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Le dernier film que vous avez vu


Déchet(s) recommandé(s)

Metal: A Headbanger's journey (2005)

Un ami au travail m'a parlé de ce documentaire et j'y ai jeté un coup d'oeil.

Le documentaire parle de Dunn, un fan de musique Heavy Metal qui est également un anthropologue. Il voyage en Amérique du Nord et en Europe pour interviewer des célébrités et assister à des événements pour étudier la culture de ce genre musical.

Il dure environ 1h30 et vous pouvez le trouver sur tout bon site de torrent.

Ce documentaire était justement dans ma liste de downloads, je pense que je vais le bumper vers le haut...

Pour rester dans le style documentaire, j'ai vu It Might Get Loud récemment et j'ai bien aimé. Dans le fond, ils mettent dans une même pièce Jack White, The Edge pis Jimmy Page et procède à une espèce d'anthropologie du rock and roll et la vision de chacun sur ce que ça devrais être. C'est vraiment intéressant et tu vois à quel point ces artistes sont des génies de la musique! En plus, à la fin, ils jouent une composition ensemble qui regroupe un peu les genres musicaux de tous... Ça vaut la peine!

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Les 7 mercenaires avec Steve McQueen dans le rôle d'un leader bienfaisant qui embrigade des types aux diverses motivations pour protéger des fermiers nécessiteux et sans défense, qui se font pillés sporadiquement par un bandit et sa bande. Western.

Excellent.

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Onibaba

Kaneto Shindô, 1964

Dans les années 1400, pendant que la guerre fait rage au Japon, une femme et sa jeune bru habitent les hautes herbes campagnardes où elles assassinent les samurais égarés afin d'échanger leurs possessions contre de la nourriture. Mais lorsqu'un homme apparaît dans leurs vies et se met à forniquer avec la jeune fille, les choses commencent à s'envenimer, jusqu'à l'apparition d'un homme au masque démoniaque...

Un chef-d'oeuvre. Les prises de vues dans la broussaille sont à couper le souffle, la tension est superbement installée et l'ambiance horrifique grandit jusqu'à une finale à glacer le sang. Les cinq dernières minutes sont particulièrement effrayantes. Le scénario est simple mais il prend vie avec beaucoup de réalisme. Pour ceux qui s'intéressent aux légendes japonaises et qui veulent voir un truc puissant, jetez-vous là-dessus.

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J'ai été voir The Sorcerer's Apprentice hier soir. Tout d'abord, c'est un film de Disney/Jerry Bruckheimer on connait donc la fin avant même que le film ait commencé. Malgré le fait que c'est ultra prévisible, c'est tout de même un bon divertissement. On sent que Nick Cage s'amuse dans le rôle qu'il joue et la chimie passe quand même assez bien entre lui et Jay Baruchel (acteur que j'adore, mais maudit que j'ai hâte qu'il fasse d'autres genres de personnages, je veux pas qu'il devienne un Michael Cera).

Sinon, les effets spéciaux sont très réussi et l'action est bien dosée. Je n'ai pas grand chose d'autre à dire, c'est un Disney, je pense que ça résume pas mal tout...

Ce n'est pas un grand film, mais ce n'est pas mauvais non plus... Le preview donne une bonne idée de ce à quoi s'attendre.

Prochain film à ma liste: Salt

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Il Caimano de Nanni Moretti

caimano.jpg

Excellent film sur l'Italie des trente dernières années. Un producteur de film de série Z est sur le bord de la faillite professionelle et familiale lorsque son nouveau projet de film est abandonné par le réalisateur et qu'il se sépare de sa femme. Cependnat, il rencontre une jeune femme de talent qui lui soumet un scénario racontant les fraudes de la monté au pouvoir de Berlusconi.

Deuxième film de Moretti que je vois après La Chambre du Fils. Il utilise, ici, une approche complètement différente qui se rapproche plus de Journal Intime comme genre de discours( film que je n'ai malheureusement pas encore vu complètement). Son discours sur la politique véreuse de l'Italie est sans concession et il nous offre même un "stunt" à la Chaplin dans "The Great Dictator" en incarnant le politicien. Néanmoins, c'est d'abord et avant tout l'histoire personnel du producteur qui s'entremêle au discours politique.

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J'ai été voir The Sorcerer's Apprentice hier soir. Tout d'abord, c'est un film de Disney/Jerry Bruckheimer on connait donc la fin avant même que le film ait commencé. Malgré le fait que c'est ultra prévisible, c'est tout de même un bon divertissement. On sent que Nick Cage s'amuse dans le rôle qu'il joue et la chimie passe quand même assez bien entre lui et Jay Baruchel (acteur que j'adore, mais maudit que j'ai hâte qu'il fasse d'autres genres de personnages, je veux pas qu'il devienne un Michael Cera).

Sinon, les effets spéciaux sont très réussi et l'action est bien dosée. Je n'ai pas grand chose d'autre à dire, c'est un Disney, je pense que ça résume pas mal tout...

Ce n'est pas un grand film, mais ce n'est pas mauvais non plus... Le preview donne une bonne idée de ce à quoi s'attendre.

Prochain film à ma liste: Salt

Est-ce que ta vue le film out of my league ( trop belle) avec jay baruchel justement une très comédie! ça fait pas longtemps que je connait cet acteur et je l'aime beaucoup aussi! Il y a aussi letrosky ( mal écrit désoler) qui a l'air bon.
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J'ai été voir Origine pis c'était vraiment fucké là!! ô_Ô

5 étoiles!

Moi j'ai été le voir en version originale sans savoir que la version française existait.

-"Deux adultes pour Inception" (prononcé à la française)

J'pensais c'était un mot français que je connaissais pas. D'habitude, ils avertissent toujours que c'est en anglais surtout si quelqu'un le dit comme moi.

Erreur qui m'a bien rapporté, c'est vraiment bon en v.o.

DiCaprio >>>> Joel Legendre

Mais je crains toujours de manquer une phrase importante dans l'intrigue du film à cause d'un accent douteux ou d'un mâchage de mot. S'il y avait des sous-titres anglais, j'irais toujours voir mes films en v.o.

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Salt

Film d'action stantard faisant pensé à une saison de 24 sur plusieurs aspects. Y'a des affaires que je voyais venir gros comme le bras à cause que j'ai écouté beaucoup de saison de 24 justement. Ça fait sa job côté divertissement.

6.5/10

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House of Bamboo

Samuel Fuller, 1955

Remake du film noir classique The Street with No Name, relocalisé au Japon et tourné en cinémascope. Si l'intrigue est assez conventionnelle et n'offre que très peu de rebondissements, la réalisation de Fuller compense amplement. Qui est familier avec son style "journalistique" et sa manière très vivante de se servir de la caméra sait à quoi s'en tenir.

Les autres, découvrez-le avec plaisir. Fuller y est peut-être moins virtuose que dans Pickup on South Street, par exemple, mais la photographie du film est d'une grande beauté, avec une mention spéciale à la fusillade finale qui est extrêmement bien tournée et visuellement épatante. Un film noir en couleurs? Pourquoi pas. En tous cas Robert Ryan y est toujours aussi excellent.

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(modifié)

affiche-the-ghost-writer.jpg

2009

Je viens de terminer le dernier film de Roman Polanski, Ghost Writer, et bien que Ewan McGregor et Pierce Brosnan sont très charmants et crédible, le film est horriblement mauvais.

Les plans ne sont pas audacieux. Le climat et la noirceur qui règne sur le film ressemble plus à une erreur de colorisation de la part du monteur qu'à une vision extraordinaire du cinéaste. La moitié des scènes ne semblent rien apporter aux films et bien franchement, l'intrigue est totalement nulle.

Il n'existe aucune chimie entre les acteurs secondaires et Olivia Williams tombe plutôt sur les nerfs. Le cheminement du film est long et ardu. De plus, McGregor semble totalement perdu lui-même tout le long du film. Il semble trouver des indices ici et là sans avoir à vraiment chercher et les réponses fusent de toutes parts sans qu'il montre le moindre effort.

On dirait que le réalisateur à voulu faire un espèce de suspense sans en mettre. On semble pousser des idées ici et là, mais ça nous ne mène nulle part. La finale est choquante tellement elle était prévisible.

Sérieusement, j'en reviens pas d'avoir perdu plus de 2 heures de ma vie à regarder un film idiot pareille. Quand tu t'attends à écouter un film poche, tu le sais qu'il sera poche. Mais quand tu t'attends à écouter un film relativement aimé par la critique, tu t'attends à quelque chose de plus.

Polanski signe une oeuvre merdique

4/10

P.s. J'espère que personne ne viendra me voir en me disant que j'ai pas compris l'oeuvre ou toutes autres conneries du genre. Il faut savoir donner mérite à une oeuvre extraordinaire et savoir reconnaître une oeuvre minable. Polanski a fait de bons films, mais je rapelle que lorsque Polanski chie, sa merde sent la merde et pas la rose.....

Modifié par luxid
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lucky-luke-film.jpg

Je viens de me l'acheter used dans les 3 pour 10$ dans un Videotron. Un film détruit par la critique en France et qui n'a durer qu'une semaine au cinéma québécois. Je ne m'attendais vraiment à rien et mon opinion est peut-être biaisé par mon fanatisme de Lucky. Mais j'ai aimé le film. Le rendue visuel me faisait pensé que j'étais encore dans les vieilles BD de mon père. Ils est très long, surtout pour le scénario qui est encore un peu boboche. Mais sa reste un bon divertissement.

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The Losers

Si je me souviens bien, ce film avait été reçu de façon partagée et j'ai été voir Kick-Ass au cinéma au lieu de ce dernier...

J'ai été agréablement surpris par ce film, le rendu très BD est vraiment superbe et les acteurs choisi ressemblent à des personnages de BD. C'est vraiment un film d'action hollywoodien où tu laisse ton cerveau à la porte et tu apprécie simplement un bon divertissement... Bref, j'ai bien aimé...

C'est un peu comme The A-Team, mais un peu moins invraisemblable et un peu meilleur dans l'ensemble...

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Repast

Mikio Naruse, 1951

Mon introduction à Naruse qui est, dit-on, l'un des maîtres du cinéma japonais classique, au même titre qu'Ozu, Kurosawa et Mizoguchi, bien qu'il soit moins connu et diffusé en Occident que ses trois compatriotes. À constater la qualité de ce Repast, ce n'est certainement pas moi qui vais contester la place de cet excellent réalisateur au panthéon des grands artisans du cinéma.

Le récit est simple, dans le style épuré adopté par Ozu dans son Tokyo Story, par exemple, avec une touche un peu plus "moderne". Deux jeunes mariés s'adaptent mal à leur nouvelle vie routinière, qui fait souffrir la femme qui se sent délaissée, alors que le mari paraît trouver son réconfort dans sa jeune nièce fraîchement débarquée à Osaka. La femme choisira alors de s'exiler à Tokyo où elle passera entre autres du temps avec son beau cousin...

Trame pseudo-incestueuse, j'en conviens, mais en accord avec les moeurs de l'époque. Il n'en demeure pas moins que le sentiment difficile à mettre en mot de sentir l'être aimé s'éloigner est rendu avec beaucoup de perspicacité. L'étude de couple est digne des Scènes de la vie conjugale de Bergman en terme de profondeur, bien qu'elle soit beaucoup moins intellectuelle et plus émotive. Seule la finale hilarante vient un peu atténuer la puissance du film.

La femme, qui retourne à Tokyo avec son mari en train, le regarde dormir. Elle songe à quel point c'est un homme travaillant et se dit: "Peut-être est-ce ça au fond, le bonheur d'une femme, que de servir un homme tel que lui." Fondu enchaîné sur un plan de femmes en train de tremper une guenille dans un sceau. Fin. Morale étrange?

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Les Idiots de Von Trier

C'est difficile de qualifier mon appréciation de ce film parce que visuellement, ça m'a laissé perplexe. J'imagine qu'il y a une signification à cette manière nerveuse de filmer et au fait qu'il y ait toujours un excès de lumière, mais je ne la vois pas.

L'idée est géniale cependant et que dire des malaises dans le film et ceux que j'ai ressentis durant le visionnement.

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Les Idiots de Von Trier

C'est difficile de qualifier mon appréciation de ce film parce que visuellement, ça m'a laissé perplexe. J'imagine qu'il y a une signification à cette manière nerveuse de filmer et au fait qu'il y ait toujours un excès de lumière, mais je ne la vois pas.

L'idée est géniale cependant et que dire des malaises dans le film et ceux que j'ai ressentis durant le visionnement.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Dogme95

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Quills, la plume et le sang

quillslaplumeetlesang.jpg

Un film ayant comme thème la vie du Marquis de Sade en prison. Intense, poignant et légèrement audacieux. J'aime bien les films d'époque se déroulant autour du dix-huitième siècle. Ce long métrage m'a donné le goût de feuilleter l'oeuvre du Marquis.

L'homme au masque de ferLe parfum ≤Quills, la plume et le sang ≤ MolièreLe roi danse

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Kuroneko

Kaneto Shindo, 1968

Considérée par plusieurs comme le "companion piece" de l'excellent Onibaba, cette oeuvre d'une grande puissance atmosphérique reprend le point de départ d'une femme et de sa bru laissées seules après le départ du fils à la guerre, en accentuant toutefois grandement la part de surnaturel. Là ou Onibaba suggérait, Kuroneko affirme.

Je ne suis pas particulièrement versé dans la culture traditionnelle japonaise, mais il semble que le film s'inscrive dans une tradition d'histoires de fantôme impliquant des chats. Cela peut paraître risible à la lecture, mais ce ne l'est absolument pas au visionnement. Le chat est plutôt un symbole de l'esprit malin. Les fantômes présents dans le film possèdent leurs caractéristiques, mais pas leur apparence.

Shindo est, sans aucun doute, maître dans l'art d'utiliser les grandes étendues d'arbres ou de feuillages comme éléments dramatiques. La photographie du film est splendidement angoissante. La presque-totalité du long métrage est baignée d'une noirceur, d'un brouillard inquiétant qui semble s'étendre même sur les (rares) scènes illuminées. La finale, comme celle d'Onibaba, donne froid dans le dos. Un autre chef-d'oeuvre du réalisateur.

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Mulholland Dr. de David Lynch

Film particulièrement intéressant pour sa structure narrative et ses images magnifiques. Cependant, je m'attendais vraiment à un énorme "WTF" à la fin, et pourtant, tout m'a paru relativement clair. Bon oui, il me reste 1 ou 2 points mineurs à éclaircir, mais pour le reste je crois que l'histoire se comprend bien. C'est un peu une reprise moderne de Persona de Bergman (en tout cas, si on me dit qu'il n'y a pas d'inspiration...).

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