Vos maladies

[Dionne]

Un petit sujet pour que vous disiez si certains d'entre vous ont des maladies. Ok, ça peut sembler WAK, mais j'ai rien à perdre. Non ?

Moi à part de l'eczéma, j'ai fuck all.

[FranktheTank]

Jamais eu de maladies, jamais eu de problèmes, jamais eu d'os cassés.

À part des otites chroniques lorsque j'étais jeune qui ont rendu mes oreilles un peu connes parfois.

J'touche du bois.

[ChokingDog]

N'oubliez pas les photos là!

[Sikaneba]

Moi je sais pas trop ce que j'avais hier soir, mais j'étais brûlante de fièvre.

Heureusement, mon Docteur m'a toute guérie avec sa médecine douce.

Sorry Choking Dog, mais j'ai pas de photos.

[Chicken of the infinite]

Voici des extraits de textes de wikipédia qui résument bien ma maladie. La mettre sur papier et la catégoriser c'est une chose. La vivre, c'est tout un bordel. Le problème que je note c'est que ça a longtemps grandement influencé mon comportement et que ça a généré une souffrance impossible. Heureusement, ça se traite bien. Je suis stable depuis peu et je m'en trouve bien heureuse.

Il s’agit d’une affection psychique connue de longue date et déjà décrite dans l’Antiquité. Au deuxième siècle avant notre ère, Arétée de Cappadoce fut le premier à utiliser le mot manie pour décrire les patients « qui rient, qui chantent, dansent nuit et jour, qui se montrent en public et marchent la tête couronnée de fleurs, comme s’ils revenaient vainqueurs de quelques jeux ». Il avait remarqué que, par la suite, ces gens changeaient d’humeur pour devenir « languissants, tristes, taciturnes ». Les relations entre la créativité, la mélancolie ou les périodes d’hypomanie (état d’enthousiasme) sont connues depuis cette époque. Aristote, le premier, se posait la question du lien entre le génie (la créativité) et la manie (la folie).

Lorsque les fluctuations d’humeur dépassent en intensité ou en durée celles de l’humeur normale et qu’elles entraînent des altérations du fonctionnement ou une souffrance, on parle de trouble de l’humeur.

Le trouble bipolaire concerne la dérégulation et le déséquilibre psychiques de l’humeur en fonction de facteurs déclenchants. Les personnes qui en souffrent sont sujettes à des fluctuations d’humeur excessives, voire extrêmes, sans qu’il n’y ait forcément un événement "extérieur" déclenchant mais toujours en fonction de ce qu'on appelle les facteurs blancs (des représentants psychiques d'événements de perte parfois très anciens et non symbolisés)^[1]. Ces sujets réagissent souvent de façon disproportionnée à des événements de vie qui se connectent auxdits facteurs blancs.

Les personnes bipolaires connaissent des périodes où leur humeur est excessivement « haute » : on parle d’hypomanie (hypo- signifie « moins que » ou « sous ») si l’élévation de l’humeur est relativement modérée et on parle d’ « état maniaque » si elle est très importante. Mais les personnes qui présentent un trouble bipolaire peuvent également connaître des périodes où leur humeur est particulièrement basse : on parle alors d’ « état dépressif » modéré ou sévère. Toutes les personnes bipolaires ne présentent pas de période dépressive, mais c’est surtout la présence dans leur histoire d’une période où l’humeur est « anormalement haute » qui doit faire évoquer le diagnostic. Néanmoins, les périodes d’humeur haute et d’humeur basse alternent le plus souvent, entrecoupées de périodes d’humeur normale. Cependant, il ne faut pas confondre les troubles bipolaires de la psychose maniaco-dépressive avec les personnalités cyclothymiques ou les oscillations de l'humeur chez le sujet névrosé.

Le terme bipolaire renvoie à la manie et à la dépression, qui sont les deux extrêmes (pôles) entre lesquels l’humeur oscille. L’oscillation spectaculaire de l’humeur est parfois appelée épisode ou accès thymique. La fréquence, l’intensité et la durée des épisodes thymiques varient d’une personne à une autre. En l’absence de traitement ou de soins appropriés, la fréquence des oscillations et la gravité de cette maladie chronique peuvent augmenter.

Le danger de ce trouble de la psychose maniaco-dépressive est le risque de suicide lors des phases mélancoliques ainsi que des difficultés d'adaptation sociale lors des différents accès.

SYMPTÔMES:

DÉPRESSION:

Signs and symptoms of the depressive phase of bipolar disorder include persistent feelings of sadness, anxiety, guilt, anger, isolation, or hopelessness; disturbances in sleep and appetite; fatigue and loss of interest in usually enjoyable activities; problems concentrating; loneliness, self-loathing, apathy or indifference; depersonalization; loss of interest in sexual activity; shyness or social anxiety; irritability, chronic pain (with or without a known cause); lack of motivation; and morbid suicidal ideation.^[8] In severe cases, the individual may become psychotic, a condition also known as severe bipolar depression with psychotic features.

MANIE:

Mania is the signature characteristic of bipolar disorder and, depending on its severity, is how the disorder is classified. Mania is generally characterized by a distinct period of an elevated, expansive, or irritable mood state. People commonly experience an increase in energy and a decreased need for sleep. A person's speech may be pressured, with thoughts experienced as racing. Attention span is low, and a person in a manic state may be easily distracted. Judgment may become impaired, and sufferers may go on spending sprees or engage in behavior that is quite abnormal for them. They may indulge in substance abuse, particularly alcohol or other depressants, cocaine or other stimulants, or sleeping pills. Their behavior may become aggressive, intolerant, or intrusive. People may feel out of control or unstoppable. People may feel they have been "chosen" and are "on a special mission" or have other grandiose or delusional ideas. Sexual drive may increase. At more extreme phases of bipolar I, a person in a manic state can begin to experience psychosis, or a break with reality, where thinking is affected along with mood.^[9] Many people in a manic state experience severe anxiety and are very irritable (to the point of rage), while others are euphoric and grandiose.

To be diagnosed with mania according to the Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders (DSM), a person must experience this state of elevated or irritable mood, as well as other symptoms, for at least one week, less if hospitalization is required.

Créativité et consommation:

Creativity Main article: Creativity and mental illness Bipolar disorder has been associated with people involved in the arts but it is an ongoing question as to whether many creative geniuses had bipolar disorder.^[19][20][21] Some studies have found a significant association between bipolar disorder and creativity, although it is unclear in which direction the cause lies or whether both conditions are caused by a third unknown factor; temperament has been hypothesized to be one such factor.^[22][23][24]

Goals A series of authors have described mania or hypomania as being related to a high motivation to achieve, ambitious goal-setting, and sometimes high achievement. One study indicated that the pursuit of goals, encouraged by sometimes achieving them, can become emotionally dysregulated and involve the development of mania.^[25] Individuals may have low self-esteem and difficulties in social adjustment, however, and by definition there are periods of depression with difficulty in motivation and functioning.^[26]

Self-medication Often bipolar individuals are subject to self-medication with non-prescribed drugs such as alcohol, tobacco and other recreational drugs.^[27][28]

There is some evidence that, although bipolar patients in general do not appear to smoke significantly more than other people, the subset of bipolar patients with a history of psychosis may smoke more heavily than the general population.^[29]

Many people involved with the arts, such as Vincent van Gogh,^[1] are believed to have suffered from bipolar disorder

lol. Il s'est aussi coupé l'oreille.

[KillerInstinct]

Baises-tu autant que la fille dans Borderline?

[AubeRouge]

J'en ai un panel mais c'est chiant à détailler. La plus originale est une maladie psychosomatique nommée "proctalgies fugaces" Comme son nom l'indique plus ou moins, c'est avoir tres mal au cul, assez brievement, sous le coup du stress et de l'émotion. Il a fallu que ça me tombe dessus plutôt que des lombalgies ou des migraines.

[Chicken of the infinite]

Baises-tu autant que la fille dans Borderline?

Ouais en phase de manie, je deviens une enragée du sexe.

Ça ne risque plus d'arriver car je me soigne. J'suis un peu tannée de vivre des humiliations (quand je redescend de mon high). Ça peut s'avérer franchement troublant.

[mzdrx7]

J'en ai un panel mais c'est chiant à détailler. La plus originale est une maladie psychosomatique nommée "proctalgies fugaces" Comme son nom l'indique plus ou moins, c'est avoir tres mal au cul, assez brievement, sous le coup du stress et de l'émotion. Il a fallu que ça me tombe dessus plutôt que des lombalgies ou des migraines.

Je traderais mes migraines contre un mal de cul n'importe quand.

[Lux]

J'en ai un panel mais c'est chiant à détailler. La plus originale est une maladie psychosomatique nommée "proctalgies fugaces" Comme son nom l'indique plus ou moins, c'est avoir tres mal au cul, assez brievement, sous le coup du stress et de l'émotion. Il a fallu que ça me tombe dessus plutôt que des lombalgies ou des migraines.

C'est curieux, j'avais ça quand j'étais enfant, mais ça s'est estompé je ne sais trop quand.

C'était intense et bref, et je pouvais plus me concentrer.

[Pesmerga]

Lol, les maladies mentales. Il y en a cinq pour chaque lettre de l'alphabet. Je suis sur qu'avec une recherche rapide et un peu d'effort je pourrais m'auto-diagnostiquer une 30aine de pseudos maladies vraiment cool pour avoir l'air fucké et original.

Non, je ne suis pas "malade" ou "fou". La vérité, c'est que je suis seul, je mange mal, je dors mal, je ne m'entraine pas, je suis créatif, je suis introverti, je ne partage pas les mêmes valeurs et les mêmes pincipes que la société et j'ai une personnalité différente de la norme.

Des vrais malades mentaux atteint de véritables maladies il y en a et c'est important de les aider. Mais je pense qu'il est absurde, par exemple, de vouloir "guérrir" une jeune fille simplement parce qu'elle est un peu différente de la cruche occidentale moyenne.

EDIT: [...]

Ah pis d'la marde.. No way que je vais débattre sur un sujet que j'ai déja débattu a maintes reprises dans le passé.

Pis anyway c'est meme pas un sujet sur les maladies mentales (sinon ca serait dans l'institut). Je suis pas mal sur que le thread est a propos des maladies physiques. Donc je veux pas hi-jacker ce thead avec du blabla inutile.

[La Tortue]

Lol, les maladies mentales. Il y en a cinq pour chaque lettre de l'alphabet. Je suis sur qu'avec une recherche rapide et un peu d'effort je pourrais m'auto-diagnostiquer une 30aine de pseudos maladies vraiment cool pour avoir l'air fucké et original.

Non, je ne suis pas "malade" ou "fou". La vérité, c'est que je suis seul, je mange mal, je dors mal, je ne m'entraine pas, je suis créatif, je suis introverti, je ne partage pas les mêmes valeurs et les mêmes pincipes que la société et j'ai une personnalité différente de la norme.

Des vrais malades mentaux atteint de véritables maladies il y en a et c'est important de les aider. Mais je pense qu'il est absurde, par exemple, de vouloir "guérrir" une jeune fille simplement parce qu'elle est un peu différente de la cruche occidental/québécoise moyenne et superficielle.

Lol, tu a peut-être pas de maladies mentales mais une chose est sure ton dernier message était vraiment ignorant.

[Janus]

ça ca m'enarve, les occidentales moyenne et superficielles

[Janus]

Ah pis d'la marde.. No way que je vais débattre sur un sujet que j'ai déja débattu a maintes reprises dans le passé.

C'est pas mal rendu là moi aussi et ce sur bcp trop de sujets.

[Chicken of the infinite]

BLABLABLA

Je crois être plus en mesure de le savoir que toi.

Tu ne me connais même pas.

[BoH]

Moi je fais ce que Michael Jackson faisait. Du Vitiligo.

C'est une maladie de peau qui fait qu'à certaine places, je n'ai plus de mélanocyte (c'est ce qui produit la mélanine, bref ce qui fait bronzer)

Alors j'ai des taches blanches partout. Mais bon... ça parait pas beaucoup car je ne vais pas beaucoup au soleil et c'est aucunement dangereux pour ma santé alors j'me considère chanceuse dans ma malchance.

[Trompe de Fallope]

Psoriasis baby!

[beaugossité]

J'ai fumé du hash puis je suis parti dans un trip ou' j'étais persuadé qu'on pouvait lire dans mes pensées et que je pouvais être la cible de certaines forces occultes.