses droits. Au final, ce qui a « viré au drame » c'est quand deux policiers lui ont sauté dessus, par en arrière, en lui prenant par la tête et le traînant sur le sol jusqu'au trottoir où ils l'écrasent physiquement et lui tord le bras, pareil pour les autres. C'est ça qui a fait rager les jeunes, pas le fait qu'il lui demande de s'identifier (chose qu'il n'est pas, encore une fois, obligé de faire. Tu dois être en état d'arrestation avec un motif valable, autrement tu peux rester silencieux et la cour municipale te donnera raison).

Ici, les policiers étaient frustrés et ont décidé d'utiliser la manière forte.

P.S.: Fuck ta censure, D-Bag. Tu travailles dans un domaine où tu dois connaître tes droits de citoyen. Visiblement, tu ne les connais pas et ton message transpire la soumission passive digne d'un ignare.

P.S.2: NulZilla, les matricules sont à la fois sur l'uniforme, leur badge (s'il n'est pas enlevé) et le devant de leur casque. Le problème, c'est que leur visière cache le matricule. Ça aide pas à les identifier.

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