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Bioshock Infinite


Déchet(s) recommandé(s)

Fait intrigant pour les gens qui ont passer le jeu.

Quand on choisi la broche de l'oiseau ou la cage pour Élizabeth au début, elle le porte tout le long du jeu. Par contre, à la fin, la Élizabeth à qui tu parle a l'autre broche..!

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Fini le jeu hier soir. J'ai mieux aimé le premier Bioshock, mais c'était quand même tres bon. La finale est intéressante, mais tout au long du jeu je me suis senti beaucoup moins impliqué dans l'histoire que dans le premier titre.

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Quelques autres points qui m'ont décus

- Les vigors sont une pâle copie des plasmids et ne sont jamais introduit adéquatement, même s'ils sont toujours plaisant à utiliser.

- Les armes sont nombreuses, mais généralement plates à utiliser. Je pense au sniper rifle entre autre qui jure particulièrement avec le gameplay rapide et dynamique. Dans le premier bioshock chaque arme était rendu accessible à un moment particulier, et à la fin je les utilisais toutes tout dépendamment de la situation.

- J'avais l'impression que les "tears" d'Elizabeth était mal exploitées dans les combats. De toujours avoir les même objets rendus accessible de cette manière diminuait l'effet produit initialement par l'introduction de ce feature. L'effet que tout est possible, etc. Je trouvais ça vraiment intéressant lorsque les tears étaient utilisé dans la trame narrative.

- Tomber dans le vide ne tue pas... ca ne coupe meme pas l'action... tu reviens en une fraction de seconde. Deja que je trouvais ca moyen dans Bioshock 1, au moins les vita chambers étaient expliquées et tu devais revenir un peu sur tes pas.

- Andrew Ryan me manquait cruellement. Un antagoniste intéressant bref.

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J'ai plusieurs heures de jeu de fait et je dois avouer que j'ai pas tant de fun. Ça se résume pas mal à un shooter avec des couleurs vives. L'intro m'avait fait une très bonne impression et avec les vidéos de pré-sortie je croyais que ça allait être un jeu d'aventure/action haut en couleur. Finalement, à partir du premier kill, l'immersion perd de la vitesse. Mon expérience de jeu depuis les 2-3 dernières heures se résume pas mal à tirer dans l'tas pour passer à travers le narratif et de courir d'un bout à l'autre de la carte en spammant le bouton action frénétiquement pour fouiller tout ce qui se fouille.

Le personnage d'Elizabeth est intéressant (évite certains clichés) et l'univers est bien réalisé, mais j'ai pas trop trop de misère à quitter le jeu.

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(modifié)

J'ai terminé le jeu à médium ça m'a pris 31 heures sur 8 jours normalement le gameplay prend 16 heures. J'ai looté tout ce qui était possible sans en laisser une miète, j'ai parlé à tout le monde, j'ai tué tout ce que je pouvait tuer ce qui explique que ça m'ait pris autant de temps pour terminer le jeu. J'ai recommencé le jeu en mode 1999 mais c'est vraiment hardcore quand on meurt si on a pas assez d'argent on doit recommencer au menu principal.

Concernant la fin, j'ai une hypothèse bien personnelle.

Entendre des versions de Girls want to have fun de Cindy Lauper écrite en 1979 et de God only knows des Beach Boys écrit en 1966 ne sont pas présentes dans Columbia parce qu'on a ouvert des failles temporelles sur des univers parallèles mais bien parce que Columbia existe en vase clos à 15 000 pieds d'altitude et est donc coupée du reste du monde.

À l'instar de la communauté Amish, Zachary Comstock a décidé de créer une société ydillique selon ses standarts quitte à exercer une ségrégation sur les personnes de couleurs ce qui est à son avis un mal nécessaire selon ses convictions. Mais il ne faut pas oublier que Booker Dewitt qui est aussi Zachary Comstock provient d'une époque précise : circa 1872. Il est donc normal que Booker Dewitt rencontre un homme bien plus vieux en la personne de Zachary Comstock car il voyage dans le futur (1912) soit 40 ans plus tard.

Ce que je crois, et c'est la que ca devient particulier, c'est que Columbia n'est pas vraiment en 1912. Que Zachary Comstock fait vivre une société coupée du reste du monde sans emmener ce qui les corrompt à son point de vue, soit le progrès et notamment la déségrégation des afro-américains par le Docteur Martin Luther King dans les années 1960. Cela expliquerait enfin les versions alternatives des chansons de Cindy Lauper et des Beach Boys. Columbia se passerait possiblement dans les années 90 sur Terre et dans les années 1910 selon les habitants de Columbia dans leur idéal obsolète.

Ce qui m'emmène donc au moment ou New York est ravagé par les flammes car attaqué par Elizabeth Comstock alias Eva Dewitt. Cette scène se passerait dans une époque future et non dans les années 1990 comme certaines personnes l'ont mentionné dans des blogues YouTube. Elizabeth présente les traits d'une personne d'un âge avancé et en ''1912'' versus ''1990'' selon le scénario A elle aurait probablement 68 ans de + que ses 20 ans lors de son incarcération dans sa cage dorée de Columbia. Par conséquent dans le scénario B la scène de New-York ravagée par les flammes se passerait dans les années circa 2058. Ceci expliquerait aussi que nous n'avons jamais expérimenté une telle attaque à New York (passons-nous des mauvaises blagues du 11 Septembre 2001). Car les événements sur lesquels Bioshock se basent sont réellement arrivés : Wounded Knee, l'assassinat de Lincoln, la rébellion des Boxers et même une soit-disante version de la Vox Populi (Black Panthers).

Modifié par Behemoth
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J'ai terminé le jeu à médium ça m'a pris 31 heures sur 8 jours normalement le gameplay prend 16 heures. J'ai looté tout ce qui était possible sans en laisser une miète, j'ai parlé à tout le monde, j'ai tué tout ce que je pouvait tuer ce qui explique que ça m'ait pris autant de temps pour terminer le jeu. J'ai recommencé le jeu en mode 1999 mais c'est vraiment hardcore quand on meurt si on a pas assez d'argent on doit recommencer au menu principal.

Concernant la fin, j'ai une hypothèse bien personnelle.

Comstock est plus vieux à cause des effets des "tears" sur la santé, comme l'explique un des voxophones :

Vox-Prophetisdying.jpg

Ce site contient tout ce qu'il faut savoir sur l'histoire de Bioshock Infinite : http://www.neogaf.co...ad.php?t=533205

Entre autres, un truc très intéressant, on entendrait le cri de mort de Songbird dans Bioshock (à 0:14)

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Ce qui m'emmène donc au moment ou New York est ravagé par les flammes car attaqué par Elizabeth Comstock alias Eva Dewitt. Cette scène se passerait dans une époque future et non dans les années 1990 comme certaines personnes l'ont mentionné dans des blogues YouTube. Elizabeth présente les traits d'une personne d'un âge avancé et en ''1912'' versus ''1990'' selon le scénario A elle aurait probablement 68 ans de + que ses 20 ans lors de son incarcération dans sa cage dorée de Columbia. Par conséquent dans le scénario B la scène de New-York ravagée par les flammes se passerait dans les années circa 2058. Ceci expliquerait aussi que nous n'avons jamais expérimenté une telle attaque à New York (passons-nous des mauvaises blagues du 11 Septembre 2001). Car les événements sur lesquels Bioshock se basent sont réellement arrivés : Wounded Knee, l'assassinat de Lincoln, la rébellion des Boxers et même une soit-disante version de la Vox Populi (Black Panthers).

Tabarnak que y'en a qui bont chercher des explications trop loin dans les jeux. Voyons criss, qui c'est qui pense que c'est dans les anné 1990? Me semble que 2 seconde apres que la scene commence, tu sais que c'est dans le futur. Faut etre attardé en esti pour pensé que c'est pas le futur. dans CETTE réalité. De toute facon, a la fin, en savant que y'a un milliards de scenario x 1000000 possibles (étoiles) tout suppositions s'écroulent.

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(modifié)

Ce message est à la hauteur de l'individu. Tu viens de perdre l'estime que j'avait envers toi.

Apprend à communiquer dans le respect.

Modifié par Behemoth
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  • 2 semaines plus tard...
  • 3 mois plus tard...
  • 6 mois plus tard...
  • 2 mois plus tard...
(modifié)

Fini Burial at Sea part 2 et si la première était un peu emmerdante, la deuxième se rattrape.

Le côté stealth aurait du être tout le gameplay de la franchise tellement jai eu plus de fun que les nombreuses vagues d'ennemis à tuer qui devient plate à longue.

Et niveau histoire on retrouve la même folie narrative qu'Infinite avec voyages dimensionnels, dans le temps et plus de détails concernant le lien entre Columbia et Rapture et un ton mélancolique et dépressif.

Bref, avec Burial at Sea Levine semblait pas mal décider à conclure la franchise Bioshock même si il y a des portes d'ouvertes. Ce qui est pas mal quand d'autres franchises s'étirent beaucoup trop en longueurs (Assassin's Creed) ou ne savent plus quoi raconter (Resident Evil).

Et comme autres suites, les Luteces peuvent toujours avoir un rôle en plus que leurs machine existe encore.

Modifié par The Eternal
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