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Le dernier film que vous avez vu


Déchet(s) recommandé(s)

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Voilà REC 3 qui sort, ne vous attendez à rien de ce que vous avez pu voir avec le 1er ni le 2ème.

Le sérieux et le suspense n'est plus de rigueur, l'humour ne prône pas mais reste relativement présent durant tout le film. L'histoire est dissociée des 2 premiers, le scénario est basique avec quelque touches d'originalités. Un film à voir pour les fans de séries de zombies.

J'ai apprécié le film et n'avais aucune attente de lui, selon les commentaires que j'ai pu lire post visionnage beaucoup de gens sont déçu de part leurs attentes.

Il y aura apparemment le 4 nommé apocalypse.

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Voilà REC 3 qui sort, ne vous attendez à rien de ce que vous avez pu voir avec le 1er ni le 2ème.

Wow, j'ai déjà hâte de le voir. j'ai vu les deux premiers en version originale (sous-titré anglais exsite-t-il traduit?

Tu dis complètement différent? ça m'obsède là! :) Je ne pensais pas qu'il était déjà sortie..

Mais bon en attendant, j'ai regardé avant de coucher hier : Johnny got his gun de 1971. lien IMDB

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Wow, j'ai déjà hâte de le voir. j'ai vu les deux premiers en version originale (sous-titré anglais exsite-t-il traduit?

Tu dis complètement différent? ça m'obsède là! :) Je ne pensais pas qu'il était déjà sortie..

Mais bon en attendant, j'ai regardé avant de coucher hier : Johnny got his gun de 1971. lien IMDB

Complètement différent dans le sens ou le suspense est beaucoup moins présent, l'ambiance est beaucoup moins tendu. C'est relativement décontracté à vrai dire.

Il est sorti en France et en français, j'en ai aucun idée pour le Québec, le regarder en espagnole (vostfr) aurait pu être bien pour ma part, je ne pense pas qu'il y ai de séance de toute façon.

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Analysé sous cette angle, c'est un peu moins intéressant. Mais il a tout de même 6.4 sur IMDB. d'habitude au dessus de 6 c'est tolérable à bon...:)

Je crois que ma soif de zombie et le fait que tu as écrit 'j'ai apprécié' m'a illusionné quelques peu. Ceci étant dit, je vais quand même y donner sa chance!

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Si comme moi tu aimes les films de zombies il ne te décevra surement pas.

Ce que j'ai dis, c'est que beaucoup de gens ont été deçu du film qui n'est plus à l'image des deux premiers. Mais ça reste un film à voir pour sûr !

Ah oui, important à savoir : ce n'est plus filmé à la première personne.

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Effectivement, je suis comme toi, je suis fan. J'ai même commencé à écrire un film sur le sujet. Mais pour le sujet présent, J'avais bien aimé cette façon de filmé bien que dans le 2ième, j'avais l'impression que le caméraman était trop souvent là juste au bon moment avant de voir l'évênement comme si par hasard n'avait plus de sens. Mais, il était quand même très bon!

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  • 2 semaines plus tard...

L'image sur la bande annonce de REC 3 est crissement dégueulasse ça me donne pas le goût de cliquer dessus :hein:

C't'un film de Zombie, le smatt... oui il y a du sang et bien plus.

as tu d'autres commentaires aussi pertinents ?

Un film romantique qui a l'air trop romantique... ?

Un film d'action avec trop d'action... ?

_________________________________________________

INCEPTION, enfin...

pas besoin de dire c'est quoi...

Nettement moins épique que tout le battage autour.

Mais ca restait chouette comme idée...

Fin de merde...

Peace.

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09t3loqb.jpg

King of New-York

Abel Ferrara, 1990

Un truand récemment sorti de prison veut reprendre contrôle de la ville de New-York et débute l'anéantissement systématique des compétiteurs dont le business est moralement répréhensible. Une belle découverte. Christopher Walken est au sommet de son art. Beaucoup de futures stars dans la distribution, dont Laurence Fishburne et Wesley Snipes. Une beau travail de direction photo, les couleurs sont superbes. Je vais définitivement me plonger dans la filmographie de Ferrara.

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(modifié)

09t3loqb.jpg

King of New-York

Abel Ferrara, 1990

Un truand récemment sorti de prison veut reprendre contrôle de la ville de New-York et débute l'anéantissement systématique des compétiteurs dont le business est moralement répréhensible. Une belle découverte. Christopher Walken est au sommet de son art. Beaucoup de futures stars dans la distribution, dont Laurence Fishburne et Wesley Snipes. Une beau travail de direction photo, les couleurs sont superbes. Je vais définitivement me plonger dans la filmographie de Ferrara.

Bad Lieutenant, Fear City et Ms.45 du même auteur évoluaient tous dans ces eaux-là eux aussi.

Je n'ai pas vu King of New York (ni The Funeral, toujours avec Walken). J'aimerais bien remédier à la situation, mais avant je souhaite surtout visionner China Girl.

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INCEPTION, enfin...

pas besoin de dire c'est quoi...

Nettement moins épique que tout le battage autour.

Mais ca restait chouette comme idée...

Fin de merde...

Peace.

De merde dans sa remise en question de tout le film? Au contraire, c'est l'un des traits d'intelligence du scénario. Il pousse son propos jusqu'au bout avec c'te conclusion.

Autrement je suis bien d'accord, trop de battage. Mais c'est généralement ce qui arrive quand un blockbuster moindrement intelligent pointe le bout de son nez à-travers les productions estivales hollywoodiennes pré-mâchées.

Modifié par Carriériste
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Je viens de voir Le Corbeau . C'est un film inspoiré de l'oeuvre d'Edgar Allan Poe. J'ai trouvé ça correct mais je ne serais pas surpris d'avoir oublié ce film dans 6 mois. Dans le sens où il ne me laissera pas un grand souvenir.

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Le dernier film que j'ai maté est Intouchables.

intouchables-d-eric-toledano-olivier-nakache-10572587oueyh.jpg?v=2

Un jeune de banlieue cherche à faire signer son refus d'embauche histoire de toucher les aides sociales. Mais l'employeur est étrangement intéresse par cette non candidature suite à quoi il recrute le jeune.

Le travail consiste à s'occuper de son employeur qui est paralysé sur son siège. Suite à quoi ils vont créer une relation atypique.

http://www.youtube.com/watch?v=Zus3ykZvmG4

Bon film, ça ne m'étonne pas que ce soit un franc succès. De l'humour et de l'émotion... À voir !

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J'ai vu China Heavyweigh, c'est un documentaire sur la boxe en Chine. C'est en Chinois avec des sous-titres français mais ça vaut la peine.

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N'ai pas peur du noir.....

Visionné hier soir avec la rachitique Katie Holmes et le talentueux (mais ben moyen ici) Guy Pearce.

Beaucoup de mauvais coups dans l'histoire, pleins de trous. Trop de questions et de "ouain mais pourquoi " à la fin du film.

C'est un remake d'un film de 1968 que je n'ai malheureusement pas vu, mais ce film de 2010 n'a qu'une cote de 4 sur 10 de ma part.

Aussi, quand je me suis mis dans la tête que les petites créatures ressemblait étrangement aux piranhas de film du même nom (piranha 3D), mon sérieux et mon oeil critique à pris le bord.

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(modifié)

the-rock.jpg

The Rock - 1996 (Michael Bay)

Un de mes collègues de travail (on bosse dans la vente de films) m'a convaincu de le regarder sous le prétexte qu'il s'agisse de l'oeuvre la plus aboutie de Michael Bay. Ayant été impressionné par le fait que le film bénéficie d'une édition Criterion (et y ayant accès gratuitement (avantage collatéral de l'emploi)), j'ai tenté ma chance.

Malheureusement, il s'agit d'un divertissement sympathique sans plus. La seule prétention que The Rock peut avoir, c'est peut-être d'incarner l'un des précurseurs au blockbuster d'action hollywoodien dans sa forme actuelle. Trop long, sans grandes surprises, le film est sauvé par de sympathiques interprétations de Sean Connery, Ed Harris et Nic Cage. Michael Bay y respecte le ratio d'explosions/minute qui a fait sa renommée mondiale. Je crois qu'il s'agit réellement de son meilleur film, chose que ne suffit pas à me le faire aimer.

À voir seulement si vous appréciez le cinéma du gars.

5/10

Modifié par Carriériste
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Ayant été impressionné par le fait que le film bénéficie d'une édition Criterion

C'est juste un contrat de distribution. Criterion n'a pas "choisi" de mettre le film dans la collection. Ils font ça parfois pour financer la sortie des films plus obscurs. Même chose pour les films de Wes Anderson (qui sont quand même meilleurs).

Tu pourras aussi trouver Robocop et Armageddon dans la collection, ainsi que le Silence des Agneaux et d'autres films assez mauvais qui sont juste là pour des raisons "alimentaires".

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Sur une autre note qui a vraiment pas rapport et qui est la raison de ma présence dans le thread (1000 mots plus tard) :

J'ai écouté Juno dernièrement et j'ai été surpris de voir que la fille qui a écrit ça (Diablo Cody) a aussi écrit Jennifer's Body. Ça me semble être tellement deux film à l'opposer et je vois comment quelqu'un qui a écrit Juno (qui est fucking excellent en passant) aurait pu écrire et produire un truc comme Jennifer's Body. Je veux dire, je part de préjugé parce que j'ai pas vu Jennifer's Body mais ça me semblait tellement être juste un prétexte pour voir Megan Fox agir en salope. Maintenant que je sais que c'est de Diablo Cody (j'ai rien vu d'autre d'elle) je me demande vraiment si c'est bon et si ça a une autre dimension caché en tant que film? Bref, quelqu'un a vu Jennifer's Body?

Je crois qu'elle avait l'intention de faire avec Jennifer's Body un film culte, tellement l'histoire et le jeu des acteurs étaient ridicule, malheureusement le public n'a pas du tout embarqué.

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C'est juste un contrat de distribution. Criterion n'a pas "choisi" de mettre le film dans la collection. Ils font ça parfois pour financer la sortie des films plus obscurs. Même chose pour les films de Wes Anderson (qui sont quand même meilleurs).

Tu pourras aussi trouver Robocop et Armageddon dans la collection, ainsi que le Silence des Agneaux et d'autres films assez mauvais qui sont juste là pour des raisons "alimentaires".

Es-tu certain?

Parce que Criterion a pris la peine de publier un éditorial qui cautionnait la présence d'Armageddon dans leur catalogue. Ils y expliquent pourquoi ils le considèrent comme un ajout pertinent.

Despite what you may have heard, Armageddon is a work of art by a cutting-edge artist who is a master of movement, light, color, and shape—and also of chaos, razzle-dazzle, and explosion. (It was no surprise to me to learn that as a thirteen-year-old, director Michael Bay blew up his toy train set with firecrackers so he could photograph the result with his mom’s 8mm camera.) If he weren’t working in Hollywood, Bay would be the darling bad boy of the intelligentsia. As it is, he sometimes falls under suspicion for having been nominated for multiple MTV Awards, and for having won every accolade available to directors of commercials, including the Clio and the prestigious Director’s Guild of America “Commercial Director of the Year” title. Armageddon is only his third movie, but it came under fire from some critics who had praised his second, The Rock, and for its same characteristics: fast cutting, impressive special effects, and a minimum of exposition.

The first time I saw Michael Bay, he was a polite eighteen-year-old who stopped by my office at Wesleyan University to tell me he wanted to major in Film Studies. He also asked me if I would like to see his still photographs. As a teacher, I believe there is only one answer to that question: “Of course.” (It’s my job.) Over the years, I’ve seen a great deal of material from freshmen—short stories, novels, plays, ceramics, paintings, sculptures, prints, fashion designs, videos, computer art, movies in 8mm and 16mm, even recipe collections—but I have yet to see anything like Bay’s high school photos. They were astonishing—revealing an amazing eye for composition, an instinct for capturing movement, and an inherent understanding of implied narrative. Later, I saw this same ability in film classes. In history/theory, he listened intently, but said little, speaking mostly to ask keen questions or to deal with what he felt was nonsense from his peers. But in film production classes, he was the Road Runner, taking off on his own, needing little guidance. His senior film, Benjamin’s Birthday, won Wesleyan’s Frank Capra Prize for Best Film, and it was definitely what we now know as a “Michael Bay Film.” It was funny. It was fast. And it featured a very ritzy yellow Porsche. It told its story clearly, but in a highly nonverbal manner. Bay was ahead of his age group, but he was also ahead of his time. He still is.

It is true that Armageddon, a perfect example of Bay’s work, illustrates his “take-no-prisoners” form of storytelling, in which he trusts an audience to figure things out. (One of its strengths is its minimum of dreadful exposition that over-explains the inevitable pseudoscience.) Yes, it gives audiences a lot to absorb. Yes, it cuts quickly from place to place, person to person, event to event. But it is never confusing, never boring, and never less than a brilliant mixture of what movies are supposed to do: tell a good story, depict characters through active events, invoke an emotional response, and entertain simply and directly, without pretense.

Armageddon is not for the faint-hearted, the slow-witted, or the dim-eyed. (Those who claim that it was hard to tell where characters were in relation to each other in the space should take another look.) Consider how the film explains what Harry Stamper’s (Bruce Willis) vacationing crew is doing when he sends out the word he needs them. In little more than one minute of screen time, five key characters are identified, established in a specific environment, shown relating to others, given distinct personalities, and defined in ways that indicate how they will behave on the later mission. (If that’s not screenwriting, what is?)

At its core, Armageddon is a genre picture, and like all genre pictures that arrive late in the cycle, it has been subjected to misinterpretation. Although it qualifies as a science fiction/disaster movie, I see it as an epic form of the old Warner Brothers movies about working-class men who have to step up and rescue a situation through their courage, true grit, and knowledge of machines—productions such as Raoul Walsh’s Manpower (1941) and Alfred E. Green’s Flowing Gold (1940). The “science fiction” or “disaster movie” elements of Armageddon fit into the epic form—a form that exists to make movie stories we already know grander, larger, and more “real” in historic setting. (A failed epic settles for the definition put forth in Nicholas Ray’s 1950 film In a Lonely Place: “. . . a picture that’s real long and has lots and lots going on.”) Armageddon is grand, large, and set at NASA, but, the story of Stamper, his daughter, and his hard-living, oil-drilling buddies is the kind of movie that has previously been smaller and tighter. This film makes these ordinary men noble, lifting their efforts up into an epic event. Here, working men are not only saving the overeducated scientists and politicians who can’t do anything (and who probably went to Yale and Harvard), but, incidentally, the entire population of the planet.

Modifié par Carriériste
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  • 2 semaines plus tard...
  • Jpeg a libéré ce sujet

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