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Sommes nous ce que nous avons conscience d'être ?


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Par des brefs temps de reflexions et d'illusions, j'me suis posé cette question existence. "Suis-je ce que j'ai conscience d'être ?"

Par exemple : Si j'ai conscience d'être beau, suis je reelement beau ? Oui, parce que les gens me trouvent beau, donc j'ai conscence qu'ils me trouvent beau, donc j'ai conscience d'être beau ? Où est-ce parce que je m'habille comme les gens classieux, et donc j'ai conscience d'avoir le même fard à paupiere que les gens beaux et donc j'ai conscience d'être beau ? Ou la beautée est quelque chose de subjectif, donc je ne suis pas reelement beau pour monsieur X et je suis reelement beau pour Mme Y, en ayant conscience d'être beau ou sans en avoir conscience..

Je sais pas trop comment repondre à cette question, vous, est ce que vous savez ? ( j'vous invite à ressortir vos textes de descartes ou de kant =) )

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Je corrige le titre du sujet: Question Existentielle (une fois de plus, hélas)

Je réponds au sujet: je suis pas un expert en Descartes ni Kant, mais je crois que pour se juger nous-même, il faut se comparer à d'autres. Ceux-ci étant des personnes qu'on admire, qu'on le veuille ou non. On est amené à les admirer à cause de l'influence de la culture/société. Exemple rapide: Justin Timberlake est beau. Je déteste Justin Timberlake. Justin timberlake est tout-même beau.

Bon, c'est sûr que tout (façon de parler) est subjectif, par rapport au point de référence qu'on utilise. Alors, je te dirais, ne t'en fais pas trop pour ça, chacun est unique blah blah blah, tu jouiras en temps et lieu.

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philosophie de la conscience

ontologie

hontologie

tous les philosophes de la conscience partent de la honte pour finir dans leur nombril

Paradoxalement, quand ils parlent j'ai l'impression que ça sort d'un autre orifice.

EDIT : pour répondre constructivement à la question, je pense que tout est issu de la perception, à moins qu'il y ait une entente générale sur ce qui est objectivement beau pour reprendre ton exemple. Même par après nous pourrions encore débattre à savoir si les critères préétablis sont bien rencontrés par le sujet de la comparaison. Même la science a déterminé que l'expérience est partiellement définie par l'expérimentateur. Je pense que nous sommes définitivement condamnés à l'approximation et à la généralisation.

Modifié par Le Professeur
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T'as tout compris. L'oeuf-et-la poule les fait chier des concepts depuis les calandes grecques. Les pédérastes portent leur petite croix.

Modifié par Dahut
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C'est un petit trait sur le message de Dahut, sur son association de "ontologie" et "honte".

Je ne considère pas que le questionnement ontologique, aussi futile soit-il, ne se résume qu'à se regarder le nombril. Se questionner sur l'être qu'on est, c'est aussi se questionner sur ce que tous les autres sont.

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partir à la recherche de ce qui est finit toujours en quête de l'origine

et à quêter l'origine, on se trouve toujours face à un trou

je laisse le soin aux pronctologues de choisir lequel

Modifié par Dahut
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Je pense que la beaute est purement une question de lignes, et de proportions. Mais cette beautee shabille, souvent trop, rarement pas assez. Elle reste futile et ephemere. On peut la mesurer et la juger.

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Tout de même, peut-on la mesurer elle reste fictive et non totalement significative. Chacun à ses propres "critères" de beauté ou autre.

Mais si nous nous voyons comme des êtres désoeuvrés, le sommes-nous vraiment ? Par exemple, les êtres se considérant comme des personnes puissantes ne verront même pas la nécessité de se demander s'ils sont faibles puisqu'ils ont un contrôle indécent sur la vie de millier de personnes. Plus besoin de se demander alors si nous faibles. Il suffirait de se demander si nous sommes assez forts. Ce que je tente d'introduire, c'est que les individus ont tendances à ne pas se poser LA question. Si le gars se trouve beau, il aura de l'assurance, il fera en sorte d'être à son meilleur et tout le monde, par le fait même, aura tendance à lui donner une certaine beauté. Qu'il soit détestable ou non.

D'après moi, nous sommes ce que nous avons conscience d'être dans la mesure du paraître.

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Ben, en fait j'ai une dissertation de philo à faire sur ce sujet.

Je ne sais pas tellement comment reformuler le titre ?

-La perception que nous avons de nous même est elle bonne ?

Pour le plan, j'ai pensé à

I]Nous sommes ce que nous avons conscience d'être

II]Nous ne le sommes pas

III]Ce que nous sommes est quelque chose de subjectif.

ça vous semble correct ?

Merci pour vos posts =) si vous avez des idées d'exemple que je pourrais broder, je suis preneur =)

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(modifié)

Alors, j'ai reflechi à mon plan :

1] Je suis ce que j'ai conscience d'être

a) Cogito ergo sum : la conscience à conscience qu'elle existe, donc ce que je suis, la conscience en a conscience.

b) ce que nous sommes c'est ce que nous avons conscience d'être.

2] Je ne suis pas ce que j'ai conscience d'être.

a) il y a une partie de notre être dont on a pas conscience (inconscient, trou de memoires)

b) On peut croire des choses sur notre être qui sont fausses (être libre)

3] J'ai desfois conscience de ce que je suis, mais pas tout le temps

a) Subjectif VS Objectif

b) On peut produire des illusions sur ce que nous sommes

c) Selon l'observateur qui ennonce ce que nous sommes

Mon intro :

Selon Kant, "je me connais seulement tel que je m'apparais à moi même. La conscience de soi même n'est donc pas encore, il s'en faut une connaissance de soi même". Avons nous vraiment conscience de ce que nous sommes ? Peut-être que oui, vu que le fait d’avoir une conscience nous donne conscience d’exister, et donc conscience de notre soi. Peut-être que non, vu qu’après tout notre être est rempli de choses inconscientes dont on a justement pas conscience. Ou cela peut être valide notre soit définît de façon objective, et invalide pour tout ce qui nous définît de façon subjective.
Modifié par flox2
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HEIIIIN ?

J'suis en galere pour le developpement là =X

La conscience est la faculté qu’à l’homme de connaître sa propre réalité et de la juger. Le fait d’être, c’est le fait d’exister. Donc nous nous posons la question qui est de savoir si en étant conscient d’exister est ce qu’on a conscience de ce qui compose notre existence ? Descartes expliquait dans son discours de la méthode « je pense, donc je suis ». Cela signifie donc, qu’en pensant, nous existons.
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C'est quoi l'essence.

La conscience est la faculté qu’à l’homme de connaître sa propre réalité et de la juger. Le fait d’être, c’est le fait d’exister. Donc nous nous posons la question qui est de savoir si en étant conscient d’exister est ce qu’on a conscience de ce qui compose notre existence ? Descartes expliquait dans son discours de la méthode « je pense, donc je suis ». Cela signifie donc, qu’en pensant, nous existons. Par notre conscience, nous créons notre soi et nous existons. C’est pour cela que lorsque l’enfant parle, il parle de lui à la troisieme personne car il n'a pas conscience de lui même.
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