Qu'est-ce que cela signifie "une certaine douance" ?

[Paladin.e]

il y a 6 minutes, Ecce Homo a dit :

ouan, ben c'est un peu le dilemme de l'oeuf ou la poule.

l'école fonctionne comme une microcosme où on observe des relations hiérarchisées, l'enfant est pour une raison ou une autre un peu odd comparé à ses camarades (sans nécessairement que ça soit pathologique hein), il est bullyé, incompris, rejeté, malheureux, ses résultats en sont affectés, etc. nécessairement, les parents vont chercher à comprendre pourquoi, et lee test QI devient UN outil utilisé dans le contexte d'une évaluation psychosociale plus globale.

j'assume (et j'espère) qu'on ne se contente de faire passer un test de QI au gamin et de lui dire : well, c'est parce que tu es trop intelligent, case closed.

sinon, ça ne répond pas à ta critique sur le mythe individualiste, mais c'est clair que l'individualisation des problèmes (qu'ils soient scolaires ou de tout ordre), a toujours été la réponse facile face à un système (scolaire, travail, politique, économique) cruellement exigeant et intransigeant. 

ajouté à cela le manque cruel de ressources dans notre système scolaire, ben tu as la raison du pourquoi c'est rendu comme ça.

Exact, il s'agit d'une étape à travers une batterie de tests. Tu soulèves un point intéressant sur l'individualisation des problèmes. La machine Capitale créer des problèmes et apporte ses solutions.

[Retromantique]

Tant qu'à faire, on parle du fait que tout mal être soit pathologisé?

[Mélisse]

Généralement, les profs arrivent à bien cerner les capacités cérébrales (et non l’intelligence, terme qui ne veut pas dire grand chose, en effet) des gamins. Mais ils peuvent passer à côté d’un enfant qui a de mauvais résultats parce qu’il est en décrochage scolaire parce qu’il s’ennuie. Là, le test est intéressant. Il en est surtout pour valider une sous performance. Et ça peut mettre en évidence qu’il y a autre chose comme un dys. 
il y a pas de parents aimants qui trouvent que leur merveille est au dessus des autres parce que très intelligent (peut-on leur reprocher ?), ils ont lu « trop intelligent pour être heureux » (ou l’équivalent marqueting) et vont vouloir faire passer le test. (Un psy disait avoir vu des parents en larme parce que le gamin est tout à fait normal lol)
et y’a des gamins à part, le nez dans les bouquins, qui ne s’intègrent pas. Les adultes s’inquiètent, test, et hop, hpi. Là on peut faire sauter une classe (l’interêt se discute). 
Normalement, le test de QI commence par un entretien avec le psy. S’il y a un truc dans le comportement, ça doit être relevé. Le QI (trop haut ou trop bas) n’explique pas tout, bien entendu.

du coup, le vrai problème est de trouver un psy compétent et honnête…

(dans mon coin, on en a une qui prend le double des autres, et le gamin est quasi toujours très très haut potentiel. Elle copie colle les rapports et des fois ne change même pas le nom du gamin lol alors qd des parents viennent t’expliquer comment faire pour enseigner à la 8ieme merveille du monde en citant le nom de la brave dame, c’est quelque peu agaçant ^^)

 

Le QI est un test qui est remis à jour très régulièrement, et fonctionne par tranche d’âge. Il est calibré de façon à ce que la moyenne soit 100. Et il est calibré par région, pour prendre en compte la culture (notamment la langue…). Du coup je suppose qu’un test passé en France ou au Québec ne sera pas tout à fait le même.

il est plutôt fiable pour mesurer ce qu’il mesure : différentes composantes du fonctionnement cérébral. 
 

ah oui… plus d’une fois des parents m’ont dit sous le sceau du secret que le gosse était hp mais qu’il ne fallait pas en parler pour ne pas qu’il devienne prétentieux ^^
(et tu as les autres parents, qui sont tout aussi puants d’arrogance que leur gamin lol)

C’est marrant de voir que chacun sur le fil aborde le sujet depuis son centre d’intérêt ;) 

[Retromantique]

Pourquoi on lui fait pas un Doc Mailloux à cette psy de pacotille? 

[Mélisse]

Ah ouais, il envoie du lourd, le doc 😅 

 

bah après, quelles sont les réelles conséquences de son incompétence à notre bonne femme ? Se croire plus malin qu’on ne l’est vraiment ? 
Pour moi c’est plus dur : je grince des dents en entendant certains parents débiter des conneries ^^
 

ceci dit, je sais pas si c’est si chouette et sans conséquence d’être élevé par de parents qui t’expliquent qui tu es et comment tu penses parce le test de QI dit que tu performes… Si jamais tu ne réponds pas aux attentes, tu deviens décevant. 
(ceci dit certains parents peuvent merdoyer de la sorte sans faire passer de test de QI hein…)

[Paladin.e]

il y a une heure, Mélisse a dit :

Généralement, les profs arrivent à bien cerner les capacités cérébrales (et non l’intelligence, terme qui ne veut pas dire grand chose, en effet) des gamins. Mais ils peuvent passer à côté d’un enfant qui a de mauvais résultats parce qu’il est en décrochage scolaire parce qu’il s’ennuie. Là, le test est intéressant. Il en est surtout pour valider une sous performance. Et ça peut mettre en évidence qu’il y a autre chose comme un dys. 
il y a pas de parents aimants qui trouvent que leur merveille est au dessus des autres parce que très intelligent (peut-on leur reprocher ?), ils ont lu « trop intelligent pour être heureux » (ou l’équivalent marqueting) et vont vouloir faire passer le test. (Un psy disait avoir vu des parents en larme parce que le gamin est tout à fait normal lol)
et y’a des gamins à part, le nez dans les bouquins, qui ne s’intègrent pas. Les adultes s’inquiètent, test, et hop, hpi. Là on peut faire sauter une classe (l’interêt se discute). 
Normalement, le test de QI commence par un entretien avec le psy. S’il y a un truc dans le comportement, ça doit être relevé. Le QI (trop haut ou trop bas) n’explique pas tout, bien entendu.

du coup, le vrai problème est de trouver un psy compétent et honnête…

(dans mon coin, on en a une qui prend le double des autres, et le gamin est quasi toujours très très haut potentiel. Elle copie colle les rapports et des fois ne change même pas le nom du gamin lol alors qd des parents viennent t’expliquer comment faire pour enseigner à la 8ieme merveille du monde en citant le nom de la brave dame, c’est quelque peu agaçant ^^)

 

Le QI est un test qui est remis à jour très régulièrement, et fonctionne par tranche d’âge. Il est calibré de façon à ce que la moyenne soit 100. Et il est calibré par région, pour prendre en compte la culture (notamment la langue…). Du coup je suppose qu’un test passé en France ou au Québec ne sera pas tout à fait le même.

il est plutôt fiable pour mesurer ce qu’il mesure : différentes composantes du fonctionnement cérébral. 
 

ah oui… plus d’une fois des parents m’ont dit sous le sceau du secret que le gosse était hp mais qu’il ne fallait pas en parler pour ne pas qu’il devienne prétentieux ^^
(et tu as les autres parents, qui sont tout aussi puants d’arrogance que leur gamin lol)

C’est marrant de voir que chacun sur le fil aborde le sujet depuis son centre d’intérêt ;) 

J'adhère à ta rhétorique, j'avoue être tombé dans le piège de la généralisation et j'ai laissé mes préjugés prendre le dessus sur mon impartialité. 

[Ecce Homo]

il y a une heure, Mélisse a dit :

(dans mon coin, on en a une qui prend le double des autres, et le gamin est quasi toujours très très haut potentiel. Elle copie colle les rapports et des fois ne change même pas le nom du gamin lol alors qd des parents viennent t’expliquer comment faire pour enseigner à la 8ieme merveille du monde en citant le nom de la brave dame, c’est quelque peu agaçant ^^)

Ouais, ben ça semble fonctionner comme ca ici aussi (pour le TDAH, mais forcément la douance doit être similairement touchée par le phénomène).

 

[Paladin.e]

il y a 13 minutes, Ecce Homo a dit :

Ouais, ben ça semble fonctionner comme ca ici aussi (pour le TDAH, mais forcément la douance doit être similairement touchée par le phénomène).

 

Merci pour tes nuances et pour appuyer par quelques sources mon idée sur la mercantilisation des tests de QI.

[Ecce Homo]

il y a une heure, Bananavegas a dit :

Merci pour tes nuances et pour appuyer par quelques sources mon idée sur la mercantilisation des tests de QI.

Hihihi. well, je comprends ton point de vue depuis le début, c'etait plus l'angle de trouver ça "absurde" sur lequel j'ai tiqué, parce que dans l'état actuel du système dans lequel les parents doivent évoluer, ça fait parfaitement du sens (et la beauté avec la sociologie, c'est justement que ça permet de trouver du sens à des situations qui peuvent sembler absurdes, illogiques, ou ridicules de prime abord, pour ultimement avoir une comprehension des choses qui dépasse un mode de pensée axé sur sa propre subjectivité). 

Des parents qui en sont rendus à soudoyer des professionnels pour obtenir un diagnostic de TDAH ou autre, c'est ultimement un appel à l'aide dans un système qui en demande trop, mais ne soutient pas assez. 

[Mélisse]

Ça fait très peur en effet (surtout qu’un tdah sous entend des drogues…)

c’est là que je me rappelle cette chance qu’on a en France avec notre système de santé. A partir du moment où c’est l’état qui paye, forcément y’a un frein qui limite les dérives ^^
 

En salle de profs, faut entendre les collègues râler. C’est sur qu’un gamin mal éduqué c’est plus facile de dire qu’il a un tdah et plus valorisant qu’il a un hpi.

en moyenne, par classe (trentaine d’élèves), on a 1 tdah et 1 hp. Si on écoutait les parents, on quintuplerait. 
a côté de ça, désormais, on a 10 plans d’aide à mettre en place !… (tdah, hpi !!! Si si, mais aussi dys en tout genre) euhhhhh…. Y’a pas un souci là ? Si un tiers des élèves de nos écoles a besoin d’aide à la réussite scolaire, c’est ptet un problème de santé sanitaire et ce devrait être une urgence de notre gouvernement non ? Ou alors y’a ptet un peu d’abus… 

 

l’an passé, on s’est fait allumer par des parents parce que la merveille s’ennuyait en classe. Ouais ben j’en ai 10 autres qui comprennent rien aux maths qui ont besoin absolument de moi, petit chéri peut prendre un bouquin et s’occuper seul, ou sauter une classe. 
il a sauté une classe, et tout va bien. 

perso j’ai passé ma scolarité à m’ennuyer : je dessinais et j’emmerdais personne.

[Paladin.e]

Il y a 9 heures, Mélisse a dit :

Ça fait très peur en effet (surtout qu’un tdah sous entend des drogues…)

c’est là que je me rappelle cette chance qu’on a en France avec notre système de santé. A partir du moment où c’est l’état qui paye, forcément y’a un frein qui limite les dérives ^^
 

En salle de profs, faut entendre les collègues râler. C’est sur qu’un gamin mal éduqué c’est plus facile de dire qu’il a un tdah et plus valorisant qu’il a un hpi.

en moyenne, par classe (trentaine d’élèves), on a 1 tdah et 1 hp. Si on écoutait les parents, on quintuplerait. 
a côté de ça, désormais, on a 10 plans d’aide à mettre en place !… (tdah, hpi !!! Si si, mais aussi dys en tout genre) euhhhhh…. Y’a pas un souci là ? Si un tiers des élèves de nos écoles a besoin d’aide à la réussite scolaire, c’est ptet un problème de santé sanitaire et ce devrait être une urgence de notre gouvernement non ? Ou alors y’a ptet un peu d’abus… 

 

l’an passé, on s’est fait allumer par des parents parce que la merveille s’ennuyait en classe. Ouais ben j’en ai 10 autres qui comprennent rien aux maths qui ont besoin absolument de moi, petit chéri peut prendre un bouquin et s’occuper seul, ou sauter une classe. 
il a sauté une classe, et tout va bien. 

perso j’ai passé ma scolarité à m’ennuyer : je dessinais et j’emmerdais personne.

Yo man je te comprends, asti que c'est plate l'école quand t'es un ado. C'est tellement long... faut se lever tot... tu manques toujours de sommeil pis t'es mélangé avec tous les caves qui souhaitent faire carrière chez Tim's.

[Mélisse]

Lol

 

mon problème était surtout que j’étais le souffre douleur d’un groupe de grognasses. Puis plus tard d’un groupe de garçons. C’est ça quand on manque de compétences sociales. 
 

l’ecole, surtout à l’adolescence, c’est un monde difficile. Surtout vers 12-15 ans…

[1984]

il y a 34 minutes, Mélisse a dit :

C’est ça quand on manque de compétences sociales. 

Je ne crois pas qu'on manque de quoi que ce soit quand on se fait harceler. Ce sont les autres qui manquent de compétences sociales. 

[Ecce Homo]

sinon, pour celles et ceux qui se sont fait bullyer (harceler) à l'école, à quel point cela vous a-t-il influencé dans votre vie d'adulte ? j'ai un ami qui s'est fait bullyer parce qu'il était plus petit que tout le monde, manquait cruellement d'assurance, était un peu féminin (il est homosexuel). il a eu une poussée de croissance sur le tard et maintenant il est grand, bel homme, a du succès, mais je sais que, deep down, il est marqué par son enfance et se voit encore comme un genre de loser. 

d'un autre côté, ma blonde a fait son éducation dans une école privée ultra élitiste (une école de gosses de riches où les étudiants comparaient la profession de leurs parents (untel son papa est ministre, unetelle sa maman est radiologiste, untel son papa est entrepreneur à succès), et elle, son père qui était "juste" médecin de famille, ça n'impressionnait personne, vous voyez le genre d'école de merde que c'était), a vécu du bullying aussi mais avec du recul, maintenant qu'elle est adulte, je ne sens pas que son parcours l'a particulièrement affectée dans son estime.

[Mélisse]

Je suppose que ça dépend des gens. Moi ça a rajouté une couche sur des trucs pas aidant dans mon enfance. Ça a terminé de détruire le peu de confiance en moi que j’avais. C’est d’ailleurs pour ça que les gens s’en sont pris à moi. J’étais pas très différente des autres et surtout j’étais très discrète. Mais c’était drôle de voir sur mon visage quand ça faisait mal.

Adulte aussi j’ai été bullée (dans la pension ou j’avais ma jument). J’ai fini par quitter.

C’est chiant d’être une victime et surtout de ne pas comprendre ce qui ne va pas. 
du coup thérapie de quelques années.

ma psy, le jour où j’ai demandé « pourquoi moi ? » le truc qui me taraudait depuis des années, m’a répondu que je n’avais pas le groupe pour me défendre. 
et en fait en observant mes gamins dans la cours, j’ai remarqué qu’en effet, généralement quand un gamin se fait emmerder, généralement y’a le groupe autour de lui qui fait front. 
moi j’avais pas ça : je venais d’être changée d’école. Et je suis pas douée pour me faire des copains. Du coup ça fait sens. Et c’est un truc généralement important pour les humains de faire sens dans leur « malheur ». Alors ça me va. Je manque de compétences sociales, c’est pas vraiment ma faute, et c’est pour ça que ça me va. 
le souci quand on est victime, c’est qu’on se sent coupable de l’être.

[Paladin.e]

Moi j'avais une réputation ambivalante à l'école. Étant bien bâtit et grand, je jouais dans l'équipe de basket, donc avec les ''cools'', toutefois, j'aime dire que mon secondaire s'est avant tout déroulé dans les terre d'Azeroth. Je me faisais donc moyennement écoeuré, juste assez bien bâtit pour décourager. J'avais aussi la tendance de donner le show lors des oraux. Je montais sur les tables, je faisais mon show d'humour, je me moquais des petits bullys pris au dépourvu par mon attitude décontracté. Je me souviens avoir kické les affaires d'un petit connard en montant sur sa table durant un oral... Tout le monde à rigolé et il s'est senti tout gêné.

J'ai tout de même vécu de l'intimidation auprès d'un petit geek raciste et misogyne. Pour me venger, j'ai créé un faux skyblog avec son nom, je l'ai laissé murir, j'ai créé de faux skyblog avec le nom de ses amis. Puis quand le tout est devenu assez crédible, j'ai envoyé des messages ''déplacés'' aux copines des gars bullies de mon école. 

Avec du recul, ce n'était pas très très gentil.

[Mélisse]

C’est carrément degueulasse dans mon référentiel et sanctionnable.

Mais voilà, on peut être très con quand on est jeune.

ce qui serait dérangeant pour moi serait que tu trouves aujourd’hui adulte que c’était une bonne chose. Si tu admets que c’est con et que ça ne se fait pas, c’est autre chose.

Et je dirais aussi que ce genre de chose, c’est ce qui se passe lorsque les adultes ne veillent pas. Le gamin peut décider de prendre les choses en main. Ça peut se retourner contre lui alors qu’initialement il est la victime. 
forcément je croise de tel cas régulièrement, et ça m’énerve toujours de devoir punir celui qui s’est vengé. Alors que s’il était venir me parler, j’aurais réglé le problème.

[Paladin.e]

il y a 6 minutes, Mélisse a dit :

C’est carrément degueulasse dans mon référentiel et sanctionnable.

Mais voilà, on peut être très con quand on est jeune.

ce qui serait dérangeant pour moi serait que tu trouves aujourd’hui adulte que c’était une bonne chose. Si tu admets que c’est con et que ça ne se fait pas, c’est autre chose.

Et je dirais aussi que ce genre de chose, c’est ce qui se passe lorsque les adultes ne veillent pas. Le gamin peut décider de prendre les choses en main. Ça peut se retourner contre lui alors qu’initialement il est la victime. 
forcément je croise de tel cas régulièrement, et ça m’énerve toujours de devoir punir celui qui s’est vengé. Alors que s’il était venir me parler, j’aurais réglé le problème.

Bien sure que je n'aurais pas agis de la sorte aujourd'hui, j'avais 16 ans, très immature quelques problèmes avec les prémices de la bipolarité et beaucoup de difficulté à m'exprimer. Si vous voulez la fin de l'histoire, j'ai finis par avoué que j'étais le responsable, le geek raciste ne me portait certes pas dans son coeur mais il a reconnu qu'il n'aurait pas pensé à un tel plan aussi élaboré. J'ai également rencontré les chums et les blondes et je me suis excusé. Je pense pas qu'ils m'inviteraient à prendre un verre mais au moins je n'ai pas de culpabilité face à cette histoire puisque je me suis expliqué et excusé. 

Ma bipolarité m'a fait faire toute sorte de chose un peu folle, certaines que je regrette d'autres qui alimentent des discussions de bar. Mais ceci est un autre sujet.

[Mélisse]

Et la fin de l’histoire est très classe, franchement.

pas cool ta bipolarité…

[Paladin.e]

il y a 16 minutes, Mélisse a dit :

Et la fin de l’histoire est très classe, franchement.

pas cool ta bipolarité…

Merci je l'apprécie :) Ça m'arrive de faire des conneries mais j'essaye toujours de m'excuser et de travailler sur moi si je juge que je suis en tort. 

Pour ma bipolarité, disons que je suis chanceux dans ma malchance, j'ai seulement des symptômes léger et avec la médication que je prends, j'ai seulement parfois des manies brèves ou je deviens théâtrale et très spontané. La, j'apprends seulement à reconnaitre mes états de manie et à agir de manière responsable dans ces moments-là.