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Le dernier film que vous avez vu


Déchet(s) recommandé(s)

Tu dois tellement être le genre de petit rat qui se vante à ses amis de marde et SURTOUT à ses profs d'avoir écouté Eraserhead et d'en être sorti aucunement changé. Le genre de petit rat qui est simplemenet heureux de dire un nom qui sonne obscur et créer une aura cultivée autour de toi, le genre de petit rat qui parle toujours du fait qu'il aime le hip-hop underground ET le Metal pour montrer qu'il est ouvert à toute toute toute.

Quel petit calisse de mongol détestable.

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doubleindem.jpg

"Double Indemnity"

Billy Wilder, 1944

Il faut rendre à César ce qui lui revient, "Double Indemnity" est un des plus importants films noirs américains. Toutefois, sans doute à cause de sa réputation pavée d'or et de gloire, j'avais des attentes un peu démesurées. En vérité, malgré une compétence évidente de réalisation et une direction photo presque parfaite, le film demeure un peu trop prévisible pour mes goûts.

Qu'on me comprenne bien: "Double Indemnity" reste un excellent divertissement et une bonne introduction au genre du film noir, mais quand on en a dévoré des tonnes, on ne peut faire autrement que de le trouver un peu... mou. Pas assez sombre, pas assez "méchant". Mais bon, c'est tout de même un très bon film, juste un peu moins solide que ce à quoi je m'attendais. De Billy Wilder j'ai préféré "Sunset Blvd."

Ce qui m'a séduit dans ce film c'est justement la relation pathétique entre les deux protagonistes. Certes, ce n'est pas "méchant", mais ça a un aura de "darkness" et de fatalité qui rejoint bien l'ensemble du genre.

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Ouais peut-être, mais bon... Comme je l'ai écrit, j'ai trouvé ça pas mal bon en général, juste peut-être pas à la hauteur de sa réputation. Mais un deuxième visionnement pourrait changer complètement mon opinion, qui n'est en aucun cas arrêtée. Chose certaine, j'ai adoré la performance de Edward G. Robinson. Acteur sous-estimée. À voir: "Scarlet Street".

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"Casablanca"

Michael Curtiz, 1942

Parlez-moi enfin d'un classique qui est tout à fait à la hauteur de sa réputation. En fait, j'ai honte d'avoir attendu si longtemps avant de le visionner, moi qui suis fan autant de Bogart que d'Ingrid Bergman. Je n'ai aucune excuse, mais je peux me rattraper en ne tarissant pas d'éloge pour cette oeuvre immortelle du cinéma américain.

Ce qui m'a d'abord frappé, outre évidemment les performances de haut niveau et les dialogues bien cinglants, c'est la magnifique photographie en noir et blanc qui se démodera juste jamais. C'est un foutu de beau film, avec un chic que l'on retrouve juste dans les productions de cette époque et qui atteint sa quintessence dans "Casablanca". Je pourrais en écrire long sur mon amour naissant pour ce film, mais je vais me contenter de me taire et de lui donner mes plus vives recommandations.

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Je vien de finir Gran Torino de Clint Eastwood ( mon acteur fétiche ), il s'agit de son dernier film comme acteur. J'ai trouvé le film excellent, le jeu des acteurs est juste et la réalisation de Eastwood solide comme toujours. Pour une fois que j'écoute un film et que je ne devine pas la fin après 30 min :good: , je vous laisse avec la meilleure scène du film, trop hot le vieux lol.

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The Price of Milk

La campagne, des vaches laitières et des amoureux. Trois trucs qui me filent la nausée, alors c'était vraiment pas gagné. Une histoire étrange: un couple se fait chourrer une couverture, la fille veut la récupérer et accepter de donner les vaches de son mec en échange, puis là tout part en sucette. Il y a plein d'éléments sans rapport, j'ai pas tout suivi, et même si il n'y a rien à comprendre, vers le milieu ça faisait un peu trop de choses d'un coup. Donc voilà, j'ai aimé le début, puis toute cette loufoquerie m'a fait saturer mais la dernière partie était agréable, c'est mignon quoi.

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Je vien de finir Gran Torino de Clint Eastwood ( mon acteur fétiche ), il s'agit de son dernier film comme acteur. J'ai trouvé le film excellent, le jeu des acteurs est juste et la réalisation de Eastwood solide comme toujours. Pour une fois que j'écoute un film et que je ne devine pas la fin après 30 min :good: , je vous laisse avec la meilleure scène du film, trop hot le vieux lol.

Si tu es capable de deviner la fin après 30 minutes, tu ne regardes pas les bons films.

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J'le confesse, j'suis allé voir Destination Ultime 4. Bien sur, on s'attend pas à être ému par une scène profonde ou se préparer à applaudir tant l'intensité d'un discour étant touchant, mais c'est un bon petit divertissement.

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Leon

C'est l'histoire d'un tueur à gage (Jean Reno) qui apprend son métier à une jeune fille (Natalie Portman) qui vient de perdre sa famille à cause d'un traffic de drogue. C'est tout simple, mais tellement bien présenté. Les acteurs sont fameux, en particulier Natalie Portman alors qu'elle devait avoir 12 ou 13 ans. Quelques gags noirs et salés viennent ajouter du piquant au film.

À voir.

8.5 / 10

Modifié par Dars
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The informant, le dernier Soderbergh.

theinformant4.jpg

Le film est lent à démarrer et je dirais que la narration pourrait en rebuter plus d'un. L'humour y est très subtil mais il frappe aux bons moments. La fin amène des questions importantes sur l'intérêt qu'on a à être juste en société dans le simple but de faire son devoir. Le film en ce sens est troublant et n'emprunte aucune facilité pour nous dresser un portrait complexe et bien pesé de cette histoire de corruption qui est en grande partie basée sur des faits réels.

Je le conseille, mais pas à n'importe qui. En plus les thèmes du film me sont particulièrement d'actualité en ce moment dans ce que j'étudie, peut-être est-ce pour ça que j'ai bien apprécié. Ah, et Matt Damon est bien bon.

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Gamer.

Correct mais sans plus. Les acteurs font la job, on peut pas vraiment s'attendre à plus étant donné la simplicité du scénario. J'enlève rien au film, c'est simple et efficace. Une location serait préférable à un visionnement en salle sauf si vous voulez mouiller à mater la sale gueule virile de Gerard Butler sur grand écran.

7/10.

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The informant, le dernier Soderbergh.

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Le film est lent à démarrer et je dirais que la narration pourrait en rebuter plus d'un. L'humour y est très subtil mais il frappe aux bons moments. La fin amène des questions importantes sur l'intérêt qu'on a à être juste en société dans le simple but de faire son devoir. Le film en ce sens est troublant et n'emprunte aucune facilité pour nous dresser un portrait complexe et bien pesé de cette histoire de corruption qui est en grande partie basée sur des faits réels.

Je le conseille, mais pas à n'importe qui. En plus les thèmes du film me sont particulièrement d'actualité en ce moment dans ce que j'étudie, peut-être est-ce pour ça que j'ai bien apprécié. Ah, et Matt Damon est bien bon.

Moi j'ai juste trouvé ça plate.

La fin du film pourrait être intéressante, mais quand on y arrive on est trop écœuré pour s'investir pis essayer d'aimer ça.

Sur une note plus personnel je suppose, je n'ai pas aimé le film surtout parce que je me calissais de ce qui pouvait arriver au personnage principal. Je l'ai trouvé complètement inintéressant et sa personnalité était tellement changeante que c'était trop difficile de le suivre (même si ça faisait partie du scénario du film)ça m'a semblé random.

Pis anyway en partant quand j'ai vu que c'était à partir de fait vécu j'ai su que ça serait merdique. Dernièrement je n'ai eu que de mauvaises expériences avec les faits vécus.

Pis l'acteur est peut-être "bon", mais j'aime pas ce gars.

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J'ai loué Babine. J'ai vraiment aimé ça, malgré certaines lacunes évidentes. J'ai trouvé ce film rafraichissant et original. Le scénario aurait pu être mieux travaillé, ainsi que le jeu d'acteur de Julien Poulin au début qui m'a déçue.

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wolverine.jpg

X-Men Origins: Wolverine, Gavin Hood, 2009

C'est un film, tout comme les autres de la série, qui réussit bien à captiver mon attention de par son univers fantastique, ses effets spéciaux ainsi que.. sa simplicité narrative.

J'ai bien aimé en général.

Drôle de fait: le personnage de Gambit est incarné par Beau, Kevin du Dépotoir.

gambit1.png

gambit2.png

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Je suis allé voir le film Questions nationales à la maison du cinéma de Sherbrooke (c'était un des seuls cinémas au Québec à le présenter).

Résumé : Tourné en français, anglais et catalan en 2007 et 2008, particulièrement lors des campagnes électorales québécoise et écossaise, le film s’ouvre, sur la scène politique locale, aux arguments de Bernard Landry, Gilles Duceppe, Jonathan Valois, Louis Bernard, Stéphane Dion ainsi qu’aux réflexions de Louis Balthazar, Guy Laforest, Jocelyn Letourneau, pour ne nommer que ceux-là. Les réalisateurs ont aussi recueilli les propos de nombreux intervenants majeurs dans le débat sur la question nationale en Écosse et en Catalogne.

Mon commentaire : Ce documentaire réalisé sans grands moyens financiers pousse à une réflexion intéressante sur le droit à l'autodétermination des peuples, incluant celui de se séparer.

7/10

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nakedcity.jpg

The Naked City

Jules Dassin, 1948

Avant que quelqu'un ne le demande: oui, ils sont dans la même famille, c'est son père. Joseph est Français, mais Jules est né aux États-Unis, de parents russes. Il a réalisé plusieurs films noirs importants en sol américain, parmi lesquels "The Naked City" dont on se souvient principalement pour une chose: il est tourné à 100% dans les rues de New-York, aucun décor, aucun figurant, aucune rue bloquée; comme un documentaire.

Ce qui est super intéressant sur papier... l'est tout autant sur pellicule. C'est la force du film; sa direction photo (oscarisée d'ailleurs...) est succulente. C'est un hommage à New York aussi vibrant que "Manhattan" de Woody Allen. Mais malheureusement, le scénario est assez prévisible, les acteurs sont très moyens et la narration en voix-off est extrêmement maladroite. Le film noir et le néo-réalisme se rencontrent, mais bien que le mélange soit intéressant, il n'est somme toute pas tout à fait concluant.

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