Le dernier film que vous avez vu

[Commissaire Laviolette]

J'ai peur d'imaginer ce que pense Carlos des gens qui choisissent l'oeuf à la Poule aux oeufs d'or!

[homme privilégié]

J'ai peur d'imaginer ce que pense Carlos des gens qui choisissent l'oeuf à la Poule aux oeufs d'or!

Pas grand chose. Par contre, je peux t'avouer que je suis si condescendant que j'éprouve un certain mépris pour tous ces gens qui achètent les billets de loterie.

Ta blague était nulle à chier. Essaie plus fort la prochaine fois.

[Bobraie]

Jane eyre

[Esch]

Tu te défends bien, Carl.

[Commissaire Laviolette]

Pas grand chose. Par contre, je peux t'avouer que je suis si condescendant que j'éprouve un certain mépris pour tous ces gens qui achètent les billets de loterie.

Ta blague était nulle à chier. Essaie plus fort la prochaine fois.

C'était une blague rhétorique qui souligne l'absurdité de votre débat. Je trouve ça bon moi.

[Purosangue]

Ça met en scène un jeune Fabrice Lucchini aussi pédant que lors de ses passages aux talks show de fin de soirée.

Ça fait en sorte qu'il cite bien des gens outre-tombe ad nauseam et que son phrasé donne l'impression qu'il joue dans une pièce de théâtre.

Il campe le rôle d'un écrivain dans la force de l'âge qui doit écrire un faux journal intime d'un pauvre type qui tombe en amour.

Pour que ça soit plus authentique il décide de vivre l'expérience qu'il va dactylographier.

Son copain libraire lui prodigue des conseils pour que l'aventure soit le loufoque possible.

Bref une une petite satire légère sans happy end.

[neglisse]

Le reste de ton message sensé me concerner est ridicule

C'est pas sensé écrire sensé quand on est censé écrire censé.

tk.

[Purosangue]

Ça joué à TeleQc hier. C'est fou ce que la coke peut faire.

Vraiment un monde fascinant celui des pornstar.

Commentaire d'outre-tombe: je suis bien content d'avoir le DVD dans mon étagère, ne serait-ce que pour l'étrange bonus nous montrant de longues séquences tirées du tournage avec le faux pénis en plastique...

Modifié 3 février 2013 par Martin NaCl

[homme privilégié]

C'est pas sensé écrire sensé quand on est censé écrire censé.

tk.

Veux-tu que je fouille l'ensemble de tes messages pour te montrer les centaines de fautes qui s'y trouvent ?

C'est fou ce que la coke peut faire.

Que veux-tu dire ici ?

J'en profite aussi pour te demander qu'est-ce qui motive ta propension à truffer tous tes messages de références ou de vieux messages superflus.

__________________

J'ai vu The French Connection : correct !

[neglisse]

j'en ai jamais vu une

[Purosangue]

1-La coke lui a fait perdre sa capacité à avoir des érections *sur commande*

2-La coke lui a donc fait perdre la qualité essentielle pour son boulot.

3- La coke lui a fait perdre le peu de jugement qu'il lui restait.

4 La coke l'a donc amené à vendre de la coke pour satisfaire son goût pour la coke.

5 La coke l'a même amené a se prostituer.

On dit que ce film a été inspiré par la vie de John Holmes. Troublant ce personnage.

C'est un devoir de mémoire tout simplement mettre des quotes. Comme quoi les autres n'ont pas écrit pour rien.

[Humbert Humbert]

Tightrope avec Clint Eastwood et Geneviève Bujold.

Un policier sur la piste d'un tueur de femmes voit son lien avec sa proie devenir de plus en plus serré.

Quelques scènes troublantes.

Réalisation "typique" de ce genre de productions. Le scénario est assez banal mais le suspense est accrocheur et la performance de Clint est directe sur la note. Le protagoniste est plus crédible que Dirty Harry bien qu'ils soient du même moule.

[Echo]

[homme privilégié]

Valérie au pays des merveilles de Jaromil Jireš

excellent film. Je ne dis pas pourquoi. Allez le voir.

[Chicken of the infinite]

Coma (1978)

Réalisé par Michael Crichton; basé sur un roman de Robin Cook, nous avons affaire à un suspense de "science-fiction molle" où le protagoniste (Geneviève Bujold) est une femme médecin intelligente, en quête de vérité. J'irais jusqu'à dire que ce film est imbibé de féminisme sans pour que ce soit pour autant "criant".

Notre actrice principale aura eu la chance de partager des baisers et des accolades sensuelles avec un jeune et beau Michael Douglas en plein dans la fleur de l'âge. (mmmm)

J'ai aimé malgré quelques passages quétaines. J'ai aussi aimé la musique stressante à la "Psycho" qui accompagnait les scènes où le drame et l'action se la jouaient "pleins feux".

L'histoire est angoissante (surtout que je doive me faire opérer pour les amygdales soon [ça m'aide vraiment pas à me détendre]) et nous présente notre charmante madame Bujold impuissante devant des cas de comas mystérieux et de mort cérébrale suite à des anesthésie pour des opérations qui devaient se révéler somme toute; simples. Elle enquêtera au péril de sa vie sur ces "morts suspectes" (lol le titre francophone; fallait je le plug).

[Caféïnomane]

Seven Psychopaths

Une histoire racontée de façon intéressante, un des personnages principaux étant un scénariste voulant écrire le film en soi. On assiste donc à la création et au résultat final à la fois. J'ai apprécié la façon que c'était incorporé et le rythme du film. La présentation des personnages se succède tels des chapitres. La photo est conventionnelle, rien à dire là dessus.

Le jeu de Christopher Walken m'a plu énormément, une grande retenue de sa part. Tom Waits apporte un côté doux-déluré-ludique très plaisant. Sam Rockwell a l'air de s'amuser comme un petit fou dans son rôle. J'aurais aimé que la relation du scénariste et de son ami voleur soit mieux amenée, qu'on comprenne comment ils se sont connus, il s'agit d'un détail mineur, reste que leur amitié me semble fortuite.

[Purosangue]

My Blueberry Nights de Wong Kar-wai

Ça passé hier à Télé Québec. Je voulais justement découvrir ce réalisateur. C'est un road movie sur les bizarreries du destin et sur l'univers du poker. Natalie Portman joue un des ces personnage qui te mindfuck l'esprit. Tk la caméra est nerveuse et te couvre d'images sublimes style *HDR*.

Je quote panorama-cinéma:

Wong Kar-Wai tourne encore et toujours pour sa propre personne. On imagine son zèle à planifier d’innombrables heures durant les cadrages du petit café de Jeremy (Jude Law) et des stratégies à user lors des plans extérieurs. La fumée de cigarette comme élément esthétique? Le coucher de soleil aux couleurs de myrtilles? Pourquoi pas, dirait-il. Chez lui, tout fait partie d’un monde à part déconnecté des politiques, des frontières et des langues pour ne surligner que la notion du temps; tous les êtres nivelés, tous n’ont plus qu’un seul ennemi et c’est cette damnée horloge.

Il y avait aussi Thalassa à TV5. Le bout sur les Cyclades était fabuleux.

Modifié 19 février 2013 par Pomme & Cannelle

[Commissaire Laviolette]

Seven Psychopaths

Une histoire racontée de façon intéressante, un des personnages principaux étant un scénariste voulant écrire le film en soi. On assiste donc à la création et au résultat final à la fois. J'ai apprécié la façon que c'était incorporé et le rythme du film. La présentation des personnages se succède tels des chapitres. La photo est conventionnelle, rien à dire là dessus.

Le jeu de Christopher Walken m'a plu énormément, une grande retenue de sa part. Tom Waits apporte un côté doux-déluré-ludique très plaisant. Sam Rockwell a l'air de s'amuser comme un petit fou dans son rôle. J'aurais aimé que la relation du scénariste et de son ami voleur soit mieux amenée, qu'on comprenne comment ils se sont connus, il s'agit d'un détail mineur, reste que leur amitié me semble fortuite.

J'ai vu aussi. Je me suis officiellement marré. Le film fini par se mordre la queue et le rythme et le personnage de Sam Rockwell en souffre, mais au final, ce film de dialogue et de personnages déjantés est fidèle à l'esprit que nous avait démontré McDonagh avec In Bruges.

[Humbert Humbert]

Two Mules for Sister Sara

Don Siegel, 1970

Un cowboy solitaire vient au secours d'une nonne et trouve un intérêt pécuniaire à l'aider dans sa mission contre l'armée française. Un bon western qui n'est pas sans quelques longueurs. La chimie entre Eastwood et MacLaine est presque mignonne et les deux acteurs sont au sommet de leur art. Un mélange agréable entre l'action et la comédie, appuyé par la réalisation expérimentée de Don Siegel. Un classique de son genre.

[Purosangue]

J'écoute de plus en plus le canal The Movie Network Encore. Hier je me susi tappé une comédie mettant en vedette Jack l'homme caractériel qui par un renversement de situation devient le bon *Jack*. Ça donne de l'espoir disons.