Votre état préféré?

[Lux]

Gelé + musique instrumentale.

Je prend du speed parfois, mais c'est moins récréatifs ou intégré à mon mode de vie que le weed. Je pourrais même dire que le "déplaisir" engendré est plus fort que l'effet du high.

[ToxicKev]

Quand tu parle de déplaisir, tu veux surement parler des lendemains? Totalement d'accord, c'est d'ailleur la raison pour laquelle je n'en prend plus.

[Ashitaka]

Ajun

[King Hippo]

T'es crissement pas à la bon place.

[ToxicKev]

Quand on a la "pompe" après une série particulièrement rushante au gym, c'est nice aussi. J'sais pas si c'est le terme commum, la seule fois où je l'est entendu c'est de la bouche d'Arnold dans Pumping Iron.

Modifié 2 août 2009 par ToxicKev

[Gamin]

Pas de la haine, mais bien la laine.

On croirait Kev.

Hey wôw, mes jeux de mots sont mieux tissés que ça.

Modifié 2 août 2009 par uıʌǝʞ

[King Hippo]

Les gens croient toujours que je m'inspire des autres pour vivre ma vie, c'est fâcheux.

Hey wôw, mes jeux de mots sont mieux tissés que ça.

T'aurais dut dire "Tricoté", ça aurait eu plus de punch.

[Phencyclidine]

Le meilleurs feeling pour moi est l'ecstacy ou bien le liquid ecstacy ( GHB), tu te sent tellement bien que tu veux jamais que cette sensation ce termine.

Et le pire feeling est définitivement de caller un pot de sirop pour la toux, suivi du mush que je feel toujours terriblement bizarre et sur le bord d'être malade.

Modifié 6 août 2009 par Phencyclidine

[Cheval]

Pour ma part c'est un généreux bum de kétamine durant le paroxysme de ma consommation de Mdma. Ensuite hop, sous la douche.

Sinon, dans un sens plus créatif et misanthrope, c'est la décente du paroxysme de Nexus. Mon niveau de grimness augmente en flèche. Le feeling idéal pour écrire des poèmes suintants le goudron et l'amertume.

Les lendemains de Rave+Speed sont parfois très agréable, notamment à cause de l'effort physique et du contraste entre l'atmosphère du rave et la brise du matin.

[Lion]

T'aimes les lendemains et les descentes toi? T'es bien le premier que je rencontre.

[Cheval]

Pas tous.

Faux savoir apprécier les moments... Haha.

T'en qu'a être pogné avec!

[White Light]

J'suis d'accord avec cheval. Après une soirée sur le MDMA, s'enrouler dans ses couverture avec de la musique calme, c'est très satisfaisant.

Sinon, mon état favoris est définitivement celui de passer par dessus les barrières de la réalité et de me trouver dans un autre univers (DMT ou fortes doses de psychédéliques) ou dans le néant (forte dose de Kétamine). Avec le temps, j'ai appris à en revenir et continuer de m'intégrer pleinement au monde réel (lire: ne pas avoir l'air d'un freak qui parle aux fées), ce qui n'était pas si facile au début (c'est sûr que fumer du DMT 15 fois en 1 mois à 17 ans, ça chamboule ton univers un peu). Quant à l'expérience de la dissociation totale, du retour au néant, c'est une expérience des plus paisible et des plus introspective qui soit.

J'aime bien les autres états aussi mais avec plus de modération. Les dépressants sont sympathique dans certains party ou dans une envie d'oublier (ce qui ne m'arrive pas très souvent). Les euphorisant/empathogènes sont sympathiques pour danser, les rave, ou en compagnie féminine (sans excès. Je tiens à ma sérotonine). Je n'ai pas beaucoup d'expérience avec les sédatifs mais je les trouve plutôt intéressants. Quant aux stimulants, ce sont les psychoactifs pour lesquels j'ai le moins de respect, pour avoir fait l'expérience approfondie du côté négatif de ces drogues (même si produire artistiquement sur les amphétamines devient très très plaisant et créatif).

[Hyraelle]

J,ai trop fait de speed, mais osti que ca aide en prendre pour ce concentrer et etre eveillé. Si tu dose bien, T'est dans ta bulle, mais pas au point de voir flou tellement tu fixe cque tu fait... ( Ca c'est désagréable... )

[White Light]

Je passais des 5 jours de suites sur les amphétamines, sans manger et dormir, à peindre et dessiner sans arrêt à écouter du Mr.Bungle et Primus.

Après 2 mois, quand je me suis mit à halluciner les personnages de mes peintures sortir de la toile, j'ai décidé que j'avais besoin de sommeil, d'un bon plat de fruit, et que je devais lâcher cette saleté de drogue et sortir de ma dépression. J'ai invité un ami, on s'est tapé 7 doses de LSD (ce que je n'avais pas fait depuis environ 10 mois), je me suis senti beaucoup plus en forme et j'ai plus jamais touché à ça (arrêté d'un coup sec, aucun problème et aucune envie de recommencer).

Modifié 22 août 2009 par White Light

[Hyraelle]

J'ai du faire pareil, un moment donné, quand jme toppait 1 speed le matin et 1 le midi, pis que jtait pu capable de vivre. J,ai fait WOOO, j'ai arreter, jai donner les 2 pills qui me restait ( Sur un paquet de 28 ( 100$ ) a une amie.

Jsuis p-e retombée en dépression, mais avec dla musique et du repos, jme suis pas suicidée

[veritas]

Lorsque je jouis lorsque je suis saoul, lorsque je suis ''à jeun'', lorsque je suis dans la lune.

[Majoras]

Quand je jouit près avoir fumé un gros stick de weed pur, et que m'affale dans mon lit le soir. Je suis dans un état d'extase.

[Goregrind]

un gros stick de weed pur

Communément appelé un joint. Au Québec, du moins.

[Soma]

Ben pas chez nous.

Amsterdam m'a donné la plus belle des leçons: un pur de New York Diesel.

je suis devenu un autre homme depuis ce fameux week-end.

Modifié 22 septembre 2009 par Soma

[Van Wilder]

Pour moi c'est définitivement l'ivresse. J'adore le fait de voir partir les inhibitions et la gêne de ne pas connaître certaines personnes. Je me met à parler à n'importe qui de n'importe quoi, ça fait du bien. Danser pendant des heures et jamais se fatiguer parce qu'on se rend pas compte que le temps passe.

Le problème c'est vraiment de doser. J'adore le feeling de me foutre de tout ce qui se passe, ce que je suis capable d'atteindre avec aucune autre drogue. Être capable de doser la quantité dans l'esomac, la vitesse de digestion et d'assimilation par le foie, c'est compliqué. Je me suis retrouvée trop souvent malade et trop de monde ont dû me ramasser que je ne réussit plus à atteindre ce fou sentiment de bien-être de peur d'aller trop loin.