Aller au contenu

Une évaluation psychologique pour donner naissance


  

57 membres ont voté

  1. 1. Seriez-vous en faveur d'une évaluation psychologique pour accoucher/adopter un enfant?

    • JAMAIS, peu importe la situation.
    • TRÈS en faveur.
    • À condition que l'enfant ne se fasse pas avorter si deux parents se sont quand même reproduits. On donne l'enfant en adoption.
    • Indécis.
    • À moins d'être un schyzophrène maniaco-dépressif avec plusieurs cas judiciaires, je suis contre l'idée.


Déchet(s) recommandé(s)

Ah ouais, la DPJ, le super-organisme qui va vraiment aider à la cause de l'enfant. Super point ça, Gemini.

Si on parle strictement de mandat c'est le rôle "social" de la DPJ que de placer les enfants des parents qui représentent une menace pour leur intégrité.

Pour le reste (dont la réputation), et pour la réduction de la taille de l'état, ça serait assez ridicule de s'encombrer d'une pyramide de bureaucratie pour gérer et effectuer tous ces "test".

Et pour quels résultats ? Moins d'enfants maltraités, simplement moins d'enfants. De toute manière, ya déjà l'avortement en première ligne.

Monsieur X en rajoute :

Sup, je me suis qualifié pour avoir le droit de mettre un enfant au monde. Yéééé...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Jamais.

La psychologie n'est pas une science exacte et est constituée de multiples courants de pensées. C'est jamais ben ben vérifiable, les théories en psychologie, notamment à cause du sujet de l'étude en tant que telle (l'être humain). C'est pas exact ; c'est pas précis ; on peut pas prévoir. À moins que ce soit pour des cas très, très évidents, je ne vois pas comment elle peut être assez aboutie pour permettre/interdire à des parents d'avoir des enfants.

Ça laisserait la place à de graves injustices et erreurs.

Purs stéréotypes.

Dire que l'être humain est l'objet d'étude de la psychologie ne veut rien dire: un chercheur en neurosciences qui étudie le cerveau humain a aussi comme objet d'étude l'être humain...

En psychologie cognitive par exemple on peut très bien avoir comme objet d'étude un objet du quotidien dont on va analyser l'ergonomie à des fins industrielles:

http://psycho.univ-lyon2.fr/sites/psycho/IMG/pdf/ergo-cog1-MEBC.pdf

La psychologie n'est peut-être pas une science exacte (d'ailleurs la seule science exacte sont les mathématiques) mais elle est bien une science, utilisant la méthode expérimentale:

http://www.scribd.com/doc/2623655/Psychologie-Experimentale

La psychologie est précise puisque utilisant le modèle expérimental par essence qualifié de modèle "en entonnoir" (du plus large au plus précis). Quand le chercheur a à faire avec des données qualitatives il utilise la psychométrie, enseignée en même temps que les statistiques par des profs de mathématiques et qui sert à quantifier les données.

http://w3.uohpsy.univ-tlse2.fr/UOHPSY/index.php?option=com_content&task=view&id=135&Itemid=58

On peut bien prévoir: d'ailleurs ça fait partie de la phase de construction des hypothèses générales et opérationnelles, mais aussi de l'analyse statistique des résultats qui consiste à vérifier la validité de la reproductibilité des résultats avec une marge d'erreur prédéfinie (exemple du test de student: http://www.bibmath.net/dico/index.php3?action=affiche&quoi=./s/studenttest.html ), sans oublier l'étape de la conclusion et du développement qui permet au chercheur de poser de nouvelles pistes de réflexions en fonction de ses résultats statistiques et donc de prévoir les futurs travaux en la matière.

La psychologie ce n'est pas "j'interprète subjectivement ce qu'il y a dans la tête des gens", ça tiens du fantasme populaire et de la mauvaise vulgarisation que l'on peut voir un peu partout mais n'a rien à voir avec la psychologie universitaire et scientifique.

Les statistiques ont une place importante en psychologie, tout comme la biologie, la psychophysiologie, la neurobiologie, les maths en général et l'informatique!!!

Juste pour info la psychologie se divise en 4 grands secteurs:

-Psychologie clinique

-Psychologie sociale

-Psychologie cognitive (qui trouve des applications jusqu'au domaine industriel)

-Psychologie du développement.

Cependant je suis d'accord lorsque tu dis que la psychologie ne doit pas servir de jugement pour avoir des enfants, ce n'est pas son rôle! A part dans des cas criants de psychose chronique (d'ailleurs le sondage d'Ecchymose est plutôt bien fichu sur ce point).

Modifié par Jiti-way
  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Si on parle strictement de mandat c'est le rôle "social" de la DPJ que de placer les enfants des parents qui représentent une menace pour leur intégrité.

Pour le reste (dont la réputation), et pour la réduction de la taille de l'état, ça serait assez ridicule de s'encombrer d'une pyramide de bureaucratie pour gérer et effectuer tous ces "test".

Et pour quels résultats ? Moins d'enfants maltraités, simplement moins d'enfants. De toute manière, ya déjà l'avortement en première ligne.

Monsieur X en rajoute :

Sup, je me suis qualifié pour avoir le droit de mettre un enfant au monde. Yéééé...

C'est le gros principal désavantage, oui. Mais la DPJ ne changera pas grand chose à la négligence du parent, c'est ce que je voulais dire.

Coudonc Ecchymose, es-tu capable de ne pas répondre de manière insignifiante au gens qui postent dans ton thread normalement? Au lieu de juger tout ce qu'il dit, discute, dis ton point de vue avec de l'argumentation : tu sembles y tenir.

Où est-ce que j'ai répondu de manière insignifiante?
  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il s’agit d’une question des plus complexes, car elle contient plusieurs enjeux non résolus dans la communauté scienfitique à ce jour:

Est-ce que nous avons trouvé une méthode efficace pour dresser une évaluation psychologique non biaisée d’un individu?

Est-ce que le déséquilibre psychique des parents affecte notablement celui des enfants? De quelle façon?

Pour ma part, je ne crois pas que les évaluations psychométriques soient extrêmement fiables: la psychologie a besoin d’avancement majeur. Cependant, la maladie mentale existe. À la deuxième question, je répondrais , qu’en effet, l’enfance joue un rôle prépondérant dans la construction du psychisme d’un enfant. Une personne instable ne devrait pas se responsabiliser d’une tâche telle qu’est celle d’élever des enfants. Nous sommes dans une société de faibles, de dépendants affectifs, de gens malades en manque de considération parentale. Cette carence les suit toute leur vie et ils ne mèneront qu’une existence pathétique, vouée à la médiocrité, stérile pour le bien commun. Cette société de mals aimés créé des individus aliénés, égocentriques, individualistes, qui vont d’abord penser à combler leur manque d’amour au lieu de rendre à la société quelque chose de constructif.

Ce que j’écris ici n’est qu’une opinion personnelle, quelque peu extrémiste soit, mais une opinion malgré tout.

Enfin, tout ceci n’a rien à voir avec les maladies qui sont héréditaires, neurologiques, telles que le trouble bipolaire et la schizophrénie. Là, c’est une autre histoire, puisque nous pouvons être presque certain du diagnostic et du risque: c’est prouvé scientifiquement.

Mais l'affaire des amendes, c'est un peu niaiseux... :hamster:

Modifié par Dropsy
  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pas besoin d'évaluation psychologique. On a juste à empêcher aux BS et aux Noirs d'avoir des enfants et ça règle 99% des cas de DPJ.

Ça, c'était très gratuit.

Je tiens quand même à te dire que j'aimerais bien avoir ton opinion sérieuse sur la chose.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Purs stéréotypes.

Dire que l'être humain est l'objet d'étude de la psychologie ne veut rien dire: un chercheur en neurosciences qui étudie le cerveau humain a aussi comme objet d'étude l'être humain...

En psychologie cognitive par exemple on peut très bien avoir comme objet d'étude un objet du quotidien dont on va analyser l'ergonomie à des fins industrielles:

http://psycho.univ-lyon2.fr/sites/psycho/IMG/pdf/ergo-cog1-MEBC.pdf

La psychologie n'est peut-être pas une science exacte (d'ailleurs la seule science exacte sont les mathématiques) mais elle est bien une science, utilisant la méthode expérimentale:

http://www.scribd.com/doc/2623655/Psychologie-Experimentale

La psychologie est précise puisque utilisant le modèle expérimental par essence qualifié de modèle "en entonnoir" (du plus large au plus précis). Quand le chercheur a à faire avec des données qualitatives il utilise la psychométrie, enseignée en même temps que les statistiques par des profs de mathématiques et qui sert à quantifier les données.

http://w3.uohpsy.univ-tlse2.fr/UOHPSY/index.php?option=com_content&task=view&id=135&Itemid=58

On peut bien prévoir: d'ailleurs ça fait partie de la phase de construction des hypothèses générales et opérationnelles, mais aussi de l'analyse statistique des résultats qui consiste à vérifier la validité de la reproductibilité des résultats avec une marge d'erreur prédéfinie (exemple du test de student: http://www.bibmath.net/dico/index.php3?action=affiche&quoi=./s/studenttest.html ), sans oublier l'étape de la conclusion et du développement qui permet au chercheur de poser de nouvelles pistes de réflexions en fonction de ses résultats statistiques et donc de prévoir les futurs travaux en la matière.

La psychologie ce n'est pas "j'interprète subjectivement ce qu'il y a dans la tête des gens", ça tiens du fantasme populaire et de la mauvaise vulgarisation que l'on peut voir un peu partout mais n'a rien à voir avec la psychologie universitaire et scientifique.

Les statistiques ont une place importante en psychologie, tout comme la biologie, la psychophysiologie, la neurobiologie, les maths en général et l'informatique!!!

Juste pour info la psychologie se divise en 4 grands secteurs:

-Psychologie clinique

-Psychologie sociale

-Psychologie cognitive (qui trouve des applications jusqu'au domaine industriel)

-Psychologie du développement.

Cependant je suis d'accord lorsque tu dis que la psychologie ne doit pas servir de jugement pour avoir des enfants, ce n'est pas son rôle! A part dans des cas criants de psychose chronique (d'ailleurs le sondage d'Ecchymose est plutôt bien fichu sur ce point).

Je m'excuse d'emblée. J'ai fait l'erreur d'utiliser le terme "psychologie" au lieu de "psychanalyse". C'est une erreur de langage et tu m'en vois bien désolé. En fait, je me rends bien compte de la scientificité de certaines branches de la psychologie (notamment, la neuroscience comme tu le mentionnes si bien). Ma blonde qui a elle-même suivit des cours de psychologie à l'Université (elle avait des cours de psychologies scientifiques, nécessaires à une bonne orthophoniste) me racontaient d'ailleurs les bases scientifiques et les tests standardisés à marge d'erreur maximale de 5%. On s'entend aussi qu'on a rien à redire sur les pathologies d'ordre mentales.

On doit s'entendre, cependant, sur le fait que la psychanalyse, elle, repose sur des bases beaucoup moins scientifiques. Du moins, il y a place à la critique. Et justement, je ne vois pas quelle autre branche de la psychologie pourrait être utilisée pour permettre ou interdire des parents d'avoir des enfants. Sur quoi tu te bases pour déterminer si telle personne sera ou non un bon parent? La neuroscience? J'en doute. Comment déterminer que tu sauras transmettre "les bonnes valeurs" à tes enfants? Que tu ne battras pas ton enfant? Que tu ferais un meilleur père qu'un autre? Il me semble, et si je me trompe, je suis ouvert à ta réponse, que ce serait du ressort de la psychanalyse, qui n'est pas des plus scientifiques et qui est du ressort de multiples courants de pensées. Les tests psychométriques ne sont pas toujours des plus fiables non plus.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Critique_de_la_psychanalyse

Modifié par Le_Pervers
  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Test psychologique pour tout le monde? Non.

Test pour les personnes atteinte de maladies mentales? Peut-être

Pas besoin d'un test non plus, peut-être une simple entrevue comme avec les adoptions.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je suis absolument contre, imaginez les dérives possibles de ce système, un genre de "tri" pourrait être effectué, telle ou telle pensée passe, pour avoir des gens conditionnés, c'est ça qui fait la diversité et je trouve l'idée de permis absolument ridicule, c'est comme ceux qui veulent contrôler génétiquement leur enfant : yeux, cheveux, morphologie, sexe, on touche trop à la nature et un jour on va finir par s'en mordre les doigts.

Je suis de ceux qui pensent que le gouvernement ou tout autre institution n'a pas à décider de ce genre de choses.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

(modifié)

Test psychologique pour tout le monde? Non.

Test pour les personnes atteinte de maladies mentales? Peut-être

Pas besoin d'un test non plus, peut-être une simple entrevue comme avec les adoptions.

C’est assez aberrant.

Comment déterminer si quelqu’un est pathologique ou non sans procéder à des tests?

En fait, la maladie mentale (névroses et psychoses) est vaste et existe à des degrés divers chez les invidus (voir les critères qui font barrière entre la normalité et l’anormalité en psychologie).

La psychose, si elle est facilement décelable, car caractérisée par une déconnection avec la réalité, reste la forme la plus extrême de maladie mentale.

Les grosses névroses et les troubles de personnalité touchent une proportion non négligeable de la population et ne se voient pas au premier coup d’oeil. Ces gens là ne diposent pas toujours de la solidité mentale nécessaire pour avoir des enfants et les respecter. Et ça passe pas mal inaperçu avec des entrevues bidons, qui sont encore moins fiables que les tests psychométriques.

Enfin, c’est vraiment un résumé sommaire et mauvais.

Donc, lorsqu’on parle de pathologie mentale, on ne parle pas nécessairement d’un fou qui hurle à la lune.

Modifié par Dropsy
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

(modifié)

Je m'excuse d'emblée. J'ai fait l'erreur d'utiliser le terme "psychologie" au lieu de "psychanalyse". C'est une erreur de langage et tu m'en vois bien désolé.

Au temps pour moi.

On doit s'entendre, cependant, sur le fait que la psychanalyse, elle, repose sur des bases beaucoup moins scientifiques. Du moins, il y a place à la critique.

C'est tout à fait vrai pour la méthode psychanalytique, cependant pour ce qui est de la théorie (métapsychologie freudienne), c'est plus compliqué car elle est utilisée en recherche en psychiatrie, psychologie clinique ou psychopathologie, et qu'elle fournie une théorie du sujet plutôt pertinente.

Les tests développés (ou même les analyses de discours à la manière d'un psychologue) grâce à cette théorie, tests projectifs pour la plupart, permettent de bien discerner la structure psychique (névrotique ou psychotique principalement) d'une personne.

Il est bien évident qu'on ne peut utiliser ces tests projectifs seuls mais en complément d'autres tests.

Et justement, je ne vois pas quelle autre branche de la psychologie pourrait être utilisée pour permettre ou interdire des parents d'avoir des enfants. Sur quoi tu te bases pour déterminer si telle personne sera ou non un bon parent? La neuroscience? J'en doute. Comment déterminer que tu sauras transmettre "les bonnes valeurs" à tes enfants? Que tu ne battras pas ton enfant? Que tu ferais un meilleur père qu'un autre? Il me semble, et si je me trompe, je suis ouvert à ta réponse, que ce serait du ressort de la psychanalyse, qui n'est pas des plus scientifiques et qui est du ressort de multiples courants de pensées. Les tests psychométriques ne sont pas toujours des plus fiables non plus.

Ma réponse est simple et je l'ai déjà dit: ce n'est pas du ressort de la psychologie.

J'ajouterai que c'est celui de la justice.

Dans ce cas là la justice doit utiliser plusieurs expertises psychologiques, psychiatriques, mais aussi des enquêtes sociales pour arriver à conclure sur un jugement fiable. Mais cela ne peut se faire que lorsque l'enfant est déjà né, quand on peut observer la relation du parent à l'enfant.

En fait faire une évaluation psychologique pour donner naissance n'a aucun sens en soi et n'a rien de scientifique ça c'est clair, on est pas dans Minority report. ^_^

Modifié par Jiti-way
  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

(modifié)

Moi je suis un eugeniste, je suis en faveur que les personnes qui veulent avoir un enfant passe des test psychologique de q.i et aussi dans la mesure du possible evaluer le risque que l'enfant aie tel ou tel maladie. Une fois ceci fait on passe au coté monaietaire, je crois que pour avoir un enfant il faut dabors vivre aiséement, a partir de ceci il faudrait savoir ce qu'on entend par vivre aiséement et si ils seraient capable coté budget d'avoir un enfant a leur charge.

Je suis contre le fait qu'un(e) b.s ayant 500$/mois puisse avoir un enfant, de ce fait je crois que la stérilisation des b.s serais de quoi a envisager, anyway, ce n'est pas eux qui vont faire avancer notre sociétée...

Aussi je suis pour l'interdiction des personnes de d'autre culture qui arrive ici et qui vive encore selon leur culture. Bref, selon moi ce genre de personne ne devrais avoir aucun droit d'avoir des enfants ici, a moin qu'il vive comme tout bon canadien.

Modifié par Dawn Of Ashes
  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

(modifié)

Moi je suis un eugeniste, je suis en faveur que les personnes qui veulent avoir un enfant passe des test psychologique de q.i et aussi dans la mesure du possible evaluer le risque que l'enfant aie tel ou tel maladie. Une fois ceci fait on passe au coté monaietaire, je crois que pour avoir un enfant il faut dabors vivre aiséement, a partir de ceci il faudrait savoir ce qu'on entend par vivre aiséement et si ils seraient capable coté budget d'avoir un enfant a leur charge.

Je suis contre le fait qu'un(e) b.s ayant 500$/mois puisse avoir un enfant, de ce fait je crois que la stérilisation des b.s serais de quoi a envisager, anyway, ce n'est pas eux qui vont faire avancer notre sociétée...

Aussi je suis pour l'interdiction des personnes de d'autre culture qui arrive ici et qui vive encore selon leur culture. Bref, selon moi ce genre de personne ne devrais avoir aucun droit d'avoir des enfants ici, a moin qu'il vive comme tout bon canadien.

C'est vrai qu'avec de telles mesures, on éviterait que tu te reproduises. S't'un argument en béton en faveur de la proposition à Ecchymose.

Dans le même ordre d'idées, apprends dont à écrire correctement.

Modifié par Le_Pervers
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

(modifié)

Moi je suis un eugeniste, je suis en faveur que les personnes qui veulent avoir un enfant passe des test psychologique de q.i et aussi dans la mesure du possible evaluer le risque que l'enfant aie tel ou tel maladie. Une fois ceci fait on passe au coté monaietaire, je crois que pour avoir un enfant il faut dabors vivre aiséement, a partir de ceci il faudrait savoir ce qu'on entend par vivre aiséement et si ils seraient capable coté budget d'avoir un enfant a leur charge.

Je suis contre le fait qu'un(e) b.s ayant 500$/mois puisse avoir un enfant, de ce fait je crois que la stérilisation des b.s serais de quoi a envisager, anyway, ce n'est pas eux qui vont faire avancer notre sociétée...

Aussi je suis pour l'interdiction des personnes de d'autre culture qui arrive ici et qui vive encore selon leur culture. Bref, selon moi ce genre de personne ne devrais avoir aucun droit d'avoir des enfants ici, a moin qu'il vive comme tout bon canadien.

T'es vraiment une merde. LÀ, on pourrait presque établir des rapports avec la loi de Godwin.

En quoi est-ce que ça peut réellement poser problème que des immigrants aient des enfants? Je trouve tout autant drôle que tu parles de quotient intellectuel, j'ai toujours cru que t'étais du genre à avoir un beau gros 80.

Je suis aussi en faveur de l'idée d'une évaluation psychologique (évidemment, l'appliquer est une utopie), mais toi, tu vas bien trop loin.

Stériliser les B.S.? Est-ce une blague de mauvais goût? J'éprouve aussi un gros mépris pour les personnes paresseuses qui refusent de travailler lorsqu'ils en sont capables. Toutefois, je doute qu'on devrait leur ôter le droit d'avoir un enfant. Certains peuvent facilement s'en sortir.

Au fond, plus j'y repense, plus je remets en question si ce serait réellement une bonne idée.

Toutefois, je crois qu'on devrait réellement y penser en Asie, vu la surpopulation qui s'y trouve.

Modifié par Ecchymose
  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

(modifié)

Je vois tellement pas le lien avec les B.S. et le fait de pouvoir avoir des enfants ou non. Va falloir m'expliquer autrement que des préjugés comme quoi les B.S. qui sont tous des zéro de quotient, des paresseux, etc.

Comme dit Ecchymose, certains peuvent facilement s'en sortir.

Et que ferait-on dans le cas de quelqu'un qui a déjà des enfants mais pour une raison X, doit aller sur le BS?

Modifié par L'Anthropologue
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Veuillez vous connecter pour commenter

Vous pourrez laisser un commentaire après vous êtes connecté.



Je veux revenir!
 Partager

×
×
  • Créer...