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Déchet(s) recommandé(s)

Composé à celle que j'ai aimé.

 

La Braise

Une braise effleure les hanches
De ma belle. Sitôt nue,
L’osmose parfaite et étanche
Entre nos deux corps qui penchent

Là, sur le côté, brille
De mille feux. Tout est
D’une beauté telle qu’Elle vacille
A la vue des bras musclés

De son étalon qui pour
Son plaisir se changerait 
En braise qui baiserait le jour
Et la nuit son cœur sans le briser.

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  • 2 semaines plus tard...

Tiens, P-A est encore en amour. Mais cette fois c'est pas une bouche trou ou un simple manque d'affection à combler, je ne voulais certainement pas que cela se reproduise. Je ne voulais pas que l'amour frappe à ma porte de nouveau. Mais j'ai toujours dit que l'amour est une chose que l'on doit laisser nous atteindre si cela lui plait. Parfois elle a de mauvaises surprises, parfois de simples leçons, d'autres fois elle nous surprend d'un coup de foudre...
Donc voila mon petit poème quétaine pour la fille que j'aime:

Un super lundi que j'ai passé, car tu étais dans mes pensées.

M'enfin, ce n'étais pas sans ennuie de toi qui m'a foudroyer en un soir, j'avoue que ça va me manquer de te voir.

Ce sont deux semaines qui parraitrons comme une éternité que je devrais subir jusqu'à notre prochaine sortie d'été.

Ton sourire à ravire, tes yeux brillant comme le feu, ton visage si doux et tâcheté de rousseur me rendent heureux.

Ce samedi j'ai compris ce que je pouvais t'apporter, nous pourions passer notre vie à s'aimer.

Nos deux âmes puériles s'entendent si bien que les passants pourraient nous trouver débiles.

Mais en quoi cela nous afffecterais si nous savons d'ou nous venons, d'un passé dificile des plus vrai à un cheminement qui nous couvre de renom.

Fier nous devons être de ce que nous avons accompli dans nos vies respectives, cela fait de nous des êtres a la personalité vive.

Même si un temps est nécéssaire pour passer cette distance d'époque qui nous sépare, la patience que nous aurons nous permetra d'afronter cette circonstance qui nous prépare.

Tu sera mienne et je serai tiens, si tel est ton désir faisant ton bien.

 

(Oui y'a des fautes, j'ai pas mis l'accent la dessus.)

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Ouf....

Ta dulcinée ne vaut même pas un petit cinq minutes de relecture? Tu dois l'aimer en maudit...

Sérieux, là, c'est même pas proche d'être bon, pis en plus c'est truffé de fautes. Pas seulement quelques fautes mineures par ci par là. Non, le genre (et la quantité!!) de fautes qu'un ado de secondaire 3 ferait même pas. Et je ne parle même pas de la syntaxe. 

*Pourquoi j'ai lu ça...*

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Oh? Mesemblait aussi que j'avais écris de quoi hier. 

Ben disons que sans justifier la présence de fautes qui est drôle à lire le lendemain, elle n'en fera pas un cas. Puis je ne m'attendais pas à recevoir des applaudissements non plus, je vous ai partagé ceci tout bonnement. Dis-toi que l'intégralité des propos dans ce petit texte est pertinente concernant le contexte qui n'est connu que d'elle et moi. Si vous ne savez pas pourquoi je parle de "sortie d'été" c'est parfaitement normal. L'important c'est qu'ELLE sache à quoi je fais référence. 

Toutefois, y'a beaucoup de malice dans ton intervention. Etais-ce nécessaire? Je ne parle pas de la critique que tu as fait mais le ton avec lequel tu a écris. La critique est très constructive mais le "ouf..." et les supposition à propos de mes sentiments pour elle c'est un peu bas.

*Serait gentil de ne pas rabaisser les autres gratuitement...*

 

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Tu es la plus incroyable des femmes qu'il m'est adonné de connaître, 

Eugénie, tu frappes la balle de tennis avec toutes tes forces.

Pour toi je prendrais une balle chemisée métal de calibre 7.62 milimètres.

Veux-tu m'accompagner en voyage, on ira visiter l'Écosse ?

Que cette journée soit mirobolante, qu'il fasse soleil dans ton coeur.

Malgré les moment difficiles et les grands tournois,

Ferme les yeux, pense aux champs de fleurs, 

Si tu as le cafard, il ne suffit qu'à songer à moi.

 

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il y a 16 minutes, BMO a dit :

Tu es la plus incroyable des femmes qu'il m'est adonné de connaître, 

Ne détourne pas ton regard, oui oui, j'ai bien un cure-pipe dans l’urètre,

Eugénie, tu frappes la balle de tennis avec toutes tes forces.

Que j'en frémis à chaque fois que je me crosse,

Pour toi je prendrais une balle chemisée métal de calibre 7.62 milimètres.

Et dans mes foufounes plein de bizounes molles aussi j'aimerais mettre,

Veux-tu m'accompagner en voyage, on ira visiter l'Écosse ?

Ça fera changement de toutes ces fois où sur tes photos je me crosse

Que cette journée soit mirobolante, qu'il fasse soleil dans ton coeur.

Malgré l'expression sur ton visage qui me donne des indications que je t'écoeure

Malgré les moment difficiles et les grands tournois,

On appellera Abereau pour un trip à trois sans toi

Ferme les yeux, pense aux champs de fleurs, 

Avec moi caché derrière un buisson souriant de ma tronche de sexuel agresseur

Si tu as le cafard, il ne suffit qu'à songer à moi.

Avec mon curriculum vitae de 3 pages et toujours sans emploi

 

 

J'ai bonifié ton joli poème. Non non, ce n'est rien, ne me remercie pas.

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  • 2 semaines plus tard...

Être une star
T'as les jambes aussi écartées qu'la tête; une fête qui s'éclate sous l'déluge et l’ivresse à peine à l'abris d'l'averse... et puis ça t'dérange quand on juge! Quand on roule nos yeux d'tes vices tu t’demandes comment qu'on daigne manquer tes feux d'artifices?

Mais t'as les étoiles qui tombent, t'as l'ciel plein que d'ceux qui t'on baisés, bernée par leurs tromperies. Et la nuit, dit, qui pleure ta tombe? T’as la vie sans dessein causé par d'avis insensés. Tu confond la valeur d'tes seins pour des valeurs de Sainte et t'as l'corps qui pourris, pour y survivre tu t'enduis à coup d'j't'aime mais d'pas trop j't'en prie. Et puis... tu dit pas, tu soupire. Tu parle pas sans gémir. T'as la chiale qui coule alors tu t'bouche la moule à grand coup d'homme qui t'trouve conne et le soir tu t'couche en te demandant mais qu'est-ce qui déconne?

Et puis voilà tu te lève et dans l'jour tu click, tu chat, tu cam, tu charmes, t'invites, tu date, tu flirt, tu trinque, tu lèvres, tu chatte, tu lèves, tu te dick, tu vide, tu t’lasse, tu casse, t'efface et tu r'c'mmence ton cirque sans une once pudique et si on critique tu tic mais t'es folle ma pauvre! À la chasse comme une fauve, t'as les ovaires qui chauffent... à force de t'faire cuire par l'amour t'as les œufs qui s'brouillent.

T'as les larmes salées, l'amour désarmée. L'espoir qui grince rouillé par la mouille, le cœur qui pince percé par l'humour... t'as perdu ton corps, épave tordu d’peurs, t'as couru à ta perte pour ne pas t’stagner l’inerte.

Tu t'es dressée l'portrait, t'est tirée ta toile. T'as voulu être une star? Et bien ça y est, vas-y! Fais la, l'étoile!

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Cette peur, ce pincement au coeur, me fait craindre l'erreur.

Cet étonnement, ces beaux moments, me laissent apprécier l'instant présent.

Ton visage, ce bon présage, nous écrivons une nouvelle page.

Nos folies, cette harmonie, voilà ce qu'est la vie.

Le passé, les regrets qui ont précédé, ne sont rien face à la liberté.

Un poème, une bohème, nous construisons un barème.

 

 

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Une pensée pour Sorel

Je regarde à travers la fenêtre de l’autobus, une ville fort tranquille, qu’on dit poussiéreuse, non seulement à cause de ses usines, mais aussi à cause de ses gens. Les ruines industrielles périssent au centre d’un hameau qui se veut banlieue paisible. Les idées sont figées dans le temps, en attendant la venue d’un nouveau survenant. Les cimetières se remplissent et seules les complaintes amères des âmes misérables peuplent le silence d’une ville qui sommeille dans son coma post-industriel. La rouille atteint les bateaux agonisants dans la rivière. Elle atteint aussi les articulations des marins d’acier, oubliant aujourd’hui leur épopée dans une maison ensoleillée.

Ces ruines, aussi laides soient-elles, me procurent une paix et une sérénité. Le rythme effréné du siècle nouveau n’a pas encore envahi les marais pollués de celle ville du passé.

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  • 2 semaines plus tard...

Aujourd'hui j'ai jasé avec Rosalie Vaillancourt,

J'ai salué Mike Ward et écouté ses anecdotes salées. 

J'ai interragi avec Gabrielle Caron sur scène.

Je leur ai fait signer des autographes.

J'ai beaucoup rit à gorge déployée.

Et le Festival de fait que commencer.

Aujourd'hui c'était la première journée.

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  • 1 mois plus tard...

Pour @ƒ Ǿ ǖ ℓ Д ® ↁ:

 

Tu m'as dit des aurores magnifiques

et des crépuscules de coeur au ventre

il ne faut pas trop s'apprivoiser

se connaître avouons-le

c'est le début de la fin.

Ne pas y penser

pas tout de suite.

T'amener au lac

s'y noyer.


 

Oui je t'amenerai au lac

et c'en sera fait de nous.

L'aube nous prendra éveillés,

ce sera une belle dernière fois.

 

 

Pour @1984

Que reste-t-il

de nos survivances

des mises en abîme

d'immondes relents

de morts subites.

Je nous vois parfois

vouloir rire et mordre

et tout de suite

durcir les lèvres

le regard

on ne veut pas vivre

dans le passé.

Nous n'y avons plus droit

ce sont des demeures de spectres

de ceux qu'on embrasse

à pleine bouche à pleine langue

pour savoir finalement

ce pourquoi l'on crèverait

si on en avait la force

le culot.

Ce sont malgré tout

ces yeux crevés

que l'on attrape comme on peut

et qu'on se recoud

partout sur le corps

pour faire bonne impression

et que durent ainsi

la torture le plaisir

l'imagination.


 

 

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  • 4 semaines plus tard...
Le 2016-08-01 à 21:49, Chicken of the infinite a dit :

C'tait gay.

C'est sensé être péjoratif?

Chicken: naoon lààà je disais ça paske c'tait gay que t'écrives ça c'est tute.

Prends ta médication, lâche tes selfies dégueulasses pis va courir, je te dis ça pour notre survie à toutes.

Aussi: T'es encore laitte et sans substance, même si t'arrives désormais à t'apprécier. DES COMMENTS SUR LE GAYNESS WOW

:)

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*** Poème instantané = construction douteuse, idées floues ***

 

Les nuages enveloppent les drapeaux

Ces vapeurs veloutées aux rêves éthérés

Le vent au voile blanc touche ma peau

Des sensations sensuelles, ô quelle vanité!

 

Les songes soudains, ils s'effleurent

Ils plissent et coulent comme la soie

Ils se caressent au creux de nos peurs

En découle d'eux la pureté de nos joies

 

Au fond de cette placide et profonde brume

Se cache cette limpide rosée de nos vérités :

Nos rêves ne sont rien, nos actes sont velléité.

 

 

 

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