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Vos derniers instant.


Déchet(s) recommandé(s)

J'aimerais savoir, si on vous diagnostiquait une maladie incurable et un deadline avant votre mort. Que feriez vous?

Vivre la vie le plus possible?, faire tout les traitements possibles pour guérir?, aller vers la religion?, accepter sa mort?, où même rapprocher la mort de quelque jours/semaines/mois/années?

Personnellement cette question me trotte dans la tête. Je me demande qu'est ce que je ferais. Je sais que je suis "prêt" à mourir. Mais la réaction est souvent contraire aux prédictions. Mais je crois que je n'aurais pas le coeur de me voir mourir à petits feux.

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C'est le genre de question à lequelle il est difficile de répondre lorsqu'on n'a pas vécu la situation en question. Cependant, je dirais que, dans le meilleur des mondes, si on me diagnostiquerait une maladie incurable, j'essaierais de profiter le plus possible de la vie avant de mourrir. Je suis encore toute jeune, je n'ai rien vu de la vie & je ne compte pas mourrir sans l'avoir vécu pleinement. J'ai encore tellement de choses à voir, à vivre, à expérimenter : je ne suis pas prête à mourrir. Finalement, comme tu l'as mentionné, me voir mourrir à petits feux seraient une chose que je n'aurais sans doute pas la force de supporter.

Modifié par Cadavre exquis
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Sérieusement mon ami .....

J'demande à mon doc quand j'commencerai vraiment à être malade...

Il me doneras cette réponse.

Une fois entendu je sort de la pièce et je me dirige directement dans un bar ou j'irais m'souler la geule afin de bien faire mon propre deuil et solidifier mon état d'ame afin d'accepter mon sort..

Je retourne cher moi me coucher et ce avec un taxi car le temps est précieux et que je dois profiter du temps qu'il me reste avant d'être vraiment malade.

Ensuite j'essaie de faire tout ce qui me tiens le plus à coeur.

Pour finalment prendre une dernière brosse avec un cocktail chimique de médicaments/drogues et ce bien sur dans un gros gros gros sona ou jpourrais me noyer fucker ben raide sans m'en rendre compte... Si j'suis pas déja partis avant.

Le tout deux trois semaine avant la date de malédiction que le doc m'auras donner.

Modifié par Payback
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Je n'ai pas peur de mourir, mais je serais quand même déçue de ne pas avoir fait des choses que j'aurais aimée faire.

J'irais revoir toutes les personnes qui ont étées importantes dans ma vie et je me pèterais la face dans l'alcool et les drogues. Quand je me sentirai de plus en plus malade, je me gaverais d'un pot de somnifères dans mon bain, car je veux mourir dans l'eau.

Modifié par Furavii
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Bien franchement ... je n'en ai aucune idée. Je crois que j'essaierais de terminer au moins une des histoires que j'ai commencé. Je m'enfermerais dans ma maison et j'écrirais jusqu'à ce que mes mains meurent d'épuisement.

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Bien franchement ... je n'en ai aucune idée. Je crois que j'essaierais de terminer au moins une des histoires que j'ai commencé. Je m'enfermerais dans ma maison et j'écrirais jusqu'à ce que mes mains meurent d'épuisement.

Ton histoire est surment la plus troublante de tous :suicide: héhé.

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C'est dur de dire ce que je ferais, mais je peux très bien imaginer ce que je ressentirais. Ça me ferait chier. J'aurais l'impression que j'ai perdu mon temps à rien faire d'autre qu'étudier, je regretterais de ne pas avoir pu me rendre plus loin dans mon art, de ne pas avoir eu ma propre famille, de ne pas avoir voyagé autant que je l'aurais voulu. Je pense que j'aurais vraiment un gros sentiment d'injustice, et je me mettrais probablement à kidnapper des bébés ou quelque chose de sick de même.

Je vois pas l'intérêt de se suicider et raccourcir encore plus le temps qu'il me reste, en tout cas. Aussi bien en profiter le plus possible, même si c'est pour pas faire grand chose, j'aurais l'impression de faire un gros gaspillage sinon.

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Je prendrais une partie de l'argent que j'ai et j'irais voyager dans le coin de l'Europe, de l'Asie ou de l'Australie. Je me créerais une "grande aventure" si l'on peut dire.

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J'essaierais d'arranger le plus de choses possibles autour de moi. De m'impliquer dans des choses que j'ai jamais osé m'impliquer, essayer des choses que je n'ai jamais essayé... J'essaierais de vivre le plus possible et ensuite j'irais dans un petit coin où j'me sentirais chez moi et j'me laisserais partir, avec un sourire.

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Ce qui est le plus dommage ces que la plupart des réponses que vous avez dites sont réalisable. Pourquoi attendre vos dernier instant pour en profiter ? Ceux qui parle de voyage ou d'implication dans un quelqu'onque domaine; Qu'attendez vous ?

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Je ne considère pas la médecine comme une science infaillible.. un diagnostique me qualifiant de mort sur pattes ne bouleverserait pas réellement mon parcour.

Je remarque qu'une grande partie d'entre-nous met beaucoup d'accent sur ce qu'ils n'ont pas fait, vivant donc leurs vies entière à rêver de superficiel. La mort est la seule chose qui soit une certitude dans notre futur, alors vaut mieux se réveiller et l'accepter dans le calendrier. Également, attendre avant son dernier souffle pour faire ce qu'on aime me semble un peu pathétique.

Si par un moyen miraculeux quelqu'onque, j'apprenais la date exacte de ma mort; je crois sincèrement que je mangerais mes oeufs à la même vitesse que la journée d'avant.

Modifié par Diost
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Essayer de lancer sur le monde un regard sans haine

Tu me fais penser au monologue de Edward Norton dans la 25th Hour de Spike Lee. Le gars est à quelques heures d'aller en prison pour longtemps et il se vide le coeur.

http://www.youtube.com/watch?v=gGTEkJ8axbo

En voyant le sujet "ce qui vous met en tabarnak", je me dis qu'il y a plus de personnes que l'on croit qui vont laisser leur auto-censure de côté après avoir appris que la fin arrive plus vite que prévu. En tous cas, je l'espère. Si je connaissais la date de ma mort, j'aimerais avoir la décence d'oublier pendant mes derniers jours ce contrat social que l'on accepte sans vraiment y penser. On ne devrait pas partir sans réaliser son chaos.

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Putain chocking Dog, ta vidéo m'a donné le goût d'aller voir des films d'Edward Norton.

Pour ce qui est de mes derniers moments, Probablement que je me mentirais à moi même en disant que "je m'en fou" tout en sachant que ce je m'en foutisme ne reflète que ma tristesse et un certain mépris de moi-même, que j'entretiendrais jusqu'à la dernière minute ou là, je regretterai de n'avoir rien fais.

/mon moment emo de l'année 2010

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Je remplirais mon rapport d'impôt, je passerais à la banque pour s'assurer que mes comptes seraient toujours en bon état, je jetterais un coup d'oeil à ma côte boursière, je mettrais mon plus bel habit et je me flinguerais avec un coup de shotgun dans la bouche.

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Probablement que je me mentirais à moi même en disant que "je m'en fou" tout en sachant que ce je m'en foutisme ne reflète que ma tristesse et un certain mépris de moi-même, que j'entretiendrais jusqu'à la dernière minute ou là, je regretterai de n'avoir rien fais.

Pour quelqu'un qui respecte le cycle des choses, il y aura un sentiment d'accomplissement quand l'heure de partir est venue; La vie, ensuite la mort.. pas l'inverse.

L'attente de la mort pour vivre est là, la réelle source de tristesse.

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Je prendrais du temps en famille, puis ensuite je partirais en long voyage, solitaire. Faire le plus de choses possibles. Mais surtout pas me morfondre.

On dirais que j'essaierais des trucs ''dangereux/épeurant'', genre du parachute, du base jumping.

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Concrètement, je ferais probablement comme n'importe qui en sursis.

J'angoisserais quant à ma mort éventuelle et j'oserais encore espérer le miracle.

Je tomberais sans doute en mode survie.

Idéalement, je ne me soucierais pas du lendemain.

Je m'aventurerais dans toutes sortes de choses et je jouerais de témérité extrême.

Je tomberais sans doute en mode survie.

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