Comment vous sentez-vous présentement ?

[Humbert Humbert]

T'as peut-être pas dit que c'était mal d'aller chez un psy et que la psychologie était de la merde, mais t'as quand même dit que tu n'y croyais pas. Mais bon, on s'entend que tu es loin d'être le seul à penser comme ça. Je ne comprends juste pas comment quelqu'un peut porter un tel jugement alors qu'il n'a jamais mis les pieds dans le bureau d'un psy.

Tu dois aussi t'enlever de la tête que c'est le psy qui fait le travail pour toi, parce que c'est totalement faux. Par contre, celui-ci peut t'amener sur des pistes qui te permettront de bien cerner qui tu es et pourquoi tu es ainsi. Mais le gros du travail c'est toi qui le fais et personne d'autre.

Et tant qu'à faire...

J'ai vécu un triple deuil à l'âge de 15 ans et c'est la thérapie qui m'a remise au monde.

Y'a pas de mal à se faire du bien.

Je dois avouer que je porte un regard assez critique sur la profession de psychologue clinicien. J'ai consulté trois psychologues différents dans ma vie pour arriver au même résultat: rien. Je racontais mes problèmes, puis le psychologue me posait des questions convenues ou m'amenait sur des pistes évidentes qui ne m'étaient d'aucune aide. J'ai une nature très introspective donc je doute qu'un inconnu puisse porter un regard nouveau sur mes angoisses.

Je pense qu'il y a un "public cible" pour les psychologues, que certaines personnes répondent bien à ce genre de thérapie alors que d'autres restent complètement fermées. Je n'ai peut-être pas trouvé le bon? De toute façon je doute qu'un diplôme en psychologie puisse réellement donner à une personne un "talent" naturel pour la thérapie qui à mon sens est nécessaire à la pratique. Un bon psychologue c'est quelqu'un qui de base est un bon psychologue, qui a sa dans sa nature.

C'est un cliché de le souligner, mais il y a aussi la question des coûts et l'attitude des psychologues face à leur temps. Quand je paye 80$ pour que tu m'écoutes parler 60 minutes, commence pas à regarder ta montre à la cinquante-huitième et surtout coupe-moi pas dans le milieu d'une phrase parce que j'ai dépassé de 30 secondes. Tous les psychologues que j'ai vus étaient lourds sur la montre. Ça me dégueulait de leur signer un chèque.

Je sais que c'est hautement subjectif comme propos mais j'ai du mal à m'imaginer une résolution de problème suite à des séances avec un psychologue. J'en suis toujours sorti frustré et pauvre et toujours aussi névrosé. Peut-être que le resserrement des exigences de scolarité en cours depuis quelques années va aider, mais j'en doute.

[1984]

Comme dans tous les métiers, tu as vraiment de tout. Heureusement qu'il existe des gens dont le diplôme n'ait pas précédé au talent naturel pour comprendre et vouloir aider les autres; qu'ils le font par conviction autant que par qualification, ils faut les trouver.

Bon ou mauvais médecin, bon ou mauvais dentiste... La liste est longue, je ne pense pas t'apprendre quoi que ce soit.

On parle souvent de ces imposteurs, et de leurs gueules cassées ( la résultante de leur incapacité à exercer est visible sur le patient)

C'est simple: une bonne thérapie, c'est une thérapie qui marche. Si ton médecin de l'esprit ne sait pas te soigner, il faut en trouver un meilleur. Ce qui est triste c'est que même au bout de 3 tu n'as pas trouvé quelqu'un qui sache t'aider. Je sais que de mon côté, quand j'ai voulu chercher un psychologue, les gens me donnaient le leur où celui qui avait fait ses preuves sur leur entourage.

Bon, je vais créer un thread.

[Chicken of the infinite]

Travail d'introspection majeur.

Mal de tête.

Je ne m'en plains pas par contre, c'est vivifiant.

[Louise Cyphre]

Je vais faire un long texte ennuyeux, décousu qui va faire zéro sens. et trop dépressif sur ma misérable vie (bla, bla).

Mon copain m'a laissé pour la deuxième fois au début janvier (à ma fête plus précisément, pour garder ça dans le bohneur). À ce moment-là, il me disait qu'il se sentait juste pas bien et qu'on s'était éloigné durant les deux derniers mois à cause qu'on se parlait qu'une fois par semaine. Raison de marde pour me laisser. Surtout que je venais enfin d'avoir un cell et ça faisait une semaine qu'on se parlait à tous les jours comme avant. Mais bon, tout d'un coup, il arrête de me parler et parano comme je suis, j'ai réussi à lui tirer les verres du nez.

Durant tout le mois, dès qu'on se parle c'est plus pour s'envoyer chier qu'autre chose. Ou moi qui pleure et comprend pas et trouve le tout vraiment stupide. Il est toujours distant, sauf quand il est saoûl.

Avant quand il était saoûl, c'était le pire asshole au monde avec moi. Tout d'un coup, ça devient le seul moment où il se comporte comme avant avec moi et me dit qu'il m'aime et s'ennuie oh combien de moi. Je passe mes journées à attendre et essayer d'avoir du positif de son côté. Ça fini toujours en une guerre d'insulte.

Deux semaines après la fin de notre relation, «la fin» si on veut puisqu'une fois sur deux c'est un peu comme avant, c'est la fête d'un de des amis. Cet ami-là me cruise ben gros depuis un bout et me fait des avances et tout assez souvent. Mais j'étais en couple donc je les ignorais tout simplement ou bien j'embarquait un peu dans le jeu sans aller trop loin. Donc à sa fête je suis extrêmement saoûle, je finis donc par baiser avec.

Deux jours plus tard, je vois un ami avec qui j'avais déjà baisé il y a longtemps (ça doit bien être le troisième ou quatrième avec qui j'ai fait des trucs). On a du sexe de façon fun et amicale. De toute façon, je me dis que je suis célibataire, donc j'ai le droit. Le même soir j'étais vraiment saoûle et tout faque j'me pogne un autre gars (fallait vraiment que je suis vraiiiiiment dans un autre état pour celui-là).

Le lendemain, je parle à Tyler (mon ex) et je lui dit que j'ai vu un ami hier et il me demande si j'ai couché avec lui (il a toujours été ben jaloux et pense que je couche avec tout le monde). Je veux être honnête avec lui, donc je lui répond oui. Il me pète une sale coche, vraiment grosse. Il me dit après que ça fait deux semaines qu'il voit une fllle (une p'tite plotte de 18 ans vraiment laide et est clairement 100% crap, tsé le summum pour me faire chier, j'aurais préfèré que la fille soit plus belle que moi et tout, mon ego en mange une moins grosse). Mais tsé, il l'a voit pas juste pour coucher avec elle, il agit comme si il est en couple et tout. Il me dit que le fait que j'ai couché avec un gars (qui est seulement un ami et le tout juste pour le plaisir de la chose) est pire que lui qui fréquente une fille. En plus deux jours avant, je lui avait demandé s'il voyait quelqu'un et il m'avait répondu par la négative.

Je me retiens de lui dire que j'ai couché avec deux autres gars dans la même fin de semaine (tsé il va pensé que je suis encore plus une slut qui vaut rien). Je me retiens aussi de lui dire que je l'ai trompé à trois reprises durant notre relation. À ce moment-là, j'aurais vraiment aimé lui dire pour un certain gars puisqu'il aime ben gros son band et va les voir quand ils passent dans sa ville, tsé (mais bon j'me garde une certaine maturité).

Durant les autres semaines qui suivent notre relation continue à être merdique et semblable. Il me dit qu'il a arrêté de voir la fille et tout. De mon côté je fais juste continuer à me saouler et à me droguer. Je continue à voir mon ami avec qui j'ai couché à sa fête. J'ai couché une fois chez lui et il s'est collé sur moi, je me retiens pour que ça en reste-là. Les autres fois on a une relation semi-amicale (mais bon j'ai toujours été mauvaise pour analyser ce genre de chose). J'ai pas vraiment envie de m'investir plus vu qu'il a un enfant. À la base c'est l'ami de mes collocs et vient maintenant à l'appart pour me voir principalement.

Il y a deux semaines, Tyler et moi on se pogne intense et ça fini par lui qui me bloque sur Facebook (vivement les relations à longue distance et l'autre qui veut pas qu'on règle nos problème sur Skype, c'est fou à quel point un mot sans l'intonation peut avoir une toute autre signification). C'est à ce moment-là que je me dis que c'est officiellement fini. Que de toute façon je n'en peux vraiment plus de cette relation et que ça me rend encore plus dépressive que je le suis déjà.

Je m'inscris sur OkCupid pour le fun et rire des gars laids qui font du white knighting et tout. Je finis par rencontrer un gars intéressant et on se voit. On passe une soirée le fun et tsé comme d'habitude je couche avec le premier soir. bla bla, le reste est inutile à savoir.

Tyler me débloque et arrête pas de m'envoyer des messages pour me demander de l'accepter. Je finis par accepter. Je lui dit que j'ai eu une date et tout. Il me pète une coche et me dit que je l'ai trahis. Je lui dis que de toute façon nous deux c'est fini et que j'ai le droit d'avoir des dates et coucher avec 30340 si j'en ai envie. Il me dit qu'il m'aime et s'ennuie de moi et veut revenir avec moi. Que toute cette histoire-là le rend malade. On discute et on réussi a enfin parler comme des adultes et à chacun expliquer nos points et il fini par me dire les vrais raisons du pourquoi il m'avait laissé. Je lui dis qu'on est plus ensemble, mais que je l'aime encore et qu'une partie de moi a envie d'être encore avec lui. Je ne sais aucunement quoi faire. Retourner dans le même cycle et tout. J'en ai pas vraiment envie, mais mon dieu que je m'ennuie d'être avec lui et de tout ce qu'on avait ensemble. En même temps y'a d'autres personnes.

Y'a ce gars-là, sur qui je crush depuis la première fois que j'ai vu. Je lui ai dit tout ça une fois quand j'étais saoûle. J'ai trompé Tyler avec (juste du touchage) et on s'est vu avant-hier et on a fini par coucher ensemble pour vrai.

J'arrête pas de mentir à Tyler, je sais pas pourquoi. On dirait que je veux le faire autant chier qu'il l'a fait durant le mois et demi après qu'il a mit fin à notre relation.

Je sais plus rien.

Je suis tannée d'être dépressive. Tout ça aide en rien à l'énorme dépression que j'ai depuis trop longtemps. Je devrais peut-être arrêté de m'accrocher à des relations pour me sentir heureuse.

J'ai fini par rappeler ma psychiatre hier pour avoir un rendez-vous. J'avais arrêté d'y aller après deux séances.

J'ai hâte que tout aille bien, que je puisse travailler ou étudier sans abandonner après deux semaines parce que j'ai pas la force de continuer.

Y'a sûrement plein d'autres trucs que j'aurais pu ajouter, ça va être comme ça pour le moment.

merci, merci.

[Chicken of the infinite]

"Blablabla"

Écoute, toi au moins t'as du sexe, un bon cerveau et une vie sociale.

Essaie juste de pas le scraper avec de la drogue.

Ha et puis, tes préoccupations de gueurda 100% normale, proactive et populactive me tappent sur les nerfs.

(And so on, ton ex est une queue. Sors dont ça de ton quotidien et lâche dont les relations romantico-malsaines; ça irait peut-être mieux.)

[Zen]

Je vais faire un long texte ennuyeux, décousu qui va faire zéro sens. et trop dépressif sur ma misérable vie (bla, bla).

Mon copain m'a laissé pour la deuxième fois au début janvier (à ma fête plus précisément, pour garder ça dans le bohneur). À ce moment-là, il me disait qu'il se sentait juste pas bien et qu'on s'était éloigné durant les deux derniers mois à cause qu'on se parlait qu'une fois par semaine. Raison de marde pour me laisser. Surtout que je venais enfin d'avoir un cell et ça faisait une semaine qu'on se parlait à tous les jours comme avant. Mais bon, tout d'un coup, il arrête de me parler et parano comme je suis, j'ai réussi à lui tirer les verres du nez.

Durant tout le mois, dès qu'on se parle c'est plus pour s'envoyer chier qu'autre chose. Ou moi qui pleure et comprend pas et trouve le tout vraiment stupide. Il est toujours distant, sauf quand il est saoûl.

Avant quand il était saoûl, c'était le pire asshole au monde avec moi. Tout d'un coup, ça devient le seul moment où il se comporte comme avant avec moi et me dit qu'il m'aime et s'ennuie oh combien de moi. Je passe mes journées à attendre et essayer d'avoir du positif de son côté. Ça fini toujours en une guerre d'insulte.

Deux semaines après la fin de notre relation, «la fin» si on veut puisqu'une fois sur deux c'est un peu comme avant, c'est la fête d'un de des amis. Cet ami-là me cruise ben gros depuis un bout et me fait des avances et tout assez souvent. Mais j'étais en couple donc je les ignorais tout simplement ou bien j'embarquait un peu dans le jeu sans aller trop loin. Donc à sa fête je suis extrêmement saoûle, je finis donc par baiser avec.

Deux jours plus tard, je vois un ami avec qui j'avais déjà baisé il y a longtemps (ça doit bien être le troisième ou quatrième avec qui j'ai fait des trucs). On a du sexe de façon fun et amicale. De toute façon, je me dis que je suis célibataire, donc j'ai le droit. Le même soir j'étais vraiment saoûle et tout faque j'me pogne un autre gars (fallait vraiment que je suis vraiiiiiment dans un autre état pour celui-là).

Le lendemain, je parle à Tyler (mon ex) et je lui dit que j'ai vu un ami hier et il me demande si j'ai couché avec lui (il a toujours été ben jaloux et pense que je couche avec tout le monde). Je veux être honnête avec lui, donc je lui répond oui. Il me pète une sale coche, vraiment grosse. Il me dit après que ça fait deux semaines qu'il voit une fllle (une p'tite plotte de 18 ans vraiment laide et est clairement 100% crap, tsé le summum pour me faire chier, j'aurais préfèré que la fille soit plus belle que moi et tout, mon ego en mange une moins grosse). Mais tsé, il l'a voit pas juste pour coucher avec elle, il agit comme si il est en couple et tout. Il me dit que le fait que j'ai couché avec un gars (qui est seulement un ami et le tout juste pour le plaisir de la chose) est pire que lui qui fréquente une fille. En plus deux jours avant, je lui avait demandé s'il voyait quelqu'un et il m'avait répondu par la négative.

Je me retiens de lui dire que j'ai couché avec deux autres gars dans la même fin de semaine (tsé il va pensé que je suis encore plus une slut qui vaut rien). Je me retiens aussi de lui dire que je l'ai trompé à trois reprises durant notre relation. À ce moment-là, j'aurais vraiment aimé lui dire pour un certain gars puisqu'il aime ben gros son band et va les voir quand ils passent dans sa ville, tsé (mais bon j'me garde une certaine maturité).

Durant les autres semaines qui suivent notre relation continue à être merdique et semblable. Il me dit qu'il a arrêté de voir la fille et tout. De mon côté je fais juste continuer à me saouler et à me droguer. Je continue à voir mon ami avec qui j'ai couché à sa fête. J'ai couché une fois chez lui et il s'est collé sur moi, je me retiens pour que ça en reste-là. Les autres fois on a une relation semi-amicale (mais bon j'ai toujours été mauvaise pour analyser ce genre de chose). J'ai pas vraiment envie de m'investir plus vu qu'il a un enfant. À la base c'est l'ami de mes collocs et vient maintenant à l'appart pour me voir principalement.

Il y a deux semaines, Tyler et moi on se pogne intense et ça fini par lui qui me bloque sur Facebook (vivement les relations à longue distance et l'autre qui veut pas qu'on règle nos problème sur Skype, c'est fou à quel point un mot sans l'intonation peut avoir une toute autre signification). C'est à ce moment-là que je me dis que c'est officiellement fini. Que de toute façon je n'en peux vraiment plus de cette relation et que ça me rend encore plus dépressive que je le suis déjà.

Je m'inscris sur OkCupid pour le fun et rire des gars laids qui font du white knighting et tout. Je finis par rencontrer un gars intéressant et on se voit. On passe une soirée le fun et tsé comme d'habitude je couche avec le premier soir. bla bla, le reste est inutile à savoir.

Tyler me débloque et arrête pas de m'envoyer des messages pour me demander de l'accepter. Je finis par accepter. Je lui dit que j'ai eu une date et tout. Il me pète une coche et me dit que je l'ai trahis. Je lui dis que de toute façon nous deux c'est fini et que j'ai le droit d'avoir des dates et coucher avec 30340 si j'en ai envie. Il me dit qu'il m'aime et s'ennuie de moi et veut revenir avec moi. Que toute cette histoire-là le rend malade. On discute et on réussi a enfin parler comme des adultes et à chacun expliquer nos points et il fini par me dire les vrais raisons du pourquoi il m'avait laissé. Je lui dis qu'on est plus ensemble, mais que je l'aime encore et qu'une partie de moi a envie d'être encore avec lui. Je ne sais aucunement quoi faire. Retourner dans le même cycle et tout. J'en ai pas vraiment envie, mais mon dieu que je m'ennuie d'être avec lui et de tout ce qu'on avait ensemble. En même temps y'a d'autres personnes.

Y'a ce gars-là, sur qui je crush depuis la première fois que j'ai vu. Je lui ai dit tout ça une fois quand j'étais saoûle. J'ai trompé Tyler avec (juste du touchage) et on s'est vu avant-hier et on a fini par coucher ensemble pour vrai.

J'arrête pas de mentir à Tyler, je sais pas pourquoi. On dirait que je veux le faire autant chier qu'il l'a fait durant le mois et demi après qu'il a mit fin à notre relation.

Je sais plus rien.

Je suis tannée d'être dépressive. Tout ça aide en rien à l'énorme dépression que j'ai depuis trop longtemps. Je devrais peut-être arrêté de m'accrocher à des relations pour me sentir heureuse.

J'ai fini par rappeler ma psychiatre hier pour avoir un rendez-vous. J'avais arrêté d'y aller après deux séances.

J'ai hâte que tout aille bien, que je puisse travailler ou étudier sans abandonner après deux semaines parce que j'ai pas la force de continuer.

Y'a sûrement plein d'autres trucs que j'aurais pu ajouter, ça va être comme ça pour le moment.

merci, merci.

Tout ça crie ''Dépendance affective'' ce qui n'est pas saint...t'as songé à chercher de l'aide? (Psy ou thérapie?) Ça ne pourrait que te faire du bien j'crois. (Conseil à deux cennes, oui mais reste que c'est valide en titi)

[Louise Cyphre]

Nah je suis pas dépendante affective.

J'ai d'autres problèmes d'ordre psychologique par contre. Durant les 10 dernières années j'ai été interné, vu des psychologues, psychiatres, etc. sans vraiment donné de résultats. C'est plus parce que je n'ai jamais trouvé quelqu'un avec qui j'accrochais assez pour m'aider et qui avait l'air de me comprendre. J'ai trouvé une bonne psy v'là deux ans, mais j'ai arrêté de la voir parce que pour ce moment là je n'en ressentais plus le besoin.

Je suis allé à l'urgence en septembre (?) et j'ai réussi à avoir un psychiatre. Mais comme à chaque fois que je suis dans un de mes états dépressifs intenses j'arrête d'y aller. À chaque fois que j'ai un rendez-vous mon père ou ma mère doivent m'accompagner pour s'assurer que j'y vais.

La rupture avec mon ex m'a juste encore plus mis à terre que je l'étais déjà. Même quand on était ensemble j'étais dans un état semblable. J'ai tendances à m'accrocher à des gens près de moi quand je ne vais pas bien et quand je perd la personne, je me sens encore plus détruite.

Comme j'ai dit à la fin de mon message j'ai appeler la psychiatre hier pour reprendre rendez-vous et ainsi reprendre ma médication qui est assez indispensable pour moi.

Mon état m'empêche vraiment d'avancer dans la vie. Je suis incapable de garder une job ou d'aller à l'école parce que je finis toujours par lâcher à cause que je deviens incapable de sortir de chez de moi ou faire quoique ce soit.

[Chicken of the infinite]

Ok, désolée de t'avoir jugée à la va-vite, mais sérieusement commence à considérer le fait d'arrêter de consommer.

Ça t'aiderait sans doute beaucoup.

[Zen]

Yep. Une consommation responsable c'est tel que tel mais une surconsommation ça n'a jamais aidé quelqu'un (Surtout en mode continue)

T'as eu déjà une passe sans consommer? Ou du moins avoir une consommation ''responsable''? (Genre ne pas surconsommer tous les soirs ou plus que 4-5 jours semaines) depuis que t'as la bonne psy? Le mix ''bonne personne de référence'', médication, mode de vie saint et un léger désir de changer son sort pourrait être intéressant.

[Louise Cyphre]

Mon père a commencé à me donner des cartes cadeaux Metro à la place d'argent pour ne plus que je m'achète de drogues. Ça aide un peu, je ne fume plus un trois et demi de weed aux deux jours et autres trucs.

C'est juste un peu chiant vu que depuis que je fumais à tous les jours je ne faisais plus de crises d'anxiété et j'avais un sommeil plus normal. Je vais devoir me baser sur autres choses pour contrôler ces choses-là.

Quand je consultais cette psy-là je ne consommais pas de façon continue. C'était seulement récréatifs.

Je me dis au moins que je suis chanceuse et que mes parents sont compréhensifs et m'aident financièrement et m'apporte d'autres supports pour m'aider.

J'ai juste hâte de pouvoir enfin vivre par moi-même.

Modifié 22 février 2013 par Louise Cyphre

[Chicken of the infinite]

La maladie mentale et la surprotection des parents retardent le passage à l'âge adulte.

Et ceci est au final insupportable pour la personne concernée.

[Sikaneba]

Yep. Une consommation responsable c'est tel que tel mais une surconsommation ça n'a jamais aidé quelqu'un (Surtout en mode continue)

T'as eu déjà une passe sans consommer? Ou du moins avoir une consommation ''responsable''? (Genre ne pas surconsommer tous les soirs ou plus que 4-5 jours semaines) depuis que t'as la bonne psy? Le mix ''bonne personne de référence'', médication, mode de vie saint et un léger désir de changer son sort pourrait être intéressant.

J'ai une question. C'est quoi une consommation responsable?

[Zen]

J'ai répondu à cette question en mettant le mot responsable entre guillemet et avec la réponse entre parenthèses.

Mais sinon comme educalcool dit pour une femme en moyenne...2 consommations par jour ou 10 par semaines...j'fume pas assez de weed pour te quantifier ça de façon claire mais tsé si t'es frostré tight tous les soirs, ce n'est surement pas une consommation responsable.

[Sikaneba]

J'aurais dû préciser que je ne parlais pas d'alcool mais de drogue.

[Mordicus]

Le pot, en effet, dans des situations mentales comme ça devrait ne pas être prit. ça donne du beau résultat immédiatement, mais à long terme.... ouf.

à ce que tu semble raconter. Tu ne serais pas mieux célibataire tout court ? Et juste avoir des relations passantes. Parce que on dirait que tu ne semble pas vouloir '' t'engager vraiment ''. Mais je peux comprendre avec ta ''situation mentale''

[Sikaneba]

Si son état mental est tel qu'elle le dit, elle devrait carrément s'abstenir de toute forme de consommation et miser uniquement sur une médication qui lui convient. Parce qu'on s'entend que ce n'est pas en se saoulant la gueule et en absorbant un tas de cochonneries qu'elle va se diriger sur la voie de la guérison ou du contrôle de sa maladie. Il faut s'aider un peu aussi.

[Иди и смотри]

J'ai un gros kick sur une caissière du métro. Je le vis plutôt mal.

Elle est toute mignonne... elle a une peau toute blanche, elle est uber-souriante. Elle a une coiffure bordélique des années 30 et le rouge a lèvre violent qui va avec.... J'ose croire qu'elle aime les tissus dentelés.

Je sais pas si c'est normal mais tomber en amour me fait le même effet qu'une rupture.

Quand je suis attiré par quelqu'un j'ai le sentiment de me faire rejeter de facto...J'ai l'impression de ne pas avoir les émotions dans les bonnes cases.

Ces sentiments me donnent beaucoup de frustrations et de contrariétés.

Je sais pas trop quoi faire... Il y a sûrement rien a faire dans le fond. Faire le mort.

Aimer les jolies choses, c'est pas glop. Surtout quand on en est pas une.

[Louise Cyphre]

Le pot, en effet, dans des situations mentales comme ça devrait ne pas être prit. ça donne du beau résultat immédiatement, mais à long terme.... ouf.

à ce que tu semble raconter. Tu ne serais pas mieux célibataire tout court ? Et juste avoir des relations passantes. Parce que on dirait que tu ne semble pas vouloir '' t'engager vraiment ''. Mais je peux comprendre avec ta ''situation mentale''

Je ne vois pas en quoi tout ce que j'ai dit laisse voir que je ne veux pas m'engager vraiment. Je préfère de loin avoir une relation sérieuse à long terme que de simples aventures. La stabilité d'une "vraie" relation m'intéresse beaucoup plus.

Si son état mental est tel qu'elle le dit, elle devrait carrément s'abstenir de toute forme de consommation et miser uniquement sur une médication qui lui convient. Parce qu'on s'entend que ce n'est pas en se saoulant la gueule et en absorbant un tas de cochonneries qu'elle va se diriger sur la voie de la guérison ou du contrôle de sa maladie. Il faut s'aider un peu aussi.

J'essaie de limiter mes consommations, mais (même si c'est con à dire) c'est beaucoup plus facile à dire qu'à faire. J'ai malheuresuement pris goût à ce genre de trucs quand j'aurais simplement pas dû commencer.

Je me dis qu'au moins je suis consciente de ce que je fais et consciente de mon état. Maintenant il ne reste juste qu'à essayer de m'aider pour m'échapper de mes circles vicieux (merveilleux long processus).

[1984]

Les conseils sur la drogue, c'est une chose. Les jugements sur comment tu dois te caser, fuck off. Elle fait ce qu'elle veut de son cul, tant est si bien qu'elle se protège.

Mordicus, au risque de te le répéter once again sur un même thread, ta yeule.

[Mordicus]

Les conseils sur la drogue, c'est une chose. Les jugements sur comment tu dois te caser, fuck off. Elle fait ce qu'elle veut de son cul, tant est si bien qu'elle se protège.

Mordicus, au risque de te le répéter once again sur un même thread, ta yeule.

Ta gueule toi aussi alors.