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Les autres ont-ils beaucoup d'influence sur vous?


Déchet(s) recommandé(s)

Quelques exemples en vrac:

-Pendant quelques temps en 4ième secondaire, j'ai fréquenté des chinois, et je me suis mis à apprendre le mandarin, tripper sur les chinoises, jouer à des jeux rpg.

-En 5ième secondaire je jouais aux échecs avec un russe. C'est là que je me suis mis à apprendre le russe(on était dans le même autobus et je lui posais des questions). On connait la suite...

-Avant d'entrer au cegep je me suis mis à fréquenter des gauchistes révolutionnaires, et je suis devenu... gauchiste révolutionnaire

-Mon prof de philo II au cegep a été étudier en allemagne, il parle allemand et c'est lorsque je fréquentais un groupe de réflexion philosophique qu'il animait que je me suis mis à apprendre l'allemand.

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Bah c'est sur que notre entourage à une certaine influence sur nous. C'est même inévitable.

Mais moi c'est un peu le contraire de toi: j'aimais dessiner, jouer à Magic et jouer aux jeux vidéo, alors j'ai commencé à me tenir avec du monde qui avait les mêmes intérêts que moi. C'est simplement une coincidence que les gens avec qui j'avais le plus de trucs en communs au secondaire étaient des asiatiques.

Coté politique, je suis assez indépendant. Je suis capable de me faire ma propre idée sur différents sujets mais je refuse de m'identifier comme gauchiste ou droitiste.

Coté social, j'ai toujours été un genre de mixte entre punk pseudo ténébreux et metalleux marginal, alors je me tenais tout l'temps avec des drogués, des fumeurs et des alcooliques. Mais je n'ai jamais fumé et je ne bois pas d'alcool. Alors je n'ai pas été influencé par ca non plus.

J'ai pas vraiment d'idoles ou de modèle à suivre alors je n'ai pas vraiment d'influence à ce niveau.

Et si je m'étais laissé influencer par l'opinion des membres du dépotoir ou encore de mes camarades de classes au secondaire, je n'aurais pas eu mon super emploi et je me serais peut-être même suicider depuis longtemps lol. Ok non, mais j'aurais peut-être laché l'école, mes passions et arrêter de persévérer ou être ce que je suis maintenant.

Alors plus j'y pense, plus je me rend compte que je suis très peu influencable et je porte très peu attention à l'opinion des autres. Je pense que c'est une bonne chose.

-Mon prof de philo II au cegep a été étudier en allemagne, il parle allemand et c'est lorsque je fréquentais un groupe de réflexion philosophique qu'il animait que je me suis mis à apprendre l'allemand.

Les professeurs ont un pouvoir de manipulation immense et ils réussissent souvent à calquer leur convictions sur leurs élèves. Je trouve ca un peu malsain. Les profs ca devraient juste enseigner l'histoire et rester dans leur domaine, pas tenter de partir une révolution politique.

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Quelques exemples en vrac:

-Pendant quelques temps en 4ième secondaire, j'ai fréquenté des chinois, et je me suis mis à apprendre le mandarin, tripper sur les chinoises, jouer à des jeux rpg.

-En 5ième secondaire je jouais aux échecs avec un russe. C'est là que je me suis mis à apprendre le russe(on était dans le même autobus et je lui posais des questions). On connait la suite...

-Avant d'entrer au cegep je me suis mis à fréquenter des gauchistes révolutionnaires, et je suis devenu... gauchiste révolutionnaire

-Mon prof de philo II au cegep a été étudier en allemagne, il parle allemand et c'est lorsque je fréquentais un groupe de réflexion philosophique qu'il animait que je me suis mis à apprendre l'allemand.

Je dis ça de même, mais peut-être que tu as simplement un intérêt pour les langues.

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Les autres ont une influence sur moi, comme j'en ai probablement une sur eux. Dans mon cas, c'est conscient, par contre. Quand je vois des choses que j'aime chez une personne, je décide d'essayer de me les approprier, ça arrive pas sans que je choisisse.

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J'étais influençable dans ma jeune adolescence. J'allais dans un école de filles riches et je ne leur ressemblais pas du tout, alors j'ai commencé à me tenir avec les punks de mon cartier. Quand "j'appartenais" à un groupe, je me mettais à parler comme eux, avoir les mêmes expressions et les mêmes accents. Je m'en suis rendu compte plus tard, j'ai trouvé ça vraiment laid, et aujourd'hui je fais du mieux que je peux pour garder mes opinions, mes façons d'agir, de penser, etc.

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Étant donné que je crois au béhaviorisme. Selon moi, il est certain que les autres ont une influence incroyable sur nous. Qu'on le veuille ou non, depuis notre enfance on se fait bourrer le cerveau avec des schèmes de pensées et de structures sociales. Les autres sont des protagonistes importants dans notre vie, même inconsciemment, car relativement parlant nos actions et nos choix se sont faits influencés par ses derniers. La vie donne parfois l'impression que l'on peut faire des choix libres et éclairés concernant nos vies, mais cette liberté est quelque peu illusoire. Notre éducation, notre famille, notre vécu, tout cela influence ce que nous sommes aujourd'hui et donc influence nos choix. Donc, oui je crois que les autres ont beaucoup d'influence sur nous, même si cette idée m'horripile à un point incroyable. Cependant, je sais faire la part des choses et je ne fais pas exprès pour suivre la masse sur ce qui "cool et branché" etc., par contre, veux veux pas on restera quand même juste une bande de moutons.

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  • 10 mois plus tard...

Il faut estimer les autres pour les laisser nous influencer. Il n'y a plus personne qui a cette force autour de moi, j'ai de l'amour ou de la tendresse pour certains mais je n'arrive plus à oublier le côté pathétique des gens. Donc non, plus maintenant.

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Il faut estimer les autres pour les laisser nous influencer. Il n'y a plus personne qui a cette force autour de moi, j'ai de l'amour ou de la tendresse pour certains mais je n'arrive plus à oublier le côté pathétique des gens. Donc non, plus maintenant.

Tu veux un calin ?

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Les animaux domestiques sont pour les névrosés. c'est un fait connu. C'est pour combler un manque.

C'est soumettre une créature à une dépendance totale à soi et la posséder. Il s'agit là d'entretenir une relation d'affection avec un être d'une autre espèce qui n'est pas nécéssairement au fait de la personne qui le garde. C'est une relation muette où le maître est toujours gagnant.

C'est triste de s'encombrer de ces peluches pour quérir l'amour qu'on ne trouve pas ailleurs. La demande est là, tout le monde veut un de ces joujous et c'est à se demander si les gens ne sont pas tous barjots.

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Non...

D'où tu sors toé ?

Tu serais surpris du nombre de cas de violence domestique-domestique... Ces névrosés s'investissent dans leur relation à sens unique au même titre que Monsieur et Madame, alors ils viennent parfois aux coups lorsque la peluche se montre plus rétive ou fait des mauvais coups. Si j'avais un ami vétérinaire, il confirmerait qu'il reçoit fréquemment des cas de ces animaux polytraumatisés par la colère de leur maître.

Le couple homme-chat est un des derniers tabous de notre société.

(Tout comme les autres combinaisons possibles, homme-chatte, femme-chat, femme-chatte, homme-chien, femme-chienne, homme-chienne, femme-chien).

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Les animaux domestiques sont pour les névrosés. c'est un fait connu. C'est pour combler un manque.

C'est soumettre une créature à une dépendance totale à soi et la posséder. Il s'agit là d'entretenir une relation d'affection avec un être d'une autre espèce qui n'est pas nécéssairement au fait de la personne qui le garde. C'est une relation muette où le maître est toujours gagnant.

C'est triste de s'encombrer de ces peluches pour quérir l'amour qu'on ne trouve pas ailleurs. La demande est là, tout le monde veut un de ces joujous et c'est à se demander si les gens ne sont pas tous barjots.

C'est surestimer l'être humain que de croire leur compagnie préférable à celle des animaux, ils n'ont rien de plus. On n'adopte pas nécessairement une boule de poils pour combler un manque qui n'est pas satisfait par les hommes, les animaux ont des qualités que les hommes n'auront jamais, ce n'est pas comparable. Et les relations humaines aussi sont encombrantes, pour pas grand chose au final.

Et c'est vraiment un manque de connaissance flagrant des bêtes de penser qu'on peut toutes les dominer et q'on les adopte pour ça.

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(modifié)
D'où tu sors toé ?

Tu serais surpris du nombre de cas de violence domestique-domestique... Ces névrosés s'investissent dans leur relation à sens unique au même titre que Monsieur et Madame, alors ils viennent parfois aux coups lorsque la peluche se montre plus rétive ou fait des mauvais coups. Si j'avais un ami vétérinaire, il confirmerait qu'il reçoit fréquemment des cas de ces animaux polytraumatisés par la colère de leur maître.

Le couple homme-chat est un des derniers tabous de notre société.

(Tout comme les autres combinaisons possibles, homme-chatte, femme-chat, femme-chatte, homme-chien, femme-chienne, homme-chienne, femme-chien).

D'où tu sorts, toé?

Je ne nie pas du tout qu'il y ait des cas d'abus.

Mais il est farfellu de prétendre qu'ils sont symptomatiques ou encore de réduire la relation entre un homme et son animal domestique à de la domination et à un manque à combler chez des individus névrosés.

Modifié par Moskva
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C'est surestimer l'être humain que de croire leur compagnie préférable à celle des animaux, ils n'ont rien de plus. On n'adopte pas nécessairement une boule de poils pour combler un manque qui n'est pas satisfait par les hommes, les animaux ont des qualités que les hommes n'auront jamais, ce n'est pas comparable. Et les relations humaines aussi sont encombrantes, pour pas grand chose au final.

Et c'est vraiment un manque de connaissance flagrant des bêtes de penser qu'on peut toutes les dominer et q'on les adopte pour ça.

La reine de la jungle a parlé.

Sérieusement, pourquoi crois-tu préférer la présence des animaux à celle des humains? Parce qu'ils ne parlent pas, parce qu'ils ne prennent pas d'espace, parce qu'ils sont câlins, etc?

On est indépendante ou on ne l'est pas, mademoiselle.

Veux-tu bien me dire quelles qualités trouve-tu à un chien? Allons, je vais répondre pour toi.

Fidèle, joueur, affectueux et conneries. Ce sont précisément des qualité qu'un possessif attend de sa chose.

Sa petite chose toute docile et prête à ramper pour un biscuit.

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