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Le dernier film que vous avez vu


Déchet(s) recommandé(s)

Le Prénom. Un film français que je me suis surpri à rire de temps à autres, malgré des longueurs inutiles, des obstinade sans but, à part ralonger le film.

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  • 2 semaines plus tard...

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Je suis Dina

Dina est extraordinaire comme personnage, une femme terriblement résistante moulée par les malheurs du hasard, la cruauté d'un père affreux et d'un monde qui repousse les femmes en général. Sociopathe ? Peut-être. Elle a une force de vivre qui n'a d'égal que son pouvoir de répandre la mort. Son coeur bat comme les coups d'un canon. L'image est est magnifiquement grise et froide, à l'image des paysages et des yeux de Dina. Lourd, violent, intense, magnifique et passionné. C'est beau à mourir.

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The Night of the Hunter : Très bien ! 8/10.

Gravity : Film nul. Histoire (?) inepte et ennuyeuse. Images numériques parfois intéressantes et ça s'arrête là. Il y a plus de quarante ans, Kubrick filmait lui aussi l'espace et c'était déjà beaucoup mieux que dans ce film. C'est gênant. 5/10 pour la forme.

The American : Je me suis bien bidonné devant tous ces plans ô combien contemplatifs qui n'ont aucune raison d'être. Tout de même, j'ai bien aimé. Je lui donne un joli 6/10.

L'Homme à la caméra de Vertov : Bien.

The Wolf of Wall Street : Étonnamment très bon. 8/10 !

Ocean's Eleven : 3/10.

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Blue Jasmine

C'est le premier film de Woody dont j'ai réussie à passer à travers.

C'est aussi le premier film que je regarde sur mon téléphone Nexus.

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Cate Blanchet est tellement délicieuse dans son personnage de femme avec une langue de vipère qui crache sur le monde ordinaire et que se mord la queue.

Modifié par Nouveau Projet
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La neuvième porte (Roman palanski)

l'intégrale de Don Camillo (les 5 films)

Le château de ma mère

la gloire de mon père

la purge

raport minoritaire

Total Recall (Version récente)

Juge Dred (Version récente)

Carrie (2013)

Fatso

Et ça c'est juste cette semaine.

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Contrairement à toi Carlos, j'ai adoré Gravity.

J'aime les films dans l'espace par définition, que ce soit l'Odyssée et ses images sublimes ( qui finissent même par m'assoupir au bout d'un moment, fait rarissime), que des films plus discutables comme le Solaris ( l'adaption, je n'ai pas encore vu l'original), tout simplement parce que je considère toujours le décor comme un cadre contraignant duquel on doit extraire de valeurs principales: la contemplation, et le huit-clôt (pour moi intrinsèque). A partir du moment où ça devient du Armageddon ou du Space Cowboys, on me perds, quand même. Mais Gravity est pour moi un film contemplatif exemplaire, un huit-clôt en position foetale, avec une ambiance juste faite de silence et comme son nom l'indique de gravité. Le retour sur Terre de Bullock est juste jouissif, je me suis incroyablement sentie emportée par l'apesanteur du début et par le choc retour au réel, j'ai trouvé le contraste magnifiquement bien mis en scène. D'ailleurs pour moi ce genre de film ne peut pas composer un scénario réaliste si celui ci se complexifie trop: l'hallucination est d'ailleurs une ingrédient random des films dont l'action se déroule dans un vaisseau spacial (surtout si celui ci vient de la Terre... Le spectateur peut se douter d'avance que la technologie humaine, face à l'immensité de l'espace, va montrer ses failles à un moment donné du film), c'est clairement un indice scénaristique sur le parti pris fantastique de la plupart des films qui se déroulent dans l'espace et qui tentent de garder un pied dans le réel. C'est aussi une facilité que Gravity survole de façon très intéressante, "l'espace d'un instant".

Bref, j'adore les films qui associe le fond avec la forme de façon désuète. La simplicité du scénario laisse place à l'ambiance et à un rythme tout en subtilité, comme si on flottait. Je lui mets au moins un 8/10

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Cidade de deus vient de ressortir en version remasterisée. C'est un putain de grand film de Fernando Mireilles.

Même ce coquin de Carlos a dû aimer le film, c'est tout dire !

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Cidade de deus vient de ressortir en version remasterisée. C'est un putain de grand film de Fernando Mireilles.

Même ce coquin de Carlos a dû aimer le film, c'est tout dire !

J'en doute.

En même temps, les goûts de Carlos sont insaisissables.

La Grande Bellezza

(La grande beauté)

Étrange objet, tant dans le propos que dans la réalisation. Ces travelling rapides et obsessionnels sur une Rome figée dans les palais et les sculptures. Des bourgeois entre deux âges qui célèbrent le vide. Comme une série de tableaux lents aux accents surréalistes. Une fin un peu endimanchée, mais un voyage intéressant.

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Hier, j'ai vu God Bless America.

Et j'ai trouvé que c'était de la pure dope

Très très drôle tout en étant une super critique sociétale.

J'ai pas arrêté de le conseiller à tout le monde

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J'en doute.

En même temps, les goûts de Carlos sont insaisissables.

L'Homme à la caméra de Vertov : Bien.

The Wolf of Wall Street : Étonnamment très bon. 8/10 !

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