vlad_drac 24 novembre 2010 Partager 24 novembre 2010 C'est de la mauvaise foi que d'aller chercher le commentaire d'un badaud qui affirme ne pas aimer les films de Nolan sans les avoir vu lorsqu'il y a d'autres personnes ici qui ont vu au moins un de ses films et qui ne les ont pas aimé.Je comprends ce que tu vois dans le Dolan-bashing (les médias l'aiment tellement qu'il faut l'haïr aussi fort même si on le trouve tout simplement ordinaire), mais tu t'attaques au problème d'une étrange façon.Le paragraphe clé:Bref, Dolan est un personnage qui attire autant l'Amour (par un public plus âgé j'imagine) que la Haine (par le membre typique du dépotoir: l'intellectuel-thrash) parfois pour des raisons justifiées, parfois par des simples dérivations d'un jugement de valeur sur sa personne.Mon point est que, plus que pour la majorité des artistes, Dolan a tendance à créer une rupture assez franche entre les lovers et les haters. Dans l'un ou l'autre des groupes, il y a des gens qui ont une opinion réfléchie et valable, et d'autres qui se justifient avec des arguments démagogues de pacotilles.La personnalité narcissique et prétentieuse du jeune hipster viens exacerber les critiques (surtout celles qui sont négatives) de manière exponentielle. Ça se voit assez clairement ici: les gens prennent plaisir à détester Dolan. Si son film avait été réalisé par un vieux con méconnu, les intello-trash auraient probablement passés à travers son film sans trop de problèmes. Mais maintenant qu'on sait que c'est ce jeune fendant adulé par les médias qui l'a réalisé, la critique devient beaucoup plus lourde, beaucoup plus cynique, beaucoup plus sévère. Elle le ridiculise et réduit son travail à une série de clichés.Ça ne me choque pas particulièrement, je dois admettre que les critiques de Humbert étaient divertissantes à lire, mais c'est important d'admettre l'existance du phénomène. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Alf 25 novembre 2010 C’est un message populaire. Partager 25 novembre 2010 Votre anti-intellectualisme est, de façon ironique - tellement ironique que je dois me retenir pour ne pas lâcher un rire de jouissance - hyper-intellectuel. "Xavier Dolan, c'est du déjà-vu, tsé" "Xavier Dolan, il est rendu là parce qu'il a l'argent de son père, ses pubs, etc". On dénigre si facilement ce type qu'on en oublie toutes ses qualités. Car oui, il y en a. C'est drôle, parce que je suis un de ses plus grands détracteurs, je vous le jure et pourtant, je dois me porter à sa défense. Mais où va le monde?Et oui, mes amis, j'ai regardé Godard, Kar-Wai, Van Sant, je sais que Xavier Dolan n'a rien fait d'original et qu'il ne fait qu'emprunter à d'autres cinéastes ou si vous le voulez, il leur vole. L'originalité vient de votre ignorance, disait un de mes profs.- Mannnn, c'était fou quand il filmait les gens de derrière pendant genre 20 minutes, FUCKING ORIGINAL OOLLOLOOL- Ouais, surtout le ralenti là, j'ai A-DO-RÉ.Un troisième type apparaît et leur dit qu'il y a rien d'original, que Godard l'a déjà fait.Mais n'est-ce pas là que se cache toute la valeur de ce type? C'est justement dans sa naïveté, dans ses maladresses que son cinéma devient intéressant, je m'explique. C'est un type de vingt ans et OUI, c'est pour ses vingt ans que je considère que ses films valent quelque chose. On ne peut pas séparer un auteur de son oeuvre, disait l'autre. Le fait-même qu'il ait vingt ans fait en sorte que son cinéma soit unique et intéressant. Il présente en plus, le point de vue d'un jeune snob qui a grandi en lisant des auteurs dont je ne connais pas le nom. C'est là que se cache tout son intérêt : son cinéma est celui d'un jeune naïf et con et c'est ce que je veux voir : comment un putain de hipster riche et célèbre fait du cinéma? C'est ça qui m'intéresse. Et je ne considère toutes ses maladresses comme des défauts, mais comme des cicatrices, des démarches et des essais qui marchent / marchent pas, causés par toute la fougue du jeune cinéaste. Si on est pour dire que tous les mauvais coups de Dolan ne valent rien et font de son oeuvre un film qui ne vaut rien, on perdrait bien des cinéastes d'une Nouvelle Vague française...Je n'aime pas particulièrement ses films, mais il y a bien une chose que j'aime chez lui : Il est la plaque sensible d'un certain cinéma québécois et des traits culturels de votre petit pays, voulez-le ou non. Son cinéma est un CONSTAT de ce qui ne va pas dans la culture québécoise : comment ça se fait qu'on va plus voir les films de Patrick Huard que les petits films candides et insolents de Dolan? Comment ça se fait qu'en France, Les amours Imaginaires soient un film pop et qu'ici, on le considère trop intellectuel, inaccessible. Ou encore, qu'on le boude parce qu'il est candide. Qu'est-ce qui ne va pas au Québec? Il faut voir ses films comme une conséquence logique, une empreinte vivante des lacunes culturelles de cette province. Il n'y a pas une meilleure alternative à son petit cinéma qu'on considère comme de la merde, parce qu'on ne va pas allé voir assez loin, on cherche pas et surtout, on encourage pas des auteurs à s'exprimer. Ce type a SON ARGENT et il fait le cinéma qui LUI PLAÎT - avec ses références, emprunts et tout ça -, aussi snob qu'il soit, il a utilisé son argent, pour une bataille qui me touche et je considère ça honorable : Le Cinéma (québécois).Et pourtant, je n'ai pas aimé Les Amours Imaginares... et j'ai trouvé J'ai tué ma mère moyen.Je me retrouve à le défendre, car pour moi, il n'y a pas un film bon ou mauvais. Chaque film se vaut et il faut aller plus loin que dans un jugement de valeurs personnel qui se substitue à la valeur réelle de l'œuvre.Je répète : votre anti-intellectualisme (accompagné d'un déterminisme des plus assassins) me fait rire au plus haut point. À bas Xavier Dolan!J'espère avoir été clair, sinon, dites-le et j'expliquerai.Arrêtez de définir, donc, de réduire, des groupes sélects à qui le film pourrait plaire ou pas, s'il-vous-plaît. Hipsters, pseudos, intellos...Deux anecdotes, à prendre ou à laisser...1. Ne vous en faites pas, je ne suis pas un fan. J'ai été le premier à stopper une gang de Dolan-lovers dans le cinéclub de Laval il n'y a pas si longtemps, alors qu'ils s'extasiaient devant les costumes, leurs couleurs et la véracité des situations. Fuck, ça ne parle pas de moi cet esti de film là.2. Je travaillais à Côte-Des-Neiges, il n'y a pas si longtemps. Un jour, un type est entré et s'est mis à parler de politique avec moi et un des employés. Le sujet était la situation Palestine / Israel. En sortant, il dit : Vive la Palestine. Le gars avec qui je travaillais a dit : Oui, vive tout le monde.Et merde, oui, vive tout le monde. Ne prenez pas ceci comme un relativisme ou un post-modernisme qui me ferait dire que tout est bon, non. L'œuvre existe, elle est bonne, mauvaise, vous aimez ou pas, mais la question n'est pas là. ELLE EXISTE, il faut donc la considérer et comprendre ce qu'elle sous-entend, autant pour ce qui est d'elle-même, à son intérieur qu'à son extérieur, dans le cadre culturel qu'elle s'inscrit.Je suis surtout déçu de voir ce qui se passe ici. J'aime bien Matt, mais son post assez populiste me laisse perplexe, surtout avec son +8 affiché à côté, je trouve ça d'une absurdité aberrante. Après ça on viendra me venter que le Depotoir est un forum d'intellectuels. D'alarmistes et de têtes dures, peut-être, mais d'intellectuels? Ou encore, à son essence-même... un forum de discussion?Ne suffit pas de mettre des ralentis, de citer des philosophes et de mettre de la musique triste pour être original et intelligent. On appelle ça être un poseur. Ça fait peut-être bander les snobs à Cannes, mais ça n'a aucune réelle valeur et ce gars-là sera rapidement oublié. Le fait qu'il ait 20 ans est la véritable histoire, pas la cochonnerie qu'il projette à l'écran.Oh et on ne parlera pas des entrevues où il rit comme une fillette et ne dit jamais rien d'intelligent/intéressant. Ce gars-là est vide, très vide. Va faire un tour au Vieux-Montréal, tu vas en trouver des centaines. Là où je dois lever mon verre à la santé du kid, c'est par son acharnement à lever les fonds pour produire son premier film. Ça, bravo. Sauf qu'en même temps, quand on sait que son papa l'a pluggé dans des pubs de Jean-Coutu à 8 ans, on déchante un peu de son "histoire extraordinaire". On est loin de Kevin Smith qui a financé Clerks en vendant sa collection de BD et qui l'a filmé après les heures d'ouverture, avec ses amis, au dépanneur auquel il travaillait. Ça, c'est une histoire poignante. Un jeune pédé qui a grandi dans le milieu, ça me laisse plus froid.Je suis déçu, je disais.Je ne suis pas homosexuel, je n'habite pas Montréal. Je ne suis même pas québécois, nom de Dieu! Pourquoi m'intéresserai-je au cinéma de cet esti de fif là? Le film en soi et ce qui l'entoure, eh bien... ça parle de vous, beaucoup, beaucoup.Bon, allez. Je m'en vais écouter mes films d'Abbas Kiarostami ou de Stan Brakhage. Ou encore, Jonas Mekas, je l'aime bien lui. Eh que je suis snob...P.S : Si vous voyez bien la fin de Les amour imaginaires, vous comprendrez que le film est absolument ironique. Et que le type, Xavier Dolan, sait très bien ce que tout le monde pense de lui et il est capable d'en rire. N'empêche que je n'ai pas aimé le film, mais je crois que ça réussit à faire taire tous ceux qui ne voit qu'en noir ou en blanc. 15 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bubba Roi 25 novembre 2010 Partager 25 novembre 2010 Alf, tu résumes ce que je pense, mais avec une verve qui n'est pas mienne.En attendant que quelqu'un rajoute quelque chose de concret au débat, j'ose:http://www.youtube.com/watch?v=ojY1Sj1-E0Q Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Natura 25 novembre 2010 Partager 25 novembre 2010 Matt? Je ne sais pas pourquoi mais j'ai l'impression que tu as cette image en tête quand tu regardes un film de Dolan... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alf 25 novembre 2010 Partager 25 novembre 2010 Et une génération d'étudiants de cinéma se meurt d'envie d'être tout aussi pédé que lui... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Natura 25 novembre 2010 Partager 25 novembre 2010 Juste une question au(x) fan(s) de Dolan. Est-ce que vous écouter du cinéma d'auteur / cinéma étranger ?Quelle drôle de question... Bien sûr que oui. Et, en passant, si ton but ici est de démontrer que Dolan emprunte à divers cinéastes et qu'il n'est donc pas unique en son genre, c'est raté. Je suis déjà au courant de cette évidence (j'aime bien Kar-Wai, d'ailleurs). Je crois justement que sa façon de rassembler divers styles cinématographiques et références culturelles lui confère une partie de son originalité. Il retient ce qui lui semble intéressant pour ensuite en faire un collage bien à lui.Les détracteurs de Xavier, en général, empestent la mauvaise foi et l'envie. Selon eux, les juges de Cannes sont des tarés, les critiques respectés du Québec tels que Marc-André Lussier, Marc Cassivi et Manon Dumais sont des ignares et toute personne appréciant J'ai tué ma mère et/ou Les amours imaginaires est nécessairement homo ou pseudo-intello-plato. Mais oui, évidemment. Pourquoi n'y avais-je pas pensé? C'est une analyse tout à fait logique... * baille * Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Humbert Humbert 25 novembre 2010 Partager 25 novembre 2010 Les fans de Dolan ont ceci de fatigant qu'ils n'acceptent juste PAS que l'on puisse, sans jalousie ou mauvaise foi, ne pas aimer les oeuvres du chérubin alors qu'il y a tellement, mais tellement d'éléments qui peuvent légitimer une opinion négative de sa production. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thunder McFuck 25 novembre 2010 Partager 25 novembre 2010 Le cinéma du garçon est fucking weakc'est tout Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Natura 25 novembre 2010 Partager 25 novembre 2010 Les fans de Dolan ont ceci de fatigant qu'ils n'acceptent juste PAS que l'on puisse, sans jalousie ou mauvaise foi, ne pas aimer les oeuvres du chérubin alors qu'il y a tellement, mais tellement d'éléments qui peuvent légitimer une opinion négative de sa production.Je ne crois pas que ce soit ça le problème.Personnellement, je n'ai aucune difficulté à concevoir qu'on puisse ne pas aimer les films de Dolan. Ce qui est exaspérant (et ridicule), c'est de voir des gens affirmer qu'il n'a absolument aucune forme de talent artistique. Et c'est à ce moment-là qu'il est difficile de ne pas soupçonner une certaine dose d'envie. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Commissaire Laviolette 25 novembre 2010 Partager 25 novembre 2010 Je suis plutôt d'accord avec Alf (mais pas aussi enthousiaste).Ceci dit je résumerais en disant que Dolan, peut importe ses airs ou sa chevelure, représente le possible. La réalisation d'une passion, avec le droit à l'erreur. Le droit de se faire pardonner ses premiers pas en zigzag. Un jeune de 20 ans, auteur, fait un film plein d'imperfections mais sans complexe.C'est un symbole d'espoir.(tr)lol 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Humbert Humbert 25 novembre 2010 Partager 25 novembre 2010 L'argument de la jalousie ne tient pas la route, parce que c'est assumer que tout le monde aimerait obtenir le même succès. Pour ma part, je n'ai aucune envie de faire de films, et le succès en lui-même me paraît vide comme objectif et peu enviable. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Amour 25 novembre 2010 Partager 25 novembre 2010 Je crois que l'envie réside plutôt dans la réalisation d'un objectif difficilement atteignable pour le commun des hommes de cinéma. Dolan avait foi en son projet et ses habiletés, il tenta sa chance en empruntant un chemin que nul dans le domaine n'aurait conseillé, et il réussit. Certaines gens amères et jalouses le dénigreront pour avoir eu le courage de son ambition, d'autres diront que la chance ne leur a jamais sourit comme à lui; quelle que soit leur raison, le cynisme formalisera le dépit. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Natura 25 novembre 2010 Partager 25 novembre 2010 Je crois que l'envie réside plutôt dans la réalisation d'un objectif difficilement atteignable pour le commun des hommes de cinéma. Dolan avait foi en son projet et ses habiletés, il tenta sa chance en empruntant un chemin que nul dans le domaine n'aurait conseillé, et il réussit. Certaines gens amères et jalouses le dénigreront pour avoir eu le courage de son ambition, d'autres diront que la chance ne leur a jamais sourit comme à lui; quelle que soit leur raison, le cynisme formalisera le dépit.Je ne suis pas certaine que ce message soit sérieux mais peu importe, parce que c'est exactement ça que j'aurais voulu dire. : ) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MattIsGoD 25 novembre 2010 Partager 25 novembre 2010 La "nouvelle lumière" se répercute à travers sa façon jeune et fraîche de traiter ces sujets. Bien sûr, le fait qu'il mette de l'avant son homosexualité contribue aussi à créer une approche distincte. Même si une orientation sexuelle hors norme n'est plus vraiment un sujet controversé aujourd'hui, ça reste une dimension sous-exploitée au cinéma et dans la littérature. La différence s'exprime également par le fait que son oeuvre soit teintée d'un excellent sens de l'auto-dérision ainsi que d'un humour sarcastique. Fair enough. Ce que tu appelles "auto-dérision" et "humour sarcastique", j'appelle "suffisance" et "narcissisme mal camouflé". We'll agree to disagree here.D'un côté, tu nous dis qu'il ressasse les mêmes trucs que tout le monde et d'un autre côté, tu affirmes qu'il n'offre "aucune perspective en dehors de la réalité de ce pauvre petit Xavier". Pour moi, c'est contradictoire. Je ne vois pas comment on peut être uniquement centré sur son petit nombril tout en exprimant des réalités communes à tant de gens. Du moins, pas dans son cas puisque je crois qu'il a une volonté de rejoindre son public.Contradictoire? En quoi? Il est INCAPABLE de sortir des clichés. Il n'a aucune perspective "personnelle" en dehors de sa propre expérience. Ça veut dire qu'il est incapable de s'éloigner de son nombrilisme afin de traiter d'un sujet donné. Bref, il n'a rien d'intéressant à dire sur l'homosexualité outre relaté sa propre expérience. À mon sens, c'est vide et inintéressant. Les auto-biographies de gars pas super cool, ça m'intéresse pas full.Pour ce qui est de ton opinion disant que ses films n'ont aucune unité et aucune direction, je ne vois honnêtement pas de quoi tu parles. Pour moi, le ton est fluide et les images s'enchaînent avec grâce.Il mélange les styles, il ne fait aucun choix et il va de gauche à droite de façon brouillonne. Qu'on me fasse pas croire que c'est voulu, son scénario ne s'y prête pas. C'est vrai que j'ai été touchée par J'ai tué ma mère en partie parce que le film rejoignait certains aspects de ma propre adolescence. Je pense cependant que la rage et le désespoir exprimés sont facilement compréhensibles par une majorité de gens. En général, ceux qui "restent de glace" ne sont par réceptifs en raison de leur irritation face au contenant au lieu du contenu.Je reste de glace parce que c'est un contenu convenu sans aspect poussant ma réflexion plus loin. Ce n'est pas plus compliqué.D'ailleurs, vous prétendez que le fait que Dolan soit un hipster n'a rien à voir avec votre hargne... Laissez-moi en douter.Cette phrase ainsi que ton image de marde me donne le goût de te fesser à coups d'bat. Me faire un procès d'intention sur mes "préjugés" alors que je critique un film, ça me donne envie de vomir. Je n'aime pas les hipsters, non; son film pue le hipster, certes. Or, mes critiques sont motivées par ce que j'ai vu. Sa personnalité me fait haïr le gars, pas son oeuvre. Son oeuvre, je ne l'aime pas parce qu'elle est À MON SENS médiocre. Je n'ai pas dit qu'il avait AUCUN talent. J'ai dit qu'il n'était pas extraordinaire et que son oeuvre était grandement surévaluée. C'est du convenu.Et l'argument de la jalousie, yark. Come on les boys, vous êtes plus intelligents que ça. Le phénomène Dolan me tape sur les nerfs et je ne comprends pas qu'on encense quelque chose d'aussi ordinaire. Or, je ne suis pas "jaloux" de son succès. Tant mieux pour lui, mais je ne vais pas m'empêcher de cracher sur quelque chose que je trouve pourri pour pas paraître "jaloux". Que ce soit "populiste" ou whatever, come on. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Natura 25 novembre 2010 Partager 25 novembre 2010 Cette phrase ainsi que ton image de marde me donne le goût de te fesser à coups d'bat. J'comprends que c'est probablement juste une "image" pour illustrer ta frustration mais quand même... Calice que t'es malade mental par moment.Fin de la discussion en ce qui me concerne. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MattIsGoD 25 novembre 2010 Partager 25 novembre 2010 Malade mental? Parce que je m'exprime de façon colorée? Get the fuck out... 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Un faucon du Qc 25 novembre 2010 Partager 25 novembre 2010 Je n'ai tellement jamais vu j'ai tué ma mère. Ou même l'autre film qu'il a fait après qui m'a l'air assez étrange. Après avoir vu de simples extraits et des commentaires du genre: "c'est une oeuvre". Ça ne me tente pas plus. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alf 25 novembre 2010 Partager 25 novembre 2010 C'est une oeuvre? Ça veut juste dire que c'est un film... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
flashyprince 25 novembre 2010 Partager 25 novembre 2010 (modifié) pour une fois que nos cousins francais ne nous bavent pas, on devrait tous se mettre derriere Dolan. Je n'ai vu aucun de ses films mais les trailers me paraissent plutot bien concus et je vais probablement en voir un d'ici peu.En ce qui a trait a la haine de certaines gens quebecoises vs Dolan.....je dirais que 9 fois sur 10, c'est la jalousie qui est derriere tout ca. Le mec fait probablement chier les etudiants en cinéma du Cegep du Vieux parce qu'il la eue "un peu plus facile" qu'eux a cause de l'influence de son pere. C'est un peux comme un plombier de 4e trio qui vient d'etre rappeler de la ECHL pis qui joue 2 minutes trente-deux par match qui regarde un joueur de premier trio faire 14 shifts de 3 minutes chaque sur le power-play. Mais revenons sur l'influence du papa en question. Manuel Tadros, un comédien relativement inconnu. (okay ben peut-etre plus connu que ca mais quand meme.....j'ai une vie, je regarde pas des teleromans bidons non-stop)C'est pas comme si Manuel Tadros etait Steven Spielberg ou George Lucas... notre Xavier en question est pas devenu Richie Rich en jouant dans des esti de publicités de Jean Coutu. Donc, on en déduit qu'il a fallu qu'il fasse un move intelligent a un moment donné ou un autre. Il est peut-etre juste un meilleur Hustler qu'un autre quand vient le temps de trouver du financement. Son pere lui a peut-etre donner une petite plug (c'est triste mais c'est la vie), mais l'esti de grosse partie de sa réussite jusqu'ici cest sa drive. L'analyse ci-haut est objective et fait fi du mérite cinématographique du jeune cinéaste en question. Par contre, j'en déduit que ses films on assurément au moins un certain mérite artistique du au fait que les hordes de pseudo-intellectuels effiminés ainsi que les métrosexuels prétentieux chargés de choisir les vainqueurs au festival de Cannes leur ont trouver un certain charme. Sur ce, je tiens a vous rappeler que le cinéma reste un art extremement subjectif. Je serais donc tres surpris de voir une preuve convaincante que les films de Dolan sont tous de la merde. Modifié 25 novembre 2010 par flashyprince 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Un faucon du Qc 25 novembre 2010 Partager 25 novembre 2010 pour une fois que nos cousins francais ne nous bavent pas, on devrait tous se mettre derriere Dolan. Je n'ai vu aucun de ses films mais les trailers me paraissent plutot bien concus et je vais probablement en voir un d'ici peu.En ce qui a trait a la haine de certaines gens quebecoises vs Dolan.....je dirais que 9 fois sur 10, c'est la jalousie qui est derriere tout ca. Le mec fait probablement chier les etudiants en cinéma du Cegep du Vieux parce qu'il la eue "un peu plus facile" qu'eux a cause de l'influence de son pere. C'est un peux comme un plombier de 4e trio qui vient d'etre rappeler de la ECHL pis qui joue 2 minutes trente-deux par match qui regarde un joueur de premier trio faire 14 shifts de 3 minutes chaque sur le power-play. Mais revenons sur l'influence du papa en question. Manuel Tadros, un comédien relativement inconnu. (okay ben peut-etre plus connu que ca mais quand meme.....j'ai une vie, je regarde pas des teleromans bidons non-stop)C'est pas comme si Manuel Tadros etait Steven Spielberg ou George Lucas... notre Xavier en question est pas devenu Richie Rich en jouant dans des esti de publicités de Jean Coutu. Donc, on en déduit qu'il a fallu qu'il fasse un move intelligent a un moment donné ou un autre. Il est peut-etre juste un meilleur Hustler qu'un autre quand vient le temps de trouver du financement. Son pere lui a peut-etre donner une petite plug (c'est triste mais c'est la vie), mais l'esti de grosse partie de sa réussite jusqu'ici cest sa drive. L'analyse ci-haut est objective et fait fi du mérite cinématographique du jeune cinéaste en question. Par contre, j'en déduit que ses films on assurément au moins un certain mérite artistique du au fait que les hordes de pseudo-intellectuels effiminés ainsi que les métrosexuels prétentieux chargés de choisir les vainqueurs au festival de Cannes leur ont trouver un certain charme. Sur ce, je tiens a vous rappeler que le cinéma reste un art extremement subjectif. Je serais donc tres surpris de voir une preuve convaincante que les films de Dolan sont tous de la merde.Je déteste Daniel Brière. Donc je suis jaloux de sa carrière. J'aime pas l'humour de Jean-Thomas Jobin. Donc je suis jaloux de son succès. Faque dans le fond de`s qu'on n'aime pas quelqu'un qui réussit, c'est de la jalousie ?Et by the way parce que nos cousins Français ne nous bavent pas on devrait se mettre derrière Dolan ? Quoi t'as vraiment écrit ça ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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