VulgaireMachin 8 novembre 2009 Partager 8 novembre 2009 Je sais pas s'il y a déjà eu un sujet là dessus mais je voudrais savoir si les jeux vidéos peuvent être considéré comme une drogue. Pour ma part je suis sérieusement accro aux jeux vidéos, j'ai un horraire à chier, donc je ne peux pas jouer assez pour être satisfait et je fais passer mes études en dernier, quand je joue j'ai l'impression de ne jamais avoir faim, j'ai l'impression de perdre des liens avec mes vrai amis et dans créer avec des amis en lignes, je fais de moins en moins de sport, je maigri à vu d'oeil, je suis de plus en plus impatient et agressif, mes notes chuttent, je ne me tanne jamais des jeux, je suis de moins en moins social, je manque de sommeil... Est-ce que quelqu'un vit ou a déjà vécu ça? si oui, je crois que j'ai besoin d'aide, des conseils, des trucs qui ont déjà marcher avec d'autres... n'importe quoi s.v.p ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lion 8 novembre 2009 Partager 8 novembre 2009 Je crois que ça existe en effet, habituellement appelé cyberdépendance, ça peut être relié aux jeux où tout simplement à l'internet.http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9pendance_%C3%A0_InternetJe ne suis pas qualifié pour prodiguer des conseils afin d'arrêter, c'est déjà un bon pas de demander de l'aide.Constate les conséquences sur ta vie.Demande toi pourquoi tu joues?Pourquoi tu préfères ça? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patapon 8 novembre 2009 Partager 8 novembre 2009 (modifié) Certaines activité peuvent être considérées comme étant des drogues, non pas parce qu'elles en sont une à part entière, mais parce qu'elle font produire au corps différentes hormones (adrénaline, dopamine, endorphine, etc) qui elles peuvent finir par créer une dépendance. Une étude faite en 2006 ou 2007 concluait que la musique est une drogue chez certaine personne, parce qu'elle faisait produire de l'endorphine. Je n'ai malheureusement pas pu retrouver l'étude. Ce ne sont pas les jeux vidéo qui crée ta «dépendance», mais probablement la production d'une hormone quelconque... C'est contrôlable donc. Je suis de ces gens qui, s'ils n'obtiennent pas un certain temps d'écoute musicale, deviennent à cran.Mais pour la dépendance aux jeux vidéo ça peut être différent. Ça peut relever d'une «pathologie» au même titre que les joueurs de loterie vidéo ou de jeux de hasard compulsifs. Modifié 8 novembre 2009 par Patapon Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lame 8 novembre 2009 Partager 8 novembre 2009 (modifié) J'ai déjà eu ce problème, et la seul chose qui a fait en sorte que j'en sorte, c'est une vie plus mouvementer, depuis que j'habite en apparte à montréal et que j'ai rencontrer plein de nouveau monde, on dirait que les jeux video me procure moins de rush de fun qu'avant. Je pense donc que la meilleur solution pour t'en sortir, c'est de rendre ta vie plus exitante que la réaliter virtuelle! Mais attention, mais toi pas a courir din rue en tirant le monde ou a shooter des coktail molotov pas la fenêtre d'une voiture que ta volé en plein traffic a l'heure de pointe. Modifié 8 novembre 2009 par JimmyMaisPasHendrix Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Vacpower™ 8 novembre 2009 Partager 8 novembre 2009 Écoute, pas mal tout ce qui peut être considéré comme donnant un minimum de plaisir peut mener à une "dépendance".Une dépendance on pourrait le définir comme étant quelque chose qu'on sait qui nous fait du mal, mais qu'on continue de le faire.Par exemple c'est pas le fait de vouloir être en couple qui rend quelqu'un dépendant affectif, mais le fait de rester dans une relations malsaine.Pour les jeux c'est le même principe. Le fait de jouer beaucoup c'est pas en soit une dépendance, mais si tu sent que ca te fait manquer des choses et que ça nuit à d'autres niveau de ta vie, mais que tu continue de jouer autant, là on pourrait qualifier ça de dépendance. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patapon 8 novembre 2009 Partager 8 novembre 2009 Une dépendance on pourrait le définir comme étant quelque chose qu'on sait qui nous fait du mal, mais qu'on continue de le faire.On en peut pas, je crois, réduire la dépendance à «ce qui nous fait plaisir, mais qui nous fait du mal». La science explique le plaisir par la libération d'hormones ou de substances diverses dans le sang et qui agiraient sur les liaisons chimiques dans le cerveau (déclenchant ainsi la sensation de plaisir). Comme c'est chimique, on ne peut le contrôler et l'aspect de «destruction» de soi et n'y est de rien dans le plaisir que l'on ressent. Ta définition s'applique surtout aux drogues je crois. On la consomme, on sait qu'elle est nocive, mais on continue. Cependant, la dépendance face aux drogues est différente que celle créée par le jeu ou une activité quelconque. Les drogues sont, par définitions, des substances qui vont dans le sang et modifie les liaisons cérébrales. Il est normal que le corps s'y habitue et redemande une dose de ces substances. À propos de la dépendance affective, je ne crois pas que ce soit systématiquement des relations malsaines, parce qu'il y a différents types de dépendances affectives. On peut retrouver des gens qui dépendent d'une seule personne (ça je te l'accorde, c'est malsain), mais il y a aussi des gens ne supportant simplement pas d'être seul. Il y a différents degrés dans cette dépendance, qui est plutôt de l'ordre du psychologique, pas du plaisir ou de l'hormonale. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
HSW 8 novembre 2009 Partager 8 novembre 2009 Le jeu vidéo est plus intéressant si tu le compares à la ville et les gens où tu habites. Tu sortirais de ce monde, si tu découvrais ce qui t'entoure à des milliers de kilomètres de toi. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
VulgaireMachin 9 novembre 2009 Auteur Partager 9 novembre 2009 (modifié) Il y a seulement trois choses qui me faisait sortir de ma bulle de gamer, le snow, ma blonde et une autre activité que je peux mentionner, peu à peu la possibilité de faire cette chose s'éloigne, j'aurai bientôt 18 ans et je pourrai plus vraiment la faire. Je connais une seule personne qui avait les couilles de faire ça ( mon meilleur ami ) mais désormais il a de moins en moins de temps. Je n'ai plus rien à foutre à part de jouer, je sais pas comment trouver du monde qui ont les mêmes intérêts... Je déteste l'école de plus en plus, je suis pas capable de travailler ! Je dois trouver une solution, une faille, quelque chose... le plus vite possible sinon je vais atteindre un point de non retour. Merde. Merci pour l'aide sur les dépendances. Et JimmyMaisPasHendrix je sais que c'est la meilleur solution mais je suis pas capable de trouver du monde putain. Modifié 9 novembre 2009 par MaTT Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
The Ripper 9 novembre 2009 Partager 9 novembre 2009 Le meilleur moyen de rencontrer du monde, c'est de commencer par te trouver des activités autres que les jeux vidéos et qui sont à caractères sociales. Essaie de trouver des activités qui t'intéresse, par exemple il y a des clubs de sports dans les écoles, tu peux t'inscrire dans une troupe de théâtre, te mettre à faire de l'impro, tu peux t'impliquer dans une cause qui te tiens à cœur. Les activités sociales vont d'elles-mêmes te permettre de rencontrer de nouvelles personnes. C'est sûr que pour ça va falloir que tu t'entretienne avec toi-même, que tu trouve ce que tu VEUX être, ce que tu dois changer. La réponse réside au fond de toi-même, il te faut seulement la trouver Sinon, essaie d'organiser des activités avec tes amis actuels, par exemple, sortir voir un film en gang au cinéma, aller au resto, participer à un clair de lune etc.Bref, bonne introspection ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
iEatGLass 9 novembre 2009 Partager 9 novembre 2009 Il y a quelques années je jouais beaucoup, beaucoup d'heures, principalement à Counter Strike, Day of defeat et des DOTA sur Warcraft 3. Pas de quoi nuire à ma vie sociale, c'est-à-dire m'empêcher de sortir pour jouer. Mais suffisamment pour couper sur les heures pour des travaux scolaires importants. Ma paresse aidant, ce n'était pas un bon mélange.Quand je me suis rendu compte que ça pourrait nuire à mon cheminement professionnel. J'ai simplement tout désinstallé. Je n'ai pas rejoué depuis. Et il n'y a plus aucun jeu chez moi. J'ai même refusé une console Wii que ma copine voulait qu'on s'offre.Je me doute qu'aujourd'hui je pourrais me contrôler, et je m'ennuie parfois des sensations et de l'amusement, mais aucunement du beat de vie qui accompagnait le tout, les heures de coucher tardif entre autres, j'ai fait des choix, les quelques heures que je passerais là-dessus aujourd'hui, sont mieux investis ailleurs.Alors mon conseil, débarrasse-toi de tes jeux. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
VulgaireMachin 9 novembre 2009 Auteur Partager 9 novembre 2009 Le meilleur moyen de rencontrer du monde, c'est de commencer par te trouver des activités autres que les jeux vidéos et qui sont à caractères sociales. Essaie de trouver des activités qui t'intéresse, par exemple il y a des clubs de sports dans les écoles, tu peux t'inscrire dans une troupe de théâtre, te mettre à faire de l'impro, tu peux t'impliquer dans une cause qui te tiens à cœur. Les activités sociales vont d'elles-mêmes te permettre de rencontrer de nouvelles personnes. C'est sûr que pour ça va falloir que tu t'entretienne avec toi-même, que tu trouve ce que tu VEUX être, ce que tu dois changer. La réponse réside au fond de toi-même, il te faut seulement la trouver Sinon, essaie d'organiser des activités avec tes amis actuels, par exemple, sortir voir un film en gang au cinéma, aller au resto, participer à un clair de lune etc.Bref, bonne introspection ! Merci mais c'est pas ça que je voulais dire sorry, je cherche du monde en particulier qui font les mêmes shits que moi, mais c'est trop dure à expliquer et à trouver... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
The Ripper 9 novembre 2009 Partager 9 novembre 2009 Je sais pas s'il y a déjà eu un sujet là dessus mais je voudrais savoir si les jeux vidéos peuvent être considéré comme une drogue. Pour ma part je suis sérieusement accro aux jeux vidéos, j'ai un horraire à chier, donc je ne peux pas jouer assez pour être satisfait et je fais passer mes études en dernier, quand je joue j'ai l'impression de ne jamais avoir faim, j'ai l'impression de perdre des liens avec mes vrai amis et dans créer avec des amis en lignes, je fais de moins en moins de sport, je maigri à vu d'oeil, je suis de plus en plus impatient et agressif, mes notes chuttent, je ne me tanne jamais des jeux, je suis de moins en moins social, je manque de sommeil... Est-ce que quelqu'un vit ou a déjà vécu ça? si oui, je crois que j'ai besoin d'aide, des conseils, des trucs qui ont déjà marcher avec d'autres... n'importe quoi s.v.p ?désolé j'ai mal compris alors... mais au début, ne parlais-tu pas justement de trucs pour ne plus être si "accro" ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
VulgaireMachin 9 novembre 2009 Auteur Partager 9 novembre 2009 Ouais et je viens de me rendre compte que le seul moyen de m'éloigner des jeux c'est de me trouver du monde pour faire ce que je faisais l'été passé ou tout simplement d'attendre l'hiver car le seul sport que je fais c'est le snow. Mais je dois quand même vous dire que j'arrêterai jamais complètement si je trouve un autre passe-temps, desfois c'est juste trop frais d'être tout seul dans son sous-sol, "benché" dans ta chaise de gamer et de te la pèter en ligne avec des québécois de ton âge que tu t'entends bien avec même si le plus souvent ils ne sont aucunement comme tu les imagines.. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wicked_Annihilator 9 novembre 2009 Partager 9 novembre 2009 L'excès dans n'importe quoi c'est jamais bon à rien. Suffit de savoir doser. Plus tu joues, plus tu penses à jouer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Vacpower™ 9 novembre 2009 Partager 9 novembre 2009 On en peut pas, je crois, réduire la dépendance à «ce qui nous fait plaisir, mais qui nous fait du mal». La science explique le plaisir par la libération d'hormones ou de substances diverses dans le sang et qui agiraient sur les liaisons chimiques dans le cerveau (déclenchant ainsi la sensation de plaisir). Comme c'est chimique, on ne peut le contrôler et l'aspect de «destruction» de soi et n'y est de rien dans le plaisir que l'on ressent. Ta définition s'applique surtout aux drogues je crois. On la consomme, on sait qu'elle est nocive, mais on continue. Cependant, la dépendance face aux drogues est différente que celle créée par le jeu ou une activité quelconque. Les drogues sont, par définitions, des substances qui vont dans le sang et modifie les liaisons cérébrales. Il est normal que le corps s'y habitue et redemande une dose de ces substances. À propos de la dépendance affective, je ne crois pas que ce soit systématiquement des relations malsaines, parce qu'il y a différents types de dépendances affectives. On peut retrouver des gens qui dépendent d'une seule personne (ça je te l'accorde, c'est malsain), mais il y a aussi des gens ne supportant simplement pas d'être seul. Il y a différents degrés dans cette dépendance, qui est plutôt de l'ordre du psychologique, pas du plaisir ou de l'hormonale.Ça fait trois à quatre fois que je relis ton message. J'arrive pas à saisir l'idée que tu veux faire passer. Ta critique est ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Diderot 9 novembre 2009 Partager 9 novembre 2009 Mais quelle est donc cette mistérieuse activité dont tu parles en catimini? Dévoile nous le fameux chaînon manquant de ta sainte trinité. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
VulgaireMachin 9 novembre 2009 Auteur Partager 9 novembre 2009 L'excès dans n'importe quoi c'est jamais bon à rien. Suffit de savoir doser. Plus tu joues, plus tu penses à jouer Je veux pas faire chier, et je vois pas souvent de comment de toi mais je crois que c'est la première fois que je te vois pas marquer une connerie Mais quelle est donc cette mistérieuse activité dont tu parles en catimini? Dévoile nous le fameux chaînon manquant de ta sainte trinité. C'est un peu un mélange de conneries et de frustration ou de vengeance que tu fais tard le soir. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
The Ripper 9 novembre 2009 Partager 9 novembre 2009 Mais c'est pas un mal de pas arrêter complètement non-plus, comme l'a dit wicked_annihilator faut savoir doser. Comme le dit si bien le slogan de la SAQ, la modération a bien meilleur goût Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
T.Dt 9 novembre 2009 Partager 9 novembre 2009 Dude. Si tu veux t'en sortir, lâche tout ce qui est jeux vidéo, one shot. Prend 1-2 semaine(s) où tu t'empêche complètement de jouer, trouve autre chose à faire : n'importe quoi. Une activité solitaire ou avec d'autres personnes, wathever. Mais occupes-toi autrement (et là, c'pas à nous de te dire ce que t'aimes faire, c'est à toi de trouver).Si l'envie est trop forte, prends tes consoles et donnes tout ça à quelqu'un pendant ton «sevrage». Si tu joues à l'ordinateur... bien, donnes ta tour/ordi à quelqu'un aussi. Si t'as besoin d'un ordi pour tes travaux, fais-les à l'école dans les labos, je sais pas. Mais le but est vraiment que tu ne sois pas tenté de jouer, il faut que tu t'empêches par 320842084 de moyens.Les premiers jours seront probablement difficiles; mais après un certain temps, tu ressentiras peut-être un certain détachement par rapport à l'univers vidéoludique. L'envie te sera moins présente voire absente.C'est peut-être impensable pour toi en ce moment mais tu y arriveras, si t'as vraiment la volonté. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
iEatGLass 9 novembre 2009 Partager 9 novembre 2009 Mais c'est pas un mal de pas arrêter complètement non-plus, comme l'a dit wicked_annihilator faut savoir doser. Comme le dit si bien le slogan de la SAQ, la modération a bien meilleur goût Sauf que le problème c'est justement qu'il ne sait pas doser. Comme à un alcoolique, on ne recommande pas de boire modérément. C'est justement leur incapacité de le faire qui les mène là. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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