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Comment vous sentez-vous présentement ?


Mr.F
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Déchet(s) recommandé(s)

En effet, n'importe quel imbécile conclurait à la dépendance affective, la preuve, je l'ai soulevé.

Une question me vient à l'esprit: Est-ce vraiment être dépendant affectif que d'aimer partager sa vie? Et là je ne pointe pas la discussion plus haut, mais je cherche simplement à savoir.

Je connais plusieurs personnes qui aiment vraiment mieux être en couple, et partager leur quotidien avec un conjoint. Mais ils ne se définissent pas comme dépendant affectifs, ont des activités sociales et intérêts personnels, autres que celui du conjoint (en plus d'avoir des "intérêts de couple" ou des "activités de couple"), et lorsqu'ils sont seuls pour une certaine période ne sont pas nécessairement plus malheureux, et ne cherchent pas justement à se mettre en couple à la première occasion ou avec n'importe qui. Ils préfèrent être en couple que vivre seuls, simplement.

Alors?

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Ahah, merci Fosse A.

Je crois que tu as compris ma passion d'aimer.

Je ne changerais jamais.

Pourtant, dans ma voie affective, le détachement doit être un combat pour l'indépendance. Je ne rejette pas complètement les arguments de Minh vy (Ecce), car je vois dans quel sens elle veut parler d'autonomie, sans doute parce que dans sa vision personnelle des choses, l'être humain se doit de ne pas dépendre d'autrui pour être heureux.

Ce se comprends, en effet,

Mais comme tu dis, pour certains, l'évidence de cette faiblesse à l'autre n'est pas un problème. Car elle est d'abord inévitable, on ne peut s'y soustraire vraiment.

C'est mon cas; je ne pourrais jamais lutter contre mes affections, c'est comme ça.

En revanche, dans cette société, être dépendant c'est forcément négatif. Et c'est normal puisque c'est dans ce genre de cas qu'on compare l'amour à de la drogue. La drogue c'est mal, l'amour drogue c'est mal. Platon aurait adhéré à cela. Moi aussi.

Malheureusement, tout ça, c'est bien joli: mais le temps qui passe, mesure tout.

Un jour tu es prêt pour ceci, le lendemain c'est fini.

Un jour tu sis ouvrir ton coeur différemment des autres jours, et si tu attends, cela peut se terminer aussi.

Les sentiments doivent être vécus: mon idée, c'est qu'il ne faut pas avoir peur d'apprendre à se connaitre par le biais d'autrui.

Et en cela, je te rejoins, je te remercie même d'ailleurs: je crois que tu comprends que l'amour n'a pas de vraie mesure dans tout cela. En tout cas, pour moi et pour d'autres, c'est ce qui vaut la plus belle des chandelle et cela se respecte.

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Mais comme tu dis, pour certains, l'évidence de cette faiblesse à l'autre n'est pas un problème. Car elle est d'abord inévitable, on ne peut s'y soustraire vraiment.

il me semble évident que la situation que décrit FosseAsceptique n'en est pas du tout une de dépendance affective.

la dépendance affective est caractérisée par une attitude excessive, irationnelle et souvent malsaine pour soi-même dans les relations, que ce soit avec des partenaires, des amis ou de la famille.

exemples: la femme qui retourne constamment vers son mari qui la bat. ou encore un homme qui donne tout, se fait exploiter dans une relation inéquitable face à une femme qui ne le respecte pas et qui continue de s'y accrocher comme une bouée de sauvetage. l'angoisse d'être seul qui emmène une personne à cumuler relations merdiques/impossibles par dessus relations merdiques/impossibles.

ça n'a rien à voir avec cette majorité d'individus qui a une préférence à être en couple, sans pour autant être malheureux célibataire.

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Non mais laisse tomber les purposes sexuelles. C'est juste chiant de vous voir vous renvoyer la balle mois après mois.

Allez de l'avant, prenez du recul par rapport au forum, fuck les éternels ostinages.

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Je me demande à quoi sert un forum si ce n'est précisément à cela : argumenter et discuter, même inlassablement.

Si tu n'aimes pas ces échanges, BMO, tu peux juste scroller rapidement et ne pas les lire.

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Putain Behemot, ferme là à tout jamais.

il me semble évident que la situation que décrit FosseAsceptique n'en est pas du tout une de dépendance affective.

la dépendance affective est caractérisée par une attitude excessive, irationnelle et souvent malsaine pour soi-même dans les relations, que ce soit avec des partenaires, des amis ou de la famille.

ça n'a rien à voir avec cette majorité d'individus qui a une préférence à être en couple, sans pour autant être malheureux célibataire.

Je me sens dépendante affective, dans une certaine mesure.

Je ne suis ni excessive, ni irrationnelle, et encore moins malsaine avec moi même et dans mes relations, bien au contraire.

Alors, soit tu en doutes, et cette conversation ne mérite pas plus d'attention

Soit tu pars de ce postulat ( tout à fait honnête), et tu m'expliques en quoi c'est possible d'après ta définition.

Pour moi c'est comme la névrose: on est tous un peu névrosés, mais à différents degrés.

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Soit tu pars de ce postulat ( tout à fait honnête), et tu m'expliques en quoi c'est possible d'après ta définition.

c'est une question piège parce que peu importe ce que je vais dire, tu vas me répondre : "tu ne me connais pas, tu me juges, t'es de mauvaise foi et je ne veux pas en discuter loooooooooool".

ce qui est un peu vrai parce que tant et aussi longtemps que je t'aurais pas connu IRL, je peux savoir que tu es dépendante affective sur la base de plusieurs indices que j'ai déjà relatés et de ta propre admission, mais je ne peux mesurer avec exactitude la teneur de ta névrose (sur la base de comment tu agis/interragis avec tes partenaires).

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Je suis dépendant affectif.

Je t'aime WRF!!! Après les élections, tu crois pas qu'il serait temps de concrétiser cette Photoshop battle pour laquelle j'ai si hâte? J'étais sérieux moi tu sais.

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Oooh! Journée qui s'annonce intense.

C'est l'anniv' de ma petite dernière. 4 ans.

J'ai pris l'initiative de lui faire une petite fête avec des amis de la garderie.

8 enfants de 1 à 7 ans. Jusqu'ici tout va bien. Le hic, c'est que je suis un peu perfectionniste et donc. J'angoisse. Pour une fête d'enfants. Et criss.

Bon. Faut que je me calme. C'est rien qu'un petit après-midi.

Mais toute seule, gérer toute cette marmaille! Bref.

Sinon, ça va super bien.

Un peu trop même en ce sens que y a cette personne qui me fait TROP d'effet.

Et je supporte mal. Je veux pas de ces émotions. J'étais sûr que ça passerait mais non.

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