Pesmerga 15 mai 2010 Partager 15 mai 2010 J'ai pas encore lu ton texte Vac, mais c'est clair que vais lire ca avec intérêt. Quoique on peut pas trop trop être en désaccord avec l'un ou l'autre. Je m'explique: Dans l'un des cas(Dantes): Disont si l'on définit le bonheur comme état de satisfaction devant l'accomplissement général de sa vie on peut dire que presque chacun est heureux. Alors que dans l'autre cas(Pesmerga): Le bonheur se définit comme l'état de béatitude total. Dite-moi si je me trompe? Non non, tu comprend pas. Dantes n'avait pas compris TON post quand TU disais que le bonheur était impossible à atteindre. Je n'ai jamais dit une telle chose (même si je pense un peu comme toi). Moi j'ai seulement tenté d'interpréter ton message. J'ai comme répondu à ta place mais j'aurais pas du. C'est juste un malentendu. Moi je ne dis pas qu'on peut pas être heureux. Je dis qu'on ne pourra jamais être complet, 100% satisfait/comblé et rassasié de la vie. On ne pourra jamais avoir la tranquilité de l'âme/la paix intérieur. On va toujours ressentir un vide, un manque, un regret, un besoin ou un désir etc. Un truc qui va nous faire souffrir, nous rendre triste, nous inquiéter, nous hanter, nous ronger de l'intérieur. Et ca sera souvent nos utopies, nos idéaux, nos rêves, nos amours et nos proches, inévitablement. Ca nous empêche pas d'aimer la vie et être de bonne humeur. Mais ca nous empêche d'atteindre l'ataraxie/béatitude. Pour l'atteindre il faudrait avoir aucun désir et aucun sentiment. Être un robot ou être mort. Mais la paix éternelle et le bonheur absolu c'est pas un truc qui me semble vraiment désirable. Au contraire la souffrance est bien plus enivrante que le vide. Moi mon point, c'est que si tu as l'impression d'être "HEUREUX", c'est forcément parce que tu t'es déjà senti MAL-heureux auparavant. Autrement dit, tu te sens juste meilleur ou mieux que ton passé. Moins pire, moins triste, moins inquièt, moins tourmenté etc. Alors d'après moi chaqun à un bonheur qui lui est propre. C'est un état de satsifaction temporaire qui est relatif au vécu et à la condition d'une personne. Je peux donc à l'occasion être aussi heureux que Dantes ou Milie mais pour des raisons différentes. Et ce, même si techniquement Milie a "mieux réussi" sa vie que moi. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Majoras 15 mai 2010 Partager 15 mai 2010 Mieux réussi sa vie, c'est ton point de vu. Tout dépend encore de ce que lui considère réussir sa vie.De plus, ce n'est pas parceque l'on pensait prendre des choix qui nous rendrait plus heureux, que ce sera forcément le cas.Selon moi, notre environnement conditionne énormément nos gouts, nos attentes, nos envies, et nos choix. L'experience et notre faculté à se remettre en question (conditionné par notre environnement où réel possibilité d'émancipation ? Je ne saurais dire, je me pose réellement beaucoup cette question.) Il est donc difficile de définir le bonheur en lui même, chacun le cherche (plus où moins) donc en fonction de toutes ces choses là, et chacun l'atteint de différent moyens. Une fois attend, soit on s'en satisfait, soit on en veux plus. Et là, les premiers auront une propension supérieur à trouver leurs bonheurs, imo. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bubba Roi 15 mai 2010 Partager 15 mai 2010 Câlice les boys, on est pas dans un thread de philo.La question était: sur quelle échelle, à quel niveau vous considérez-vous heureux? Pourquoi?C'était pas: qu'est-ce que le bonheur.Sérieux, j'veux pas faire mon troll, mais à vous obstinez de même sur des détails et des définissions de mots abstrait, vous découragez la moitié des gens qui auraient eu envie de répondre. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Vacpower™ 15 mai 2010 Partager 15 mai 2010 Câlice les boys, on est pas dans un thread de philo.La question était: sur quelle échelle, à quel niveau vous considérez-vous heureux? Pourquoi?C'était pas: qu'est-ce que le bonheur.Sérieux, j'veux pas faire mon troll, mais à vous obstinez de même sur des détails et des définissions de mots abstrait, vous découragez la moitié des gens qui auraient eu envie de répondre.Euh, non, c'est une question de type philo.C'est pas des détails, c'est fondamental. Tu demande aux gens s'ils sont heureux, et bien ce que tu te rend compte c'est qu'on sait même pas c'est quoi être heureux (ou avoir le bonheur, synonyme). Ton sondage n'a pas vraiment de sens si on ne sait pas c'est quoi qu'être heureux. Force toi un peu pour lire et apprend à argumenter et clarifier des concepts, ça te sera utile plus tard.Si tu pensais sérieusement que le sujet pouvais ne pas divaguer vers de la philo...c'est que t'aurais besoin de plus de cours de philo parce qu'il y a quelque chose que t'a pas compris dans son utilité. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bubba Roi 15 mai 2010 Partager 15 mai 2010 Ouais, c'est ben beau tout ça, sauf qu'en tant que tel, le bonheur c'est propre à chaque personne.Toute votre crap pour trouver sa définition, etc. et blablabla, c'est inutile, puisque en tant que tel, chacun sait à sa manière c'est quoi le bonheur, même si rare sont ceux qui savent l'exprimer en mot. Mon bonheur ne sera pas le tiens et vice-versa.Là où je voulais en venir, c'est que ce sujet aurait pu avoir beaucoup de potentiel niveau confidence, mais vous l'empêtrer dans un pseudo débat philosophique qui ne fait que détourner la discussion de son réel but. Du coup, on a pu envie de lire la suite, parce que anyway, votre débat n'aura pas de fin. Ça fait plus de 4000 ans que l'être humain essaie de définir le bonheur et qu'il n'en a pas été capable. Va pas croire que votre ajout à la discussion va changer quelque chose.Prends ça comme tu veux, mais mon message est passé. Cut the crap pis revenons au sujet principal:Sur une échelle de 1 à 10, à combien mesurer vous votre bonheur? Pourquoi? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gamin 15 mai 2010 Partager 15 mai 2010 Sur une échelle de 1 à 10, à combien mesurer vous votre bonheur? Pourquoi?10, parce que c'est d'même pis qu'anyway je pourrais pas l'exprimer en mot. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Milie Vanilli 15 mai 2010 Partager 15 mai 2010 Mieux réussi sa vie, c'est ton point de vu. Tout dépend encore de ce que lui considère réussir sa vie.De plus, ce n'est pas parceque l'on pensait prendre des choix qui nous rendrait plus heureux, que ce sera forcément le cas.Selon moi, notre environnement conditionne énormément nos gouts, nos attentes, nos envies, et nos choix. L'experience et notre faculté à se remettre en question (conditionné par notre environnement où réel possibilité d'émancipation ? Je ne saurais dire, je me pose réellement beaucoup cette question.) Il est donc difficile de définir le bonheur en lui même, chacun le cherche (plus où moins) donc en fonction de toutes ces choses là, et chacun l'atteint de différent moyens. Une fois attend, soit on s'en satisfait, soit on en veux plus. Et là, les premiers auront une propension supérieur à trouver leurs bonheurs, imo.Exactement. Si je prends mon propre cas, j'ai beau avoir une belle job, un chum, une voiture neuve, assez d'argent pour pas me stresser pis ressembler au "stéréotype de la vie réussie", mais tout ce que j'ai, je peux le perdre, ce n,est pas acquis. Tout est dans notre perception de sa propre vie. Une personne exactement dans ma situation pourrait être malheureuse et penser que le bonheur pleinement atteint n'est pas du tout ça. Plusieurs personnes pourraient vouloir absolument une maison et un énorme salaire pour avoir plus, vouloir être plus beau. D'autres voudraient voyager et se sentiraient brimés par une job comme la mienne qui me donne peu de temps pour voyager, etc.Moi, ça me va et même si j'ai des ambitions personnelles ( en musique, par exemple), je me contente de ce que j'ai et je ne rumine pas sans cesse mes problèmes, je suis proactive. Je pense que c'est un trait de personnalité qui m'aide. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Oshino 15 mai 2010 Partager 15 mai 2010 Moi, ça me va et même si j'ai des ambitions personnelles ( en musique, par exemple), je me contente de ce que j'ai et je ne rumine pas sans cesse mes problèmes, je suis proactive. Je pense que c'est un trait de personnalité qui m'aide.Ta "recette" est bonne. Tes chances d'être heureuse sont excellentes.Si tu pensais sérieusement que le sujet pouvais ne pas divaguer vers de la philo...c'est que t'aurais besoin de plus de cours de philo parce qu'il y a quelque chose que t'a pas compris dans son utilité.C'était fondamentalement inévitable, en effet. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pesmerga 15 mai 2010 Partager 15 mai 2010 J'ai mis mieux réussi entre guillemets aussi.J'ai dit ca parce qu'elle semble assez comblé et heureuse. Elle est choyé et a presque tout ce qu'elle veut. J'aurais pu prendre n'importe qui d'autre comme exemple qui s'est donné un 8-9-10 dans l'échelle. Et je suis conscient que c'est éphémère aussi. Demain elle pourrait perdre son chum, son travail, son band et ses proches et puis tomber à 2/10. C'est pas un truc qui est fixe. Mais c'est vrai que ca plus ou moins rapport. Je ne pense pas qu'il faut absolument avoir "réussi sa vie" pour être heureux. A moins qu'on définisse le bonheur comme étant un synonyme de succès/réussite. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Oshino 15 mai 2010 Partager 15 mai 2010 Demain elle pourrait perdre son chum, son travail, son band et ses proches et puis tomber à 2/10. C'est pas un truc qui est fixe. Le "bonheur" est un truc fixe. C'est notre "humeur" qui est un truc variable.Elle pourrait perdre tout ça en une minute. Elle n'a qu'à signer un contrat outre mer pour quelques années. Son ancienne vie va lui manquer. Mais juste le temps de se refaire une autre vie là bas. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Vacpower™ 16 mai 2010 Partager 16 mai 2010 Ouais, c'est ben beau tout ça, sauf qu'en tant que tel, le bonheur c'est propre à chaque personne.Toute votre crap pour trouver sa définition, etc. et blablabla, c'est inutile, puisque en tant que tel, chacun sait à sa manière c'est quoi le bonheur, même si rare sont ceux qui savent l'exprimer en mot. Mon bonheur ne sera pas le tiens et vice-versa.Là où je voulais en venir, c'est que ce sujet aurait pu avoir beaucoup de potentiel niveau confidence, mais vous l'empêtrer dans un pseudo débat philosophique qui ne fait que détourner la discussion de son réel but. Du coup, on a pu envie de lire la suite, parce que anyway, votre débat n'aura pas de fin. Ça fait plus de 4000 ans que l'être humain essaie de définir le bonheur et qu'il n'en a pas été capable. Va pas croire que votre ajout à la discussion va changer quelque chose.Prends ça comme tu veux, mais mon message est passé. Cut the crap pis revenons au sujet principal:Sur une échelle de 1 à 10, à combien mesurer vous votre bonheur? Pourquoi?Tu est l'exemple parfait de ce que dénoncait Socrate, ceux qui se croient savant et qui ne le sont pas.Le problème ici c'est que tu me donne une définition du bonheur, une façon de penser le problème, qui pour toi t'apparaît évidente, ce qui fait que pour toi après la question de la définition ne se pose pas. Mais le problème c'est ça, c'est que ta version n'est pas évidente.Ce n'est pas du tout facile pour quelqu'un de même déterminer s'il est heureux ou pas, encore moins sur une échelle de 1 à 10. De quoi on parle quand on parle du bonheur, est-ce qu'on cherche un état de béatitude quasi permanent ? Est-ce qu'on parle d'une simple absence de souffrance ? Une absence de troubles (ataraxie) ? Est-ce que ca peut être temporaire ? Est-ce que c'est sur l'ensemble d'une vie ? Est-ce que d'apprécier un bon film et un bon repas à un moment précis c'est ça être heureux ? Ou bien s'il faut pas quelque chose de plus ? Est-ce qu'on peut se contenter d'être bien qu'à temps partiel, en quelque sorte d'avoir été heureux hier aide à endurer la souffrance d'aujourd'hui ? Est-ce que le bonheur c'est pas plutôt réussir des objectifs de vie ? C'est une question philosophique parce que le concept centrale n'a vraiment pas de définition claire. Le concept est flou, on ne le comprend pas mais en même temps tu ose venir dire que c'est une chose simple que de répondre sur une échelle de 1 à 10.Si tu crois que c'est simple de répondre à cette question c'est que tu a véritablement besoin d'un cours de philosophie.Les sujet sur le bonheur virent inévitablement en discussion philosophique parce que c'est un sujet philosophique. Si l'auteur ne voulait pas avoir de philosophie il n'avait qu'à ne pas partir un sujet philosophique.C'est comme partir un sujet : "vous sentez vous libre sur une échelle de 1 à 10" et ne pas s'attendre à ce que le sujet ne vire pas autour d'une définition de la liberté. Si tout le monde répondrait ce qu'il "ressent de 1 à 10" sans poser de question c'est vraiment qu'on aurait vraiment raté quelque chose de fondamental dans notre système d'éducation. J'aurais peur de vivre dans cette société. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Иди и смотри 16 mai 2010 Partager 16 mai 2010 Le bonheur, c'est des flux chimiques dans ton cerveau... Dans les faits, ta vie suce. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lux 16 mai 2010 Partager 16 mai 2010 L'humour et le déni sont mes anges gardiens. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gamin 16 mai 2010 Partager 16 mai 2010 Dans les faits, ta vie suce.Ah ouais? Explique moi donc tes faits sans tomber dans la subjectivité s'te'plait Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Diost 20 mai 2010 Partager 20 mai 2010 Le bonheur n'est pas selon moi quelque chose qu'on peut atteindre, mais qu'on peut vivre. En transformant le bonheur comme un objectif se situant dans le temps et l'espace(donc s'auto-positionner pertinemment en dehors du bonheur lui-même) - on pose des barrières virtuelles à celui-ci en risquant donc ne jamais sentir ce fameux sentiment de béatitude.Il est si facile de fausser la définition du bonheur. Tant qu'il est une notion subjective: Le bonheur peut se voir acceptable par tous et toutes, n'importe quand, n'importe où. Tout revient à concrétiser le bonheur en effectuant un éveil sur soi et son entourage. Une personne vivant dans le passé ou le futur ne verra jamais ce qui lui fait face; vivant d'espérances et de regrets.Je crois donc convenable de me poser la question différemment. Sur une échelle de 10, à quel point je suis apte à accepter les choses telles qu'elles sont pour demeurer, conséquemment, dans un contexte de bonheur. La réponse sera équivalente à mon degré de bonheur. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
lithiumed 20 mai 2010 Partager 20 mai 2010 Les membres de ma famille sont individuellement des gens merveilleux;J'ai des amis qui m'aiment;Je réussis très bien à l'école;Je me fais complimenter souvent, on me dit que je suis talentueuse..Pourtant, je ne peux être heureuse. Je me suis résolu à penser comme ça parce que j'ai essayé souvent d'être positive et optimiste, en vain.Je sais que c'est un problème psychologique, et c'est difficile d'accepter que je devrai un jour ou l'autre faire quelque chose pour aller mieux; les médicaments, c'est pas pour moi.Je suis très capable de ressentir de la joie, mais ça ne dure jamais très longtemps. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Milie Vanilli 20 mai 2010 Partager 20 mai 2010 Le bonheur n'est pas selon moi quelque chose qu'on peut atteindre, mais qu'on peut vivre. En transformant le bonheur comme un objectif se situant dans le temps et l'espace(donc s'auto-positionner pertinemment en dehors du bonheur lui-même) - on pose des barrières virtuelles à celui-ci en risquant donc ne jamais sentir ce fameux sentiment de béatitude. Il est si facile de fausser la définition du bonheur. Tant qu'il est une notion subjective: Le bonheur peut se voir acceptable par tous et toutes, n'importe quand, n'importe où. Tout revient à concrétiser le bonheur en effectuant un éveil sur soi et son entourage. Une personne vivant dans le passé ou le futur ne verra jamais ce qui lui fait face; vivant d'espérances et de regrets. Je crois donc convenable de me poser la question différemment. Sur une échelle de 10, à quel point je suis apte à accepter les choses telles qu'elles sont pour demeurer, conséquemment, dans un contexte de bonheur. La réponse sera équivalente à mon degré de bonheur. EXACTEMENT!!!!!!!!!!!! Je pense que je vais copier ça et l'afficher partout C'est ça la clé! Une vie sans peine, sans colère et sans échecs est impossible. On ne peut que changer notre perception des choses 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
curieuse 20 mai 2010 Partager 20 mai 2010 Mon niveau de bonheur dépent presque entièrement de mes amours... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pesmerga 20 mai 2010 Partager 20 mai 2010 Être heureux n'est pas une façon "d'être", mais une façon de "vivre". (Tu veux tu dires qu'on est heureux ou malheureux par choix là?) Oui. Le soleil brille pour tout l'monde. À nous de décider si: "Y fa chaud en tabarnak!" ou "Y fa beau en tabarnak!" EXACTEMENT!!!!!!!!!!!! Je pense que je vais copier ça et l'afficher partout C'est ça la clé! Une vie sans peine, sans colère et sans échecs est impossible. On ne peut que changer notre perception des choses Allez dire ca aux petits nord coréens pauvres ou à la mère monoparentale qui a chopé le cancer du sein. "BEN NON, c'pas grave. T'as juste à changer ta perception des choses, MAN. T'as pas vraiment le cancer du cerveau, t'as juste une bosse fucking cool sur la tête! Compte toi chanceux d'avoir ca l'gros! Hey moi je tuerais pour avoir ca sérieux." Quand même comique ceux qui prétendent qu'on est heureux ou malheureux par choix. Cela dit, je me souviens d'une certaine étude qui démontrait que les personnes misérables (genre vivant dans les pays sous développés du tier monde) étaient souvent plus heureuses que les "enfants gatés" d'amérique du nord. En partie à cause de l'accès aux médias de la télévision et internet (conscience mondiale, sentiment de culpabilité, possibilité de se comparer au reste du monde) et la vie sédentaire (passive, sans efforts, sans lutte pour la survie). On a trop de temps pour réfléchir. On désir beaucoup trop de choses. On est trop gourmand, greedy etc. Alors qu'eux ont juste pas le temps de s'en faire avec des niaiseries et le matérialisme superflus. Ils survivent, point. Leur bonheur s'arrête aux simples plaisirs et à l'assouvissement de besoins vitaux (manger, boire, dormir, parler, rire). Il est pourtant aussi grand que le bonheur qu'on peut ressentir. Je pense donc qu'il y a deux façons d'être heureux: 1. Être conscient de la chance qu'on a. 2. Être insconscient de la malchance qu'on a. Inversement, on peut être conscient de notre malchance et inconscient de notre chance, ce qui va nous rendre malheureux jusqu'à un certain point. D'après moi, le sondage montre surtout qui sont les membres lucides et qui sont les membres optimiste/réaliste/pessimiste. Un membre réaliste et lucide se mettera rarement une note plus haute que 5 sur 10. Faire ca indique seulement qu'on est dans un certain déni. Qu'on utilise une sorte d'optismisme exagéré comme moyen d'auto-défense. Alors que le type réaliste sera très conscient de ses limites, de son vide intérieur, de son incomplétude et de sa malchance (et de la malchance des autres). Alors il aura plus de misère à ressentir le bonheur. Mais là je ne dis pas qu'une personne réaliste ne peut pas être heureuse ou malheureuse. Au contraire. Je me considère moi même comme une personne assez réaliste et pourtant je me suis donné 3/10. Mais ce n'est pas par pessimisme, c'est seulement que je suis conscient que j'ai eu pas mal plus de bas que de hauts au cours de ma vie. Et un ratio de 3:1 (bas vs hauts) me semble juste. J'ai un mal de vivre assez évident. Pourtant je suis très heureux malgré tout et je suis assez chanceux dans ma malchance. Ce qui est somme toute assez mélant pour moi. Je trouve ca dur de juger jusqu'à quel point mon "bonheur" est supérieur ou inférieur au bonheur des autres parce que je ne sais pas ce que les autres ressentent. Je sais juste que je me sens plus souvent mal que bien, mais que mes moments "bien" sont assez fort (peut-être par contraste aux mauvais moments). Une journée pluvieuse peut nous semblez belle suite à un épisode de smog/chaleur accamblante. Enfin, si je devais résumer la totalité de ce qui est ressorti de ce sujet, je dirais ca comme ca: 1. Dans la vie il y a des hauts et des bas. 2. On peut choisir de mettre l'emphase sur les hauts ou les bas. 3. On peut changer notre perception des choses. 4. On ne peut pas changer notre entourage, le hasard, les causes et les conséquences. 5. On ne décide pas du nombre de hauts et du nombre de bas que l'on vivra dans notre vie. Et encore moins de leur ampleur. Selon moi, c'est donc faux de prétendre qu'on peut être heureux par choix. En réalité, on peut seulement atténuer ce qu'on ressent et conditionner notre cerveau. Regarder le positif dans le négatif, vivre dans le déni, la suffisance ou l'acceptation (pour reprendre l'idée de Diost) etc. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Oshino 20 mai 2010 Partager 20 mai 2010 EXACTEMENT!!!!!!!!!!!! Je pense que je vais copier ça et l'afficher partout C'est ça la clé! Une vie sans peine, sans colère et sans échecs est impossible. On ne peut que changer notre perception des choses C'est quand même un peu plus que ça, mais c'en est très près. _________________________________________________ Pes, t'es vraiment un cas désespéré. Crève malheureux si ça te chante et fou nous la paix. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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