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Le dernier film que vous avez vu


Déchet(s) recommandé(s)

Eh oui, beaucoup des films de Bergman sont assez lourds.

Personnellement, j'ai commencé avec "cris et chuchotements" et j'ai quand même bien apprécié. Je crois que c'est un bon film pour commencer à expérimenter avec ce grand réalisateur.

Moi-même je dois agrandir mes connaissances, c'est le seul que j'ai vu de lui. J'ai tout-de-même un feeling que je vais gagner beaucoup à en regarder d'avantage de lui.

Suggestions personnelles:

Fanny et Alexandre (version série télévisée)

Scenes from a Marriage (version télé aussi)

Through a Glass Darkly

Persona

Shame

Wild Strawberries

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Adoration-Atom Egoyan

Après avoir vu The Sweet Hereafter, un film qui m'a touché et marqué, je me suis toujours dit que je me devais d'en conaître plus sur l'art d'Egoyan. Dans Adoration,on peut ressentir la Garisson Mentality comme dans The sweet Hereafter. Très bon!

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Obsession - Brian De Palma (1976)

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C'est en voyant ce film que je me suis dit que à une époque, De Palma faisait des bons thrillers et était à son sommet. Ce qui n'est plus le cas aujourd'hui tant sa carrière cinématographique est devenue moins bonne à partir du milieu des 90's.

Même si le twist se devine facilement à l'avance, le scénario de Paul Schrader est pas mal intéressant et il en va de même pour la réalisation de De Palma qui arrive à livrer de bonnes scènes inquiétantes et malsaines où la folie gagne peu à peu les personnages. Bref, j'ai bien apprécié.

8/10

The Nameless - Jaume Balagueró (1999)

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De Balagueró, je n'avais vu que Darkness et REC que j'ai tous les 2 aimés et c'est évidemment le cas avec The Nameless. Bien que ce soit classé comme un film d'horreur, The Nameless est avant tout un un thriller psychologique d'on l'histoire est centré sur une mère qui avec l'aide d'un ancien policier, enquête sur une secte, les Nameless, qui ont enlevé sa fille des années auparavant.

Alors que ça aurait pu être un simple thriller banal d'enlèvement et de meurtres, Balagueró arrive à rendre le tout intéressant en étoffant son film de plusieurs intrigues concernant la secte. Plus les personnages (qui sont bien développés) font des découvertes sur celle ci, plus la menace devient plus grande. Même si l'ambiance et le visuel rappel Se7en de David Fincher, j'ai plus pensé à l'excellente série MillenniuM de Chris Carter qui comporte le même genre d'histoire et d'ambiance sombre à base d'enquêtes policières, de sectes ésotériques, de conspiration et de fin du monde.

8/10

Modifié par The Eternal
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Tout ce que j'ai vu/revisionné en 2009, jusqu'à aujourd'hui.

J'ai chez moi, en ce moment The Zombie Honeymoon, The Wrestler et The Number 23 qui traînent. Je devrais aussi aller m'acheter Blue Velvet et/ou Wild at Heart d'ici dimanche puis aller voir Antichrist au cinoche la semaine prochaine.

Toutefois, mon préféré visionné pour cette année demeure Mulholland Drive, qui, à bien y réfléchir, clanche de près ou de loin tous les autres.

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A Christmas Carol - Robert Zemeckis (2009)

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L'animation 3d est jolie, Carrey livre une bonne interprétation de Scrooge mais bon, j'ai pas ressenti la magie du film comme c'était le cas avec la version Muppets. Mais bon, j'imagine que c'est la nostalgie qui joue sur ça.

Enfin, c'était agréable à regarder rien que pour le jeu de Carrey.

6.5/10

Banlieue 13: Ultimatum - Patrick Alessandrin (2009)

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Ça se laisse bien regarder comme série b d'action si on a le cerveau à off. Par contre, le scénario est rempli de clichés et d'incohérences comme la fin où toutes les ethnies font la paix pour combattre le méchant gouvernement corrompu. Aussi au niveau du côté anticipation avec un monde anarchiste, ça va jamais au bout de ses idées et ça demeure drôlement gentillet pour un film qui traite des problèmes des ghettos.

5/10

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Direktøren for det hele (Le directør) - Lars Von Trier (2006)

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Comédie pas mauvaise dutout de la part de Von Trier. Le film ne se prend vraiment pas au sérieux (dès le début on voit Von Trier, dans une grue avec caméra, présentant son film).

Le synopsis, volé sur wiki qui s'exprime beaucoup mieux que moi: ''The owner of an IT company wishes to sell it. But, for years, he has pretended that the real boss lives in America and communicates with the staff only by e-mail. That way, all the unpopular decisions can be attributed to the absentee manager, while all the popular ones to him directly. But now, the prospective buyer insists on meeting the big boss in person. In a panic, the owner hires a failed, over-intellectualizing actor to portray him, and the actor proceeds to improvise all his lines, to the consternation of both the buyer and the company staff, who finally get to meet their ghostly boss.''

Les employés de la compagnie, le groupe des 6 anciens, est particulièrement attachant, pratiquement tous schyzo dans leur genre.

Je trouve assez remarquable que Von Trier puisse écrire et réaliser ce genre de film, puis 2-3 ans plus tard nous sortir Antichrist.

Modifié par John Voljohn
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Rocco and his Brothers

Luchino Visconti, 1960

Suite à la mort de son mari, une mère et ses quatre fils quittent le sud de l'Italie pour rejoindre l'aîné de la famille à Milan, où ils auront du mal à s'adapter aux réalités de la ville en reconstruction économique et industrielle. Visconti, à qui l'on doit entre autres des adaptations réputées de romans de Giuseppe Tomasi di Lampedusa et de Thomas Mann, n'est qu'une des six têtes à avoir planché sur le scénario de cet excellent film, dont la thématique est très vaguement inspirée des Frères Karamazov de Dostoïevski.

Il ne faut pas s'étonner, dans un film néo-réaliste (quoi que...) de 2h50, de trouver sur son passage quelques longueurs pour alourdir le visionnement. J'ai trouvé le film long à démarrer et les quelques ruptures de ton dans l'histoire font sentir les désavantages de l'écriture à plusieurs scénaristes. D'un autre côté, on peut supposer qu'un projet d'une telle ampleur aurait difficilement pu se déployer de la même façon sous la plume d'un seul homme. Encore que...

Si l'on met de côté ces quelques petits points négatifs, "Rocco and his Brothers" s'avère être une oeuvre aux proportions assez épiques. Beaucoup de personnages évoluent sous nos yeux, tous interprétés avec beaucoup de passion et de profondeur. On est carrément ici sur le mode de la tragédie grecque (ce qui, parfois, donne lieu à des émotions quelque peu sur-jouées). Il y a dans ce film des scènes assez choquantes qui marquent le spectateur par le réalisme de leur violence. Définitivement un grand "film-fleuve", mais qui ne fera pas le bonheur de tout le monde.

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Vu qu'il vient de sortir en DVD, j'ai revu le film De père en flic. Le deuxième visionnement est tout aussi drôle que le premier. J'adore Louis-José Houde qui chiale toujours!!

9/10 facile.

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LE MÉPRIS - Jean-Luc Godard (1963)

Après m'être tappé À bout de souffle que j'avais trouvé vraiment moyen, je m'attaque à ce film à reculons. Ce que je n'avais pas aimé de À bout de souffle, c'est le style trop improvisé, les prises caboteuses, la faiblesse du scénario. Bref, la Nouvelle Vague me faisait chier. J'avais préféré La nuit américaine aux 400 coups de Truffaut alors je me disais que de regarder un film plus récent de Godard aurait probablement une influence sur mon appréciation de cet auteur.

Enfin ! Un film bien leché avec un scénario bien ficellé. Il y a de longs plans séquences extrêmement bien réalisés. La scène dans l'appartement en est un bel exemple. Travail remarquable au niveau de la composition de l'image notamment grâce aux couleurs primaires utilisées abodamment et aux belles fesses de Brigitte Bardot.

Sérieusement, ce n'est pas du tout mon type de film, mais j'ai apprécié.

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The Box - Richard Kelly (2009)

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Autant je suis fan de Donnie Darko autant Southland Tales m'avais assez refroidi qui malgré un sujet intéressant partait beaucoup trop dans le n'importe quoi. Avec The Box, le bonhomme semble avoir apprit de ses erreurs. Alors bien sur tout comme dans ses autres films, The Box laisse beaucoup d'interprétations mais c'est beaucoup moins nébuleux que Southland Tales et mieux structuré aussi.

Si Donnie Darko c'était les années 80, Southland Tales, les années 2000, The Box, c'est les années 70 d'on l'histoire est adapté d'une nouvelle de Richard Matheson et aussi d'une épisode de Twilight Zone. Et c'est bien ce qu'est le film, un gros épisode de Twilight Zone et aussi un hommage au cinéma fantastique et de science-fiction des années 70, des thrillers paranoïaques à base de complot et aussi une dernière heure qui fait beaucoup penser à Invasion of the Body Snatchers de Philip Kaufman.

Au niveau des acteurs, Cameron Diaz trouve dans ce film son meilleur rôle depuis fort longtemps. Bien loin du registre de films dans lequel elle joue habituellement. Pareil pour James Marsden qui joue ben mieux que dans X-Men où il était fade et Frank Langella est excellent en bad guy mystérieux.

Donc, un retour en force de Kelly en ce qui me concerne, qui revient à de la bonne science-fiction old-school avec le côté drama de Donnie Darko et une ambiance parano digne des meilleurs thriller des 70's. Mon deuxième coup de coeur cette année dans le genre après District 9.

Et la musique du film composé par des membres d'Arcade Fire est juste sublime.

8/10

Modifié par The Eternal
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RocknRolla (2008)

Guy Ritchie

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Rien de neuf sous le soleil, Ritchie remâche sa classique histoire chaotique de gangsters de Londre qui s'entretuent dans une série de malentendus drôlatiques. Après un passage douloureux du côté de la comédie romantique avec son piètre film mettant en vedette sa femme Madonna, il semble que Ritchie ait voulu se racheter en revenant vers ses premiers amours, dans des assises où il se sent à l'aise. Malgré le manque d'originalité et de profondeur, cela reste un divertissement efficace, avec ses personnages typés, ses dialogues amusants et son montage dynamique. Les russes invincibles sont particulièrement divertissants.

***

Wild Strawberries (1957)

Ingmar Bergman

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Mon premier Bergman, que j'ai bien apprécié à la première écoute, pour sa capacité à traiter d'un éventail de sujets, allant de la religion aux regrets de la fin d'une vie, avec nuance et sans tout expliciter. Si quelques scènes sont surjouées (surtout celles du passé), d'autres se distinguent grâce à une interprétation sans faille. Le ton est juste tout au long et rend le propos plutôt solide.

Ça me donne envie d'éplucher un peu plus profondément la cinématographie de Bergman.

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Un film tout en attitude, mais qui ne mérite peut-être pas tout le hype qui l'entoure, c'est un très bon film, mais j'ai trouvé Inglorious Basterds supérieur à Pulp Fiction. À mon avis, à part l'attitude vraiment décontracté et cool des personnages, Inglorious bat Pulp sur tout les points. Un bon 8/10 quand même!

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Je regrette quasiment d'avoir dépensé trente piastres pour Up en Blu-ray. Pas parce que les images sont laides (LOIN DE LÀ), mais plutôt parce que le film est plaaaaaate. La première demie-heure du film est trompeuse sur le scénario. Elle nous présente la tristesse d'un vieillard en proie au deuil, qui réalise sur le tard n'avoir jamais accomplit son plus grand rêve. Jusque là, je suis touché par le drame personnel que vit ce petit personnage. C'est ce qui le pousse dans cet aventure... qui malheureusement prend une tournure beaucoup trop ROCAMBOLESQUE et INTRÉPIDE. Ça devient enfantin : des chiens qui parlent (des jokes d'écureuils et autres clichés, lol), un chasseur déterminé à abattre un rare spécimen d'oiseau, des scènes complètement irréalistes et disjonctées qui contrastent avec le ton utilisé au préalable.

J'sais pas, j'avais l'impression de me sentir idiot et d'écouter une émission pour enfants. Je n'avais pas eu ce feeling depuis Finding Nemo.

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The Fourth Kind, 2009

Ce fut dégueulasse et sans intérêt, mais ça, je le savais déjà. Toutefois, je dois avouer que ce film m'a UN PEU fait peur. Pas que je suis une mauviette, mais c'est la méthode utilisée par le réalisateur, celle de toujours faire le lien avec des supposés enregistrements authentiques, qui rendait ça plus terrifiant.

Reste que c'est mauvais.

Sinon, depuis ça, j'ai aussi vu:

Anchorman ; 9/10

Un chien andalou ; j'en sais rien.

The Wrestler ; 7.5/10

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Comme le 3/4 des films catastrophes, le film a du potentiel, mais il n'est pas très bien exploité. Les personnages sont clichés et peu attachants et le film mise davantage sur les effets spéciaux que le reste (même si au cinéma, ils sont spectaculaires). La distribution est correct (John Cusack, Danny Glover, Woody Harrelson), quoique bien mince comparé à Independance Day. La bande sonore passe sans qu'on ne l'entende vraiment tellement elle est discrête. Le film est bien renseigné sur le sujet par contre, ils parlent de la théorie controversé de Charles Hapgood concernant le déplacement de la croûte terrestre.

Plusieurs trouveront sûrement le concept film ridicule, mais si vous êtes plus des gens de foi que de science comme moi, vous trouverez le film potable, peut-être même bien bon! 6/10

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Je regrette quasiment d'avoir dépensé trente piastres pour Up en Blu-ray. Pas parce que les images sont laides (LOIN DE LÀ), mais plutôt parce que le film est plaaaaaate. La première demie-heure du film est trompeuse sur le scénario. Elle nous présente la tristesse d'un vieillard en proie au deuil, qui réalise sur le tard n'avoir jamais accomplit son plus grand rêve. Jusque là, je suis touché par le drame personnel que vit ce petit personnage. C'est ce qui le pousse dans cet aventure... qui malheureusement prend une tournure beaucoup trop ROCAMBOLESQUE et INTRÉPIDE. Ça devient enfantin : des chiens qui parlent (des jokes d'écureuils et autres clichés, lol), un chasseur déterminé à abattre un rare spécimen d'oiseau, des scènes complètement irréalistes et disjonctées qui contrastent avec le ton utilisé au préalable.

J'sais pas, j'avais l'impression de me sentir idiot et d'écouter une émission pour enfants. Je n'avais pas eu ce feeling depuis Finding Nemo.

C'est surprenant d'un film d'animation de Walt Disney.

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