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Quel est votre film préféré?


ABC
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Déchet(s) recommandé(s)

Hum, j'ai pas vu beaucoup de films dans ma vie, mais depuis que je lis cette section sur le Dep, j'ai envie d'en découvrir de plus en plus. Le cinéma ne m'interpellait pas plus qu'il faut avant ça.

Dans ma courte expérience de la cinématographie, j'ai vraiment adoré :

. Pulp Fiction, pour être originale. La musique est épatante, l'ambiance est parfaite. Ha et dès qu'un film parle de drogues, j'embarque à fond.

. Across the Universe. Ok ce film peut paraitre, à la limite, risible pour certains, mais l'état d'esprit dans lequel j'étais en le regardant m'a complètement projeté dans le film. Toutes les chansons me donnent des frissons, je ne saurais même pas dire pourquoi.

. Le Roi Lion. Pêché mignon de mon enfance, je pleure juste à penser à la scène où Simba tente de réveiller son père. (Oh et Alice au Pays des Merveilles aussi. Quand, en vieillissant, j'ai compris l'analogie à la drogue, je suis devenue folle.)

J'en ai aimé des tas d'autres, mais ceux-là m'interpellent particulièrement.

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Une drogué qui aime les films de drogué et qui voit de la drogue partout (Alice au Pays des Merveilles? Ta propre obsession transférée, "on voit ben ce qu'on veut voir")

Mais bon, si la drogue te fais jouir, tu devrais avoir du plaisir avec ça :

Fear and Loathing in Las Vegas

Requiem for a Dream

Trainspotting

Cité de Dieu

The Basketball Diaries

Modifié par Locke
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Ce n'est pas parce que le sujet m'intéresse que je suis droguée, c'est une affirmation plutôt facile et stupide.

Et oui, j'associe le monde d'Alice au monde de la drogue. Le plaisir dans le cinéma, n'est-ce pas justement l'interprétation qu'on en fait ? Je ne vois pas en quoi ça signifie que c'est une obsession.

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qui voit de la drogue partout (Alice au Pays des Merveilles? Ta propre obsession transférée, "on voit ben ce qu'on veut voir")

Le livre fait bien allusion aux drogues. Les films aussi.

C'est d'ailleurs ce qui fait que Alice est un conte si populaire: sa controverse à travers les thèmes employé dans un conte pour enfant.

Les gens n'en reviennent encore pas que l'auteur aurait bien voulu mettre son penis dans ce qui lui a servi d'inspiration pour le personnage principale.

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Pourquoi le livre ferait allusion aux drogues? Peut-être dans certains passage, mais en tant que TOUT, comme une méga allégorie du pouvoir de la drogue...pense pas non.

Et désolé d'avoir été condescendant. Mais je croyais que tu étais une fervente amateur de drogue (après tout tu soutenais pas mal plus White Light et sa Salvia divinatoire que moi et mon esprit libéré).

Et en effet, l'interprétation c'est l'fun (et Alice est un livre avant tout), mais faut faire attention de pas tout ramener à soi et donner des intentions à l'auteur. Je vois plus ça comme : Ce qu'on en retire, comme réflexion, sentiment, etc., n'est pas nécessairement ce que l'auteur voulait donner. C'est la beauté de la chose, mais y'a une nuance à faire.

Néanmoins, ma liste tient toujours. Ce sont de bons films.

Modifié par Locke
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Le livre fait bien allusion aux drogues. Les films aussi.

C'est d'ailleurs ce qui fait que Alice est un conte si populaire: sa controverse à travers les thèmes employé dans un conte pour enfant.

Les gens n'en reviennent encore pas que l'auteur aurait bien voulu mettre son penis dans ce qui lui a servi d'inspiration pour le personnage principale.

Tu dis n'importe quoi.

Ya des représentations de la drogue, mais c'est surtout pas un thème. D'ailleurs, quels thèmes ? Et je suppose que c'est justement parce que le type a su réprimer ses bas instincts qu'il a pu créer quelque chose d'aussi beau et unique.

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Le thème principale est le passage à l'adolescence, le "qui suis-je?" et l'initiation à la réflexion. Je ne suis pas là pour dire que le livre dit ou ne dit pas quoi que ce soit, cependant je classe Alice comme dans les films/livre aillant un lien avec la drogue, peut importe la grosseur du lien.

Et je n'ai pas dit que la drogue était un thème, mais qu'elle était en lien avec les thèmes du livre (enfance/adolescence, découverte, réflexion).

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C'est pas ton petit toi qui le classe dans la rubrique "drogue", mais les idées reçues... Alice aux pays des plants de pot, on disait ça quand j'avais 10 ans.

C'était juste vraiment lame d'évoquer ce livre en parlant de drogue et de pédophilie. C'est indigne.

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C'est pas ton petit toi qui le classe dans la rubrique "drogue", mais les idées reçues... Alice aux pays des plants de pot, on disait ça quand j'avais 10 ans.

C'était juste vraiment lame d'évoquer ce livre en parlant de drogue et de pédophilie. C'est indigne.

Ne panique pas Francis, tout va bien.

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Pourquoi le livre ferait allusion aux drogues? Peut-être dans certains passage, mais en tant que TOUT, comme une méga allégorie du pouvoir de la drogue...pense pas non.

Et désolé d'avoir été condescendant. Mais je croyais que tu étais une fervente amateur de drogue (après tout tu soutenais pas mal plus White Light et sa Salvia divinatoire que moi et mon esprit libéré).

Et en effet, l'interprétation c'est l'fun (et Alice est un livre avant tout), mais faut faire attention de pas tout ramener à soi et donner des intentions à l'auteur. Je vois plus ça comme : Ce qu'on en retire, comme réflexion, sentiment, etc., n'est pas nécessairement ce que l'auteur voulait donner. C'est la beauté de la chose, mais y'a une nuance à faire.

Néanmoins, ma liste tient toujours. Ce sont de bons films.

Mouais, c'est là où je voulais en venir, j'ai dû mal m'exprimer. L'auteur ne faisait peut-être pas référence à la drogue, mais dans certains passages, c'est ce dont j'ai l'impression.

Et merci pour la liste, je n'ai vu que Requiem for a Dream.

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Wô wô là, eux (Lux) paniquent juste parce qu'ils ont peur qu'on (que d'autre) considère leur (son) beau livre comme étant un livre de "lol pseudo-fucké qui pranne d'la droiwlle", Lewis Carroll faisait clairement référence au drogue. Sauf que ce qu'ils (Lux/Locke) veulent dire c'est que le livre ne tourne pas autour de ça et ils ont raison.

Mais sérieusement, ce débat là est fucking inutile (je sais que je suis le seul à le continuer, passez outre)

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Ne panique pas Francis, tout va bien.

lol

Est-ce que je suis censé te prendre davantage au sérieux (lol) parce que tu me nommes avec mon vrai prénom ?

T'es pas le premier à faire ça, et j'ai pas encore compris votre logique.

Mais puisque ce niaisage a pas rapport avec le topic, je vais me contenter de dire que j'apprécie l'ensemble de l'oeuvre de Stanley Kubrick (oui je suis très original). C'est pratiquement le seul master de notre époque, tout domaine confondu.

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Dans le genre absurde, le meilleur film pour moi est celui-ci : Fausses Accusations (Wrongfully Accused). Dieu que nous l'avons écouté encore et encore entre amis, et à chaque fois il semble qu'un détail nous avait échappé. Si vous aimez le genre L'agent fait la farce (Naked Gun), Pilotes en l'air (Hot Shots) et autres, vous adorerez ce film. L'acteur principal est Leslie Nielson, un Canadien foutument talentueux :)

Wrongfully.Accused.jpg

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- Le fabuleux destin d'Amélie Poulain pour la facture visuelle et la musique.

- Fight club pour le film en général.

- Crank 1-2 pour des no-brainers et le montage dynamique.

- Forest Gump parce que c'est bien raconté.

J'en oublie des tonnes d'autres qui mériteraient probablement plus de se tailler une place ici ...

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Underground d'Emir Kusturica, c'est mon film favoris, y'en a pas d'autres. C'est celui là qui m'a le plus marqué.

Vous devez voir ce film au moins une fois dans votre vie.

Modifié par Kaiser
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Si t'as aimé Pulp Fiction, tu devrais commencer par Cité de Dieu et Trainspotting. Même genre de montage éclatés, des personnages typés, ben du style, aventures rocambolesques, une trame sonore funky-rock.

Hummmm...Cité de Dieu et Pulp Fiction, j'arrive à voir certaines ressemblances mais dire que si l'on aime un on a de très bonnes chances d'aimé l'autre pcq'il se ressemble assez. Je trouve ça tiré par les cheveux. Pulp Fiction se veut une oeuvre qui banalise la violence, lorsque Bruce Willis va chercher le sabre, on s'attend à une tuerie et on est content. Dans la Cité de Dieu, s'il advenait que le personnage principale se greyait d'un fusil pour tuer le "méchant", on trouverait ça quand même très dramatique. La notion historique de la Cité de Dieu fait en sorte qu'il se démarque énormément de Pulp Fiction, quant à moi. Cependant, je comprends ce que tu veux dire par le montage rythmé, et la chronologie déconstruite. Il est vrai qu'en ce sens, les deux sont comparables, mais comme je dis, pas assez pour qu'on se dise : "Si j'ai aimé Pulp Fiction, m'a surement aimé la Cité de Dieu!"

J'ai pas encore vu Trainspotting par contre :tape: mais ça ne saurait tarder, je sais bien que ça manque à ma culture!

Ooooh, et au juste, hier j'ai vu Éros + Massacre de Kiju Yoshida. C'est très lourd (pas au sens péjoratif), c'est cérébrale et c'est difficile à regarder. Un 3h (version courte), plein de métaphore, de symbole et d'allégorie poétique tous plus difficile à comprendre les uns que les autres. J'ai beaucoup aimé! Au niveau technique, ce film n'a que très peu de faille. Les qualités esthétique de l'oeuvre sont incroyables!

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