Aller au contenu

Vouloir décrisser très loin...


Déchet(s) recommandé(s)

Je rêve de faire le tour du monde, pour voir d'autres horizon, connaitre d'autre culture, voir d'autres espèces animales, végétales, d'autres climats. Et surtout pour me trouver un endroit ou vivre ou je me sentirais vraiment chez moi. Malgré le fait que je n'ai aucune réel attache ici, je me sens incapable de partir.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Un de mes vieux amis de jeunesse était prof de dessin industriel au secondaire. Sa blonde serveuse de restaurant.

Il s'appelle Denis Soucy et elle Réjeanne Richard . Ils arrivent de faire le tour du monde à bord de leur voilier Ciel et Mer. Avec son seul revenu de retraite, Denis dit qu'il est revenu avec des économies. Ils sont partis 6 ans. Mon rêve si je me trouve une blonde du calibre de Réjeanne, qui n'a pas peur dans les tempêtes....ni des pirates... des vrais cette fois-là et pas doux pentoute...

http://hebdosblogue.canoe.ca/lechodelalievre/2007/11/01/en_voyage_autour_du_monde_un_couple_de_m

Coincidence ici, Denis m'a enseigné au secondaire.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Denis était mon boss quand j'étais chef instructeur pour Air Mont-Laurier. Denis est le gars le plus brillant que j'aie connu. Tout un bonhomme. Réjeanne: une soie, un ange...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je n'ai jamais voulu quitter le Québec, encore moi le Canada. Cependant, j'aimerais énormément changer de ville : j'habite dans une petite ville où il ne se passe pas grand chose, tsé. La ville de Montréal m'attire beaucoup :)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je l'ai fait, 2 étés de suite.

Traversé le Canada sur le pouce pour me rendre en Colombie-Britanique. La première fois c'était pour travailler dans les cerises, rencontrer d'autres québécois voyageurs.

La deuxième, l'été passé, c'était beaucoup plus une quête solitaire et une recherche de sois. J'ai fini par dormir une semaine en dessous de la pluie sur une plage, pas de tente. J'voulais mourrir tellement s'était rough. Le trucs c'est que j'avais le cash pour m'acheter une tente ou rentrer chez moi. Mais ça aurait été trop facile (j'ai laissé les orages détruire ma tente, had to live with it). Voyager en solitaire, rencontrer du monde et éviter tout attachement. C'est la liberté. Mais j'ai aussi appris cet été là qu'une si grande liberté est beaucoup trop dure à vivre. L'être humain à besoin de certaines chaînes pour savoir se situer dans son univers.

J'ai vécu un tas de trucs géniaux et de mésaventures. Fini par passer la fin de mon été dans une petite maison de hippies à Nelson, BC. Maison en bois avec un pont traversant une source d'eau de montagnes dans la cours, des longboards et des armes faites en métaux recyclés éparpillés sur le perron, des tentes de punks voyageurs dans le parking...ils étaient 8 jeunes à vivre là-dedans et à aider les voyageurs qui passaient dans leur ville. J'ai fini par leur donner du cash (ils avaient des problèmes financiers) pour vivre sur leur sofa pendant 1 mois. Vie commune, peu de confort, aucune intimité, mais une expérience vraiment intéressante avec des gens que j'oublierai jamais.

Et ça fait du bien de retourner à Montréal à un semblant de vie normal aussi. Faut savoir balancer un peu de tout dans la vie. La ville fini souvent par me vider de mon énergie. Dormir dans les montagnes, un feu de bois, des coyotes qui viennent te réveiller pendant la nuit, s'assoupir dans le creux d'un arbre...ça te remet à la bonne place.

  • J'aime! 3
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ca vous arrive pas de vouloir décrisser très très loin au canada ou même dans un autre pays et de vouloir refaire ca vie pour refaire surface en méga forme ? ( Voyez les horisons de choix que vous avez à propos de cette base de donnés )

Vous?

Ça me fait penser ton truc à moi-même quand j'étais plus jeune. Au secondaire, je n'avais pas trop confiance en moi et j'accordais beaucoup d'importance à l'opinion des autres. Quand j'ai terminé le-dit secondaire, je me disais que j'avais bien hâte aux retrouvailles pour avoir changé en bien et leur prouver d'une certaine manière que je valais quelque chose. Bon, ça semble curieux, personne ne m'a jamais confié s'être dit la même chose, mais je suis certaine qu'en votre for intérieur, plusieurs d'entre-vous ont déjà partagé cette idée. Enfin..

L'idée est que finalement, je crois qu'en effet j'ai changé en bien, mais de parce que j'ai cessé de me voir comme le nombril du monde, ou voulant être ce-dit nombril. Je trouve cet idée que j'ai moi-même eu un peu ''je veux de l'attention''. L'idée n'est pas de refaire surface en méga forme pour impressionner la galerie, mais de le faire pour soi.

Enfin, pour revenir au truc du voyage, je suis entièrement d'accord que ce peut être bénéfique. Pour se ressourcer, se retrouver, par curiosité de découvrir de nouvelles cultures et cesser de croire que notre manière de penser occidentale est la seule valable.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'ai déjà prévu partir vivre au BC avec mon meilleur ami il y a de cela plusieurs années.

Lui est né là-bas de parents québécois qui sont revenus vivre ici lorsqu'il avait 10 ans. Depuis ce temps, il rêve d'y retourner, il sait qu'il ne finira pas sa vie au Québec.

Pour le moment je sais que je n'irai pas s'il part dans les deux prochaines années puisque je suis encore aux études, mais si jamais il attends après que j'aie finit tout ça, je vais peut-être me risquèr à partir vivre là-bas.

J'y suis déjà allée deux fois et j'avais bien aimé l'ambiance là-bas. On dirait que tout est plus calme, moins stressant.

  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pour le moment je sais que je n'irai pas s'il part dans les deux prochaines années puisque je suis encore aux études, mais si jamais il attends après que j'aie finit tout ça, je vais peut-être me risquèr à partir vivre là-bas.

Tu n'iras probablement pas.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

En fait non probablement pas, il prévoit partir dans la prochaine année, mais il m'a dit ça l'an passé alors on ne sait jamais, peut-être va-t-il niaiser assez longtemps avant de partir pour que je sois prête.

En fait il m'en reparle encore souvent, alors je crois qu'il serait prêt à attendre.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je rêve de la Californie et des plateaux de film depuis ma tendre enfance. Un jour, peut-être.

Si j'avais plus de couilles, je vivrais déjà dans une boîte de carton à côté de Warner Brothers.

  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pour répondre à la question du sujet (et aussi faire un ti peu de variété), honnêtement pas vraiment. Je n'ai aucune envie folle de partir du Québec et d'aller vivre ailleurs. On dirait que ça fait longtemps que j'ai compris que ce qui semble être merveilleux dans les autres pays en terme de vie ca devient aussi en bout de ligne la petite routine plate des gens de la place.

  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Mais on peut pas toujours résumer l'envie de partir à une recherche d'excitation. On le sait bien que ce qu'on découvre est banal pour d'autres et qu'avec un peu de temps ça le deviendra pour nous. L'atmosphère est pas la même partout, les conditions de vie, de travail, etc. On peut chercher à améliorer ou à tester ça.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pour répondre à la question du sujet (et aussi faire un ti peu de variété), honnêtement pas vraiment. Je n'ai aucune envie folle de partir du Québec et d'aller vivre ailleurs. On dirait que ça fait longtemps que j'ai compris que ce qui semble être merveilleux dans les autres pays en terme de vie ca devient aussi en bout de ligne la petite routine plate des gens de la place.

Justement. La routine plate qui ne l'est pas pour toi. Et puis ces petites choses du quotidiens qui sont différentes deviennent finalement ce qu'il y a de plus intéressant à découvrir et à vivre.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rien de plus stimulant pour l'imagination que de foutre le camp.

Tous mes voyages ont laissés une emprunte immuable dans mon esprit, en plus de me permettre de me comprendre davantage moi-même.

Voyager, c'est naître et mourir à chaque instant.

  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je partirais en voyage mais pas durant des années... Quelques mois, pas plus. Je veux rester près de ma famille et de mes proches, d'un autre côté moi aussi j'ai des crises existentielles l'hiver, puisque l'été c'est simple... Tu t'emmerdes ? Tu vas te promener dehors explorer la ville ! L'hiver, à moins que le temps soit doux, c'est désagréable.

En même temps il m'arrive d'être écoeurée du béton qui nous entoure, de la routine abrutissante et de notre mode de vie on ne peut plus capitaliste... où pourrais-je m'évader de ça ? Dans des contrées sauvages, genre au lac Titicaca au Pérou, ou dans les jungles d'Afrique ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Veuillez vous connecter pour commenter

Vous pourrez laisser un commentaire après vous êtes connecté.



Je veux revenir!
 Partager

×
×
  • Créer...