Le Capitaliste 8 mars 2012 Partager 8 mars 2012 (modifié) Faut pas nécessairement chercher un problème social derrière tout comportement un peu hors de la norme. c'est ça qui arrive quand tu as trop de monde qui étudie la sociologie à l'université justement. Modifié 8 mars 2012 par Le Capitaliste Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
La voisine d'à côté 18 mars 2012 Partager 18 mars 2012 Bah j'pense que y'en a une bonne quantités de filles qui s'en foutent tant que ça leur donne de quoi (lire, du $). Moi personnellement je ferais pas ça, j'trouve ça absolument dégradant. Bien sûr, vous allez me sortir que c'est mon âge mais peu importe dans 15 ou 30 ans ou maintenant, c'est juste ridicule. Fuck le 300$ piasses si c'est pour le 'gagner' de même. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
P.O. Box 8035 19 mars 2012 Partager 19 mars 2012 Bah j'pense que y'en a une bonne quantités de filles qui s'en foutent tant que ça leur donne de quoi (lire, du $). Moi personnellement je ferais pas ça, j'trouve ça absolument dégradant. Bien sûr, vous allez me sortir que c'est mon âge mais peu importe dans 15 ou 30 ans ou maintenant, c'est juste ridicule. Fuck le 300$ piasses si c'est pour le 'gagner' de même.Pour combien le ferais-tu? Et si ce n'était pas pour l'argent, pour quoi le ferais-tu? Et si on te disais, par exemple, que pour ce type de comportement, tu serais assuré que quelqu'un, quelque part dans le monde, se ferait sauver d'une maladie par exemple, le ferais-tu? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
La voisine d'à côté 24 mars 2012 Partager 24 mars 2012 Il est sûr que peut importe le montant d'argent, je le ferais pas...Mais tu as un point par exemple...si ça pouvait sauver qqun que je connait, alors peut ête le ferais-je. Si ca serait qqun quelque part dans le monde j'hésiterais beaucoup. Pas que je n'ai pas de conscience, mais plutôt que dans ce cas, j'ai aucune certitude que oui une personne quelquepart sera sauvée. C'est pourquoi j'hésiterais beaucoup. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
fleaux 1 avril 2012 Partager 1 avril 2012 on s'égare!!le monde a juste besoin de leur 5minute de gloire.. c'est la mentalité de marde qui fait ça Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Vacpower™ 1 avril 2012 Partager 1 avril 2012 WARNING : EPIC POSTLa sexualité n'est pas sale en elle-même.C'est vous-même qui en faites une chose vulgaire en comparant cela à un sac de chips.La rencontre de l'Autre se réduit-elle à des fluctuations hormonales?L'être humain n'est-il qu'un tas de chaires en décomposition?Dans ces conditions, comment pouvez-vous envisager l'amour?L'envisagez-vous seulement?Phrase complètement absurde.Il n'est aucunement question d'imposer quoi que ce soit à qui que ce soit.Dans leur vie, mes proches et moi-même avons fait plein d'erreurs de manière consentante. Quand on aime les gens, on aspire à ce qu'il y a de mieux pour eux. On ne les laisse pas se détruire à petits feux. On peut leur ouvrir des portes sans les obliger à les emprunter.Et on les conçoit comme des fins, jamais comme de simples moyens.Comme le rappelle l'anthropologue Rose Dufour, la sexualité est un fort lieu identitaire de la personne. Il aurait été intéressant que tu considère que le répondais à un post qui accusait la pornographie d'avoir un "pouvoir chimique" de contrôle, en d'autre terme que la porno est une drogue (donc une dépendance néfaste) et que c'est un instrument de contrôle de facto.Je répondais (il y a 2 ans) simplement que c'est absurde parce que tout finit par être réduisible à de la "chimie" dans le cerveau si on se lance dans cette avenue là, que la pornographie est pas un cas spécial à part que c'est un plaisir extrèmement satisfaisant. Au fond c'est une façon de dire que le réductionnisme est justement absurde, parce qu'on peut prouver que n'importe quel "plaisir" a nécessairement une base bien physique.Par exemple, si je prend un étudiant en cinéma, cinéphile et passionné. Si j'observe son cerveau pendant qu'il écoute un bon film, on va trouver effectivement qu'il y a des processus physiques en jeu. C'est juste normal, on est effectivement à la base des êtres physiques. Sauf que là, imaginons qu'on lui enlève le droit d'écouter et de faire des films dans sa vie, c'est clair qu'il refuserait et ne voudrait pas qu'on lui fasse ça. Est-ce qu'on lui répondrait qu'alors il est devenu dépendant du cinéma ? Parce qu'au fond les films lui procure une satisfaction "chimique" et on voit qu'il pourrait difficilement s'en passer. Ça serait pas mal absurde comme réponse de dire que le cinéma a un "pouvoir chimique" sur lui (parce qu'il dépense une part considérable de son temps et son argent dans le cinéma).C'est la même chose si on veut avec la porno, oui le plaisir sexuel a une base chimique, mais ça en fait pas un outil de contrôle par la dépendance pour cette raison là.C'était essentiellement ça le sens de mon propos.---Parce qu'au contraire, je suis loin d'être "réductionniste" comme tu m'accuse de l'être. En fait je ne nie pas du tout que nous soyons complètement fait de matière bien physique, cependant je considère que nous sommes une machine suffisamment complexe qui arrive même à produire une conscience de soi et d'un "sujet" qui est capable de "ressentir" d'une manière personnelle ce qui lui arrive.En fait, en philosophie de l'esprit j'adhère personnellement à la conception émergentiste, qui consiste grosso modo à défendre l'idée qu'il peut y avoir plus à l'explication de certains phénomène que la simple somme de ses parties constituantes. Par exemple, j'aurais beau expliquer à un aveugle de naissance toute la chaine causale d'évènement physique du processus de captation d'image et de couleurs (la lumière et les fréquences lumineuses, le fonctionnement de l'oeil, le transport dans le nerf optique, toutes les interactions neuronales qui s'en suivent dans le cerveau ensuite), il ne va jamais pouvoir vraiment "comprendre" c'est quoi que regarder un ciel bleu.Au fond, il y a deux façon de réagir face à la constatation physicaliste, du fait que nous ne sommes que des entités bien physiques. La plus répandue "malheureusement" est d'y voir donc toute sensations comme une illusions de facto sans valeur réelle. Même le concept "d'âme" séparée et distincte du corps est une sorte de tentantive d'éviter le physicalisme pour pas justement à voir la conscience comme une illusion. L'émergentisme c'est de dire que oui nous sommes bel et bien physique, mais que la conscience, bien réelle et bien légitime, peut "émerger" d'une construction physique.Donc sur ce point, je pense pas qu'on va être en désaccord.Au fond pour moi l'existence humaine, la souffrance, le plaisir, la jouissance, l'amour, etc. sont tous des sentiments qui ont une valeur ajoutée bien plus grande qu'une simple réaction chimique/physique.---Là où je pense me démarquer, c'est que je m'éloigne d'une longue tradition "dualiste" qui prend sa source entre autre chez Platon (et les écoles qui vont suivre) et qui se répand ensuite dans toute la longue tradition judéo-chrétienne.C'est une tradition qui a eu le réflexe de diviser l'humain en deux, "corps et âme" pour ensuite assumer que ça impliquait aussi une division au niveau des "plaisirs", comme quoi il y aurait les plaisirs du "corps" (faciles, non substantiels, presque illusoirs) et les plaisirs de "l'âme" (satisfaction plus profonde, plus nobles, les VRAI plaisirs). Dans notre morale judéo-chrétienne il est clair qu'on doit éviter les plaisirs impurs comme ceux du corps pour plutôt chercher ceux de l'âme, c'est là que se trouve le "paradis" si on veut.Mais ça pour moi c'est une des plus grande erreur de l'histoire philosophique (reprise par la religion). Parce qu'au contraire, chaque plaisir est nécessairement un plaisir "de l'esprit", parce que c'est seulement l'esprit (ou la conscience de soi, le sujet ressentant, etc.) qui peut engendrer une telle sensation. Si j'écoute un bon film c'est un plaisir ressenti par mon esprit effectivement. Si je mange un bon repas, c'est aussi mon esprit qui ressent ce plaisir là. La tradition a eu le réflexe de penser que lorsqu'on mange un bon repas c'est notre estomac qui ressent de la satisfaction. De la même façon, l'oeil ne voit pas, il est seulement l'outil qui permet à l'esprit de "voir".Donc, ce qu'on a traditionnellement toujours considéré comme des plaisirs "superficiels" parce qu'ils étaient strictement de corporels (comme si l'esprit n'était pas corporel), sont en réalité aussi "substantiel". Oui leur degré et leur longévité varie, tous les plaisirs ne sont pas semblables, mais ils ont tous une valeur.--- Là où je veux en venir ---Alors, pour revenir à la sexualité, la tradition a donc créé l'idée que la sexualité c'était le summum du plaisir artificiel et illusoire, que c'était un "faux plaisir", une "illusion de la chair", qu'on devait plutôt chercher un état de satisfaction de l'âme de type "transcendental" à la place. Que dans le fond, la seule raison pour le sexe c'est si il est en vue d'un accomplissement profond de soi. Pour l'Église on pourrait le voir comme le devoir conjugal d'élever une famille, aujourd'hui on l'a surtout transformé en une sorte d'idéal de vie de couple romantique, parfaite et profondément satisfaisante. C'est le même réflexe mais transformé pour être compatible avec la laïcité.Moi ce que je dis c'est que les gens ont le droit de choisir ça pour eux, mais que le plaisir sexuel recherché pour lui même est aussi un plaisir qui a une valeur légitime et bien réelle, qu'on a pas nécessairement besoin que ce soit une expérience tantrique de synchronisation mutuelle pour que ça aille une valeure. Les gens ont le droit d'aimer le sexe pour le sexe, hommes ou femmes, sans qu'on les soupçonnes que ça camoufle un profond vide dans leur âme.Au fond, la chose la plus néfaste dans le "sexe pour le sexe" au niveau d'un individus c'est le fait qu'autour d'elle il y a une multitude de personnes qui vont penser comme toi qu'elle le fait nécessairement pour plein de mauvaises raisons et qu'elle doit cacher une douleur ou un manque quelconque ainsi qu'une multitude de personnes vraiment caves (non, je te met pas là dedans, fait toi en pas!) qui vont plutôt la traiter de "pute" ou de "salope". (Parce que j'ai aucun respect pour le genre de gars qui va au danseuse mais qui voit les filles comme des objets parce qu'elles font ce qu'elles font). 8 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kim Jong-Il 1 avril 2012 Partager 1 avril 2012 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Purosangue 1 avril 2012 Partager 1 avril 2012 Spinoza gagne à être connu....Comme le rappelle l'anthropologue Rose Dufour, la sexualité est un fort lieu identitaire de la personne. If all you have is a hammer, everything looks like a nail Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Goune 9 avril 2012 Partager 9 avril 2012 Je crois que c'est d'avantage un besoin d'attention que pour le prix en tant que tel. On dirait qu'une fois dans un bar ou un club, les filles se croient dans un univers parallel où tout est permis, où il n'y a plus de conscéquences et où c'est important de se faire remarquer. Autant par l'habillement de plus en plus révélateur, en faisant de l'attitude contre les autres filles, en participant à ce genre de concours, en se frottant sur les gars, en faisant des choses aux toilette, etc....On dirait qu'une fois dans un club pudeur et valeurs n'existent plus et c'est juste celle qui fera le plus tripper les hommes et se démarquera d'avantage du troupeau. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
conan 9 mai 2012 Partager 9 mai 2012 Vite comme ça, moi, je suis un homme de 37 ans qui ne s'est jamais entraîné. Je ne pense pas que quelqu'un voudrait payer 300 dollars pour me voir nu. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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