x-Marvelous.Corpse_x.O 10 novembre 2010 Partager 10 novembre 2010 depuis que je suis au CEGEP.pis ouais j'avoue c vraiment pas mon meilleur. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thunder McFuck 10 novembre 2010 Partager 10 novembre 2010 le messie c'est un cave qui fait juste insulter le monde anyway 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gamin 10 novembre 2010 Partager 10 novembre 2010 Poèmes pris sur mon skyrock : Adolescence 2010 Katherine, dix-sept ans Toxicomane notoire Elle a énormément faim Et est à la rue, donnez lui du pain Jérôme, seize ans Gangster en devenir S’est fait tirer par un gars de l’autre camp Et lutte pour sa vie en ce moment Sarah, quinze ans Élève au secondaire Son corps a perdu son innocence Et son cœur la confiance Guillaume, quatorze ans Sportif sans cerveau Regarde des revues de cul Et se branle en classe...ni vu, ni connu! Josianne, treize ans Mène une double vie C’est une prostituée… Elle croyait devenir mannequin… on l’a piégée Alex et Anna, douze ans En "couple" En fait, ce sont des fuckfriend... Ah oui ?! À cet âge…! Ben oui ! Tout ce qui a de plus normal… N’est-ce pas? Bah je ne sais pas…voyons donc! Faudra tu t’y fasses, maman… Ma chère fille, je crois simplement Que tes amis ne sont pas de bonnes fréquentations! Écoute-moi! Je m’appelle Sabrina, j’ai neuf ans Et avec tout le respect que je te dois Saches que Katherine me fournit ma coke Jérôme est mort pour me défendre C’est papa qui a violé Sarah Guillaume est le principal client de Josianne Et j’ai fait un trip à trois avec Alex et Anna… Maman…?! ---- Je suis consciente que c'est fucké vers la fin... je répond à toutes les questions Actuellement, j'ai vraiment aimé ça. J'en pense que certaines des images métaphysique était réellement et particulièrement efficace. Oh... et... euhh... des dispositif rythmique intéressante aussi, qui semble contre-pointer... contre-pointer le surréalisme de la métaphore sous-jacente du... euh... de l'humanité de l'âme compatissante du poète qui se forme, au travers du medium de la structure des vers, pour sublimer justement ceci, et transcender ça, et en vient en terme avec les dichotomies fondamentales des autres et on est laissé avec la profonde et vive impression de... de peu importe ce dont traite le poème. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Le Messie 10 novembre 2010 Partager 10 novembre 2010 le messie c'est un cave qui fait juste insulter le monde anywayÇa en prend. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lux 10 novembre 2010 Partager 10 novembre 2010 Premier d'une série de 6 poèmes dédiés à mes aliments (transformés) préférés : Ô toi qui me délivre de l'insipidité de source naturelle, Je te remet le grade de Pourfendeur Émérite, Puisse être ta commercialisation éternelle, Pour qu'encore mon coeur palpite, Au cas où voguerait une disette de fluides, Je peux me fier à Nestea, pourvoyeur de glucides. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gamin 10 novembre 2010 Partager 10 novembre 2010 Reposte ton truc sur le lait. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lux 10 novembre 2010 Partager 10 novembre 2010 Reposte ton truc sur le lait.?Liste :Ode au Thé Glacé en poudreOde au BaconOde au Pepsi (en cannettes)Hymne au pain aux raisins (avec beurre salé)Béat JarisbergYougourt Quatuor.Les 3 derniers sont dép-inédits. Je les trouve pas parfaits encore. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Le Messie 10 novembre 2010 Partager 10 novembre 2010 Ils peuvent le rester. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gamin 10 novembre 2010 Partager 10 novembre 2010 T'a pas déjà écrit un ode au lait, ou au riz, ou a un truc comme ça? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lux 10 novembre 2010 Partager 10 novembre 2010 Ils peuvent le rester.Ça m'étonnerait. C'est une de mes meilleurs idées. Que j'ai d'ailleurs eu dans une convo avec Goddess-like Dahut.T'a pas déjà écrit un ode au lait, ou au riz, ou a un truc comme ça?Vraiment je sais pas à quoi tu peux faire allusion. Je vais méditer là-dessus. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gamin 10 novembre 2010 Partager 10 novembre 2010 Vraiment je sais pas à quoi tu peux faire allusion. Je vais méditer là-dessus.J'ai cherché "lait" et "lactose" autant sur le 2.0 et 3.0 et ça ne donne rien (rien qui est ce que je cherche)... Je suis pourtant sûr...Il y a, sur le 2.0:Ce lac latent et lancinant manque de lactose,Pourtant poissons en partance, il propose,Algues alanguies, al-dente ou à la algonkine,Que quémande kinésiologues et cyprines.Mais ce n'était pas ça... Ou c'est peut être ça? Non, m'semble... je m'en souviens, tu répondais directement à un de mes messages et t'a dit: "J'ai déjà composé une ode au lait qui allait comme suit:..."Ok, non non, finalement c'était ça. C'est moi qui s'est déformé l'imaginaire. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Le Messie 10 novembre 2010 Partager 10 novembre 2010 Ça m'étonnerait. C'est une de mes meilleurs idées. Que j'ai d'ailleurs eu dans une convo avec Goddess-like Dahut. Je vais faire semblant de savoir de quoi tu parles. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ninchat 13 novembre 2010 Partager 13 novembre 2010 Un poème écrit il y a quelques années :Après l’amour, on se tourne d’un côté on revit ce qu’on a laissé mourir on court vers les notes qui s’envolent.Dans une tentative de suivre sa musiqueOn n’est plus désormais qu’anonymes et désincarnés. Ce n’est qu’après l’amour que l’éveil du matin est entier.C’est là qu’on parle de débandade, qu’on cherche l’introuvable. Qu’on jette du vinaigre sur ses meurtrissures en croyant que tout peut s’arranger qu’il faut du temps ah ! Le temps fait si bien les choses !Après l’amour on efface les traces d’un passage trop barbare avec un mouchoir ou un bas. Rien de banal s’il s’agit de regrets le passé acquiert en profondeur se creuse laisse grandir l’amertume.L’évanescence de la passion c’est l’après amour, c’est ainsi qu’on meurt un peu chaque seconde qu’on conjure l’homme et ses obsessives fragilités on renaît mais à moitié.Après l’amour destructeur et circulaire on veut vivre on cherche dans le geste un souffle un cyclone ramener une sensation fugace. Il n’y a plus d’ambiguïté après l’amour parce qu’on a tout laissé à l’autre.Après l’amour on a ce goût âpre dans la gorge un goût de fumée sèche et blanche on voudrait tout recracher asperger les murs s’embrumer s’échouer dans l’ivresse d’un possible lendemain Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Porthos 13 novembre 2010 Partager 13 novembre 2010 Un poème sur le Julievillois Kris Letang :Kris LetangFut un tempsGénéral.Son chevalÉtait blanc.AvalantSon sperme, ilDit : « Comme ilEst goûteux. »Est-ce honteux ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gamin 13 novembre 2010 Partager 13 novembre 2010 Un poème sur le Julievillois Kris Letang :Kris LetangFut un tempsGénéral.Son chevalÉtait blanc.AvalantSon sperme, ilDit : « Comme ilEst goûteux. »Est-ce honteux ?Actuellement, j'ai vraiment aimé ça.J'en pense que certaines des images métaphysiques étaient réellement et particulièrement efficaces. Oh... et... euhh... des dispositif rythmique intéressante aussi, qui semble contre-pointer... contre-pointer le surréalisme de la métaphore sous-jacente du... euh... de l'humanité de l'âme compatissante du poète qui se forme, au travers du medium de la structure des vers, pour sublimer justement ceci, et transcender ça, et en vient en terme avec les dichotomies fondamentales des autres et on est laissé avec la profonde et vive impression de... de peu importe ce dont traite le poème Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Porthos 13 novembre 2010 Partager 13 novembre 2010 Actuellement, j'ai vraiment aimé ça.J'en pense que certaines des images métaphysiques étaient réellement et particulièrement efficaces. Oh... et... euhh... des dispositif rythmique intéressante aussi, qui semble contre-pointer... contre-pointer le surréalisme de la métaphore sous-jacente du... euh... de l'humanité de l'âme compatissante du poète qui se forme, au travers du medium de la structure des vers, pour sublimer justement ceci, et transcender ça, et en vient en terme avec les dichotomies fondamentales des autres et on est laissé avec la profonde et vive impression de... de peu importe ce dont traite le poèmeMerci, merci. Très flatteuse exégèse.C'est pour d'aussi fins lecteurs qu'on écrit. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chicken of the infinite 15 novembre 2010 Partager 15 novembre 2010 Les parents terribles (titre volé à Jean Cocteau--- Merci Jean) Un ton enfantin et innocent au menu. Je suggère ce morceau pour la lecture. Les poèmes ont été composés en l'écoutant sur repeat. Une journée avec papa Mon coeur est content Nous allons à la taverne Papa joue à l'argent J'en ai huit Pas dix-huit Papa roule vite et crie Il ouvre ma portière, je supplie Il me fait très peur J'ai mal à mon coeur J'ai huit ans J'ai vingt ans Maman n'est pas en accord Avec où papa me sort On va quand même au bar Il me laisse dehors J'ai huit ans J'ai trente ans Roule-moi une cigarette Roule toutes mes cigarettes Va me chercher une bière Là bas, dans le frigidaire J'ai huit ans J'ai cent ans Il me dit que sa blonde c'est moi Et moi je le crois J'ai huit ans Indéfiniment -------------------------------------------------------------------------------------------- Maman ne me parle pas Je n'ai pas d'amis Je parle toute seule en bas Elle ne joue jamais avec moi Je lui ai donné un cadeau Elle ne l'a pas trouvé beau Elle l'a jeté à la poubelle Je ne suis pas belle Le soleil se couche Maman va se transformer Maman va me pincer J'ai peur qu'elle me touche Maman me dit que je suis laide Elle est le monstre de mes cauchemars Elle ne me croit pas quand je suis malade Jusqu'à ce que je sois près de la mort Maman enlève sa ceinture Je cours me cacher Elle me cherche Maman a voulu jouer. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chicken of the infinite 29 novembre 2010 Partager 29 novembre 2010 Un petit poème court:Merci pour les fleursElle font un malheurDans mon chouette coeurJe les balance dans un fosséJe pars avec un crotté. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lux 30 novembre 2010 Partager 30 novembre 2010 Vous l'attendiez depuis longtemps, la dernière strophe de Ode au Pepsi (rebaptisée Pepsi-addiction) :Notre passion se ponctue par un stress.Ferraille et bouche de sucre maculée,Les seuls vestiges daignes-tu me laisser.Ô Pepsi... plaisir assurément renouvelé,J'aime que tu me tiennes en liesse. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gamin 2 décembre 2010 Partager 2 décembre 2010 Mon corps décroûte, il crisse et craque croche. Ma peau d'face se râpe au sol, s'arrache sur l'asphalte. Ma bouche goûte rouge et glisse, se claque et se croque. Mes os s’érodent, ils s’effritent en sable latté. Mon couvre-chef est à crâne ouvert,J'ai freiner trop sec à cette lumière. ***Je souris à ces mots qui s'embrasent à la cime de ton front. Ces mots se chauffant du soleil de tes cheveux afin de s'y évaporer en spasmes métalliques de bulles aussi vastes et vigoureuses que vives et volatiles. Ces mots qui sous ce lit d'orge s'y explosent en éclats de bronze et tes cheveux qui s'oxygènent, et tes cheveux qui s'oxygènent... Ta peau est un tissu ardent épistolaire sur laquelle se grave l'échange d'un désir solaire, d'un désir de chair, de mes désirs déchirés par l'étirement et apaisés déjà par un soleil de cuivre qui se couche à l'horizon de mon épaule, par l'odeur de feu d'un soupir s'éteignant près de mon oreille, par la lumière d'une caresse qui se repose sur mon torse. Désir qui n'est plus qu'un mendiant assoiffé, rassasié même presque entièrement par les gouttes de tes regards, mais qu'il s'y noierait, ce mendiant, qu'il s'y noierait! Et pour se chauffer ce mendiant préfère encore se blottir au creux d'une forêt sauvage que d'y attiser un feu qu'il saurait éteindre, car il en a brûler des forêt, il en a brûler et il tousse encore leurs cendres. Je pense à ta nature et j'ai le vertige: ta crique qui suit vaguement le déhanchement de l'océan et à l'horizon ce ciel facial qui rougit au levé d'un bonheur, ces arbres qui frissonnent sous mes essoufflement d'air froid, ou même ces dunes d'épaules qui séisment sous une indifférence amusée, elle-même tracée dans le sable de ta nuque. J'y pense et j'ai le vertige, je me dit que si je tombais de tes montagnes il n'y aurait que les nuages pour ralentir mon averse. Je me chuterais violemment et le vent hurlant expulserait la pluie perlante de sur mon visage et les gens au sol seraient petits. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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