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Mr.F
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Déchet(s) recommandé(s)

Elles font partie d'une coopérative de 3 femmes,

Nous avons une coop de 26 femmes, bizarrement, aucun drama chez nous, aucune agression, on a des des mamans, des universitaires, des filles habitant chez leur parents, une retraité, des femmes d'affaires avec une job 9 à 5.

C'est du Marylie classique ce reportage, je me demande si elle n'est pas abolo encore... Parce qu'elle réussit plutôt bien à se positionner en victime. Je crois que ca me fâche parce que j'ai déjà été affilié avec ses filles là... Que je les connais, et que je vois bien l'endos de la médaille, je vois bien la victimisation et ça m’écœure.

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ah ouan ? c'est quoi ton agence

motel a st hubert la siesta je connais bien . jai habiter 4 ans juste derriere ou bien le motel st hubert proche du parc de maison mobile :siffle:

Modifié par IRON
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Elles font partie d'une coopérative de 3 femmes,

Nous avons une coop de 26 femmes, bizarrement, aucun drama chez nous, aucune agression, on a des des mamans, des universitaires, des filles habitant chez leur parents, une retraité, des femmes d'affaires avec une job 9 à 5.

C'est du Marylie classique ce reportage, je me demande si elle n'est pas abolo encore... Parce qu'elle réussit plutôt bien à se positionner en victime. Je crois que ca me fâche parce que j'ai déjà été affilié avec ses filles là... Que je les connais, et que je vois bien l'endos de la médaille, je vois bien la victimisation et ça m’écœure.

ce que tu dis est anecdotique, mais qu'en est-il des études portant sur le profil socio-économique des travailleuses du sexe? ces études, qui se font sur le terrain et à grande échelle (on ne parle pas d'une coop de 26 femmes selon le point de vue d'une pro-légalisation), parlent de femmes entretenant un passé difficile et souffrant de troubles psychologique et/ou d'alcoolisme et/ou de toxicomanie. on ne parle pas de victimiser les travailleuses du sexe. on parle simplement d'adresser un portrait objectif sur qui elles sont exactement. et, pour la plupart d'entre elles, il ne s'agit pas de la femme sans histoire qui fait du 8 à 4 au Ministère. les études à ce sujet le démontrent assez clairement.

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Ce reportage n'est pas représentatif tout simplement parce que je les connais.

Marylie aurait très bien pu éviter ''ces agressions'' aurait pu continuer à recevoir dans un jolie studio, mais non, elle a fait de mauvais choix, elle a tenté de discréditer quelqu'un et maintenant les gens ne veule plus travailler avec elle. Ça me frustre de la voir en victime alors qu'elle est l'artisane de tout cela, c'est ça qui me choque. Je ne nie pas qu'il y a différent milieux mais pour côtoyer assez de prostituées, la prostitution de rue, les dépendances, les agressions sont loin d'être le lot quotidien des escortes. Oh oui des études subventionnés par un ministère conservateur et par des abolos.... Oui Minh-Vy, que cela te déplaise, il y a beaucoup de femmes sans histoire. Va faire un tour chez Stella, va côtoyer et les prostituées et les escortes.

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en même temps, études ou pas, prétendre que la prostituée moyenne est une femme parfaitement ordinaire, faut pas nous prendre pour des cons. ; )

Oui Minh-Vy, que cela te déplaise, il y a beaucoup de femmes sans histoire. Va faire un tour chez Stella, va côtoyer et les prostituées et les escortes.

je ne dis pas qu'il n'y en n'a PAS. je te dis qu'elles ne correspondent pas au profil type qui ressort des études portant sur le sujet.

Ecce Homo veut juste que t'admettes que vous êtes toutes pour la plupart des femmes abusées et droguées

Pas vrai Ecce ?

c'est bon, tu suis la conversation. un autocollant pour toi. avec un peu de chance tu passeras la première année.

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Ok Ecce, essaye des études sur le profil des escorte maintenant je te prie

Parce que c'est pas sérieux tout ça, faut bûcher, je te rappelle que tu n'as pas encore intégré la première notion, page 53

"L’escorting vise, à l’origine, à fournir un accompagnement de qualité

dans le cadre d’événements mondains. Des femmes, en règle générale, tiennent

compagnie à des hommes dans le cadre d’événements sociaux et doivent dès lors

posséder certains attraits spécifiques, comme le charme et l’esprit, en plus d’une

plastique agréable. Mme Éva Clouet, doctorante en sociologie, note que « dans ce

cadre, la relation sexuelle ne fait pas partie du contrat (donc n’est pas

obligatoire), mais reste une intention implicite, considérée comme un acte privé

entre l’escorte et son client » (1). C’est la raison pour laquelle l’escorting a été très

tôt associé à la prostitution de luxe."

L’escorting constitue, au premier abord, une forme de prostitution de

luxe, qui se distingue nettement de la prostitution de rue. Pour M. Laurent

Mélito, « la majorité des femmes interrogées acceptent la référence à

la prostitution mais se situent sur le registre de l’euphémisation. Du point de vue

du marketing, il s’agit de dire : ceci n’est pas une passe. Elles font référence à

différents types de compétences : la qualité d’engagement et la qualité de

la prestation ; l’accueil, l’écoute, le conseil, la prestance, la culture, l’allure, la

distinction, l’habileté sexuelle, mais aussi des compétences plus secrètes : art de

la simulation, endurance, distanciation » (2)

De fait, la relation ne semble pas, comme dans la prostitution de rue,

réductible à un rapport sexuel tarifé. « Dans l’escorting, les rendez-vous durent

au minimum une heure et peuvent se prolonger pour une soirée, un week-end ou

même plusieurs jours […] L’acte sexuel est par conséquent moins « mécanique »

et il semble beaucoup plus proche du « faire l’amour » que du simple échange de

bons procédés exercés dans la pratique « traditionnelle » » (1), indique Mme Éva

Clouet.

http://www.assemblee...-info/i3334.pdf

ALLOOOO

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Attends un peu, peut-être que le professeur Ecce va nous sortir quelque chose de son chapeau magique.

Sinon on peut jaser de l'aspect supposément biologique de l'homosexualité, aussi. Doit y en avoir des bonnes études.

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Bah j'ai bien hâte de voir les études sur les courtisanes et les escortes. Mais non, ça n'intéresse pas personne ça, c'est pas assez trash.

le hic, c'est qu'une courtisane ou une escorte est avant tout une prostituée puisque la grande majorité de ses revenus sont liés à des services tarifés (l'acte sexuel en soit). je doute que tu gagnerais bien ta vie uniquement en faisant l'escorte et la courtisane, n'est-ce pas? en ce sens, l'intérêt de différencier l'une et l'autre n'a pas vraiment d'utlité. si je dis "ne légalisons pas les services sexuels tarifés car trop de femmes vulnérables s'y adonnent MAIS légalisons l'escorte et la courtisane parce que beaucoup d'entre elles ne correspondent pas au profil des prostituées de rue", je doute que ça fasse l'affaire de celles qui se définissent comme "courtisanes" et "escortes". le débat porte sur la prostitution, autrement dit les services sexuels tarifés. que tu sois escorte et courtisane en side-line ou non ne fait pas de différence.

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Je suis contre la prostitution d'un plan de vue éthique mais elle existera toujours au sein de la société. Le meilleur moyen demeure le contingentement dans une zone de type red light district. Loin des écoles, des centres commerciaux et des attractions courues par le grand public. Un quartier comme Pigalle en France, quand les français y vont, savent que les risques de croiser des prostituées est immense. Quelqu'un qui veut éviter d'entrer en contact avec elles et s'épargner la sollicitation peut fréquenter alors d'autres secteurs névralgiques de la cité.

T'es conscient que la pornographie demeure une forme de prostitution non-avoué? Autant les acteurs sont payés pour baiser devant la caméra, mais tu paye pour en être plus ou moins l'acteur en tant que voyeur qui se branle derrière l'écran. La seule raison pour laquelle c'est légal, c'est qu'ils prétendent facturer pour la présence capturée à l'écran et non les services sexuels. On s'entend pour dire que c'est de la criss de bullshit? So laisse faire avec ton éthique sélective.

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Tu veux dire on ne paie pas. Je ne me sens pas comme un violeur si je me masturbe devant une photo de femme nue.

Non mais tu vole le gagne pain d'hommes et femmes qui font un métier bien souvent difficile. Même si ils/elles sont payés en cachet, les baisses de vente encouragent les producteurs à les sous-payer.

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