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À la recherche du temps perdu


Déchet(s) recommandé(s)

Dany Turcotte a donné en cadeau ce bouquin à Jacques Coco Demers à Tout le monde en parle. Ça m'a donné l'idée de créer un sujet sur cette heptalogie . J'ai lu les deux premier tombes il a une couple d'année et j'avais bien apprécié. Par la suite j'avais tenté de lire la troisième partie, mais pour une raison obscur j'avais renoncé en cours de lecture.

Que dit Wiki ?

Le premier tome commence par une évocation de l'afflux de souvenirs qui assaillent le narrateur dans l'état de demi-sommeil, où la conscience de soi est suffisamment endormie pour ne pas mettre au pas de la raison les rêveries les plus improbables. Le narrateur reconstruit ainsi une image très parcellaire de son enfance dans le village de Combray, sur la base de ces souvenirs que des sensations similaires lui font revenir. Ce n'est que par la mémoire involontaire qu'il parvient finalement, en s'appuyant sur la singulière évocation que lui apporte le goût d'une petite madeleine trempée dans le thé, à extraire de parts endormies de sa mémoire une image complète des sensations et sentiments de son enfance. Cette première partie, intitulée Combray, présente tous les motifs du travail sur la mémoire qui fera la trame du roman tout entier, pour trouver son aboutissement dans Le Temps retrouvé.

Un amour de Swann, la deuxième partie de Du côté de chez Swann, est souvent publié séparément. Cet ouvrage raconte les péripéties sentimentales de Charles Swann avec Odette de Crécy. Le lecteur d'âge moyen ou jeune adulte retrouve nécessairement un peu de lui-même dans ce portrait de Swann amoureux qui voit son amour attisé par les contrariétés qu'il rencontre.

La première phrase du roman:

Longtemps, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n’avais pas le temps de me dire: «Je m’endors.» Et, une demi-heure après, la pensée qu’il était temps de chercher le sommeil m’éveillait; je voulais poser le volume que je croyais avoir encore dans les mains et souffler ma lumière; je n’avais pas cessé en dormant de faire des réflexions sur ce que je venais de lire, mais ces réflexions avaient pris un tour un peu particulier; il me semblait que j’étais moi-même ce dont parlait l’ouvrage: une église, un quatuor, la rivalité de François Ier et de Charles Quint.
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Même si je ne l'ai jamais lu encore, la première phrase évoque beaucoup pour moi. Assez pour l'avoir choisie pour un texte qu'on écrivait et où on devait choisir comme première phrase celle d'un ouvrage célèbre.

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