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Le dernier film que vous avez vu


Déchet(s) recommandé(s)

Moon j'avais bien aimé, justement à cause du jeu d'acteur de Sam Rockwell.

Le dernier film que j'ai vu c'est Volcan, hier à TVA. C'était meilleur dans mes souvenirs...

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2001: A Space Odyssey, Stanley Kubrick

[...]

des scènes comiques (je pense entre autre à Carl qui chante « Daisy Bell »)

Je ne vois pas ce que tu y as trouvé de drôle. Cette scène me bouleverse à chaque fois.

Récemment, j'ai vu Three Times de Hou Hisoa-Hsien (2005)

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Trois histoires d'amour: une en 1966, une autre en 1911 et la troisième en 2005. Hou Hsia-Hsien démontre les différences et les ressemblances dans les moeurs taiwanais à travers les époques.

J'ai trouvé le scénario un peu naïf et moralisateur, mais l'esthétisme du film compense amplement les lacunes du scénario. Je crois qu'il faut préalablement connaître un peu l'histoire de Taiwan pour comprendre l'histoire du film, surtout celle de la deuxième partie du tryptique.

Le film est tout en sublitilés, très lent. Un film d'amour pas nécessairement joyeux. Pas du tout un feel-good movie.

Et puis The Lovely Bones de Peter Jackson (2009)

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Non mais quelle merde.

La petite fille assassinée par son voisin qui nous raconte son histoire depuis les limbes, c'est frustrant et inutile. On ne nous laisse rien deviner. Tout nous est vomi dans le crâne. Le film suit la même recette de marde des films du genre: moments tristes suivis de moments burlesques (Susan Sarandon dans le rôle d'une grand-mère hippie de marde) pour pas que le spectateur ait trop de peine et morale du tabarnak à la fin. C'est quoi cette fin? Pourquoi l'histoire d'une petite fille assassinée se finit bien? Pourquoi on tente de me faire sentir bien avec cette histoire? Hein? HEIN?

Peter Jackson est tellement devenu un mange-marde.

Stanley Tucci est génial cependant.

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Un robot qui chante... tellement absurde et déplacé vu le contexte. Je peux savoir pourquoi ça te bouleverse?

C'est pas un robot, Hal est une intelligence artificielle, il est à mi-chemin entre la machine et l'Homme. Dave lui enlève souvenirs et connaissances un par un et Hal finit par ne dire ce qu'on lui a appris en premier: une petite chansonnette. Un super ordinateur réduit à un médiocre chanteur.

Le film traine l'idée que l'intelligence est une forme de vie, qu'elle la dépasse même (l'enfant des étoiles). Dave a devant lui une "machine" qui a peur de la mort.

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J'ai loué le premier Millennium hier avec ma blonde. C'est pas si pire, je m'attendais cependant à mieux. C'était assez bon pour me donner le goût de lire les livres, comme les livres sont toujours supposés être meilleurs que les films!

Intéressant, intriguant et plus accrocheur que mettons Zodiac.

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The Lovely Bones

2009, Paramount

Réalisateur: Peter Jackson

Adapté du roman de : Alice Sebold

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J’ai détesté | Je n’ai pas aimé | Je suis mitigé | J’ai aimé | J’ai adoré

Synopsis

Susie est une jeune fille comme les autres, jusqu'au jour où elle se fait assassiner par son voisin dans un champ de maïs, près de chez elle, en rentrant de l'école. Son assassin dissimule le corps dans un endroit où il sera difficile de le retrouver. Susie se retrouve dans une sorte de paradis, d'où elle peut voir ce qui se passe sur Terre : les doutes de son père, le renfermement de sa sœur, l'incompréhension de son frère et la détresse dans laquelle sombre sa mère. Sa mère quitte la maison, son père est prêt à tout pour découvrir son meurtrier, et Susie commente toute l'action avec ses sentiments.

Cette critique peut dévoiler des spoilers

On connais Peter Jackson principalement pour l’éblouissante trilogie de Lord of the Ring, on le connais aussi pour son audace d’avoir donné la chance d’un vrai rôle (en dehors de lui-même) à Jack Black dans King Kong. Une fois qu’on s’intéresse à l’homme, on s’étonne qu’il se soit rendu là lorsqu’on sait qu’un de ses films possèdent le statut de « film le plus gore de l’histoire du cinéma » ; comment est-on passé de « Braindead » à « The Lovely Bones », je me le demande.

Si on retire les explosions de su-sucre pour les yeux qui nous apparaissent dans la mort de Susie Salmon, le film perd peut être de son propos mais gagne énormément en rythme. Ces bonbons en CGI donnent effectivement l’impression d’être la raison même du film, notre chum Jackson s’est assied et a dit à son équipe : « Ce serait pas mal funneh d’avoir un film qui traite d’un sujet triste et dur et de rendre ça rose et papillonesque. » Félicitation, ça a donné un long film à la seul raison d’être de nous ébahir, de nous faire porter notre gueule d’ahurissement le temps d’un divertissement. On se retrouve donc à plusieurs reprises à contempler une toile jaune, bleu et rose en surexposition pendant qu’on se joue de nos yeux avec divers effets d’ordinateur qui malheureusement ne sont pas toujours crédible. Étonnement, même si ces scènes réussissent très bien à remplir leurs travaille, ce ne sont pas celles-ci qui m’ont impressionner. Je garde en mémoire les nombreux plans sortant de l’ordinaire, les scènes de stress ainsi que les gros plan sur les doigts, à ce niveau là c’était du réussie et ça à même réussie à me faire apprécier le film. Film dont le seul désir est d’être « cute » et « touchant », en toute humilité, dont le but premier est de nous confronter à la beauté d’une horreur. Quoique je doute peut être que son but premier n’était pas plutôt de nous faire rager intérieurement une fois rendu à la fin lorsqu’on se rend compte qu’on a ducktapé une mort terriblement absurde dans le simple but de ne pas finir le film en hypoc… oh non attendez, de terminer le film en nous disant que le « sort » s’occupe tout le temps des méchant est une fin hypocrite. Qui d’autre ici n’aurait pas préféré, comme scène finale, celle où on le voit conduire et quitter la ville ?

Un film gris-rose sur l’importance d’accepter la mort, rien de plus, rien de moins.

Note : 65/100

Conseil/commentaire : Passe bien une soirée, une location et non un achat.

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1981, je m'attendais à un bon film mais je n'ai pas tellment aimé ça.

Ouf que la mère est énervante. Il fallait que je garde la télécommande de la tv proche de moi pour baisser le volume à chaque fois qu'elle ouvrait la bouche.

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J'ai loué le premier Millennium hier avec ma blonde. C'est pas si pire, je m'attendais cependant à mieux. C'était assez bon pour me donner le goût de lire les livres, comme les livres sont toujours supposés être meilleurs que les films!

Les livres sont définitivement meilleurs. Reste que je vais aller voir le 3e film au cinéma le plus rapidement que possible, si ils ont réussi à faire quelque chose à la hauteur du livre, ça promet. Et si tu veux mon avis, le premier film a beaucoup de mise en situation à faire, et n'est donc pas le plus intéressant des deux que j'ai vu. Toute l'enquête est d'ailleurs assez inutile dans l'histoire générale des trois livres, c'est vraiment plus ce qui tourne autour qui va emmener la suite.

Ouf que la mère est énervante. Il fallait que je garde la télécommande de la tv proche de moi pour baisser le volume à chaque fois qu'elle ouvrait la bouche.

Elle enlève tellement au film, qui n'est déjà pas un chef d'oeuvre! Bon, j'suis p'tête pas dans le public cible, non plus... Mais me semble que l'histoire d'un enfant bien ordinaire, c'est pas super intéressant comme ligne de fond.

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Les bas-fonds

Jean Renoir, 1936

Une version plus "légère" de la pièce de Gorky. Jean Gabin est en pleine forme, ainsi que tout le reste de l'équipe qui s'acquitte de sa besogne avec vivacité. Un savoureux mélange de drame et d'humour, des personnages hauts en couleurs et une réalisation toujours aussi soignée. Renoir ne déçoit jamais.

7th Heaven

Frank Borzage, 1927

Gare à qui n'aime pas les mélodrames! Ce classique muet de l'un des grands réalisateurs de l'âge d'or du cinéma pourra en embêter plus d'un, mais la qualité de la réalisation et de la direction photo est indéniable, en plus d'offrir une autre performance attendrissante de Janet Gaynor. Pour férus de cinéma muet seulement.

Ace in the Hole

Billy Wilder, 1951

Un autre film coup de poing de la part d'un des réalisateurs hollywoodiens les plus talentueux. Une performance mémorable de Kirk Douglas qui incarne sauvagement le journaliste sans scrupules. Difficile de croire qu'il s'agit d'une production de studio américain des années 50 tant le scénario est sombre et intransigeant.

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Une fin de semaine humour pour moi :

Sans aviron pour la morale de l'amitié et que la vie vaut la peine d'être vécue à 100%

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Garçons sans honneur pour la comédie à l'eau de rose et les jokes de cul faciles

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Tenacious D et le pic du destin pour les blagues pipi/caca/poil et la parodie de guitar Hero

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Dead or Alive pour le côté sexy

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C'est quoi l'opposé total de l'élitisme cinématographique?

'Cause the poor guy suffers from it so.

C'est drôle que tu parles des Bas-fonds de Renoir puis qu'ensuite Nomad parle de Dead or Alive. Ces deux films se rejoignent en quelque part...

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O brother, where art thou?, film que j'avais déjà en secondaire 3-4 dans un cours d'anglais. J'avais oublié comment que c'était un genre de comédie (venez pas m'obstiner sur le genre du film svp, j'ai ZÉRO connaissance en cinéma, merci) et non un drama où des gens mourraient. Anyway, c'est très drôle et très bon. voilà

J'ai regardé Mulholland Dr. car des gens en ont parlé dans le sujet «Chef d'Oeuvre» et c'était diablement incroyable(!), même si j'ai pas tout compris. Aussi, la scène de cul ma fait bandé comme un cheval. voilà

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À ça s'ajoute des acteurs qui jouent leur rôle à la perfection, des scènes comiques (je pense entre autre à Carl qui chante « Daisy Bell »), etc.

La perfection dont tu parles c'est justement l'absence du jeu d'acteur et de l'interprétation.

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La perfection dont tu parles c'est justement l'absence du jeu d'acteur et de l'interprétation.

Il y a peu de dialogues, mais les deux acteurs sont présents tout le long du film. L'interprétation ici n'est peut-être pas EXCELLENTE, mais elle reste très efficace pour l'ambiance du film.
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L'AMOUR C'EST MIEUX A DEUX : Michel rêve d'une rencontre parfaite, totalement due au hasard comme l'ont connu ses parents et ses grands-parents, alors que Vincent applique à la lettre l'adage qui dit que les hommes ont un sexe à la place du cerveau. Amis d'enfance aux visions diamétralement opposées sur les femmes ils découvriront les limites de leurs raisonnements respectifs au contact d'Angèle et de Nathalie.

http://www.dailymotion.com/video/xcq0hy_l-amour-c-est-mieux-a-deux-bande-an_shortfilms

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The Lower Depths

Akira Kurosawa, 1957

Assez pénible surtout après l'excellente version de Renoir. Les personnages de Kurosawa sont plus grotesques, moins attachants. Il n'y a pas cette poésie qui fait tout le charme du film de Renoir. Il offre une adaptation plus près de la pièce d'origine, mais également beaucoup plus drabe. Pas le meilleur Kurosawa...

The Leopard

Luchino Visconti, 1963

Un film majestueux et épique avec douze mille figurants, mais rien ne s'y passe de particulièrement intéressant. Outre l'intérêt pour la direction photo et la reproduction méticuleuse d'une époque, les 188 minutes sont assez assomantes. J'avais pourtant de très hautes attentes. Dommage.

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J'ai regardé Mulholland Dr. car des gens en ont parlé dans le sujet «Chef d'Oeuvre» et c'était diablement incroyable(!), même si j'ai pas tout compris.

Je dois vous faire part de quelque chose qui m'écœure dans le domaine des arts. Quand les gens aiment une œuvre "parce qu'ils n'ont rien compris", ça m'énarve! C'est le cas de beaucoup trop de films, disques ou peintures, malheureusement.

Dans le même ordre d'idées, ceux qui méprisent les gens qui n'aiment pas ces oeuvres. "T'as pas aimé ça parce que t'as rien compris..." Il n'y a peut-être rien à comprendre aussi! God! On peut avoir une bonne histoire compréhensible avec des bons personnages sans que le tout soit incompréhensiblement de l'art!

Exemple: La Moustache (le livre ET le film).

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J'ai aimé la Moustache.

Il n'y avait rien de plus à comprendre que ce qui est dans le film.

Un film n'est pas simplement un scénario linéaire, une film n'est pas qu'un scénario, un film n'est pas un scénario.

Terzelius considère qu'l y a des éléments dans Mulholland Dr. qu'on pourrait être en mesure de comprendre mais que ça n'a pas été sont cas, qu'il devra réécouter afin de considérer si oui ou non on pouvait y comprendre quelque chose.

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