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R.I.P Pierre Falardeau


Déchet(s) recommandé(s)

Pourtant, j'ai jamais vu d'israélien dans un ghetto mis sur pied par des palestiniens où l'aide humanitaire est bloquée et où on envoie des colons cultiver les meilleures terres.

y manquera po a personne.....

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  • 2 ans plus tard...

Bump!

Je viens de voir une série à son sujet sur TVA (ben oui, TVA).

On nous a aussi présenté les dernières images qu'il a tournées avant sa mort.

C'était trop intéressant, j'en aurais pris quelques heures de plus.

J'aurais aimé côtoyer cet homme-là.

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J'aime bien le lire sur ce site ; http://www.pierrefalardeau.com

encore une fois, j’ai été mal cité par un journaliste malhonnête. Patrick Lagacé, un ancien du Journal de Montréal, recyclé à La Presse, me pisse du vinaigre à petits jets, sur son « blogue ». Il prétend que je l’ai traité d’ordure, un soir, sur la rue près de chez nous. Or, c’est faux, et archi faux. Complètement faux. Je demande qu’on rectifie les faits. J’exige qu’on rétablisse la vérité. Je veux des excuses publiques. Jamais je n’ai traité le « blogueur » de La Presse d’ordure. D’ailleurs, j’ai toujours trouvé le mot ordure trop français, trop parisien, pas assez enraciné. Faut quand même garder une certaine classe!

En vérité, ce soir là, j’ai traité le « blagueur » de La Presse, non pas d’ordure (terme trop peu poétique à mon goût) mais bien de restant d’égout, de quart à vidanges, de fond d’poubelle, de morceau d’cochon, d’enfant d’chienne, de rat sale, de bâtard de pourriture, de mangeux d’marde, de licheux d’cul, de pissette molle et d’insignifiant successeur d’André Pratte. Je vous épargne le reste par respect pour les chastes oreilles des distingués lecteurs de Lagacé.

L’histoire est pourtant simple. Je croise un trou d’cul au coin de la rue et, incapable de me retenir, je le traite bien simplement de trou d’cul. Et voilà que le trou d’cul en question, sans doute insulté d’avoir été traité de trou d’cul, se fend, c’est le cas de le dire, d’un éditorial enflammé. Tout ça pour si peu! Panne d’inspiration sans doute! À force d’écrire des niaiseries, jour après jour, on finit naturellement par manquer de sujets. Ce n’est pas une raison pour étirer la sauce et transformer ses minables histoires personnelles en roman à succès. « La vengeance d’un potineur de fantaisie ».

Et pourquoi pas une saga, une comédie musicale, monsieur l’informateur de police, un téléroman en treize épisodes, un publi-reportage aux « Francs-tireurs » avec Martineau? Faut bien boucher les trous entre les annonces de chars, de désodorisant ou de cellulaires qui font des toasts!

* Le titre a été volé à un écrivain plus talentueux. Merci d’avance pour les droits d’auteur.

Pierre Falardeau

Modifié par cyclonePOWER
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