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Déchet(s) recommandé(s)

Silhouette fragile

Cardiologie fertile

Non pas sans sens

Immobile

Que croire?

Le Loire

Larsène le zen

Il me dit: aime

Sans sanglots

Sans sandwich

Je tète les tétons

De la grébiche

J'ai trouvé le trou-vagin

Du bon à rien.

Les rondeurs scabreuses

De la femme chanteuse.

Cigale gâte moi de tes seins mûris

Que le Bon Dieu cesse la pluie.

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Sinusite confite

Cancer délétère

On y croit

On s'y noie

Je tue par expérience

Le peuple immense

Qui s'écrase

Dans l'innocence

Prudence!

Les orties sont à découvert

Six pieds sous terre

Ne vous en faites point

La croix brûle au loin.

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  • 4 semaines plus tard...

Vieux sujet, vieil extrait mais j'ai trouvé ça beau. Et très naïf, mais passons.

Abyss s’arrêta derrière une fougère monumentale. Elle semblait être arrivée à destination, mais ses yeux tournaient dans tous les sens, à la recherche de quelque chose de précis. Pour n’importe qui ayant vécu dans les temps de l’Ancien, le simple spectacle de cette jeune fille en train de respirer et de regarder aurait été plus passionnant qu’une représentation à Coco Bongo. Pas parce qu’ils étaient particulièrement obsédés par les jeunes filles aux cheveux auburn, mais parce que pour ces gens, les limites de la perfection de l’allure humaine se situaient bien en-deçà du niveau de beauté qu’atteignait simplement cette jeune fille respirant. Imaginez toutes les grâces qu’une femme peut posséder, les éléments les plus époustouflants que peuvent réunir un visage à la fois félin et amoureux, des yeux violets aux reflets dorés, bouffant à eux seuls une grande partie du haut du visage avec l'idéal de l’équilibre. Imaginez des pommettes bombées, des joues roses comme le dessous d’un pétale, un menton saillant mais aux courbes appétissantes, le tout recouvert d’une peau douce comme une pêche et chatouillé par des mèches brillantes. L'agréable poitrine se soulève à un rythme doux, le corps est tout à fait immobile, sans le moindre réajustement de répartition du poids, sans tics. Pas d’ongles que l’on gratte, pas de lèvres que l’on mordille. Seulement la respiration et les yeux qui balaient les ombres, à la recherche de ce qui avait amené ce très beau personnage là où il était, dans un monde de faux, au ciel gris, au sol gris.

N’importe quel Ancien aurait présentement le cœur à la course, car Abyss ouvrit la bouche. Les lèvres pleines s’écartèrent, dévoilèrent des dents blanches, petites, et une langue luisante, enduite de salive, parfaite, douce. Leur cœur, votre coeur, s’arrêterait, car la langue remua, les lèvres s’appliquèrent pour former un mot, les sourcils fins se soulevèrent, le menton s’abaissa en même temps que la poitrine pour faire jaillir une voix mélodieuse, quoique chuchotée, d’un chuchotement presque sensuel, qui appela :

-Maman?

Edit: mon ordinateur a collé certains mots ensemble, j'ai dû réajuster. J'ai christement d'la misère avec mon ordi.

Modifié par May
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Choisir le vide.

Me voilà, étendu là-bas

Ivre du vide qui se moque

Guettant ce qui me brisera

Tuant les sangles d'une époque

Étourdi par sa conquête

Je me relâche et attend

Ce qui n'est que dans ma tête

Ce qui trépasse dans le vent

Fait mort comme un putain de chat

Ignorant le malheur en cloque

Qui attendri ma gueule de bois

Je me baise, lorgnant sur ma froc

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Tu bouges trop vite

Les hermaphrodites

Du moment

Trop lent

S'en font des morpions

pour un rien

l'étrange

Qui s'étrangle sur un rien.

J'ai mangé le trop plein

De ma mère qui pleurait

pour un rien

poésie de semblant

Que rien

Que le trop bien

A fait sien.

J'ai cessé

Un jour de suranné

De me dire: rien

À quoi bon le plaisir est tient

Au petit jour est le bien

Que le succès fait sien.

J'ai tué le bien

Le jour du mien

Sien

Soit le méditerranéen

Du rien.

À quoi bon

Fonctionner

Toute une journée

Pour la risée

De l'être Chrétien

Qui n'a rien demandé.

Blood orange moon and strawberry sky *ripped*

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improvisation réfléchie pour Daleko

Chatte,

Ton cul.

Ta chatte.

Ma bite dans ta chatte.

Ma bite pleure des larmes de joie.

Sur la grosse bite à Reda

Dans ton cul dans ta chatte

Mon cul dans ta chatte

La grosse bite à Reda

Purifiée par le sang

De ton gros cul

Sur ta grosse chatte

Baby baby

EVEIL, steevy peter

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  • 2 semaines plus tard...

PIre truc que j'ai pu écrire et puisque j'ai trop honte de le sauvegarder sur mon ordi, je le met ici. Pour vous.

Douce nuit sans empreinte

Sur ces vies bien éteintes

Qui corrompent les agnostiques

Et en font des cosmétiques

Je te brave sans courage

Te rend grâce sans hommages

Je ne sais d’où tu tiens

Cette force dans tes liens

Tel le cancer qui me ronge

Tu m’évites, même en songes

Sous tes yeux bleus vitreux

Il n’y a rien d’heureux

En fait, j'aurais dû garder la première strophe seulement.

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  • 2 semaines plus tard...

Les secondes se succèdent

Et les idées, elle, se fracassent

Cynique sexe sans remède

Un triptyque illusoire sans espoir

Pénétrant les veines qui m'encrassent

Tout comme des songes masturbatoires

Mort à cette connerie prolétaire

Qui, de haine, me jouit à la face

Mes bâtards, qu'ils retournent en terre

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J'avais commencé ça mais j'ai pas envie de le finir et/ou de le retravailler, j'en ferai donc surement rien alors je vous le donne.

On a saigné la lune.

Elle s'écoule sur nous en un flot de molles notes barytonnes, longues notes à la masse morne, basses notes à l'harmonie borgne, elle s'égoutte sur nous en couleurs de grosses notes rondes. De sa robe déchirée déborde une poitrine grasse et rugueuse... Amas mammaire interstellaire.

La mer qui lui vague ses bleu blanc reflets d'argent se berce à ces sons, se réverbère de ces bleu blanc tons aux couleurs des lentes notes lourdes, denses notes douces. La mer s'ivre, respire de cet air, et de ces vents son ventre gonfle blah blah blah

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J'ai pris une habitude d'écrire de façon littéraire l'affect d'un plan ou d'une idée qui pourrait éventuellement se terminer en scénario. J'ai vécu ça hier en voyant une grand-mère dévisageant des jeunes cégepiens qui parlaient mal contre la religion catholique ainsi que de leur débauche de la fin de semaine.

La vieille personne assise à côté de moi ne pouvait rien y faire. Elle était impuissante face à la réalité. Elle restait là, faible. Elle se tapote les doigts sur sa cuisse, vivante dans ses pensées de mort. Eh oui madame, vous êtes obligée d’écouter ce que les autres pensent de votre éducation, de vos valeurs et de votre passé. Ils l’oublient à coup de ‘’ genre ‘’ et de ‘’tsé’’. Ils détruisent votre héritage à coup de jeunesse et de semblant de liberté. Toute votre vie, vous avez défriché la terre, ou du moins vous avez vécu une certaine misère. Maintenant, la misère, c’est des paroles de musique pop-rock trop facilement digérables. Vos mains ne tiennent plus le coup, elles se baladent dans l’infini. Une force incroyable émane de vos membres frêles, ils ne tiendront pas le coup très longtemps. C’est incroyable comment un regard peut vous rendre si impuissant tout d’un coup, impuissant d’être jeune et las de détruire à petit feu un passé aussi riche qu’important. Il en devient difficile pour vous de tenir votre parapluie de toile bleue, je vous comprends. Pas facile de vivre dans ce monde qui ne porte peu d’importance à la petite misère des petites personnes. Pour vous, je ne dois qu’être qu’un autre de ces jeunes blasés qui écrit sur son portable pour avoir l’air intelligent. Vous voyez en ces petites touches sur mon clavier, l’avenir qui s’écrit sans vous. La dactylo que vous êtes regarde ça de loin. Les jeunes à côté de vous se donnent des coups de poing et rient grassement de leur débauche de la fin de semaine, ils se croient le nombril du monde alors qu’ils oublient le cordon ombilical qui vous liait. Ils parlent aussi fort que des politiciens ne revendiquant pas grand-chose, discours de rhétorique douteuse, leur clique est ce qui importe le plus. Il est plus simple de garder cette belle naïveté qui a su tant animer votre vie. Si moi, j’ai à comparer la naïveté à travers les âges, la sérénité que vous portez dans vos yeux semble être un cadeau venu du ciel. Vite, quittez ce wagon! Jean-Talon vous appelle! Levez-vous et quittez cette bande de pauvres d’esprit vantant leur athéisme borné et stupide. Partez avec cette croyance et ce sourire constant sur votre visage alors qu’il en est encore le temps. Vite! Prenez envol pour ces quelques années qui vous reste à vivre, soyez fier de votre passé et de vos déboires! Prenez l’histoire à sa plus simple individualité et quittez ce fourgon mondialiste! Quittez! Emportez avec vous ce morceau de patrimoine et amenez-le avec vous jusqu’au dernier voyage! C’est là qu’ils sauront ce qu’il manque! ‘’Je me Souviens ‘’ mon cul! ‘’J’aime me souvenir de ce que j’aime ‘’ plutôt! Allez vous! Partez avec vos vêtements qui puent le Joshua Perrets! Vos ti-ventres bruns et laids me donnent envie de vous cracher dessus!

Rendu à la station Montmorency, je monte les infinies marches de l’escalier mécanique tel un homme montant au paradis. Un latino avec flûte de pan et vieille guitare sèche me fixe les yeux avec ce regard fauve. Ce regard qui vous donne envie de donner tout votre argent à toutes les fondations possibles! Cependant, je l’ai ignoré. De toute façon, être vieillard et jouer dans un métro avec un gros manteau vert kaki, ce n’est pas une histoire intéressante! C'est à cet instant que j’ai voulu supprimer toutes ces lignes de texte. Je ne suis pas mieux que les autres dans le fond, j’ai juste une plus grande facilité à chialer. Section P5, mon auto! Des jeunes cons rient comme les hyènes dans le Roi Lion. Je me pose de sérieuses questions quant à notre avenir. Y'a-t-il encore de la place pour le petit peuple, le plus beau peuple du monde, celui étant le plus franc et le plus simple possible? Cependant, tout semble se jouer par-dessus leurs têtes. Il n'y a pas de places pour eux ici. On préfère laisser des cons d’adolescents devenir des petits comptables bon marché marchant aux signes de piasses ou des jeunes bandés de foulards aux mots trop savants revendiquant l’altermondialisme. Les gens se câlicent ben gros de ceux qui ne portent pas de beaux vestons. Les gens se câlicent ben gros de ceux qui crient pas haut et fort les injustices. D’un côté ou de l’autre, la personne qui ne vit que pour vivre parait vide et sans intérêt. Peut-être que c’est à travers sa vie pourtant, que notre culture transparait à travers ses yeux. Un regard équivaut à l’histoire. Mais bon, on est vendredi soir! Friday, Friday, fun, fun, fun. Je vais plutôt aller dépenser quelques sous dans un ti-bagel industriel sans goût et sans amour dans une trop grosse chaîne de café non équitable. Ça me fera oublier l’épisode du quêteux et j’aurai à nouveau la conscience tranquille.

C'est pas de la grande littérature et ça tombe pas mal dans le journal intîme, mais ça explique bien ce que je voulais montrer comme émotion (du moins je l'espère)

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Tes poumons sont trop faibles.

Perdu. Le commencement achève. La ligne est mince entre le sourire et l'abîme. Tout ce qui se passe en cet antre anonyme n'est que pures illusions. Les murs y sont solides. Tout est une question de musique. Ça tourne autour de la toune. C'est rempli de déjà-vu, d'expérimentation et de mauvais riffs. Il parait qu'on peut s'échapper; s'en sauver. On s'en criss! Anyway, quand ça fait assez longtemps, ils te donnent une bouteille d'acide pour les barreaux. Les vapeurs te fracassent le crane, mais c'est p't'être mieux de même.

On s'en fout de ce que tu sais pas. C'est pas notre problème. La fin est loin; Penses-y. C'est faible comme éclairage. Oui. Le courant, c'est pas donné, t'sé. Des ampoules abandonnées aussi, ça allument pas fort. Dis-toi qu'il fait beau au moins. Ç'aurait pu être pire; La toune est bonne. Si le mur tombe, tu cours. Sinon, t'attends; Tu souffres. C'est simple. C'est compliqué aussi. Y'a un câble dans shed. Au pire... Ce serait pas plus mal, m'semble.

Indécis, genre. C'est normal à ce qui parait. Tu le spot pis tu fonces. C'est comme ça que c'est prévu. La musique tourne lentement. Y'a trop de bass. J'ai les oreilles qui brûlent. Prendre son temps, c'est bon ça. Sauf que tu peux pas, c'est l'heure. Fait chaud pareil.

T'arrives sans gêne, sans gène. Le refrain t'étourdi. Le mur est loin, la fin commence. C'est dur à dire, mais tu vois grand. Trop à ton gout. La classe est pleine. Trop à ton gout.

Écrit. C'est tout ce que t'as.

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  • 1 mois plus tard...

« Cinq orteils au pied droit, cinq au pied gauche». Murmura Véra.

C’était un refrain quotidien. Tous les matins, Véra comptait ses attributs, afin d’être sûre qu’aucun ne s’était détaché ou dissout pendant la nuit. « Deux oreilles ». C’était ainsi qu’elle se sentait en vie. Là. Bien ancrée dans la réalité, les deux pieds sur la terre ferme. Le reste de son corps suivait. « Un nez ». Elle vérifiait tout. Absolument tout. Chaque élément devait être exactement à sa place. « Une, deux, trois, quatre… ». Autrement, Véra était sûre qu’elle mourrait. « …Cinq, six, sept, huit, neuf… ». Autrement, Elle ne pourrait jamais plus faire confiance à son propre corps. « …Vingt et une, vingt-deux, vingt-trois, vingt-quatre… ». Un corps qui nous trahit n’est pas un hôte approprié pour un esprit aussi naïf que celui de Véra. « Vingt-neuf, trente, trente et une. Trente et une dents ». Ses doigts glissaient sur son corps afin de tout sentir, tout toucher… être sûre. Sûre qu’aujourd’hui son enveloppe charnelle était la même que le jour précédent. « Quatorze côtes sternales ». Arrivée à ce stade, elle avait toujours peur. « Six côtes asternales. » Elle ne pouvait sentir ses côtes flottantes qu’en se contorsionnant atrocement. « Quatre. Quatre côtes flottantes. Le compte y est » pensa-t-elle. L’inventaire se poursuivit : « Une langue ». Elle essuya ses doigts gluants de salive et reprit. « Deux seins ». Elle n’avait pas toujours effectué ces gestes pourtant si familiers. « Un clitoris ». Il fallut que la fortune la contraigne à en arriver là. « Une, deux, trois… ». Il fallut que la vie lui ôte ce qui lui empêchait autrefois d’avoir peur. « …Douze, treize, quatorze ». Ce qui lui permettait d’être curieuse plutôt que craintive. « Trente et une, trente-deux, trente-trois. Trente trois vertèbres ». Ce qui lui permettait de… Deux larmes lourdes comme des galots roulèrent lentement sur ses deux joues. Véra porta alors ses mains à son visage : « Deux yeux.». Ses doigts tâtèrent ses paupières informes. Désenchantée, elle se leva enfin de son lit, passa devant le miroir en pied superflu et se saisit de sa canne blanche, dont la bille roula comme ses yeux tout aussi blancs dans leurs orbites.

Depuis qu’elle avait entreprit ce rituel matinal, elle ne s’était plus jamais dit : « Qui vivra verra, Véra. »

Josie traînait son corps trop encombrant dans le couloir. Se laissant tomber, son épaule heurta le mur. Malheureusement son bras ne se détacha pas. Désappointée, elle se redressa, puis se laissa choir à nouveau. De tout son poids. Elle entendit un léger craquement : son bras tomba lourdement sur le plancher. « Ainsi, pensa Josie, je me sentirais plus légère ». Elle ramassa le bras et le fourra négligemment dans le placard. Avec tous les autres.

« La salle de bain est étrangement sombre, ce matin » songea-t-elle. En effet, la baudroie abyssale dormait toujours au fond du lavabo. Elle était si paisible et si sereine dans son lit de faïence. Josie la caressa très délicatement de son unique main. La baudroie s’éveilla alors doucement et agita son appendice qui éclaira la pièce. Josie aperçut donc son reflet dans le miroir. Malgré son bras manquant, ses épaules demeuraient particulièrement larges pour une femme. Sa poitrine était tout aussi plate que son visage, dépourvu de nez et de lèvres. « Je vais me refaire une beauté » affirma-t-elle solennellement, tout en plongeant ses doigts dans le bocal de cire d’abeille. Elle se modela ainsi une coquette paire de lèvres et de pommettes saillantes. Pas de nez aujourd’hui. L’air était, de toute manière, bien trop nauséabond.

Josie se rappela alors de la cafetière sur le feu. Si elle ne se dépêchait pas, le café risquait fort de mourir brûlé. Et le café mort, Josie en avait horreur. « Rien ne vaut un café bien vivant. » C’est ce que disait sa mère. Elle se dirigea donc vers l’escalier avec appréhension -elle savait que la cafetière lui en voudrait de l’avoir oubliée- La cuisine était éclairée d’une douce lueur verte. La cafetière gargouillait. Josie se servit une tasse et s’assit sur le gros cube de bois de la salle à manger. La lumière matinale était belle et apaisante. Le Grandgousier glissa le long de la fenêtre laissant derrière lui une trainée bleuâtre ; Le banc de méduses rosit l’horizon ; Le chant des baleines résonna au loin.

La journée s’annonçait douce.

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  • 2 semaines plus tard...

J'ai commencer à écrire une histoire... C'est la première fois que je fais ça... j'ai pas de prétention d'être écrivain (C'est peut-être mauvais) et je n'ai montré ça à personne encore. J'ai commencer ça suite à un "flash" qui m'est venu. C'est l'introduction si on veut:

J’me réveil ce matin, les deux yeux collés à mes paupières. Je me défaits lâchement de la couverte de « drap santé » d’un turquoise digne des années 80 et je suis là, coucher sur le dos, à fixer le plafond en tentant de me convaincre que je devrais me lever. Je dois dire que les cries de Sylvie venant du rez-de-chaussée me donnent envie de rester couché toute la journée. « Alexandre, tabarnak! J’te l’ai dit cent fois d’pas laisser trainer tes esti de souliers en avant de la porte! ... ». Mais j’préfère me lever avant que ce soit après moi qu’elle gueule parce que je n’ai pas fait ma corvée de tonte de gazon. Alexandre et Steve, les 2 enfants de Sylvie et Normand sont ben trop lâche pour le faire, mais ça fait un peu mon affaire, parce que pendant que je tonds le gazon, j’entends personne crier. Bon! Je profite du silence qui vient de tomber pour me sortir de mon lit et enfiler une vieille paire de jeans et un t-shirt de la veille qui trainait sur le plancher de bois francs défraichis de ma chambre. J’ouvre la porte de ma chambre nonchalamment avec l’idée de me diriger directement vers la toilette pour me soulager et du même coup me libérer de ma demi-érection matinale. Voilà Sylvie qui passait par là et me lance un habituel : « Ah ben! On commençait à penser que t’étais mort. » Je fis semblant de ne rien entendre et continua mon chemin vers la salle de bain. Sur le chemin, je passe devant la porte fermée de la chambre de Steve d’où vient les vibrations des basses fréquences d’une chanson rap dans laquelle on peut distinguer quelques mots des douces paroles qui accompagne le rythme : « Et yo! Le shit! La beuh! C’est tellement, tellement bon… ». Cet imbécile a 19 ans et agit comme une loque humaine. On est samedi, il fait beau soleil dehors et il passera probablement encore sa journée devant son écran d’ordi à jouer avec son engin et à échanger des belles paroles avec des jeunes filles pas plus brillante que lui plutôt que de faire quelque chose de sa vie. Sa mère pour le défendre dira qu’il se cherche encore, mais à mon avis, la seule chose qu’il cherche c’est la boulette de haschisch qu’il a échappé sous son divan. Après avoir accomplis ma mission urinaire qui explique mon passage dans le corridor, je descends finalement les marches jusqu’au rez-de-chaussée pour me rendre en cuisine afin de sortir de mon jeûne nocturne. Alexandre, le plus jeune, est dans le salon en train de jouer à un jeu vidéo qui semble avoir pour but de décapiter le plus grand nombre de zombis possible. Le concept me paraît assez intéressant. J’ai moi-même tellement envie de décapiter tout ces zombis qui semblent errer à la recherche de cerveau à grignoter. Toutes ces loques humaines qui se cherchent sans jamais se trouver… je me calme. J’étais sur le point de m’emporter, je retourne à mon bol de céréales. Étrangement, Normand est à la maison aujourd’hui, il profite habituellement de son samedi pour aller jouer un 18 trou avec son frère Alain. Une fois mon bol rincée et bien inséré dans le lave-vaisselle, j’enfile des vieux souliers et me dirige vers la remise où se trouve la tondeuse. Comble de l’étrangeté, Normand m’adresse la parole : « Hey Tommy! T’oublieras pas de checker l’huile avant de partir la tondeuse? » Je répondis d’un signe affirmatif de la tête et continua mon chemin. Mais il n’avait pas finis! Il enchaîna : « Ah pis Sylvie m’a dit qu’tu rentrais au CEGEP l’an prochain? » Puis, sans me laisser le temps de répondre : « Tu vas-tu te prendre un loyer? » Je répondis de l’affirmatif, voyant très bien le sourire satisfait sur son visage enflé sous sa calvitie dominante lui formant une couronne comme coiffure. Il n’en est peut-être pas conscient, mais j’ai probablement encore plus hâte de ne plus jamais revoir sa gueule de batteur de femme que lui a hâte que je quitte sa maison. Je ne comprendrai jamais ce qu’un homme peut combler comme besoin en imposant sa dominance physique sur une femme ou n’importe qui d’inférieur physiquement. C’est probablement un dérivé du gorille qui veut être le mâle alpha. Je ne sais pas si Normand est un mâle alpha, par contre il a une face de gorille, ça c’est évident. J’ai toujours été fasciné par la vie animale par rapport à la vie humaine. Ça semble tellement claire de leur côté, tout leurs gestes semblent calculé, la sélection naturelle se charge des plus faible et leur instinct est si fort. Pendant qu’en tant qu’homme, on se remet toujours en question, n’étant jamais sûr de rien, sachant pas trop où l’on s’en va.

Après des au revoir plus ou moins déchirant à Sylvie et Alexandre pour qui j’avais développé un certain attachement, Normand et Steve m’ont aidé à déménagé mes quelques boîtes jusqu’à mon nouveau chez moi. Une résidence de CEGEP comme il y en a plusieurs, somme toute correcte. J’emménageais avec Julie, une fille que plusieurs qualifieraient d’étrange et que je qualifierais personnellement comme ma meilleure amie. Les rumeurs voulaient que l’on forme un couple, mais ça n’a jamais été le cas. Moi et Julie somme si proche que c’est pour moi s’qui se rapproche le plus d’une relation de frère et sœur. D’accord, j’avoue que j’ai toujours eu un faible pour ses yeux bleus et ses petites fesses rondes, mais le sexe vient toujours foutre la merde dans les histoires d’amitié. J’ai pas du tout envie que ça arrive et je viens de vous dire qu’on était comme frère et sœur. D’ailleurs mon attirance sexuelle pour elle vient probablement du fait que c’est mon seul modèle féminin que je peux qualifier de sexy dans mon entourage. Les premières semaines passèrent très rapidement. J’étais enfin libre, autonome, libérer de ma jeunesse de famille d’accueil, c’était fantastique! Après les cours, je retrouvais Julie et on discutait sur la galerie autour d’une « Colt 45 » jusqu’aux petites heures du matin. J’ai rapidement caractérisés les étudiants du CEGEP en 3 catégories : les étudiants, les explorateurs et les flâneurs. La première catégorie passe inaperçus, mais sont pourtant ceux qui travail le plus. Ils n’ont pas de temps à perdre, savent où ils s’en vont et font tout pour s’y rendre. Les explorateurs de la deuxième catégorie ne savent pas trop pourquoi ils se sont inscrits dans tel ou tel programme et ne savent pas trop s’ils y resteront. D’ailleurs, ils changeront probablement 2 ou 3 fois de programmes pendants leur parcours et changeront probablement d’idée sur leur choix de carrière 10 fois pendant la même semaine. La dernière catégorie inclus ceux qui passeront probablement dix ans de leur vie au CEGEP. Ils y sont dans leur élément. Ce sont ceux qui font partie de tous les groupes étudiants et qui sont les instigateurs de toutes les manifestations contre les hausses de frais de scolarités. Les individus de cette catégorie ont habituellement les cheveux longs et un amour pour « les Cowboys Fringants ». Étant un peu perdu, je me retrouve probablement dans la deuxième catégorie.

Au courant de la session, Julie s’est fait beaucoup d’amis de la troisième catégorie et je passais de plus en plus de temps seule à détester les étudiants de cette même catégorie. Je ne sais pas trop si c’est ma haine pour « Les Cowboys Fringants », du mépris pour leur idéologie ou de la jalousie par rapport aux nouveaux amis de Julie, mais je les déteste. Ils me font un peu penser à Alexandre, qui se plaignait sans cesse que ça vie ne menait nulle part, mais qui restait dans sa chambre à attendre que le messie vienne le sauver ou je ne sais trop quoi. Ces étudiants sont là, à manifester contre les hausses de frais de scolarités, à revendiquer tout et rien dans une mentalité syndicaliste, sans jamais emmener de réelle solution aux problèmes et en embarquant avec eux tout les rejetés en recherche d’appartenance à un groupe pour avoir le sentiment de ne pas être le même exclus qu’ils étaient au secondaire.

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  • 1 mois plus tard...

Je me suis réveillé une nuit avec un flash... je l'ai écrit et je me suis recouché! le voici

Le Boulot!

En moins de temps qu’il en prenait à l’œil pour s’apercevoir que la balle était partie du baril, la balle ressortait déjà du derrière de la tête de Bill. Laissant derrière elle, une fumée et odeur de poudre. Mais en même temps, quand un tel événement se produit, il semble pourtant se produire au ralentit. Le choc causé sur chacun de nous fit que nos cerveaux avaient enregistré les moindre détails du projectile ayant perforé le front du gros Bill avec une implosion fulgurante ainsi que son explosion derrière la tête laissant jaillir tel un geyser, une éclaboussure de sang sur le mur. Le son lui-même, semblait avoir ralenti sa course tout prêt de mon oreille afin que je puisse avec précision, décoder le moindre effort de la balle avait eu de besoin pour se défaire en premier lieu de la peau, de l’os frontal, du cerveau et de l’os occipital avant de finir sa course sur le mur de gypse à l’arrière. Même le corps aidé de sa corpulence, se mit de la partie pour rendre la situation dramatique. Il s’affaissa d’un son horrible. Le regard surpris par le choc me fixait avant de monter au même rythme que son corps descendait, dut à la gravité. Tout ça ne dura qu’une demi-seconde. J’étais à bout portant. Il n’avait aucune chance. Voilà, le boulot était fait.

Maintenant, je nettoie avec minutie mes gants de cuirs noirs afin de ne laisser trace de mon passage dans le somptueux palace du maire, Robert Livingston. On m’avait payé 250000$ afin que j’exécute, accompagné de mon protégé, le boulot demandé. Voilà, Je suis tueur à gage.

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un cour métrage que j'.ai écrit. En fait, c'était une pièce de théâtre pour l'université pour un de mes cours.. Ensuite, je l'ai modifié pour en faire un cours métrage donc voici: désolé, il reste des fautes...

Le premier segment

1er plan (en matinée)

Vue d’une cellule humaine comme si elle était loin.. en s’approchant, c’est la terre. On s’approche encore jusqu’à ce que l’on soit dans la maison de la famille de Julia, le petite fille dont il est question dans ce cours métrage.

2ième plan

Le cadran sonne. Julia se réveille.

3ième plan

Elle descend les escaliers, sa mère lui dit de se dépêché.

4ième plan

Il déjeune en vitesse (caméra derrière elle) On voit son père siroter son café en lisant le journal.

5ième plan

La caméra la suit du lave vaisselle.. jusqu’à la porte. Elle va donné ses bisous à sa mère et à son père. Elle leur dit bonne journée. Ses parents répondent avec une symbiose à toi aussi mon amour.

6ième plan

La caméra est dehors face à la porte. Julia l’ouvre et dit Bye Bye maman, byebye papa.

7ième plan

La caméra suit la petite fille qui traverse une première rue et une deuxième. Elle remarque un homme sur sa droite juste avant de traverser cette 2ième rue. La caméra distingue une personne mais flou. Et dans un blackout on entend le bruit de portière quelques bruits et quand elle réussit à s’ouvrir les yeux entre les doigts, elle voit qu’elle est dans une fourgonnette.

Le deuxième segment

1er plan

Changement de segment (écrit 2 heures plus tard) Dans une chambre d’Hôpital avec les instruments et le lit à barreau métallique. Elle y est couchée. La caméra se retrouve au dessus dans un coin. C’est sombre et la porte est fermée. Elle n’entend pas se qu’il se passe de l’autre côté de celle-ci car le son des machines autour d’elle, prend tout la place. Elle se réveille et regarde autour d’elle. Elle est seule et isolée du monde. Elle comprend qu’elle est dans une chambre. À l’instant, elle est paisible, même tellement fatiguée, qu’elle s’endore à nouveau.

Le trisième segment

1er plan

Dans la maison familiale, la caméra est dans le salon et les parents aussi. Ils sont prêts de la fenêtre. Au moment du plan, la mère qui a le téléphone, prend panique en apprenant que leur petite fille ne s’est pas présenté à l’école.

La mère-Quoi ma fille n’était pas à l’école…

La mère-Chérie Julia n’était pas à l’école aujourd’hui

Le père- Quoi? Comment ça?

La mère (au téléphone)- Si vous la voyez, appelez-nous svp (toujours en pleure)

2ième plan

À l’heure du souper, le père prend le téléphone et appelle la police. La caméra est derrière lui.

Le père compose le numéro de téléphone de la police locale. L’homme répond

Police- Bonjour, Police Ste-Julie, comment puis-je vous aidé?

Le père- Ma fille, ma fille a disparue. MA fille est pas aller à l’école aujourd’hui et elle est pas revenue encore.

Police- Monsieur, pour considérer une disparition, ça prend 24 heures. Alors si demain matin, elle n’est toujours pas revenue. Nous entamerons les démarches de recherche. Monsieur, je suis navré.

Le père- Mais, elle ne sait pas présenter à l’école. Elle aime l’école et elle est heureuse.

Police- Mais je vous dis la procédure fait que nous devons attendre 24 heures. Est-ce que, sur elle, elle à ses cartes d’identités?

3ième plan (la caméra de côté on voit le père devant le téléphone et la mère en arrière plan

La mère s’approche.

Le père- J’en sais rien d’habitude, je dirais que oui dans son sac d’école.

La mère montre à son mari, les cartes , en pleures.

Le père- Non elle ne les a pas.. Les cartes sont ici.

Police- Nous vous enverrons dès demain matin un détective. Nous ne pouvons pour le moment faire plus.

Le père- Merci Bonsoir.

La police- Bonsoir

4ième plan

La caméra entre les deux parents

Le père s’effondre en pleure en regardant sa femme. Il lui prend le visage.

Le père- Ils vont nous envoyer quelqu’un demain matin.

La mère- Oui j’avais crue comprendre.

Le père- Ils vont la trouvé, j’en suis sûr.

4ième Segment

1er plan (Chambre d’Hôpital)(La caméra derrière l’homme vue en plongée vers la petite fille)

La petite fille se réveille et aperçue l’homme l’ayant enlevé. Elle en fut terrifiée.

L’assassin- N’aies pas peur tu es en sécurité ici avec moi! Tu peux me faire confiance.

Julia- Pourquoi ont est ici? Est-ce que je suis blessé?

L’assassin- Non! Je t’ai amené ici pour jouer un jeu avec toi.

Julia- Quel jeu?

L’assassin- Tu le sauras bien assez vite!

Julia- Est-ce vraiment amusant ton jeu?

L’assassin- Il est un peu douloureux mais il vaut vraiment la peine d’y jouer. J’y vais, reste ici, je vais t’amener de quoi manger.

5ième segment

1er plan écran noir (3 jours plus tard) dans la maison familiale La caméra (comme une troisième personne dans le salon)

Le père- pourquoi nous n’avons pas de nouvelle? Pourquoi ça nous arrive à nous?

La mère- Je ne sais pas pourtant nous sommes une bonne famille. Pourquoi Dieu nous en veut autant?

2ième plan (la caméra change d’angle afin de les voir eux et le téléphone)

Le téléphone sonne. La mère répond

La mère- Oui allô (d’un ton anxieux)

Le détective- Madame Raymond, nous avons une piste de ce qu’il a peu arrivé. Nous devrions être en mesure de vous dire ce qu’il en ait d’ici peu. Notre rencontre d’il y a deux jours nous a permis de comprendre l’importance de la chose.

La mère- Et qu’est ce qu’il se passe. Où est-elle?

Le détective- Nous sommes sur une piste et je ne peux vous en dire plus? Je dois y aller nous nous en reparlerons dès que nous aurons plus de détails. Bonne journée.

La mère- Bonne journée

3ième plan (caméra sur l’épaule du père)

La mère- Il a dit qu’il savait.. ben qu’il croit savoir où Julia est.

Le père- Il n’a pas dit où?

La mère - Non, il ne me la pas dit mais il m’a dit en retour qu’il appelerait dès qu’il sait exactement où et pourquoi ! je ne sais plus.. c’était effrayant. Jacques, j’ai tellement peur.

Le père- Je comprends, je ressens la même chose.

6ième segment

1er plan (dans la chambre d’Hôpital) La scène commence quand l’assassin entre dans la chambre.

La caméra suit l’assassin qui ouvre la porte et la referme derrière lui. Il a un chariot avec des instruments médicaux.

2ième plan (toujours dans la chambre) (la caméra derrière la petite fille montrant l’assassin s’amener près du lit avec son chariot.

3ième plan (Il prend un scalpel) La caméra ne montre que la main prenant le scalpel)

4ième plan (retour à l’emplacement de la caméra du 2ième plan)

La petite fille est terrifiée et elle tremble de peur.

Julia- Pourquoi ce couteau?

L’assassin- parceque c’est le jeu!

Julia- mais?!!!

L’assassin à ce moment lui donne un premier coup sur le bras. Elle se met à crier et pleurer.

Julia- (toujours en pleure ) arrête!!!!!!!!!(en criant)

5ième plan (la caméra au pied du lit)

L’assassin lui donne un deuxième coup de scalpel sur la cuisse. Comme elle n’arrête pas de crier, il met sa main sur la bouche. Il donne un coup d’œil vers la porte et repose ensuite son regard vers elle. Il l’écorcha une dernière fois près de l’œil. Il prit ensuite un bas et lui mit dans la bouche pour ne pas qu’elle puisse crier. Il va vers la fenêtre. La caméra le suit jusqu’à la fenêtre.

6ième plan (la caméra de l’extérieur en pointant la chambre)

Il est possible de voir l’assassin regardant dans la fenêtre afin de voir si quelqu’un avait entendu la petite crier.

7ième plan (la caméra est derrière lui et le suit)

Il passe de la fenêtre à la porte. Il donne un coup d’œil et regarde vers la petite fille. La caméra fait la même chose. La petite par épuisement, s’endormit. L’assassin sortit de la pièce.

7ième segment

1er plan (Quelques semaines plus tard) La caméra est dehors devant une maison.

Un couple de personne âgé dans la mi-quarantaine entendit des cris. Ceux de la petite fille.

Elle provient de la maison. L’homme pris son cellulaire pour appeler la police.

L’homme- Bonjour monsieur la police, je suis devant une maison et je viens d’entendre une petite fille crier à plusieurs reprises.

La police- Ok, vous êtes sur quelle rue?

L’homme, sur la rue St-Joseph.

La police, un de nos agents ira voir monsieur. Restez en ligne afin que nous prenions vos coordonnés.

2ième plan (au poste de police) La caméra suit l’agent ayant reçu l’appel.

L’agent- Patron j’ai un appel pour des cris en provenance de St-Joseph. J’y vais.

Patron- Pas de problème. Mais s’il s’avère que c’est fondé. C’est surement un cas d’enlèvement, alors appel moi, je vais envoyer un négociateur.

L’agent- C’est parfait. Mais c’est surement rien.

8ième segment

1er plan la fillette est très amoché. Le jeu semble duré depuis plusieurs semaines. (Dans la chambre, au pied du lit la caméra vers la jeune fille) L’assassin lui donne des coups encore une fois et elle ne réagit même plus. Pourtant elle est réveillée.

L’assassin- Tu vois ça ne fait même plus mal! Tu es maintenant immunisée.

Julia- Mais je suis laide. Elle regarde ses bras qui sont en lambeau.

9ième segment

1er plan (devant la maison) La patrouille de police arrive sur les lieux. La caméra est stable sur le terrain de la maison. Lorsque l’agent ouvre la porte, la caméra fait un demi-tour vers la fenêtre de la maison. Nous pouvons voir l’assassin apparaître dans celle-ci. La caméra revient sur l’agent qui s’aperçu de l’apparition. Il prend son interphone et appel le bureau-chef.

L’agent- besoin de négociateur et de renfort. Je répète besoin de négociateur et de renfort code (10-33).

2ième plan

Le négociateur arrive avec sa voiture. Il sort et prend son hautparleur et demande à l’assassin ce qu’il veut.

(pendant ce temps les parents arrivent sur les lieux que l’ont peut voir en arrière plan)

3ième plan

L’assassin donne un coup d’œil en tassant les rideaux (la caméra en arrière de lui) Il se retourne (la caméra recule et se position au pied du lit en suivant l’assassin vers le côté du lit (inverse à la fenêtre) Il continua son jeu de découpage.

10ième segment

1er plan (caméra dans la rue en face des parents)

La mère- Libère ma fille. Elle ne t’a rien fait. Elle ne mérite pas ça. Elle n’a que 8 ans. Libère là!

En panique la mère s’approcha du négociateur le père essayant de lui en empêcher. La caméra recule en suivant le rythme de la mère. Elle prit de dans les mains du négociateur.

La mère- Je t’en supplie (en pleurant de rage) libère ma fille prend ma vie, pas la sienne.

11ième segment

1er plan (dans la chambre) la caméra est au dessus de la tête de Julia. L’assassin à ses côtés. Elle en attendant les cris de sa mère, la petite se mit à pleurer. À crier afin de voir sa mère. Mais l’assassin s’en fou. À maintenant, il doit finir son petit jeu. La fillette n’est presque pas reconnaissable. La douleur semble intense. Mais les muscles de son corps ne réagissent plus.

12ième segment

1er plan (La caméra est derrière l’assassin) Le téléphone sonne. Il va vers le téléphone et la caméra le suit. Il répond.

L’assassin- Oui qu’est ce que vous voulez?

Le négociateur- J’aimerais que la jeune fille soit libre. Pouvez vous nous prouvez qu’elle est envie et qu’elle va bien?

L’assassin- Elle est vivante… c’est ce que vous voulez?

Le négociateur- Euh… oui mais comment va-t-elle?

L’assassin- (d’un ton énervé) pour le moment elle est vivante. Je n’en dit pas plus.. Le jeu dois continuer. Je dois le terminer. (Il raccroche.)

2ième plan (caméra en plan moyen sur le bras de la fille. On va le chariot à l’arrière plan flou. On voit que l’assassin à pris de quoi sans trop distinguer. Et Il donne violement un coup de râpe fromage sur le bras de la jeune fille. Pendant ce temps on entend dehors le négociateur de la lâcher. Qu’est ce que tu veux pour sa liberté.

13ième segment (finale)

1er plan (Quelques minutes plus tard) (caméra derrière le négociateur(en médecin)le suit, lui qui entre dans la pièce) Les parents sont au chevet de leurs filles. L’assassin est sur une chaise au fond de la pièce. Cette fois-ci, bien que ce soit la même pièce (chambre) l’atmosphère est différente. Julia est mourante sur le lit, entubée et peu reconnaissable. Les parents pleurent sachant que trop bien qu’il en était que trop tard pour leur fille. Le père essai d’être fort pour aider sa femme. Le médecin un coup entré, ferme la porte et se rend jusqu’au lit près des parents.

Le médecin- Je dois vous annoncer que Julia ne passera probablement pas la nuit.

Les parents- Nonnnnnnnnnnn(faiblement en hochant la tête)

Le médecin- Voulez-vous que je vous laisse seul avec votre fille?

Le père- Non je crois que ce serait bien que vous restiez. (La mère fait signe que oui avec la tête)

2ième plan (la caméra au-dessus de Julia)

Elle regarde en direction de l’assassin avec un ultime effort

Julia- Tu ne m’as jamais dit comment tu t’appelais. Comment t’appelles-tu?

3ième plan ( caméra : du point de vue de Julia vers l’assassin)

L’assassin : Je m’appelle… CANCER DE LA PEAU.

FIN

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osti c'est l'affaire la plus à chier que j'ai lu

j'ai ri en lisant le punch

j'ai ri quand le gars appelle la police pis qu'il dit: bonjour monsieur la police (7e segment)

t'es le membre que j'apprécie le plus lire, pas juste tes histoires de fiction, mais tout ce que tu postes sur le site.

tu sembles tellement ingénu que des fois je me demande si tu serais pas simplement toto

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L'aube sans bruit...

les rayons aveuglants

dans l'équinoxe fleurissant

l’innocence prend vie

Et puis,

sous le zénith assommant

la chaleur suie

la rage meurtrie

la vie s'immolant se répand épars dans le vent

qu'en pensez-vous?

Modifié par nastymax
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