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Voulez-vous que je crée un thread à part sur les médocs ?


Message ajouté par ÉcoModo,

Ce sujet a été créé à partir du fil de discussion "Le sujet dont tout le monde se câlice".

Vos médicaments  

11 membres ont voté

  1. 1. Prenez vous de la médication (à l'exception des médicaments courants comme Advil et Tylenol) ?

    • Oui, pour mes maux d'âme
      3
    • Oui, pour mes maux physiques
      1
    • Oui, pour mes maux d'âmes ET physiques
      1
    • Non, mais j'en ai déjà pris
      1
    • Non, je n'en ai jamais pris
      5


Déchet(s) recommandé(s)

J’ai pensé à la fibromyalgie, mais bon, ses médecins ont probablement déjà investigué cette avenue. Sinon, ça ressemble à un genre de COVID longue, mais bon, je pense que tu vis ces symptômes depuis bien avant que la COVID ne soit un truc.

Si ce n’est pas déjà fait, tu pourrais voir du côté des regroupements ou associations de personnes aux prises avec les maladies orphelines. Ça permet d’échanger avec des personnes dans la même situation que toi (et soulager le sentiment d’isolement et de perte de sens que cela engendre souvent), et aussi de considérer certaines pistes que tes médecins ou toi-même n’auraient pas pensé investiguer.

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il y a 56 minutes, Orphelin du crazy a dit :

Tu fais mention que cela ressemble à une dépression. Aurais-tu une carence en sérotonine?

Tu viens de me donner une idée pour une autre piste à explorer avec mon médecin quand je le reverrai dans un mois et demi; augmenter le trazodone pour le faire passer d'un simple somnifère à un antidépresseur. Étant donné que le trazodone est dans une catégorie à part de médicament et qu'il cible des zones spécifiques du cerveau, je n'ai pas d'impression de hauteur extrêmement désagréable en le prenant comme j'ai toujours avec les anxiolytiques, antidépresseurs ou antipsychotiques.

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il y a 22 minutes, Ecce Homo a dit :

J’ai pensé à la fibromyalgie, mais bon, ses médecins ont probablement déjà investigué cette avenue. Sinon, ça ressemble à un genre de COVID longue, mais bon, je pense que tu vis ces symptômes depuis bien avant que la COVID ne soit un truc.

Le troisième neurologue que j'ai vu m'a dit que j'ai passé une IRM pour la sclérose en plaques (qui donne des coupes plus fines), et n'ont rien trouvé d'anormal sur les scans, mais je ne crois pas qu'ils aient investigué pour la fibromyalgie ou des troubles qui s'en rapprochent. J'en parlerai à mon psychiatre à ma prochaine consultation.

il y a 22 minutes, Ecce Homo a dit :

Sinon, si ce n’est pas déjà fait, tu pourrais voir du côté des regroupements ou associations de personnes aux prises avec les maladies orphelines. Ça permet d’échanger avec des personnes dans la même situation que toi (et soulager le sentiment d’isolement et de perte de sens que cela engendre souvent), et aussi de considérer certaines pistes que tes médecins ou toi-même n’auraient pas pensé investiguer.

Mon ergothérapeute m'avait déjà fait la suggestion. Peut-être quand j'aurai épuisé toutes les options et accepté mon sort. De toute façon, les portes se ferment devant moi, et bientôt, je n'aurai plus accès à un neurologue qui travaille au public à qui proposer ces pistes. C'est sans doute même déjà le cas.

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  • 1 mois plus tard...

Je suis graduellement passé de 20mg de Vyvanse et de 50mg de Dexedrine à 100mg de caféine au cours des dernières semaines. Dans les prochains jours, j'éliminerai complètement les stimulants de ma vie jusqu'à ce que ma condition disparaisse avec eux. Combiné à l'activité physique que j'ai commencée en décembre 2022 et à une prise de somnifères plus importante, je pense avoir les conditions gagnantes pour retrouver un état qui se rapproche de la normalité, peut-être dans quelques mois, voire quelques années de travail d'arrache-pied. Ça vaut le coup d'essayer.

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Je crois que les injections d'Abilify de @Lux ont détruit son âme.

👀

Pour ma part je suis sous Luvox et Clozapine.

La Clozapine est un médicament de dernier recours. Je ne répondais à aucun traitement alors ils l'ont introduit. C'est une médication dangereuse et dure sur le système.

Ils m'ont starté ça à 300 mg et je peux dire à ce jour avec beaucoup de fierté que je suis maintenant à 37.5 mg et que je me maintiens dans ma stabilité. 

Je sais que c'est relatif, je ne suis pas la personne la plus stable du monde mais ça c'est dû à mon axe 2. Trouble de la personnalité du Cluster B. Les TP ne peuvent être traités avec une médication alors je me fend le cul en thérapie pour réduire les symptômes liés à mon trouble. ...

Qui me fait beaucoup plus chier que mon axe 1.

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Le 2023-01-20 à 10:01, men are trash a dit :

En fait, ce sont les plus fréquents, mais j'ai eu aussi un bon nombre de symptômes physiologiques, cognitifs, affectifs et comportementaux : gorge serrée, douleurs lombaires et cervicales (ou devrais-je écrire : propension à les déclencher plus facilement en m'entraînant), hot flashes (comme un début d'attaque de panique), fatigue extrême, insomnie, troubles de la concentration, inquiétudes diverses et obsessions. Quand mon anxiété se limite à peu près aux palpitations et au souffle court, je peux considérer qu'elle est sous contrôle.

 

J'ai consommé un Concerta 5 ou 6 jours par semaine pendant près de six mois. Quant à la Vyvanse, je n'en prenais que 2 jours par semaine, de septembre à la fin du mois de novembre. L'effet se ressemble beaucoup dans les deux cas, quoique évidemment, je m'étais davantage habitué au Concerta à la longue et il ne m'allumait pas autant que ces 2 comprimés de Vyvanse, molécule à laquelle je ne me suis jamais habitué étant donné la faible fréquence de consommation.

Ça me donnait probablement de l'énergie, oui, comme n'importe quel stimulant saurait le faire.

J'ai un peu de mal à me fier aux paroles d'un médecin. Pour la simple raison que les discours varient énormément et que la littérature sur un tel sujet ne cesse d'évoluer. À cela faut-il ajouter que le médecin généraliste n'a, à moins de s'y être intéressé lui-même post-formation, pas une connaissance particulièrement approfondie des médicaments psychotropes ou des mille et une névroses qui existent. Par exemple : une petite recherche me fait savoir que mélanger alcool et Cymbalta est une mauvaise idée. Quand je me suis fait prescrire le médicament, j'ai posé la question à la médecin et elle n'a fait que balayer la tête un peu niaisement comme s'il n'existait pas la moindre interaction entre les deux substances.

Je ne suis ni psychiatre, ni neurologue, mais permets-moi de douter qu'il n'y a aucun danger à consommer quotidiennement quelque chose qui défonce autant que 54 mg de Vyvanse pendant plusieurs années.

Update : hier était ma 53e journée sous Cymbalta. Je me sens très bien, mais dur de savoir si c'est imputable au médicament, ou plutôt au simple pouvoir du temps qui panse tous les maux. Un seul effet secondaire : la libido en a pris un petit coup. Et cette histoire de sevrage censé être pire avec le Cymbalta qu'avec les ISRS m'inquiète un tantinet. Je suis donc allé consulter un énième médecin qui m'a prescrit une énième molécule pour remplacer le Cymbalta, que je vais commencer par diminuer à 30 mg, voir si ce changement à lui seul ne m'aiderait-il pas à retrouver ma libido de jeune vingtenaire dégoulinant de testostérone.

Révélation

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C'est apparemment un médicament qui peut aussi aider les personnes aux prises avec un TDAH. Bien curieux de voir ce qu'il en est.

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@men are trash

Est-ce que le Cymbalta ou une marque d'anti-dépresseur t'as déjà filé des problèmes érectiles?

Je me souviens que l'Effexor a été terrible sur ma libido. Ça faisait patate. Difficile d'atteindre un orgasme. 😐

Ha et puis sous Rhisperdal (anti-psychotique) c'était encore pire. Zéro orgasme pendant les 3 mois de la prise.

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C'est parfois un peu plus long d'avoir une érection complète (alors que sans antidépresseur, je suis déjà tout dur rien qu'à frencher), et parfois ça stagne à 80 %, mais ce n'est rien de dramatique. Je ne me suis pas masturbé depuis des semaines par contre, et c'est ce que je trouve le plus étrange.

Je connais une fille sous Effexor depuis des lustres et, aux dernières nouvelles, elle n'a pas couché avec son chum depuis 3 (ou 4?) ans.

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C'est plate que ça lève pu quand tu frenches! Tsé c'est une partie intuitive, agréable et essentielle du foreplay... As-tu l'impression d'avoir perdu quelque chose en ce sens? Messemble ça doit t'affecter dans ton vécu et ton ressenti de ta vitalité.. ?

--------------------

Sérieux c'est ravageur et handicapant les neuroleptiques. On m'en a fait essayer beaucoup et de toutes les gammes (antidépresseurs, stabilisateurs de l'humeur, anti-psychotiques, benzodiazépines, psycostimulants + autres cochonneries). Le pire c'est qu'ils sont tous uniques et surprenants quand vient le temps des effets secondaires. 😐

En tout cas j'en ai vu de toutes les couleurs.

À 23 ans, j'avais 7 molécules différentes.

Je pense que le pire aura été ma réaction d'akatysie suite à l'absorption d'une apparente trop forte dose d'Abilify [Perros]. J'étais tellement agitée que je devais marcher une trentaine de km par jour (ou plus? Je sais pas vraiment quelle genre de distance on peut parcourir en marchant 18H par jour) .. jour et nuit sans être capable de m'arrêter (même à 5H du matin dans la tempête). Mes pieds étaient écorchés au sang (et faisaient un mal fou) et pourtant.. je poursuivais ma perpétuelle marche d'aliénée. Il n'y avait que les quelques heures de sommeil qui me restaient qui avaient le pouvoir de m'arrêter.

Also, je suis descendue à 105 livres.

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Il y a 19 heures, men are trash a dit :

elle n'a pas couché avec son chum depuis 3 (ou 4?) ans.

soit, comme elle, il n'est pas porté sur la chose, soit il est d'une patience exemplaire. :wide_eye_pepe:

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  • 2 semaines plus tard...

Jour 4 sans Cymbalta. Vertiges, nausées, irritabilité et sensations étranges et succinctes d'engourdissement forment mon quotidien depuis dimanche. Cette cochonnerie doit bien avoir été conçue expressément pour qu'on s'y abonne à vie. Dégoûtant.

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Il y a 2 heures, men are trash a dit :

Jour 4 sans Cymbalta. Vertiges, nausées, irritabilité et sensations étranges et succinctes d'engourdissement forment mon quotidien depuis dimanche. Cette cochonnerie doit bien avoir été conçue expressément pour qu'on s'y abonne à vie. Dégoûtant.

Ton parcours dans l'univers des antidépresseurs semble comme le mien. Quand on finit par se sentir mieux, on se demande si c'est grâce aux pilules, et quand on les arrête et qu'on se sent de nouveau mal, on se demande si c'est à cause des pilules. Un voyage pas souvent agréable et peu éclairant.

Maintenant en dehors de tout cela, ma condition mentale n'est pas meilleure, mais je fais mon possible pour ne pas avoir besoin de reprendre ces pilules maudites.

Et là je compte bien essayer les microdoses de champignons. Quelqu'un a des suggestions / conseils ?

@Retro Rick soit sur vous Merci de porter le fardeau du puceau pour nous deux, si jamais t'es tanné, fais-moi signe, je prendrai ta place.

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Déso bro si je t'ai froissé avec ma réflexion à propos des drogués dont tu fais visiblement partie et dont je me dissocie toutefois.

Ce qui n'enlève en rien le fait notoire (par chez moi, du moins)  que je fourre en masse, ne vous en déplaise mes petites lopesa. Ouin, vos petites mamans les lopesa ne comptent pas, bien entendu.

Ainsi, tu l'auras compris et merci bien de pointer du doigt ton statut qui t'es exclusif (en dehors de notre dépucelé sur le tard, Alex).

Merci de m'avoir permis d'avoir profité de cette opportunité d'enfin sortir du placard. Hélas, je ne pourrai JAMAIS, au grand JAMAIS te faire ce signe que tu attendais désespérément. :tintin-non-non:

 

@Message aux gens qui ont été attirés par le titre de ce topic :

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« Ce qui n'enlève en rien le fait notoire (par chez moi, du moins)  que je fourre en masse » :lol: Il n'y a qu'un puceau qui aurait pu répondre une telle phrase, avec de tels choix de mots : « le fait notoire », « je fourre en masse ». Je regrette mon petit Rétro Rick, mais ça empeste la virginité tous ces scrupules.

T'inquiète Goéland, ce que tu nommes le fardeau du puceau sied bien mieux à Rétro Rick qu'à toi, ne serait-ce parce qu'il est complètement hilarant de le voir s'évertuer à nous faire croire le contraire.

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Je fourre, bro. Et libre à moi de vouloir n'être reconnu que par mes pairs, SOIT pas par toi, pour sûr. 

P.S : le pov' dude ne s'est toujours pas remis de mon emoji "HAHAHA!" sous les photos de sa blonde moche. Dégoutant. 

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