Milie Vanilli 10 février 2010 Partager 10 février 2010 Voici ma propre situation et j'aimerais avoir vos commentaires, suggestions, tranches de vie personnelles et conseils à propos de la procrastination ; l'art de toujours remettre au lendemain ce que l'on DEVRAIT faire aujourd'hui.Je suis quelqu'un de plutôt active et productive. Je mène plusieurs projets à la fois, je m'investis à fond dans mon travail, etc. MAIS.... J'ai vraiment un problème de procrastination. Ça me cause de l'anxiété et je souhaite changer cela mais je n'y arrive tout simplement pas. Je remets toujours à plus tard des tâches importantes. Je finis toujours par être dans les délais et à produire quelque chose de bon, mais toujours à la dernière minute. En ce moment, je devrais travailler sur mon essai de maîtrise, mais je perds mon temps sur le Dépotoir et sur des sites de musique. Je travaille environ 45 heures par semaine et une fois revenue à la maison, j'ai envie de tout faire sauf les études. C'est impossible j'ai l'impression que la tête va m'exploser. Ça fait en sorte que j'accumule du stress parce que chaque fois que j'essaie de me détendre, une petite voix en background me dit " Hey, tu devrais faire ton ménage, ton lunch, travailler sur ta maîtrise, prendre rdv quelque part, aller payer telle chose etc". Mais rien n'y fait. Quelqu'un de sensé et raisonnable va faire les choses à mesure et avoir l'esprit tranquille ensuite. Moi? Incapable... Si je reçois une facture, je vais la payer à la date PILE limite. Mon essai, je vais le remettre à la date limite, mon lavage, je le fais lorsque je n'ai vraiment plus rien à mettre de propre, etc. J'ai essayé de me faire des listes, mais ça me stresse encore plus de voir tout ce que j'ai à faire. On dirait que je fais du déni, comme pour me détendre, mais au bout du compte, c'est pire.et vous? Quels sont vos trucs pour ceux qui ont réglé un problème du genre? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheval 11 février 2010 Partager 11 février 2010 Un prof au cégep à rapidement réglé cette question au début d'une session.Étant donné que j'étais particulièrement concerné j'ai tout gobé et voilà ce que je retiens.La procrastination fera probablement toujours parti intégrale de notre travail, étant donné que nous réussissons plutôt bien même si on investi 3 fois moins de temps qu'il ne le faudrait. Que faire alors? L'accepter. Si tu as trois mois pour faire un travail long, ne perds pas 2 de ces mois à essayer de travailler pour finalement tout faire à moitié en étant à moitié devant la tv et à moitié dans tes livres. Ne travail littéralement pas les 2 premiers mois avant la date d'échéance. Pourquoi, de toutes façons, devrions-nous s'efforcer et stressé dans un travail que nous ne voyons pertinemment pas avancer par notre propre faute. La procrastination occasionne également un megastress quand arrive les deadlines. Moi je le vois comme un stress excellent car il préoccupe mes pensées donc je suis toujours dans ce travail. Condensé le temps prédéfini à un travail est donc alors plus avantageux. Mais bon, ça c'est la méthode accepté sans combattre.Pour ce qui est des trucs anti-procrastination, moi je change d'environnement. Dans ma chambre, ou il y a mon ordi, impossible d'étudier pertinemment. Impossible. Eh ben j'étudie à la bibliothèque. C'est chiant, c'est pas à coté, on ne peut pas être en pantoufle, mais il m'est impossible de venir perdre mon temps sur des forums. Enfin, impossible, le divertissement est moins à porter. J'espère que ça peut t'aider. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Milie Vanilli 11 février 2010 Auteur Partager 11 février 2010 (modifié) Un prof au cégep à rapidement réglé cette question au début d'une session.Étant donné que j'étais particulièrement concerné j'ai tout gobé et voilà ce que je retiens.La procrastination fera probablement toujours parti intégrale de notre travail, étant donné que nous réussissons plutôt bien même si on investi 3 fois moins de temps qu'il ne le faudrait. Que faire alors? L'accepter. Si tu as trois mois pour faire un travail long, ne perds pas 2 de ces mois à essayer de travailler pour finalement tout faire à moitié en étant à moitié devant la tv et à moitié dans tes livres. Ne travail littéralement pas les 2 premiers mois avant la date d'échéance. Pourquoi, de toutes façons, devrions-nous s'efforcer et stressé dans un travail que nous ne voyons pertinemment pas avancer par notre propre faute. La procrastination occasionne également un megastress quand arrive les deadlines. Moi je le vois comme un stress excellent car il préoccupe mes pensées donc je suis toujours dans ce travail. Condensé le temps prédéfini à un travail est donc alors plus avantageux. Mais bon, ça c'est la méthode accepté sans combattre.Pour ce qui est des trucs anti-procrastination, moi je change d'environnement. Dans ma chambre, ou il y a mon ordi, impossible d'étudier pertinemment. Impossible. Eh ben j'étudie à la bibliothèque. C'est chiant, c'est pas à coté, on ne peut pas être en pantoufle, mais il m'est impossible de venir perdre mon temps sur des forums. Enfin, impossible, le divertissement est moins à porter. J'espère que ça peut t'aider.Ouais, j'aurai pas le choix. C'est une bonne idée de changer de place, d'aller m'enfermer à Gabrielle Roy et travailler là sur mon portable sans connexion internet (après avoir parcouru tous les étages et toutes les sections de livres hahaha). Le problème n'est pas tant Internet. Mais aussitôt que je me dis "Bon aujourd'hui je dois faire 3 heures de travaux", je me trouve 100 prétextes ( le ménage de mon bureau pour que ça soit bien propre, me faire du thé, faire la vaisselle, etc)... Pis je finis par me sentir coupable. Mais je suis vraiment décidée à changer. Modifié 11 février 2010 par Milie Vanilli Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Luna 11 février 2010 Partager 11 février 2010 Je suis du genre à tout simplement me "débarrasser" de mes tâches au plus vite, pour justement pouvoir me pogner le beigne un max sans me sentir coupable par après. Je tente de les faire rapidement et à la lettre, mais j'ai tendance à être excessivement perfectionniste et à toujours amener des corrections ou rerererevérifier si tout est bien fait pendant le temps où je serais censée relaxer. Au final, ça m'apporte autant de stress que d'habitude. Ce n'est pas tant de la procrastination, j'en suis consciente, mais le contraire est aussi néfaste selon moi. Il faudrait trouver un juste milieu. Ce qui pourrait aider, c'est de voir les biens-faits de mener à terme les projets/tâches environ une semaine à l'avance: ne pas avoir à rusher pour terminer un travail, plus de temps pour se réviser et donc sans doute une meilleure note en perspective. Et surtout, beaucoup moins d'anxiété. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Commissaire Laviolette 11 février 2010 Partager 11 février 2010 (modifié) La procrastination physique, l'inaction, ne veut pas dire le gel de l'esprit. Quand la limite approche, mon travail est déjà fait. Dans ma tête. Il ne reste plus qu'à l'exécuter. Le truc, c'est de savoir calculer le temps d'exécution. Modifié 11 février 2010 par L'Idiome du Village 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Forb 11 février 2010 Partager 11 février 2010 Tu pourrais demander à Drox de te bannir temporairement. J'y ai souvent songé pendant mes périodes d'examens. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ooh.mygodness 11 février 2010 Partager 11 février 2010 (modifié) Dans mon cas, ça dépend de la tâche à faire, je dirais. Mais même si je repousse quelque chose à plus tard, jamais je vais le remettre en retard(ou presque...), donc, ça n'est pas un gros problème pour moi.La seule chose qui est dérangeant, c'est qu'il et vrai que ça occasionne un petit surplus de stresse. Modifié 11 février 2010 par Ooh.mygodness Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
unforgiven 11 février 2010 Partager 11 février 2010 Elle est mon amie depuis le cégep. Je viens bien avec. J'ai passé des nuits à terminer des travaux à 4h du matin parce que je glandais trop sur le net ou je regardais des émissions. En dehors de l'école, c'est différent. Je fais même des tâches soudainement comme ça. Bien sûr, ces tâches là me font oublier que j'ai des travaux ou des paiements à faire. J'ai déjà voulu faire une liste avec les tâches en ordre de priorité pour m'organiser, mais... Ah, j'finirai la phrase une autre fois Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité 11 février 2010 Partager 11 février 2010 La technique de "la liste" fonctionne relativement bien dans mon cas. Je classe de façon basique ce que j'ai à faire par priorité et quand j'ai un moment de libre, je jette un oeil et je m'applique à vider cette même liste d'un de ses éléments. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Room237 11 février 2010 Partager 11 février 2010 Je procrastine mon retour à l'école depuis 5 ans maintenant.On lâche pas... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Verce 11 février 2010 Partager 11 février 2010 Je m'était fixé comme objectif en début de session de ne pas procrastiner, de toujours être à l'avance. Les deux premières semaines se sont déroulés parfaitement selon mes plans. Puis j'ai repris l'habitude d'aller sur l'ordinateur dès mon retour à la maison. Et depuis c'est la descente au enfer. Je dois combattre, mais il y a toujours quelque chose. Et comme Limette il y a toujours une petite voix qui me conseille de faire autre chose. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Standing Bear 12 février 2010 Partager 12 février 2010 Ahh procrastination quand tu nous tiens...Je m'améliore, j'ai pris l'habitude des faire mes trucs drette en revenant de mes cours (sauf espagnol parce que c'est lourd...)Et psycho...On a deux semaines pour faire un "journal de bord", ma prof est cinglée, et donc le cours est le mardi et je dois remettre le truc le mardi dans deux semaine. Je me dis, je vais le faire demain, j'ai pas de cours le mercredi. Pas fait. En fin de semaine, j'aurai le temps, pas fait. Je vais le faire l'autre mercredi, j'ai pas de cours. Pas fait. Et voilà, il me reste une fin de semaine avant mardi prochain. Et je sais que je vais le faire lundi soir entre 9h et 11h. Le pire dans tout ça, c'est que à maintes reprises dans la semaine je me dis "bordel de chiotte, j'ai rien à faire"Ah et j'ai des tonnes de listes et de post-it dans ma chambre d'étudiante. Sinon j'oublie. D'ailleurs je crois que j'avais une lecture à faire pour demain...J'ferais ça après ma douche. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lux 12 février 2010 Partager 12 février 2010 J'ai banni ce mot-là de mon vocabulaire parce qu'il est sale et faussement savant. Ça donne même un petit lustre cute à l'acte de repousser ses obligations. Souffre de cette urgence, souffre de cette culpabilité et de sa pensé rétroactive, souffre de la conscience de remettre quelque chose de moins réussi que s'il avait été planifié et médité, c'est tout ce que tu mérites.Je préfère parler de fainéantise, d'hobby accaparant ou de moyens déficients. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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