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Mr.F
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Déchet(s) recommandé(s)

J'avais perdu mon mot de passe.

M'endort pas ce matin.

J'ai envoyer d'autres cv . Perdu ma job la semaine passé... Eu 2 entrevues pour poste supers dernierement mais ca a fail (dont un que la fille des rh était cute dans le style de Chanel de Allume-Moi).

Une copine dernierement... mais la distance c'est chiant.

Et ma voiture qui a brisée la meme journée que j'ai appris que ma job terminait.

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Parfois, je me demande si chu pas un peu cyclothymique.

Ostie que ça va bien.

Ma nouvelle job est fantastique. La formation est hyper intéressante.

J'ai hâte de commencer sur la ligne de crise.

Je suis extra fatiguée (7 jours en ligne cette semaine + les kids) mais c'est une fatigue qui annonce du grand et du beau :x

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Je me sens bien. Je viens de réussir à arriver en finales NBA en mode association sur 2K15.

J'ai fait une fantasy draft et je me suis retrouvé avec une équipe de guedins.

Napier-Harden-Antetomachin-Draymond Green-Gobert.

Festival de contres-interceptions + Harden 30 points par matchs (MVP)

Je go contre le Miami Heat qui a Anthony Davis. Ca va être brutal.

JE SUIS CONTENT

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Il me reste un seul travail à finir pour pouvoir dire que j'ai fini tous mes cours de maîtrise, pis je niaise ici aussi de me botter le derrière pis travailler.

Si près du but et pourtant si loin.

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En pleine forme, c'est ma fête demain. Ma blonde m'a donné mes cadeaux déjà.

Un moulinet Abu Garcia

2x Rapala

Une journée au Spa Nordic

Une nuit au Windham à Quebec

Une visite à l'Aquarium de Quebec

A shit load of sex!

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Tu brasses de grosses choses Canule...

Sur tes épaules, beaucoup de charge tu as...

Si tu savais mon pauvre Raf.

Heureusement que je ne raconte pas trop ma vie sur le Dep parce que sinon des scénaristes d'HBO ne manqueraient pas d'en piquer quelques idées.

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Je vais à nouveau être une corporate bitch... J'ai décroché un poste auquel j'avais candidaté il y a plusieurs mois, avant le début de ma crise existentielle. Je suis quand même pas conne au point de dire non. J'arrête pas de me dire que si je gère ça bien, je peux quand même trouver le temps pour être bonne à ma passion et tirer quelques contrats sympas, sauf qu'en plus, je vais pouvoir me payer de jolies choses et me sentir bien parmi les gens bien; puis de l'autre côté j'imagine à nouveau ma gueule écrabouillée dans le RER A vers La Défense qui pue, les fringues trop sophistiquées pour mon vrai moi, les semaines qui paraissent des mois, l'hypocrisie, le manque de reconnaissance pour mon taff, les vas y que je défends mon bout en démolissant les autres, le sentiment d'humiliation constant.

Au moins, j'aurai moins le temps de glander et de passer mes journées à me morfondre. Byyyye.

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C'est pas toutes les compagnies qui sont si pire... quoi que je connais pas le marché en France, mais ici les gestionnaires sont de plus en plus poussé vers la reconnaissance au travail, les récompenses intrinsèques, etc.

C'est pas si mal travailler dans une grosse corpo.

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J'espère être mieux tombée cette fois. Je me suis vraiment laissée déborder dans mon précédent job,quand je vois dans quel état ça m'a mis, je me dis que j'aurais du démissionner beaucoup plus tôt parce que là j'ai vraiment les nerfs, j'ai perdu ma confiance en moi et mon envie de travailler.

Un conseil, les gens, si dès les premiers jours , tout le monde vous met en garde contre l'attitude manipulatrice de votre supérieur, partez en courant, ça en vaut pas la peine.

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le RER A vers La Défense qui pue

Je t'assure que c'est avant tout une question d'habitude.

Après 2 ou 3 mois, on s'y fait parfaitement

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mon prof s'hostine avec un de mes coéquipiers au sujet d'un livrable qu'on a "fouerré"

"Arrêtez maudits français de sous-titrer les films québecois, nous parlons un français parfaitement compréhensible !"

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Ma liste de matos a été approuvée, je vais chercher demain, j'installe et je mets en réseau dès lundi. J'ai l'air d'une gamine qui a finalement eu droit à des nananes! WIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII :sorcier::sante-bud::clap::fete::1st::banane::fesses::fete2::good:

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Je crois que c'est officiel. Je ne suis plus capable de supporter la personne que je suis.

Ma sensibilité aux choses, mon esprit logique, tout ce que je sais faire, c'est dénué d'intérêt. Je ne suis pas à ma place ici.

Mes constats souvent amers sur l'état du monde, fussent-ils justes ou non, ne me poussent à trouver des excuses faciles pour ma paresse. Internet notamment est une échappatoire qui a un potentiel d'attraction dont je ne me suis absolument pas méfié.

Je suis quelqu'un d'arrogant, une de ces feignasses qui bosse en balançant ses prochaines idées et conquêtes comme un boulet par devant lui, une pute d'attention, sans personnalité propre. J'ai justement toujours été trop paresseux pour exceller en quoi que ce soit. Et ma capacité à apprendre facilement pour combler ce problème s'est peu à peu effondrée.

Je cours dans l'optique d'aider mon prochain dans le pur but de satisfaire mon ego. De me sentir utile à la société, à mes proches.

J'ai toujours voulu faire quelque chose dans un domaine ou je trouvais que les professionnels étaient incompétents et ne réfléchissaient pas. Je voulais être journaliste, puis architecte, puis récemment psychologue. Trois domaines dont j'ai une maîtrise autodidactique qui me semble parfaitement claire et logique, mais dont l'utilisation par des charlots met la vie de gens en danger. Parce que pendant ma crise d'ado rebelle, je trouvais que les médias français chiaient la subjectivité et que les auditeurs et lecteurs faisaient semblant de prendre au bas mot les écrits. Je trouvais que les bâtiments modernes construits étaient dépourvus de sensibilité artistique. Pour finir, je trouvais que ma capacité à adapter mon mode de pensée et ma propension naturelle à ne pas faire de jugement de valeur sur le "bizarre", et à tirer des conclusions pragmatiques et relativistes qui pourraient aider les gens à trouver une route de survie seraient salvateurs quand de véritables arnaques, excellents étudiants se contentaient de ramasser des chèques et mettaient la santé mentale de milliers de français en danger de mort.

Faut croire que ça marche pas.

J'ai toujours essayé d'aider ma soeur, en mal être latent depuis une crise d'hystérie provoquée en 2009. J'ai construit une bonne partie de mon raisonnement autour de sa vie. A me poser la question de pourquoi. Que s'est-il passé (on l'avait diagnostiquée schizophrène paranoïaque alors qu'elle mène le train de vie d'une personne tout à fait saine hors "crises"). Que peut-on faire.

Trois ans que je m'évertue à lui expliquer que je suis la première personne de confiance sur laquelle elle peut s'appuyer (on parlera de mes parents plus tard, que vous compreniez que c'est la vérité), qu'à défaut de lui tirer un diagnostic je peux donner de l'eau à son moulin et débloquer la situation.

Jamais ma soeur n'a daigné m'adresser la parole.

Il y a un an elle s'est jetée d'un balcon. Elle a survécu mais va boiter à vie.

Avant toute chose, elle a tenu à faire part de son mal être passager à ma mère, puis à mon père. Ce qui a aggravé la situation. Bien évidemment maintenant elle me charge encore plus de la haine passive qu'elle ressent pour mes parents, avant de leur parler avec un grand sourire. Tout en me servant des leçons contre l'hypocrisie. Du jamais vu.

En général, elle fait ce genre de cycles tous les deux ans. Sa propension magique à répéter sans cesse les mêmes erreurs de sa vie qui auraient dû lui servir de leçon à 30 ans passés me fait penser que je vais encore devoir subir le trauma psychologique d'aller voir ma propre soeur en HP, ou à deux doigts de se crever.

Alors je ne sais pas si je suis largué ou si je dois faire affaire à des tribus de babouins. Entre les deux, je le répète, c'est évident que je n'ai ni ma place ni mon utilité dans cette société. C'est une constante brutale chez moi. Je n'ai rien à donner.

La plupart de mes "potes" n'ont strictement rien à branler de mon existence une fois que j'ai quitté mon rôle de confident constructif. Des fois ça m'arrive d'appeler à l'aide mais en général il n'y a personne au bout du fil.

J'ai pensé aussi que c'était génial, que ça me permettrait de m'enferrer dans une autosatisfaction épicurienne. A vivre de jouir de ce qu'on m'offre parfois. Puis je retombe brutalement à l'évidence que la vie ne marche pas comme ça quand j'ai fini ma partie de LA Noire sur ma PS3.

Je suis automatiquement carencé depuis mon enfance. Je suis ce qu'on appelle au sens propre un handicapé. Il me manque des trucs pour survivre dans la jungle. Je ne les aurais jamais.

Je n'ai jamais manqué d'amour paternel ou maternel. Mais c'était toujours très particulier. Mon père est un génie qui n'a jamais voulu prendre de responsabilités. Il a troqué ses couilles contre du confort et s'est toujours comporté de façon lâche face à l'adversité (j'ai beaucoup appris de lui à ce sujet là). Il n'a jamais exigé autre chose qu'on le laisse tranquille. Ça va faire un bon moment que j'essaye de faire en sorte qu'on s'applique mutuellement ce point de vue l'un l'autre. Effectivement quelque part je suis assez déçu de me dire qu'il n'aura jamais pu partager quelque chose d'intéressant avec moi.

Il a tenté, j'en ai des souvenirs. Je sais très bien la façon dont il a essayé de m'offrir une grande culture quand j'étais gosse et considéré comme surdoué. C'était plus ou moins efficace, mais clairement maladroit. Ça aussi la maladresse je tiens beaucoup de lui.

Quand a ma mère, elle a toujours éprouvé le même amour pour moi qu'une mère araignée. Elle considère fort probablement qu'il faudrait qu'elle me bouffe, ou l'inverse, pour qu'on vive mieux tous les deux.

Arrivée en France dans les années 90 en se mariant avec mon père, elle a des difficultés superficielles d'expression en français, refuse de conduire et est surtout très impressive auprès de la gent masculine, ce qui d'un point de vue professionnel lui a toujours causé du tort.

Alors après 20 ans d'union en montagnes russes émotionnelles avec mon père, elle a eu la glorieuse idée de se remarier avec un homme charismatique. Un gros pervers narcissique qui a réussi à démolir physiquement et psychologiquement mon père, ensuite ma soeur, ensuite moi (sauf physiquement, il n'a jamais osé. J'aurais détruit sa vie si il avait osé) puis ma mère, rond central de cette embrouille qui vient de son initiative.

Il faut savoir que ma mère, en marge de ses handicaps professionnels est quelqu'un de relativement autiste. Il lui est impossible d'apprendre, et de retenir un cours sur l'informatique tout comme son incapacité à conduire est dûe à une phobie chronique du volant. De plus, elle a une lenteur de compréhension très impressionnante.

Il lui a toujours fallu un chauffeur, un porte-plume, un porte-manteau. Je suis en train de prendre le relais malgré moi.

Ça a commencé il y a deux ans quand j'ai rédigé pour elle le Poste de Sécurité d'une grande piscine parisienne qui devait réouvrir. Elle a été chargée du projet en urgence dans les derniers instants et tout était en retard. J'ai assuré une partie de son ouverture sur mes épaules au détriment de ma révision pour le BAC.

Seuls et pas mal dépourvus après avoir choisi de chasser l'autre connard de notre maison, on avait décidé d'engager un projet plus ou moins commun. Je l'aide, elle m'aide. En général, quand elle m'aide, ça foire. Non pas à cause d'elle mais à cause de ses emmerdes. Les projets dans lesquels elle s'engage à cause de son champ de vision réduit.

Les semaines de BNSSA j'ai dû les passer avec l'un de ses collaborateurs qui est en train de plomber ma formation dans le but de lui faire du chantage ("tu vois, je me déplie en 4 pour lui alors qu'il est en retard etc etc". Je n'ai effectivement aucun retard).

Je ne devrais pas être impliqué dans sa vie professionnelle. J'ai niqué ma première année d'études à cause de ça. Sauf que je n'ai aucune prise d'indépendance sur moi même. C'est plus ou moins la seule personne qui a un léger contact sur la réalité de ma vie quand le reste de ma famille se comporte de manière incroyablement conne quand il s'agit d'essayer de comprendre la généralité de ce qui cloche chez moi.

Ah oui, mon père s'utilise de manière démago l'argument qui veut qu'à mon âge, lui au moins il bossait. Je trouve que le témoignage de MC Gaboris sur le topic du travail résume bien la situation. Ajoutez à ça le Service Civique, cette merde, cet étron, il ne me resterait plus que l'illégal pour m'échapper. De toutes manières dans tous les cas je me fais enculer.

Tiens d'ailleurs pour évoquer ce sujet, vu qu'on parle beaucoup de la France comme du Pays des Droits de l'Homme et de la Diversité. Selon moi c'est comme la nécessité qu'ont/avaient l'Allemagne de l'Est, le Congo-Zaïre, la Corée du Nord, Cuba à se proclamer Républiques Populaires ou Démocratiques. Accepter la diversité, c'est une épreuve de force psychologique pour un français.

Les gens de ce pays ont une propension à jeter des pierres sur la différence, à en faire une innombrable source de blagues tout en évitant ça par dégoût. J'ai toujours eu le sentiment que pour m'exprimer auprès de quelqu'un, il aurait fallu que je sois doté d'un sixième sens inné. Je crois que les gens m'évitent instinctivement.

Sachez une chose, il n'y a rien de plus français que la crispation intellectuelle. Quand vous demanderez à un français pourquoi il vit comme ça, il vous répondra "parce que c'est comme ça". On fait comme ça depuis des générations, des lustres. On éduque selon un mode de fonctionnement magistral, sans explication aucune en marge. Aucun esprit critique sur le bien fondé d'une chose ou d'une autre. Les français suivent le chemin. Ils sont tous Charlie, ils ont un gigantesque consentement à l'impôt et n'ont aucun souci à parler de pacifisme une semaine pour ensuite soutenir une OPEX au Mali la semaine suivante. Tant qu'on leur dit que c'est bien, tout va bien.

Si Socrate avait vécu dans un village français, nul doute qu'ils l'auraient lynché en une heure. Ça les effraye trop de voir autant de concepts intégrés car tombés du ciel tout d'un coup remis en question. (même si je suis d'accord pour affirmer que Socrate était un casse-burnes de premier ordre et un philosophe de mes couilles)

C'est curieux parce que ma mère, dans un moment de lucidité, a été la seule a me parler du conte d'Andersen sur le pays des elfes. Vous savez, celle de cette fille qui se fait enlever par un bourdon qui est amoureux d'elle. Puis qui se fait lâcher par ledit bourdon quand la tribu lui crache dessus parce qu'elle n'a pas de rayures. Ensuite un mille-pattes fait la même chose et ses congénères la traitant de la même façon parce qu'elle n'a que deux pattes. C'est quand un elfe vient l'enlever et qu'échaudée, elle s'excusera à la tribu de ne pas avoir d'ailes avant que le chef ne lui réponde "ben c'est pas grave, on va t'en donner".

Je kifferais trouver le pays des elfes mais pour des raisons matérielles, je vais être encore prisonnier un moment chez les bourdons.

Paradoxalement, sans ma mère, je me suiciderais.

N'ayant aucune optique d'évolution, je pense que je me morfondrais dans une flemme de vivre et j'ai trop d'ego et de préjugés pour m'accepter en parasite social à la Diogène.

Je ne me déteste pas, je ne déteste pas mon environnement. Mais je suis un putain d'alien.

Et là j'en ai vraiment marre.

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Le dépotoir c'est l'endroit magique où les posts qui se prendraient un TL ; DR n'importe où d'autre, sont vraiment lus. Remarque ç'aurait été Naan je m'en ficherais.

Je ne sais pas si tu m'inclues dans tes "potes qui n'en ont rien à branler de ton existence", mais si tu avais été un peu plus ouvert à propos de tes problèmes j'aurais montré plus de compassion. Je me doutais que tu mentais, ou embellissais plutôt, à un certain point vu le nombre de contradictions que tu accumulais. Mais puisque tu ne t'étalais pas, je comprenais que tes amis de lycée, plus proches, étaient plus disposés à t'aider, alors on ne ferait que parler musique, cinéma, etc.

Quand je t'ai demandé pourquoi tu arrêtais tes études tu m'as dit que cela te saoulait, que tu allais te trouver un travail pour occuper le deuxième semestre, que tu prévoyais d'aller étudier en Angleterre (à Oxford carrément si je me souviens bien) l'an prochain... Tu ne parlais pas d'aider ta mère comme une activité chronophage, mais comme un échange de bons procédés. Mais quand je vois qu'à côté tu es actif sur je ne sais combien de forums à la fois (déjà qu'accumuler SCC et le Dép me semble exagéré, j'imagine que tu t'éparpilles sur d'autres sites encore), je peux difficilement croire que ta vie réelle est aussi bien ficelée. Sauf que je ne force pas mon aide aux gens. Je ne force pas mon existence aux gens, même à mes amis, en général donc on me reproche d'être distant, de ne pas prendre de nouvelles, mais je fais des efforts ces derniers temps.

C'est drôle que tu te plaignes de tes relations familiales et de la France en même temps. Cela t'importe donc tant que ça que la foule arrête d'être la foule?

Quel est ton problème, toi ou ta famille?

Si tu veux changer, change. Si tu veux changer la France, redeviens chill et laisse tomber. Si tu veux résoudre tes problèmes familiaux je sais pas quoi te dire, cela dépend de ce que tu attends d'eux exactement maintenant.

Mes problèmes personnels, familiaux et sociaux sont sûrement moindres aux tiens, et ils sont presque tous liés à mon insomnie que je commence à soigner et à mon redoublement qui ne sera qu'un souvenir dans un mois inch Allah.

Donc je te réponds et me propose comme aide par amitié.

Tu sais ce que tu vas faire l'an prochain au final? Tu es bilingue russe de naissance alors comme tu n'as pas l'air d'avoir une passion fixe (journaliste, archi, puis psycho...) je te conseille d'aller vers là où cela te sera utile. Au fait comme je serai sûrement à Paris tout le temps l'an prochain on pourrait faire un peu de musique vu que tu es l'une des deux seules personnes avec qui je m'entende musicalement et que tu joues. Je rêve de faire de la musique que j'aime mais mes seuls amis qui ont un quelconque atout créatif n'ont pas ma vision. Yung Lean avait juste besoin d'amis doués avec FruityLoops et les logiciels de montage vidéo dans le même délire rap/autotune/meme/japon pour avoir du succès.

Au passage tu ne devrais pas rejeter Je Suis Charlie. Ce n'est pas forcément un soutien aux conneries du magazine en lui-même. Plutôt que de dire "je suis pour la lib d'exp, mais Charlie est allé trop loin", tu pourrais dire "je suis contre le blasphème, mais ces dessinateurs n'auraient jamais dû mourir". La même idée est véhiculée, c'est juste qu'avec la première formule tu passes pour un gars 3edgy5me.

Et Diogène n'est pas un parasite, c'est un marginal. Il ne demande rien à personne, il veut juste ne pas être dérangé par les autres et les conventions (il n'a pas demandé de pièce à Alexandre, il lui a dit de le laisser bronzer). Il passe ses journées à glander mais il ne touche pas de RMI.

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