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64 membres ont voté

  1. 1. Sur une échelle de 1 à 10, à combien situriez-vous votre niveau de bonheur?



Déchet(s) recommandé(s)

Bonjour, j'aimerais parler avec vous du bonheur, plus particulièrement de votre affinité à être heureux. Je suis personnellement une personne très heureuse. Je suis très rarement triste et quand je le suis, ce n'est jamais longtemps. Mais ce talent n'est pas donné à tout le monde; plusieurs personnes sont prédestiné à être malheureux et à le rester plus longtemps. Dès que je suis triste, un mécanisme de défense se met en branle en moi et me ramène à la réalité en me disant : Pleurer ne va te servir à rien, sa pourrais être pire, garde le sourire. Dans les pires moments, je trouve toujours le moyen d'avoir un certain détachement nécessaire pour rester heureux.

Normand L'Amour est lui aussi un exemple d'homme très heureux. Le gars se fait niaiser depuis des années par tout les québecois. Pensez-vous vraiment avoir le niveau de bonheur pour pouvoir vivre heureux avec cette réalité? Probablement pas. Mais lui y arrive sans difficulté, il garde le sourire peu importe la situation.

Alors j'aimerais savoir, quelle est votre relation avec le bonheur?

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Je suis très consciente de ma chance que j'ai, de la famille, des amis, des circonstances, etc. qui m'aident à vivre ma vie de manière heureuse. Je manque de rien, vraiment. Il est foutrement rare que je sois malheureuse et quand je le suis, ça ne dure jamais très longtemps.

Je crois aussi - malgré que mon contexte de vie fait que ca soit plus facile pour moi - que les choix que nous faisons peuvent jouer énormément sur la possibilité de vivre le bonheur : c'est pas en envoyant chier tout le monde qu'on reçois de bonnes choses, entre autres. Il faut s'aider un peu!

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J'aime la vie, je lui fais confiance.

J'ai une famille que j'aime de tout mon coeur, des amis géniaux et j'ai envie de vivre à fond.

Le bonheur n'arrive pas dans nos vies. On le crée de nous-mêmes, avec notre attitude et nos actions.

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Le bonheur est compliqué. Depuis quelques moi je ne suis plus vraiment heureuse. Je ne suis pas triste mais je suis neutre et ça m'énerve. Il y a un an, j'étais à l'apex du bonheur. C'était encore plus que du bonheur, c'était irréel. Chaque putain de jour était une merveille de plus à ajouter à mon calendrier, à chaque seconde j'avais juste envie de hurler à quel point j'étais heureuse de vivre. C'était fou, fou, fou, on étaient dingues. Tout était archi-possible. Tout était tellement agréable. Une simple marche pour se rendre d'un point à l'autre décuplait notre joie. Toutes les toiles que je touchais devenaient des peintures débiles. Toute la musique était d'une pureté... MAIS MERDE COMMENT!!? Comment retrouver cet état tellement euphorique?? Depuis plusieurs moi je cherche, je suis constamment aux aguets de ce qui me rend triste ou heureuse (ça dure jamais) de la moindre variation dans humeur, trouver l'élément déclencheur, mais je ne trouve pas. M'enfin espérons que ça revienne été.

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Je me considère comme très très heureuse. Même quand je rencontre des difficultés, mon état général est bon et j'ai toujours la certitude que ça va se régler alors j'ai écrit 10.

il faut dire aussi que Je ne me crée pas d'attentes irréalistes face au bonheur. Pour moi, le bonheur ne veut pas nécessairement dire de ne pas avoir de problèmes jamais ou de ne jamais être triste. C'est plutôt d'avoir de bons moyens d'y faire face et d'aimer la vie en général.

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Être heureux n'est pas une façon "d'être", mais une façon de "vivre".

(Tu veux tu dires qu'on est heureux ou malheureux par choix là?)

Oui.

Le soleil brille pour tout l'monde.

À nous de décider si: "Y fa chaud en tabarnak!" ou "Y fa beau en tabarnak!"

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1% du temps c'est 14.4 minutes de satisfactions temporaires en 24 heure. 3.65 jours dans une année. C'est très peu.

Je dirais que ca dépend de notre définition du bonheur. De ce qu'on a, de ce qu'on désir, de ce qu'on a besoin et de ce qu'on recherche. Quand je regarde les gens au tour de moi, ils recherchent tous le bonheur dans la consommation, la matérialité, le sexe et la débauche. Toutes sortes de futilités superflus imo.

Quand on s'arrête et on réfléchi comme il faut, le simple fait de manger rend heureux (nous satisfait). Le fait de jouir nous satisfait. Le fait de s'acheter un gadget, un jouet ou un ordinateur nous satisfait. Le fait de faire un hobby (dessiner, écouter de la musique, jouer à des jeux etc.) nous satisfait. A la limite, le fait d'apprendre comble un certain vide/désir qui peut être interpréter comme du bonheur.

Alors quand on regarde ca dans un sens large:

Je mange 3 fois par jour. Je me masturbe. Je dessine, je joue, j'apprend. J'ai un tas de passions et je fais ce que j'aime. Déjà là il y a au moins 80% de satisfaction dans ma journée. Pourtant, je ne me considère pas comme quelqu'un d'heureux. Et c'est parce que je n'ai pas ce que je recherche (ou parce que le truc que je recherche n'existe pas / est un concept impossible, immatériel ou inhumain).

Alors pour répondre à la question, je dirais que je pourrais être heureux (genre 8/10) si je le voulais vraiment. Mais ca impliquerait me rabaisser au même niveau que l'humain (ou plutôt l'inhumain, l'ivrogne et l'automate). Ca impliquerait cracher sur mes maximes, mes valeurs, mes principes, ma morale, mes libertés mon authenticité et mon âme. Ca impliquerait d'abandonner le combat contre la société et me contenter de la consommation (de biens, de services, de produits, de plaisir et d'autrui) comme définition du bonheur. Alors je ne peux pas/veux pas être heureux. Ou du moins, je ne veux pas l'être pour les mêmes raisons que les autres.

Je veux chercher plus loin que ce qu'on m'offre. Je veux redéfinir le bonheur.

Alors prenant tout ca en considération, je dirais que je suis heureux un tier du temps. Mais que c'est purement le résultat de quelques minces satisfactions temporaires et non un état de véritable bonheur atteint. D'ailleurs je ne pense pas que cette dernière chose existe vraiment. Ceux qui cherche LE bonheur absolu seront toujours malheureux.

"You have to enjoy the little things and those special moments."

Encore faut-il avoir la chance d'avoir ces petites choses et d'expérimenter ces précieux moments. Choses qui ne sont pas à la portée de tout l'monde, malheureusement.

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Peux-tu m'expliquer comment on peut être exclusivement heureux par choix? Je suis curieuse.

Il y a quelque chose qui t'as rendu malheureuse dernièrement?

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@ Dantes : Dernièrement, BEN BEN malheureuse et tout, non. Parce que comme je disais, c'est bien rare que je le suis. Où veux-tu en venir?

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Je me sens tellement splitté en deux par la question que j'ai de la misère à répondre au choix de vote.

En général, depuis mon secondaire (le plus loin que je peux me rappeler), j'ai toujours été décrit comme quelqu'un d'heureux, comme une fille qui a toujours le sourire et c'était le cas! J'étais rarement déprimée et quand ça m'arrivait, ça durait jamais longtemps, c'était presque une blague! Je dirais même que ma première année de cégep (disons d'août 2006 à juillet 2007) fut probablement l'année où j'ai ressentis le plus de bonheur. Cependant, d'août 2007 à octobre 2008 fut une période de temps ou j'ai été des plus malheureuse au point d'être mal dans ma peau. J'ai vraiment vécu d'un extrême à l'autre. Ma réponse à cet époque aurait pus passer de 9 à 1 dans l'espace de deux mois au maximum.

Depuis ce temps, j'ai des rebonds de bonheur/malheur. J'arrive rarement à dire mon état exacte. La majorité du temps, quelqu'un me demande si ça va bien et si je répond qu'un petit « Ça va! », c'est déjà énorme comparer au « Pas pire » habituel. Imaginez la surprise des gens quand ça va super bien.

Aujourd'hui, je parais comme quelqu'un d'heureuse. Ce n'est pas du fait que je sens mal dans ma peau ou que j'ai envie de mourir, c'est même très loin de là. Cependant, il manque quelque chose. Tellement de choses m'arrive ces derniers temps, j'ai l'impression de manquer de temps pour faire le point sur le manque en question.

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@ Dantes : Dernièrement, BEN BEN malheureuse et tout, non. Parce que comme je disais, c'est bien rare que je le suis. Où veux-tu en venir?

Peu importe l'évènement. On peut être triste et faire preuve d'empathie et même pleurer avec une amie, la famille, ou toute seule. Ça peut être de la colère du à une situation totalement inacceptable. Être heureux ne signifie pas qu'on ne peut ressentir autre chose de la béatitude céleste (idiotte?...ETK). On est pas des robots quand même. On a le droit d'être heureux et d'être "humain" en même temps. Les deux ne sont pas incompatibles.

Par contre, on peut pleurer son frère pendant 20 ans, ou faire son deuil et tourner la page. On choisi d'accepter ou de refuser sa mort. Ça, c'est notre choix et personne ne peut le faire pour nous.

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Je crois pas qu'il soit possible d'être heureux. Désolé, mais personne n'est capable de se contenter entièrement de ce qu'il vit.

Ceci dit si la définition du bonheur est un bonheur radical. C'est certains qu'il m'arrive d'avoir bonne humeur. Mais je n'arrive pas à m'imaginer le bonheur autrement que par la mort.

La mort est le vide total pour moi... absence de toute nécessité de tout regard des autres et par conséquent du bonheur.

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Le bonheur et le malheur n'existe que par contraste anyway.

Une personne misérable qui sera malheureuse toute sa vie et qui va seulement connaitre quelques bons petits moments va apprécier le bonheur d'avantage qu'une personne qui va toujours bien.

Inversement, on peut remarquer que c'est toujours ceux qui sont heureux qui sont les plus faibles et les plus vulnérables à la dépression. Ils sont tellement habitué d'être bien, choyé et heureux que la minute qu'un petit quelque chose de négatif arrive dans leur vie ca les détruit complètement et ils sont incapable de se relever. Ils ont énormément de misère à passer à travers les moments rough.

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Le bonheur et le malheur n'existe que par contraste anyway.

Une personne misérable qui sera malheureuse toute sa vie et qui va seulement connaitre quelques bons petits moments va apprécier le bonheur d'avantage qu'une personne qui va toujours bien.

Inversement, on peut remarquer que c'est toujours ceux qui sont heureux qui sont les plus faible et les plus vulnérable à la dépression. Ils sont tellement habitué d'être heureux que la minute qu'un petit quelque chose de négatif arrive dans leur vie ca les détruit et ils sont incapable de se relever. Ou ils ont énormément de misère à passer à travers les moments rough.

Je me doit d'être en désaccord sur certains points. La personne misérable va se rendre compte de sa position, car ses besoins ne seront tout de même pas satisfait. Les personnes heureuses de leurs bords vont devoir s'adapter à leur situation en comblant leurs manques mais se relèveront.

Bien entendu le point de départ est différent mais les personnes ne sont pas tous fait pareil.

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Je parlais surtout de mon expérience, de ce que j'ai personnellement constaté dans mon entourage et sur internet. Même sur le dep on peut voir ce phénomène.

Je connais du monde qui ont toujours été hyper joyeux et optimiste et maintenant ils sont rendu dépressif et encore plus malheureux que moi. C'est souvent des gens qui vivent dans le déni.

J'ai toujours été surpris de voir à quel point un petit évènement que je considère anodin (comme une rupture ou une perte d'emploi) pouvait détruire une personne. Yen a qui sont absolument rien sans ces choses. Genre, c'est comme si la totalité de leur vie/identité reposait sur un ou deux concepts éphémères.

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Je crois pas qu'il soit possible d'être heureux. Désolé, mais personne n'est capable de se contenter entièrement de ce qu'il vit.

Et pourquoi ça serait impossible d'après toi?

Les personnes heureuses de leurs bords vont devoir s'adapter à leur situation en comblant leurs manques mais se relèveront.

Si je suis heureux, je suis une erreur de la nature...ou carrément fou?

J'aimerais beaucoup que tu développes davantage sur ça. Ça m'intrigue.

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Et pourquoi ça serait impossible d'après toi?

Si je suis heureux, je suis une erreur de la nature...ou carrément fou?

J'aimerais beaucoup que tu développes davantage sur ça. Ça m'intrigue.

Moi aussi je n'y comprend rien, tout simplement parce que je le vis présentement. J'ai tout ce que je veux, tout est parfait.

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Moi aussi je n'y comprend rien, tout simplement parce que je le vis présentement. J'ai tout ce que je veux, tout est parfait.

On a pas toujours tout ce qu'on veut.

Ça ne se passe pas toujours comme on l'espérait.

On peut être déçu sur le coup et c'est normal, mais ça ne ruine pas forcément toute notre vie. C'est à nous de prendre une autre tangente et de redémarrer sur de nouvelles bases.

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