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Le dernier film que vous avez vu


Déchet(s) recommandé(s)

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J'ai royalement adoré.

Le jeu d'acteur n'est pas spécialement brillant, mais la photographie est délicieuse.

L'architecture est très métaphorique est le deuxième niveau de lecture est très accessible.

Il y a beaucoup à dire. Qui à vu?

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J'en suis! le punch finale brisait quelque chose a mon souvenir... mais c'est loin. J'avais tout de même apprécié.

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dernier film vu, j'avais besoin de quelque chose de ''leger''.

PUSH

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Depuis quelques années, on assiste à l'apparition de pouvoirs psychiques chez certains adolescents. Télékinésie, prévision du futur ou contrôle mental, ces facultés deviennent un enjeu pour la sécurité nationale. Traqués par le gouvernement, quelques survivants se réfugient à Hong Kong et décident d'unir leurs forces pour s'opposer définitivement aux militaires qui veulent exploiter leurs pouvoirs.

L'idée de base était bonne... L'ambiance et les images sont plaisante, surtout au début... On tombe pas trop dans l'epicness(malgré la scène de la fusillade avec les guns qui se déplacent par télékinésie, d'une cheesyness palpable)... ni dans le mélodrame... La lacune est selon moi, le fait que tout ca était trop complexe à scénariser, surtout qu'ils ont du un peu trop s'étaler sur la multitudes de variantes de ''dons'' extrasensoriel. Ce qui donne lieu à des concepts et des logiques un brins nébuleux(ses). Reste que ca avait quand même de la gueule.

Pis anyway, j'avoue tout... La principale raison pour laquelle je me suis tapé se film se résume ceci:

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Malgrés des traits un brins grossiers causé par l'adolescence, ses jolies jambes compensent grandement... Les cheveux aussi, un peu.

Modifié par Foulard
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Dans le genre film léger que j'ai redécouvert il y a quelques jours, il y a "The Covenant" ou "Le Pacte du Sang".

Vraiment pas un chef d'oeuvre mais divertissant et la trame sonore me plait beaucoup...

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Vitesse Extrême.

Je m'attendais à pas grand chose de ce film.. mais maudit j'étais sur le cul tout le long du film. The Rock ne dit pas un crisse de mot, ou du moins c'est certainement un des premiers rôle principales que je vois où il a 2x moins de répliques qu'un personnages secondaire. La fin m'a laissé un gout amère.. mais aller le voir, certainement un des meilleurs films d'action de l'année.(À mon avis pas loin derrière Macheté qui était sublime, mais juste un peu au-dessus du très bon R.E.D, et du très fade Expendables.)

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au cinema: the social network

a la TV: Grow Ups avec Adam Sandler (Je vous le conseil, c'est vraiment drole)

Grown Ups est sorti en salle au début de l'été et il passe déjà à la télé? Ça avait l'air mauvais, mais à ce point-là, c'est ridicule.

C'était sur Super Écran?

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Stay.jpg

J'ai royalement adoré.

Le jeu d'acteur n'est pas spécialement brillant, mais la photographie est délicieuse.

L'architecture est très métaphorique est le deuxième niveau de lecture est très accessible.

Il y a beaucoup à dire. Qui à vu?

J'ai compris le film comme je le voulais, je l'ai donc adoré.

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Étrangement, les deux derniers films que j'ai visionné traitaient du thème de la mémoire.

Eternal sunshine of the spotless mind

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N'étant pas friande d'histoires d'amour, j'ai su mettre partiellement mes préjugés de côté pour apprécier le film. Le concept très original a su me conquir.

Je pourrais cependant reprocher quelque chose au film; je pouvais ressentir les tentatives vaines du scénario pour égarer le spectateur. Le "punch" était à mon avis trop facile à prévoir. De là, j'ai noté des longueurs inutiles.

Encore une fois, Kate Winslet nous sert son numéro médiocre de fille qui va pleurer, exactement de la même façon qu'elle le fait dans "La vie de David Gale". C'est tellement mal joué qu'on dirait qu'elle est saisie d'une espèce de crampe et qu'elle va se mettre à saigner du nez. Malgré l'originalité et la puissance des scènes entre-mêlées, je suis restée avec la saveur d'un film d'amour cul-cul en bouche, après le visionnement.

Dark City

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Ce film m'a étonnée au niveau de l'ambiance, des décors et du traitement de l'image. L'histoire était bien ficelée et imprégnée de mystère (comme j'aime). Fan de films de science-fiction, j'ai été très satisfaite overall de ce que j'ai vu. J'ai par contre trouvé la scène de combat final souterrain un peu tirée par les cheveux. Je trouvais Murdoc subitement trop puissant. D'un film qui se veut mystérieux et majoritairement psychologique vire soudainement et brièvement en pif-paf-bang-bang.

Bref, un film qui se regarde bien, garde le spectateur en haleine et attise la curiosité. Le travail de manipulation du spectateur est incroyablement réussi. Le réalisateur nous mène là où il veut sans qu'on aie envie de rouspèter.

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Je suggère le court-métrage d'animation que j'ai vu hier aux sommets du film d'animation de Québec: The lost thing, Australie, 2010.

Trailer qui ne rend pas justice au film:

J'ai aussi vu la nouvelle réalisation de Don Hertzfeldt, Wisdom Teeth, qui fut bien drôle mais peut-être moins bon que ce à quoi on est habitué de cet auteur génial.

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Dark City

dvd_dark_city_2.jpg

Ce film m'a étonnée au niveau de l'ambiance, des décors et du traitement de l'image. L'histoire était bien ficelée et imprégnée de mystère (comme j'aime). Fan de films de science-fiction, j'ai été très satisfaite overall de ce que j'ai vu. J'ai par contre trouvé la scène de combat final souterrain un peu tirée par les cheveux. Je trouvais Murdoc subitement trop puissant. D'un film qui se veut mystérieux et majoritairement psychologique vire soudainement et brièvement en pif-paf-bang-bang.

Bref, un film qui se regarde bien, garde le spectateur en haleine et attise la curiosité. Le travail de manipulation du spectateur est incroyablement réussi. Le réalisateur nous mène là où il veut sans qu'on aie envie de rouspèter.

Un des meilleurs films de science-fiction des 90's et d'ailleurs le trailer était/est aussi débile.

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Gainsbourg (vie héroïque)

"La vie de Gainsbourg, du jeune Lucien Ginsburg dans le Paris occupé des années 1940, jusqu'au poète, compositeur et chanteur célébré dans le monde entier.Le film explore son itinéraire artistique, du jeune homme épris de peinture à la consécration de sa musique dont l'avant-gardisme en a fait une véritable icône de la culture française. Mais aussi la complexité de sa vie adulte à travers ses amours tumultueuses."

Un film intéressant et divertissant de par son approche mi-sérieuse, mi-fantaisiste. On apprend quelques trucs pertinents sur la vie de Gainsbourg mais ceux qui cherchent une histoire biographique rigoureuse seront déçus. Les acteurs sont presque tous excellents. Mention spéciale à Laetitia Casta en Brigitte Bardot : elle est tout simplement hallucinante de réalisme.

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Dernier film que j'ai vu... The Social Network. Assez génial, critique social tout en nuances, sans être trop moralisateur. Jeu très efficace des acteurs également, et excellente soundtrack de Trent Reznor!

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J'ai vu A Christmas Carol version Disney. Bof. J'ai pas trippé. J'adore ce conte, et j'en ai vu plusieurs versions. Mais la version de Zemeckis manque plein de trucs. Et je me sentais pas aussi investi émotionnellement, alors que c'est une histoire qui me touche généralement. Le bout du Ghost of Christmas Yet to Come était plate à mort alors que c'est un des moments les plus poignants d'habitude. La course dans la neige, le rétrécissement de Scrooge... WTF? Ils auraient pu éliminer ce bout et garder des trucs importants de l'histoire, comme quand le Croquemort et les 2 bonnefemmes sont en train de vendre les trucs de Scrooge. Là, il n'y en a qu'une et on la voit à peine. Puis le Ghost of Christmas Present est supposé amener Scrooge dans différents endroits. J'ai trouvé ça stupide de faire voler la maison et de tout montrer ça à travers le plancher. Techniquement c'est super bien, et le style visuel est génial, mais pour une telle histoire, il faut une bonne narration, et je ne l'ai pas retrouvé ici. Du style, pas de contenu.

Je sais que le film est sorti il y a un an, mais il vient de sortir en DVD/Blu-ray. Je l'ai pas acheté, mais je suis sûr que ça doit être impressionnant sur une TVHD.

Modifié par FelixT
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Metropolis

Reconstructed and restored

Fritz Lang, 1927 - 150 minutes

Après la période de crise économique qui sévissait toujours lors de la création des Nibelungen, le marks reprend de la valeur en Allemagne, ce qui donne un second souffle à son industrie cinématographique. Parallèlement, Thea von Harbou publie, d'abord dans un journal, puis sous forme de livre, un roman qui deviendra la base de son prochain scénario, et donc de la prochaine réalisation de son mari: Metropolis. Le livre raconte l'histoire d'un jeune homme qui, dans une ville futuriste dominée par son père, qu'une classe ouvrière travaillant sous terre fait fonctionner, se soulève contre les injustices sociales après avoir fait la rencontre d'une belle étrangère aux propos pacifiques. Mais les choses tournent au vinaigre lorsque son père fait appel à un scientifique fou pour donner à un androïde la forme de cette femme afin de semer la discorde dans la société des travailleurs.

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Avant de commencer le tournage, Lang voyage aux États-Unis avec le producteur Eric Pommer et y puise une foule d'idées pour les décors et l'ambiance de son prochain film. C'est pourquoi la ville étouffante de Metropolis, avec ses grattes-ciels compacts et son immense "Nouvelle Tour de Babel", parait étrangement crédible pour le spectateur moderne. Fritz Lang apparait alors comme un véritable visionnaire, érigeant sous nos yeux ébahis l'ébauche, certes exagérée mais aussi effroyablement réaliste, d'un monde qui est finalement bien près du nôtre, dans toute son excessive démesure.

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Le thème de la vision est d'ailleurs fort important dans Metropolis, qui les déploie en grande pompe. D'abord la vision du Moloch, véritable calvaire pour la horde de figurants sous-payés, forcés de patienter presque nus dans un hangar mal chauffé, sous les aboiements d'un Lang toujours insatisfait, puis celle de la tour de Babel, qui vient montrer toute la contradiction ridicule de ce nouvel édifice qui est son homonyme, puis les hallucinations de Freder qui prédisent une mort imminente pour la citée de son père.

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Pour donner vie à ses visions, Lang emploie au total 35 000 figurants, et le film, qui devait coûter 1,5 million de marks, en coûte finalement six... La UFA joue le tout pour le tout, mais le succès est moindre, et les producteurs retirent rapidement le film des salles pour le présenter dans une version écourtée et déroutante qui le rendra tout simplement banal, voire inintéressant et même difficile à comprendre. Heureusement, une copie 16mm du film presque complet est retrouvée à Buenos Aires en 2008; le film est remonté en entier, accédant à une vie nouvelle.

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Si Metropolis est aujourd'hui un film légendaire, c'est peut-être davantage à cause de son influence sur des oeuvres subséquentes que pour ses qualités narratives propres. L'histoire, de manière générale, n'est jamais tout à fait à la hauteur de son visuel à couper le souffle et de sa réalisation inventive. La "morale" sociale qu'on nous impose dans non pas un, mais quatre intertitres fatigue également un peu. Mais la beauté de sa facture et le foisonnement des idées qui composent cette oeuvre épique lui assurent une place de premier rang dans l'histoire de l'art en tant que monument d'inventivité et d'accomplissement artistique.

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J'y étais hier à la projection de l'ONF. Projeté tout juste après, j'ai préféré Bar Salon d'André Forcier avec ce même Guy L'écuyer.

Peut-on dire que le monde est petit?

Je ne suis pas resté pour le film d'André Forcier, dont je n'ai encore vu aucun film. Mais le documentaire sur Guy L'Écuyer m'a donné envie de mieux connaître et le comédien, et Forcier.

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  • Jpeg a libéré ce sujet

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