Crises de panique

[Mini-Fée]

Pharmacothérapie et psychothérapie sont deux choses différentes. Suivre son patient pour s'assurer de l'efficacité des inhibiteurs du recaptage sélectif de sérotonine et/ou noradrénaline et autres outils de la pharmacopée n'est pas non plus de la psychothérapie. Certains en font mais, la plupart du temps, le patient est référé à un psychologue ou un travailleur psychosocial.

Cest mon medecin généraliste qui me suis pour mes AD. Le psychiatre c'est ma job qui m'envoie le voir. Pis je fais une thérapie cognitivo-comportementale avec une psychologue.

[Otto Von Bismarck]

Cest mon medecin généraliste qui me suis pour mes AD. Le psychiatre c'est ma job qui m'envoie le voir. Pis je fais une thérapie cognitivo-comportementale avec une psychologue.

C'est le parcours habituel. Les troubes anxieux se traitent très bien avec une approche cognitivo-comportementale.

Je suis de ceux qui croient que la profession de psychiatre est vétuste. Les psychologues, avec une formation en conséquence, pourraient très bien prescrire certains psychotropes comme les anxyolitiques et les antidépresseurs. Rien n'empêcherait ceux-ci, comme ils le font déjà d'ailleurs, de référer le patient à un médecin, généraliste ou spécialiste, s'ils découvrent des problèmes de santé autres que ceux tombant sous leur compétence. La psychologie n'est plus une science naissante composée d'extremistes psychanalystes de divan et behavioristes fous de laboratoire. Plusieurs psychologues enseignent d'ailleurs en médecine et vice-versa.

[Mini-Fée]

C'est le parcours habituel. Les troubes anxieux se traitent très bien avec une approche cognitivo-comportementale.

Je suis de ceux qui croient que la profession de psychiatre est vétuste. Les psychologues, avec une formation en conséquence, pourraient très bien prescrire certains psychotropes comme les anxyolitiques et les antidépresseurs. Rien n'empêcherait ceux-ci, comme ils le font déjà d'ailleurs, de référer le patient à un médecin, généraliste ou spécialiste, s'ils découvrent des problèmes de santé autres que ceux tombant sous leur compétence. La psychologie n'est plus une science naissante composée d'extremistes psychanalystes de divan et behavioristes fous de laboratoire. Plusieurs psychologues enseignent d'ailleurs en médecine et vice-versa.

Je suis entièrement d'accord avec toi sur le fait que les psy pourrait prescrire des antidépresseurs et des anxiolytiques. Comme le fait que les infirmières pourraient très bien prescrire de l'ibuprofène et de l'acétaminophène en milieu hospitalier...

[...]

Je suis entièrement d'accord avec toi sur le fait que les psy pourrait prescrire des antidépresseurs et des anxiolytiques. Comme le fait que les infirmières pourraient très bien prescrire de l'ibuprofène et de l'acétaminophène en milieu hospitalier...

lololol

mignon tout plein!!!!

[Mini-Fée]

lololol

mignon tout plein!!!!

[Random]

Je souffre de crises panique d'anxiété, tout comme toi ça s'est déclaré du jour au lendemain.

Si tu consulte, je te conseil de faire une thérapie plutôt qu'un traitement médicamenteux. On me gave d'anxiolytique, et je peux te dire que ça apporte plus de problème que ça en résout... désocialisation, effets secondaires, crises de manques, vive les psychiatres ! --'

[Tragico Comoedia]

Je trouve vraiment intéressant de voir vos témoignages, étant donné que j'ai vécu des crisss d'anxiété moi aussi (et encore aujourd'hui parfois).

La première fois que j'en ai fait j'avais 14 ans et j'étais en camp d'été loin de ma famille pour trois semaines. Ce n'était pas la première fois que je m'en allais pour une longue durée et je n'avais jamais été un enfant ou adolescent très nerveux ou dépendant de ses parents. Je n'étais pas celui qui pleurait à la garderie quand sa mère s'en allait, j'étais plutôt bisous, bonne journée, pis j'allais dans le sous-sol jouer au Super Nin. Mais bref, pendant cet été là je me suis mis a capoter solide, à stresser constamment. Ça commencait dès le matin; j'avais mal au coeur, mal au ventre, je tremblais, j'avais le goût de pleurer, tout ça sans raison, et ça continuait mais en diminuant peu à peu jusqu'au soir. En me couchant habituellement ça allait bien et je me disais que le lendemain ça serait passé, mais ça recommencait en force et c'était persistant. J'ai mis ça sur le compte que j'étais loin de chez nous et que je m'ennuyais. Mais revenu chez moi, c'est là que je me suis mis à paniquer: ça n'arrêtait pas, c'était même pire, et le fait d'être avec ma famille ne réglait rien DU TOUT. Là je me suis mis à badtripper, à passer des journées dans ma chambre en tremblant en pensant à la rentrée scolaire. Et quand l'école à commencé, je me rappelle le matin d'avoir pleuré et tremblé, et d'avoir passé une journée terrifiante où je croyais que j'allais mourir d'une crise cardiaque. Je suis donc allé consulter un travailleur social, qui a pu m'aider un peu, et à la longue ça s'est tassé, et je croyais ne plus jamais en refaire.

Mais cet été (j'ai maintenant 19 ans) ça a recommencé. J'étais à un show punk avec un ami et après le show nous avons décidé d'aller au club vidéo un peu plus loin, et sur le chemin, je me suis mis à avoir mal au ventre, à tel point que j'ai du m'arreter au seul commerce ouvert pour aller aux toilettes. Et après être ressorti, nous avons retourné et 1 minute plus tard c'était aussi pire. J'ai mis ça sur le compte de l'alcool, mais je reconnaissais les symptômes et j'avais bien peur que le même problème soit revenu. Comme de fait, j'ai recommencé à avoir des crises d'anxiété. Mais cette fois, j'ai consulté une psychologue qui m'a amené à faire le lien avec mon enfance. Ma relations avec mes parents qui ont divorcé a été difficile et comme ils étaient trop pris dans leurs problèmes, ils avaient peu de temps pour s'occuper de moi, ce qui m'a donné l'impression inconsciemment d'être seul au monde, ce qui crée une grande insécurité. J'ai beaucoup travaillé sur moi, et surtout, j'ai accepté le fait que j'angoisse, ce qui n'était autrefois pas le cas. J'avais honte d'angoisser, je me trouvais faible et sans colonne, je voulais etre comme tout le monde. Maintenant, j'accepte que j'ai un parcours différent qui m'amène à vivre des choses différentes. Aussi, en parlant, je me suis rendu compte que beaucoup de gens vivent la même chose que j'ai vécu, mais comme moi, ils préfèrent s'en cacher.

Mais aujourd'hui, ça va beaucoup mieux. C'est aussi pourquoi j'ai pris le temps de vous raconter cela; ça fait cliché au bout, mais je crois que de voir que d'autres gens passent par la, ca peut aider à surmonter ce phénomène, en tout cas moi ça m'a aidé. Bref, lachez pas, les choses s'améliorent.

Modifié 16 décembre 2010 par Tragico Comoedia

[Random]

Tu as fais une thérapie ? Si oui, de quel type ?

J'aimerais me sortir de ces crises d'angoisses, ca me bouffe tellement que j'ai l'impression de limite être agoraphobe...

[CitizenCIA]

Tu as fais une thérapie ? Si oui, de quel type ?

J'aimerais me sortir de ces crises d'angoisses, ca me bouffe tellement que j'ai l'impression de limite être agoraphobe...

BOUH!

[Random]

BOUH!

J'ai honte d'avoir soufflé du nez...

[Tragico Comoedia]

Tu as fais une thérapie ? Si oui, de quel type ?

J'aimerais me sortir de ces crises d'angoisses, ca me bouffe tellement que j'ai l'impression de limite être agoraphobe...

Ben j'ai consulté une psychologue. Dans mon cas, ça venait de quelque part, de trucs qui n'étaient pas reglés. Je ne veux pas m'avancer pour tous les cas, mais dans mon cas, une fois que j'ai compris la source et que j'ai fait du travail autour de ça, ça s'est déjà mis à mieux aller. Bref, je te recommande vivement de consulter.

[Random]

Ben j'ai consulté une psychologue. Dans mon cas, ça venait de quelque part, de trucs qui n'étaient pas reglés. Je ne veux pas m'avancer pour tous les cas, mais dans mon cas, une fois que j'ai compris la source et que j'ai fait du travail autour de ça, ça s'est déjà mis à mieux aller. Bref, je te recommande vivement de consulter.

J'ai déjà consulté un psychiatre, mais ils ont mauvaise réputation en France. J'ai l'impression qu'il se fout un peu de mon cas, ce pour quoi j'aimerais consulter plutôt un psycholgue. Enfin bref, j'vais essayé de me trouver ça !

[cCiNn]

Moi ca fait a peu près 13 ans que je fais des crises de paniques moi c'était du à un choc postraumatique...Je te dirais qu'avec le temps l'intensité a baissé mais ca n'est jamais partit pour de bon.J'ai seulement appris à mieux les gérer...Y'a des périodes ou j'en oublie l'existence et d'autre ou ca controle mon quotidien.En tout cas j'espère que ca va aller mieux pour toi!Bonne chance

[cCiNn]

Ceux ci m'ont permis de réduire ma médication au stricte minimum que j'espère d'ailleurs arriver à éliminer complètement.

Je te comprends donc!!!Je vis pas mal la même chose...Mais j'ai bien l'impression qu'une fois que tu es rentrée dans cette gamic là tu n'en sors plus.Ils sont TRÈS primes à nous gaver de pillule qui sont pratiquement impossible à arrêter.Ca fait p-e 3 fois que j'essai d'arrêter mes médicaments mais les effets secondaires sont trop débiles et comme je suis comme on dit ''pissoute'' bein je finis par les reprendre pour plus endurer ca!

En tk c'est un perpétuel combat contre soi-même qui devient éreintant!

[Drusilia]

Je te comprends donc!!!Je vis pas mal la même chose...Mais j'ai bien l'impression qu'une fois que tu es rentrée dans cette gamic là tu n'en sors plus.Ils sont TRÈS primes à nous gaver de pillule qui sont pratiquement impossible à arrêter.Ca fait p-e 3 fois que j'essai d'arrêter mes médicaments mais les effets secondaires sont trop débiles et comme je suis comme on dit ''pissoute'' bein je finis par les reprendre pour plus endurer ca!

En tk c'est un perpétuel combat contre soi-même qui devient éreintant!

Avec le vouloir je crois que tu t'en sors, mais faut pas croire que c'est facile. On m'a déjà donné des médicaments pour ce genre de crise. J'ai tout simplement arrêté des prendre, car j'en avait mon casse! Aucun médecin n'a le droit de t'obliger à les prendre. Tu dois te prouver à toi-même que tu n'as pas besoin de ces médicaments et que tu arriveras par toi-même à t'en sortir. C'est certains qu'il y a des médicaments qui font subir des effets secondaires pour que tu en prennes plus. Il s'agit de passer au travers. Comme un toxicomane. Car c'est là presque la même chose.

Je n'ai jamais dit que ça allait être facile, mais je suis certaine que tous ceux qui veulent arrêter de prendre des médicaments, peuvent y arriver. Il faut juste être dans le mood de se battre contre soi-même.

[Catapulte]

Bonjour.

Je suis schizophrène donc je connais fortement ce que sont les crises de panique.

Je vais vous racompter mon histoire d'aujourd'hui qui, d'après mes souvenirs, est

la pire que j'ai vécu jusqu'à présent.

- J'étais dans mon salon et j'ai vu à tva nouvelles qu'il y avait eu des incendies criminels. J'ai commencé à capoter quand

j'ai vu un camion de gaz Shell commencer à reculer directement devant moi via la rue en face de où j'habite.

Ma tête se bouscule et les plans de pyromans, terroristes et tueurs se bousculent fortement dans ma tête.

Première idée qui se met en place : le camion a été volé et quelqu'un qui veut ma peau va installer une brique sur l'accelerateur

pour que ma maison explose.

Je commence donc à paranoyer, à regarder dans tous les fenêtres, surtout après avoir appercu les mêmes camions qui

roulaient dans mon domaine et qui passaient toujours devant chez moi pour enfin tourner dans les rues qui entourent ma maison.

Mode rambo : Je regarde dans tous les fenêtres, j'appercois les mêmes véhicules passer devant chez moi comme s'ils voulaient

venir me tuer pour venger mes conneries ou erreurs du passé quand j'étais jeune. Je vois le même gars et le même

pick-up passer 3-4 fois devant chez moi, je commence à m'armer avec tout ce que je trouve chez moi ; couteaux de

cuisine à la Chukky, bat de baseball. Je prend 3-4 bouteilles d'eau et avec mes armes, j'entre dans mon atelier qui

est situé en bas dans mon sous-sol. Je prie Dieu de pardonner mes pêchés et de me protéger en échange que je

répande le bien et que j'aide ceux qui sont bien. Je met un gros meuble de 150 lbs environ devant la porte et met

un tabouret en bas de la fenêtre comme plan d'évasion si les ''ennemis '' entre et qu'ils veulent de tuer pour ainsi

m'échapper en fracassant cette putin de fenêtre. Tout semble parfait ; !!! MERDE !!! j'ai oublié le téléphone !!

Je tasse le gros meuble et cours chercher ce putin de téléphone qui pourait m'envoyer du secours si mes ennemis

entrent ainsi, je pourais composer le 911 et laisser le téléphone allumer pour qu'ils viennent à mon secours.

Le pick-up et téléphone : Je recois un appele qui dit : '' Ouéallo, j'peux tu parler à Carmen

- tu té trompé de numéro

- je suis bien au 450 ***- **** ?

- ouais

- ok merci. ''

Pouf, raccroche.

La panique s'installe, je vois le pick-up par la fenêtre qui bouge pas drète devant chez moi ; '' MERDE'' que je me dit dans ma tête.

Je compose le 911 ; ils ont envoyé deux patrouilles dans mon domaine mais même à ca, je sentais que ma vie était en danger.

Résumé du reste car mon émission joue : j'ai resté dans mon bunker de 11;00 am à 4;00 pm, j'ai mangé, je vais mieux, mais je sens encore un danger potentiel et je me prépare à l'affrontement même si cela n'est que l'oasis de l'enfer de ma putin d'imagination et ma maladie.

The end.

[Random]

Bonjour.

Je suis schizophrène donc je connais fortement ce que sont les crises de panique.

Je vais vous racompter mon histoire d'aujourd'hui qui, d'après mes souvenirs, est

la pire que j'ai vécu jusqu'à présent.

- J'étais dans mon salon et j'ai vu à tva nouvelles qu'il y avait eu des incendies criminels. J'ai commencé à capoter quand

j'ai vu un camion de gaz Shell commencer à reculer directement devant moi via la rue en face de où j'habite.

Ma tête se bouscule et les plans de pyromans, terroristes et tueurs se bousculent fortement dans ma tête.

Première idée qui se met en place : le camion a été volé et quelqu'un qui veut ma peau va installer une brique sur l'accelerateur

pour que ma maison explose.

Je commence donc à paranoyer, à regarder dans tous les fenêtres, surtout après avoir appercu les mêmes camions qui

roulaient dans mon domaine et qui passaient toujours devant chez moi pour enfin tourner dans les rues qui entourent ma maison.

Mode rambo : Je regarde dans tous les fenêtres, j'appercois les mêmes véhicules passer devant chez moi comme s'ils voulaient

venir me tuer pour venger mes conneries ou erreurs du passé quand j'étais jeune. Je vois le même gars et le même

pick-up passer 3-4 fois devant chez moi, je commence à m'armer avec tout ce que je trouve chez moi ; couteaux de

cuisine à la Chukky, bat de baseball. Je prend 3-4 bouteilles d'eau et avec mes armes, j'entre dans mon atelier qui

est situé en bas dans mon sous-sol. Je prie Dieu de pardonner mes pêchés et de me protéger en échange que je

répande le bien et que j'aide ceux qui sont bien. Je met un gros meuble de 150 lbs environ devant la porte et met

un tabouret en bas de la fenêtre comme plan d'évasion si les ''ennemis '' entre et qu'ils veulent de tuer pour ainsi

m'échapper en fracassant cette putin de fenêtre. Tout semble parfait ; !!! MERDE !!! j'ai oublié le téléphone !!

Je tasse le gros meuble et cours chercher ce putin de téléphone qui pourait m'envoyer du secours si mes ennemis

entrent ainsi, je pourais composer le 911 et laisser le téléphone allumer pour qu'ils viennent à mon secours.

Le pick-up et téléphone : Je recois un appele qui dit : '' Ouéallo, j'peux tu parler à Carmen

- tu té trompé de numéro

- je suis bien au 450 ***- **** ?

- ouais

- ok merci. ''

Pouf, raccroche.

La panique s'installe, je vois le pick-up par la fenêtre qui bouge pas drète devant chez moi ; '' MERDE'' que je me dit dans ma tête.

Je compose le 911 ; ils ont envoyé deux patrouilles dans mon domaine mais même à ca, je sentais que ma vie était en danger.

Résumé du reste car mon émission joue : j'ai resté dans mon bunker de 11;00 am à 4;00 pm, j'ai mangé, je vais mieux, mais je sens encore un danger potentiel et je me prépare à l'affrontement même si cela n'est que l'oasis de l'enfer de ma putin d'imagination et ma maladie.

The end.

Mon frère est également schizophrène. Je sais donc que cette maladie est on ne peut plus dur à gérer, et je compatis à tes souffrances.

Sans vouloir être indiscret, tu traite comment ta maladie ? Je suppose que tu as un traitement, mais fais tu des thérapies ? Tu as remarqué un changement positif depuis ?

[Catapulte]

Je veux la paix intérrieur pour me sentir bien ; peut importe ce que je fait, j'ai toujours la forte impression

que c'est pas bon et qu'il va y avoir des consséquences.

-

Mon meilleur moyen est le travail sur moi-même ; je me sentirai mieux que lorsque je répendrai la lumière partout ou j'irai au lieu de faire le mal ou de rire des autres, même juste un peu. Je veux seulement être certain, me convaincre dans ma tête que j'ai aucune raison de capoter puisque j'ai été gentil et respectueux avec tous. Donc c'est ca la solution que j'ai trouvé pour ma paranoia et mes crises de panique.

-

-

C'est donc ca, ma solution ; répendre le bien pour qu'il soit réciproque envers moi. Minime soit l'action et les paroles, c'est le meilleur moyen que j'ai trouvé. Je veux être certain de ne pas avoir d'ennemis

La médication n'est qu'une bequille mais ne m'aide qu'à 50% des cas ( j'ai surment besoins des médics plus fort j'imagine ).

-

Cela ne fait surement aucun sens pour vous car je ne sais pas comment l'expliquer clairement.

-

-

Bonne nuit à tous

Modifié 7 janvier 2011 par J0ker

[Zero]

Ben en clair tu veux un bon karma.

"Do good things, and good things happen to you. Do bad things and it'll come back to haunt you."

[FosseAsceptique]

Je veux la paix intérrieur pour me sentir bien ; peut importe ce que je fait, j'ai toujours la forte impression

que c'est pas bon et qu'il va y avoir des consséquences.

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Mon meilleur moyen est le travail sur moi-même ; je me sentirai mieux que lorsque je répendrai la lumière partout ou j'irai au lieu de faire le mal ou de rire des autres, même juste un peu. Je veux seulement être certain, me convaincre dans ma tête que j'ai aucune raison de capoter puisque j'ai été gentil et respectueux avec tous. Donc c'est ca la solution que j'ai trouvé pour ma paranoia et mes crises de panique.

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C'est donc ca, ma solution ; répendre le bien pour qu'il soit réciproque envers moi. Minime soit l'action et les paroles, c'est le meilleur moyen que j'ai trouvé. Je veux être certain de ne pas avoir d'ennemis

La médication n'est qu'une bequille mais ne m'aide qu'à 50% des cas ( j'ai surment besoins des médics plus fort j'imagine ).

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Cela ne fait surement aucun sens pour vous car je ne sais pas comment l'expliquer clairement.

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Bonne nuit à tous

Tu le fais pas si mal en plus =)