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Les pyramides ne seraient que la pointe de l'iceberg


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Une équipe de recherche prétend avoir découvert huit énormes structures cylindriques, chacune entourée de chemins en spirale, sous la pyramide de Khéphren. Celles-ci s’enfonceraient jusqu’à 648 mètres de profondeur et seraient reliées à des chambres cubiques de 80 mètres de côté. Les chercheurs affirment carrément avoir trouvé « une ville souterraine entière ».

 

 

 

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En effet, cela semble plutôt improbable et il faudrait forer pour s'assurer que les données tomographiques ont été bien interprétés. 

Est-ce que ces structures souterraines sont d'origines anthropiques ou naturelles ?

Est-ce que cela pourrait être des filons volcaniques verticaux ou tout autre phénomène géologique ?

Pour éviter que la pyramide s'enfonce dans le sable, est-ce que les Égyptiens avaient enfoncés des pieux d'une telle profondeur un peu à la manière de la tour Burj Khalifa de Dubai ? Ou des réservoirs pour l'eau ?

 

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Le 2025-03-28 à 03:04, Mères au front a dit :

Une équipe de recherche prétend avoir découvert huit énormes structures cylindriques, chacune entourée de chemins en spirale, sous la pyramide de Khéphren.


C'est pas si difficile de checker (ou de faire preuve de bon sens) :
 

 

Citation

 

L'essentiel :

  • Depuis plusieurs jours, de nombreuses publications relaient de prétendues découvertes sous la pyramide de Khephren, en Egypte, où des structures souterraines auraient été mises à jour.
  • Cette découverte n’a fait l’objet d’aucune publication sérieuse et est l’œuvre de personnes au profil douteux sur le plan scientifique.
  • Comme le confirment les spécialistes interrogés par 20 Minutes, ces annonces ont en réalité tout d’une théorie fumeuse.

 

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Le Nil n'a pas toujours eu l'apparence et le fonctionnement qu'il connaît aujourd'hui. En observant le paysage égyptien, on peut découvrir des traces de l'ancien fleuve et de ses affluents, cachées juste sous la surface du sol. Aujourd'hui masqués par des zones cultivées et des agglomérations urbaines, ensevelis sous des siècles de boue provenant du fleuve moderne, les anciens canaux et leur histoire ont largement disparu. 

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Sur la rive droite de l'ancienne branche, nous avons trouvé de la boue sableuse brune récemment déposée à la surface de la plaine inondable et jusqu'à environ 1,5 m, des couches alternées de boues limoneuses et sableuses brunes et grises jusqu'à environ 4 m (quelques couches rougeâtres avec du gravier et des inclusions de matériaux faits à la main), une couche de boue sableuse noire d'environ 4 à 4,9 m et une autre couche de boue sableuse rougeâtre avec du gravier et des coquilles de moules d'eau douce à environ 5 m, avant que du sable moyen propre et bien trié ne domine le profil de 5 à > 20 m. 

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Si l’on parle de l’épaisseur moyenne de la couche de sable dans les déserts, elle est d’environ 100-200 mètres. Dans le Sahara, par exemple, elle est de 150 mètres; dans le désert de Namibie, la couche de sable peut atteindre 400 mètres d’épaisseur !

Le professeur Valloggia et son équipe ont fait en 2000 une découverte extraordinaire: la pyramide de Radjedef est construite autour d'un tertre naturel en calcaire qui représente 44% du volume total de la pyramide. La présence de cet «inselberg» a déterminé les dimensions de la pyramide, et permis de diminuer de moitié le temps de sa construction. Voilà bien la preuve que les anciens égyptiens choisissaient l'emplacement de leurs pyramides selon des critères plus pratiques qu'ésotériques.

Il y a une formation géologique composée de couches de calcaires de l’Éocène moyen sur lesquelles sont construites les Grandes Pyramides de Gizeh. Cette formation contient deux couches différentes de calcaire coquillé : un lit supérieur gris dur sur lequel sont bâtis les pyramides, et un lit jaunâtre tendre et argileux où sont extraits les matériaux constituant la masse des Grandes pyramides de Gizeh.

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De nombreuses pyramides, construites durant l'Ancien Empire et le Moyen Empire, sont dotées de chaussées menant à la branche. Nombre de ces chemins aboutissent à des temples qui ont peut-être servi de quais fluviaux par le passé. Le fleuve a peut-être progressivement migré vers la plaine inondable plus basse, en direction de l'emplacement actuel du Nil. Il est également possible que l'activité tectonique ait incliné l'ensemble. Une troisième possibilité est qu'une augmentation des dépôts de sable transportés par le vent ait comblé le lit du fleuve. Ces dépôts sont très probablement liés aux périodes de désertification du Sahara, en Afrique du Nord. Le mouvement et la diminution de la branche d'Ahramat pourraient également s'expliquer par une réduction globale du débit d'eau due à une diminution des précipitations et à une plus grande aridité dans la région.

 

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il y a 35 minutes, AubeRouge a dit :

Il te repond pas en fait,  il c/c les news de MSN en boucle pour faire grimper son compteur de message 

Si c'est ce qui l'anime, y a plein de vraies nouvelles intéressantes.

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