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Se faire niaiser cruellement.


WhosMAD
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Se faire niaiser cruellement.  

100 membres ont voté

  1. 1. Vous êtes-vous déjà fait niaiser dans la vie ?

    • Oui, et ça me faisait très mal.
    • Non.
    • Non, c'est moi qui niaisait le monde.
    • Oui, mais ça me faisait rien.
  2. 2. Si oui, pourquoi ?

    • Grosseur
    • Bouton
    • Rejet (gêne, être intimidé)
    • Incongruités moins communes (agissement)
    • Autres (quoi par exemple ?)
    • Je me suis jamais faite niaiser, criss.


Déchet(s) recommandé(s)

Les personnes qui m'ont le plus niaisées, c'étais des 3 filles noires de 12ans qui rulait la garderie ou je travaillait dans l'équivalent de mtl-nord à Toronto. Tous les matins,j'espèrais qu'elles viennent pas, je commencais à stresser quand elles arrivaient.

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J'étais petit et maigre au début du secondaire, mais je n'ai jamais été "bullyé" car j'avais une grande gueule et des amis costauds ( mais gentils...).

J'ai grandi, beaucoup, en sec 3 pour atteindre 6p 3 et 200 lbs. et j'ai gardé ma grande gueule. J'ai utilisé ma carrure pour "aider les opprimés".

Le plus drôle, c'est que dans ma tête, j'ai encore 4pi8 et 95 lbs.

D'après-moi, la grosseur n'est pas nécessairement un atout pour intimider; je crois que c'est une question d'attitude et de confiance en soi avant tout. Non?

En effet! Je mesure 5'8" et je pèse 145 lbs et ça ne m'a jamais empéché d'être bien dans ma peau. Bon ok, c'est pas vraiment petit, disons average.

En plus, je kick des culs à Risk :D Je n'ai donc pas beaucoup de complexes.

Modifié par DeadBass
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Secondaire 1 et 2, y'avait une gang de trois quatre gros nonos de l'équipe de hockey de l'école qui arrêtait pas de m'écoeurer. Ils avaient rien à foutre pis s'amusaient à faire leur bully, pis moi ben j'étais le seul capable de leur répondre pis de pas partir à brayer quandil me frappait. J'me battais avec eux. Pis ça adonnait qu'à tous les ans, ils avaient les mêmes cours que moi.

Sauf que tout d'un coup, en secondaire 3, le leader du groupe, va savoir pourquoi, est devenu mon ami. Faut dire qu'on avait été pogné ensemble dans un travail d'équipe de Biologie pis que je l'avais bien démerdé pour qu'il puisse rester dans son osti d'équipe de hockey (genre, le gars qui a un échec ben il pouvait plus jouer). Ça fait que ses deux suiveux, Kevin et Kevin, j'me souviendrai toujours, ont arrêté de m'écoeurer quand il leur a fermemant dit de se fermer la gueule.

Modifié par BubbaShakur
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Mais bon, pour mon secondaire 3, j'ai changé d'école et aussi surprenant que cela puisse paraître, personne ne s'écœurait vraiment, à moins que j'aille été vraiment aveugle...

J'ai passé les 5 dernières années dans une école secondaire ou je n'ai jamais vu aucune forme d'intimidation. Le président est gay, les élèves sont tolérants, une ambiance de rêve. Je ne suis pas particulièrement du type populaire (Je suis maigre, j'ai des lunettes et je suis un peu geek) mais sa ne m'empêche pas d'être plutôt populaire. Je suis extraverti, excentrique et tout le monde me connais.

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Au secondaire, j'avais beaucop d'amis, je m'impliquais en chanson, théâtre, vie étudiante. Tout allait bien.

Mais en secondaire 2, il y avait une ÉNORME fille et 2 gars qui m'écoeuraient parce que j'étais maigre et petite. J'ai commencé à grandir et à avoir des formes à 14-15 ans alors qu'habituellement, c'est à 12 ans alors ils me faisaient chier avec ça. Mais ça ne m'a jamais atteint profondémment. Je ne peux pas dire que ça me faisait rien, quand on est ados, on n'aime pas se faire juger sur son physique, mais étant donné que j'avais quand même beaucoup d'amis qui me défendaient, c'était pas mal plus supportable.

Je me souviendrai toujours de la fois où le directeur adjoint avait pogné un des deux gars en train de m'écoeurer et qu'il l'avait amené dans son bureau. Il m'avait demandé d'attendre et je l'entendait CRIER mais très fort après le garçon. Le jeune était sorti en pleurant comme un bébé et m'a dit " Je m'ex-ex-ex-ex cuuuuuuuuse" avec de la difficulté à respirer hahahaha

Je n'ai plus jamais eu de troubles avec cette gang.

Et je n'ai jamais écoeuré personne. Même que j'étais plutôt gentille avec "les rejets" ça me dérangeait pas d'être en équipe avec eux pis je ne me faisais pas plus écoeurer parce que je leur parlais. Mais je remarquais qu'ils étaient tout de même méfiants à mon égard, comme si j'allais les niaiser et que je faisais semblant pour ensuite leur jouer dans le dos. C'était triste.

Modifié par Milie Vanilli
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Au secondaire, j'avais beaucop d'amis, je m'impliquais en chanson, théâtre, vie étudiante. Tout allait bien.

Mais en secondaire 2, il y avait une ÉNORME fille et 2 gars qui m'écoeuraient parce que j'étais maigre et petite. J'ai commencé à grandir et à avoir des formes à 14-15 ans alors qu'habituellement, c'est à 12 ans alors ils me faisaient chier avec ça. Mais ça ne m'a jamais atteint profondémment. Je ne peux pas dire que ça me faisait rien, quand on est ados, on n'aime pas se faire juger sur son physique, mais étant donné que j'avais quand même beaucoup d'amis qui me défendaient, c'était pas mal plus supportable.

Je me souviendrai toujours de la fois où le directeur adjoint avait pogné un des deux gars en train de m'écoeurer et qu'il l'avait amené dans son bureau. Il m'avait demandé d'attendre et je l'entendait CRIER mais très fort après le garçon. Le jeune était sorti en pleurant comme un bébé et m'a dit " Je m'ex-ex-ex-ex cuuuuuuuuse" avec de la difficulté à respirer hahahaha

Je n'ai plus jamais eu de troubles avec cette gang.

Et je n'ai jamais écoeuré personne. Même que j'étais plutôt gentille avec "les rejets" ça me dérangeait pas d'être en équipe avec eux pis je ne me faisais pas plus écoeurer parce que je leur parlais. Mais je remarquais qu'ils étaient tout de même méfiants à mon égard, comme si j'allais les niaiser et que je faisais semblant pour ensuite leur jouer dans le dos. C'était triste.

C'est plutôt gentil en effet d'appeler des mésadaptés sociaux "les rejets"

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Mais je remarquais qu'ils étaient tout de même méfiants à mon égard, comme si j'allais les niaiser et que je faisais semblant pour ensuite leur jouer dans le dos. C'était triste.

J'ai vécu sa aussi avec des amis de d'autres écoles. C'est vraiment triste de les savoir aussi bas dans leur estime.

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Je viens de la région donc on a pas le même pattern de bully dans les écoles. Au primaire, je me faisais pas trop écoeurer, tout le monde connaît tout le monde dans un petit village, donc... En sixième année, j'étais le plus vieux des garçons de l'école. Ah ben tabarnak, le succès est arrivé et je suis devenu la Star.

Au secondaire, à cause de ma grande gueule je me suis fais un peu écoeuré, mais jamais taxé ni frappé. Je n'ai jamais eu à me battre. En secondaire 3, le même con me lançait des pines ici et là. La seconde où j'y ai gueulé en cours de français Ferme dont ta yeule osti de mange marde, disons que je me suis pu jamais fait agressé verbalement. Au contraire, jusqu'en secondaire 5, je faisais des jokes avec lui :)

Au cégep, bof, y'a aucun écoeurement mais faut dire que je connaissais trop de monde. À garneau, faire le pavillon A à B, qui est genre 2 minutes de marche, pouvait me prendre une heure....

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Jouer aux cartes Magic, quand t'es ados, c'est se câlisser une cible dans le dos pour les gens dits "cools".

Par chance, après en avoir tapoché un qui gossait trop, les autres ont arrêtés.

Une autre preuve que violence est mère de toute solution... même quand ya des cartes Magic dans l'histoire.

Modifié par DeadBass
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En secondaire 1 et 2 j'étais un petit con qui écœurait les "désadaptés sociaux" (ne pas dire le mot "rejet" car je ne veux pas me faire lancer des roches par Deadbass bien entendu), bref, j'écœurais les "désadaptés sociaux" mais après le secondaire 2 j'ai pu vraiment écœuré personne.

J'riais des freshs j'en avais rien à foutre d'eux, j'avais une bonne couple d'amis mais j'étais pas dans les plus populaires de l'école non plus.

J'suis pas de nature violente donc je ne me suis jamais battu, jamais fait écœurer non plus.

Mon secondaire a été passablement poche.

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Qu'on dise ce qu'on veuille, la violence semble un bon moyen de s'en sortir.

Étant emo à l'adolescence, les cris fusaient de toute part et je n'y portait pas attention, même que j'aimais presque ça. Sauf qu'un jour il y en a un qui est allé un peu trop loin et j'ai eu le réflexe de le pogner pis de le crisser sur le mur.

Après avoir entretenu une discussion de quelques minutes avec une dizaine de ses amis qui m'encerclaient gentiment et me fixaient avec admiration, ils ne m'ont plus jamais éceuré.

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La violence n'était pas à l'école pour ma part. Dans le coin des drogués d'un parc j'étais over glé et j'ai déloader un gars de son weed et ensuite j'les poussé dans la cloture et j'lé pris par la gorge. Car lorsque j'étais jeune, ce gars la lancait des roches à mes 2 cousins black et les traitait de noir donc j'me suis rappelé de ca et j'ai un peu viré fou.... Ahh les 14 ans lol.

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Le secondaire... je suis vraiment content que se soit fini parce que quand j'y repense j'suis vraiment pas fier de ce que j'ai fait (ou pas fait) pendant cette période. L'école où je suis allé était assez terrible point de vue intimidation, c'est un chiffre en l'air comme ça mais je serais pas surpris qu'au moins le quart du monde de mon année se faisaient écoerer sur une base régulière.

Moi et mes amis on se payait la geule d'un petit blond vraiment mésadapté social, le pire c'est qu'il croyait qu'on était ses amis vu qu'il absolument avait personne d'autre pour ne serais-ce que lui adresser la parole à l'école. fait que, le pauvre revenait toujours nous voir même si on lui cachait même pas que c'était notre souffre-douleur... j'ai entendu dire une fois que le contraire de l'amour c'est pas la haine, mais l'indifférence.

de toute façon, les ados sont stupides (moi compris), mais heureusement on fini par apprendre je suppose.

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Il y avait une gang de p'tit chilleux qui m'ont écoeuré tout mon secondaire. Ils s'amusaient à partir toutes sortes de rumeurs sur moi, qui avaient fait le tour de la ville donc tout le monde m'écoeurait. C'était vraiment infernal. Surtout au début. Je fantasmais sur l'idée de me gunshoter devant eux en leur disant : "Check c'que t'as faite." Je parle à la deuxième personne du singulier parce que cette gang d'emmerdeurs avaient leur leadeur et je savais que les autres faisaient juste le suivre.

Maintenant je vais dans une petite école d'une vingtaine d'élèves, qui soit dit en passant est l'école la plus géniale au monde avec les meilleurs profs que j'ai jamais eu.

Devinez qui va à cette école. Le p'tit criss et ses disciples. Il m'a vraiment faite manger de la merde quand je suis arrivée.

Maintenant il m'ouvre la porte, me sourit, me prend dans ses bras.

J'ai appris que son père est mort dans l'temps où il s'en prennait à moi. Il est encore un p'tit criss de baveux, moins pire qu'avant par contre.

En allant à la même école que lui, j'ai découvert que c'est un ti-coune qui a quand même du jugement, un coeur en or mais la combinaison du désir de se faire accepter et d'un très fort caractère le mène à devenir un p'tit criss de baveux.

J'ai coupé les cheveux d'une fille... sans lui demander la permission. On lui avait pourtant dit d'arrêter de nous énerver.

Oh je l'ai déjà fait aussi! Mais ce n'était pas méchant, on jouait à coiffeuse, j'ai dit : J'vais te couper les cheveux pour vrai. Elle avait l'air de s'en fouttre. C'est ses parents qui étaient pas contents lorsqu'en brossant les longs cheveux de leur fille, pleins de cheveux tombaient par terre, c'était coupé affreusement croche et je devais avoir enlevé 3-4 pouces de longueur. Bref elle avait deux longues belles tresses et j'ai passé le ciseau dedans.

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Ouaw...J'ai coché toutes les cases sauf "je me suis jamais faite niaiser, criss"....

En maternelle (ça remonte à loin!) je me faisait niaiser parce que j'avais un accent français. Je suis née à Québec mais j'ai déménagé jeune en Gaspésie. Je savais parler convenablement et j'me faisait écœurer pour ça. Une fois j'me suis faite pogner à me gratter le nez, jusqu'en secondaire deux, j'ai été la fille " qui mange ses crottes de nez", pas fort. Pis j'étais grande pour mon âge, et très introvertie, et je dessine des cadavres...

Ce ne sont que deux exemples parmi tant d'autres, mais le pire c'est ce fameux dialogue pour justifier les moqueries.

Lui- T'es bizarre toé.

Moi- Pourquoi? Qu'est c'est que j'ai de bizarre?

Lui- Ben j'sais pas, t'es bizarre.

Enfin, de la maternelle jusqu'en secondaire trois que je me suis fait écœurer pour toutes les raisons possibles et imaginable et ça se sent encore aujourd'hui.

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(modifié)

En quatrième année, j'ai déménagé de St-Michel (où j'avais des millions d'amis, une petitr-copine et une gang solide de blacks) pour Pointe-aux-Trembles. J'ai mal pris le déménagement et j'ai comblé ma peine dans la nourriture. En cinquième et sixième année, j'étais rejet et je me défendais. Je ne pouvais tolérer les gens qui me faisait chier, alors je provoquais souvent les batailles. J'étais fort et je gagnais tout le temps, mais ils n'arrêtaient pas. Au secondaire, j'avais mon cercle d'amis et je parlais aux gens, mais j'étais petit gros. Un moment donné, j'étais 5'5 250 livres (je suis 6'3, 215 livres aujourd'hui). En secondaire 4, j'ai commencé à m'entraîner, à muscler, à grandir et à m'habiller comme un douchebag alors les attaques incessantes se sont terminées. J'me suis rebattu une fois en secondaire cinq où j'ai poussé en gars en bas des escaliers.

J'ai souvent mijoter des plans dans ma tête pour arrêter ces gens-là. J'ai déjà apporté un bat de baseball à l'école pour me venger de quelqu'un, mais j'ai chocké. J'ai aussi souvent pensé tué ceux qui m'énervaient parce que personne me prennait au sérieux. J'aurais VRAIMENT pu devenir un Columbine Boy parce que j'étais vraiment pu capable ... J'étais sur le bord de la crise à chaque jour et vivre me faisait mal.

Aujourd'hui, je suis trop outgoing pour ça. Je suis presque content d'avoir eu un adolescence de marde pour les valeurs que j'ai aujourd'hui. Comme Wilder, je suis content d'être riche de connaissances.

Modifié par Just Kidding
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J'étais très populaire (mes seins ont poussé tôt), puis je suis devenue hyper solitaire. Personne ne me dérangeait parce qu'ils craignaient mes nouveaux amis bizarres et plus âgés. J'avais quelques cibles qui s'en prenaient plein la gueule, aussi. Avec le recul je me demande comment j'ai pu être aussi odieuse. Mais c'est ça la clef, il faut faire peur pour être tranquille.

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Au secondaire, j'étais une statue autiste introverti au max et renfermé dans une bulle de metal avec 5 cadenas. Je ne parlais à personne, je ne ressentais rien, je ne pensais à rien.

Il est possible qu'on m'ai niaisé mais j'étais tellement dans ma bulle que ca ne m'affectais plus. Ou je me suis peut-être refermé parce que ca m'affectais trop. Ca peut aller dans les deux sens.

Aujourd'hui je tente de devenir plus normal et m'ouvrir au relations sociales mais c'est assez compliqué.

Reste que c'était une de mes meilleure décision malgré la souffrance et la solitude que ca causé. Je ne suis pas tombé dans le piège cruel de la société occidentale de consommation. Je ne suis pas tombé dans le piège de l'immoralité, de l'hypocrésie et des symboles de valorisation sociale. Je n'es pas été assimilé à cette culture de déviants.

Conséquence: Je suis libre. Je suis maitre de mon corps et de mon âme. Je peut être et devenir ce que je veux et non ce que les autres veulent que je devienne. C'est encore plus beau que toute satisfactions temporaires confondu.

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