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J'attends les résultats de mes prélèvements ADN pour enfin savoir de quel mélange je suis issue


Message ajouté par ÉcoModo,

Ce sujet a été créé à partir du fil de discussion "Comment vous sentez-vous présentement ?"

Déchet(s) recommandé(s)

Il y a 1 heure, 1984 a dit :

Pour ce qui est des résultats, il semble que cela dépendant fortement de la base de données de l'organisme qui utilise ton adn. Certains organismes ont plus d'informations génétiques sur l'Afrique, et permettent un traçage plus précis parce que la base de données est plus dense. 

Là question c'est plutôt la temporalité de ces regroupements génétiques. Ça aurait du sens si on avait des prélèvements adn datant des siècles antérieurs. Là... C' est sur que je vais hériter du patrimoine génétique de l'Europe du vieux continent, celle là même qui a tout colonisé ensuite. En revanche, je comprends en faisant également le lien avec les récits des aïeux, c'est qu'effectivement, mon arrière grand mère née en Bulgarie n'était pas de l'ethnie des Balkans, mais de celle des Baltes.

Que mes grands mères et arrières grand mère bretonnes devaient hériter du patrimoine anglais, que ceux de France héritait des mouvements espagnols, et que certains même, étaient en Italie. 

Pour ce qui est des inuits, en revanche... Je sais que les Couloumy ont envoyé des colons au Canada, mais bon, ça reste tiré par les cheveux. 

Mes deux parents font faire le même test et on en saura forcément plus. 

Ah tu as raison, c’est effectivement basé sur leur base de données. Ils vont prendre des morceaux de ton génome et le comparer avec la base de données qu’ils possèdent. Donc, si ton résultat indique 18% d’origine italienne, c’est parce que selon leur algorithme, il y a 18% de ces « morceaux » de ton ADN qui a le plus de probabilités de provenir du regroupement ethnique que la compagnie définit comme « Italien ».

Après l’enjeu n’est pas uniquement temporel, il en est aussi de sursimplification de la réalité. Je ne suis certes pas généticienne, mais je peux à peu près dire avec assurance que ces tests doivent être un cauchemar pour un anthropologue.

Les humains n’ont jamais été ces blocs distincts et délimités de populations qu’on nomme  « anglaise », « nigériane » ou « balte ». Historiquement, les peuples (quoique l’Europe c’est moins pire parce qu’historiquement, les populations de ce continent se sont moins mélangées qu’ailleurs dans le monde comme ce fut le cas en Asie, en Afrique ou en Amérique) se sont déplacés, mélangés et se sont formés et déformés de façon non structurée et non définie. Alors, on ne peut pas vraiment prétendre que tu es « 10% nigériane » alors que ce n’est pas quelque chose qui existe vraiment dans la réalité. Le Nigeria est un pays, pas un groupe ethnique monolithique. Idem pour les autres nomenclatures.

Mais ouais ce n’est rien pour gâcher votre plaisir, si vous y tenez. ;)

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Je pense que tous les gens qui utilisent sérieusement ces tests ont conscience de ce que tu racontes Ecce Homo, c'est bien ce qu'on veut dire quand on explique qu'il ne faut pas prendre un nom de pays pour argent comptant. Je ne comprends pas où est le problème si on prend la peine d'aller plus loin que les résultats qu'une entreprise nous présente. En allant au-delà de ce problème de frontières, il est évident que dire qu'on est 10 % quelque chose ne veut de toutes façons rien dire, puisqu'on hérite de 50 % de papa et de 50 % de maman, on perd donc déjà la moitié de nos origines réelles. En ce qui me concerne, mes résultats sont assez homogènes et les tests familiaux ont permis de mettre le doigt sur quelques "déviances".

C'est un domaine plus poussé que ce que t'imagines je pense. Le fait est qu'on passe par des entreprises commerciales, qui ont évidemment pour objectif de faire de l'argent et qui doivent rendre les choses user-friendly et attrayantes, et se distinguer de la concurrence. Ca n'empêche en rien de réfléchir et de voir que si tous les gens qu'on nous présente comme ayant en commun avec nous des origines (par ex.) espagnoles sont tchèques, c'est que ce résultat n'est pas fiable. Grâce à nos correspondances ADN, nous avons pu valider plusieurs branches de la famille (je suis à peu près certaine qu'untelle est mon arrière-arrière-arrière-arrière-grand-mère), ce qui est (pour moi) le but ultime de ces recherches puisqu'on ne peut de toutes façons pas remonter indéfiniment dans le temps.

Certaines personnes qui s'y connaissent n'utilisent pas les sites commerciaux pour obtenir leurs estimations ethniques mais pour réutiliser les données brutes et faire leurs propres estimations. A ce titre, il me semble que les résultats présentés par MyHeritage sont pas mal critiqués (beaucoup se plaignent d'erreurs flagrantes par rapport à leur histoire familiale et aux résultats donnés par d'autres entreprises) mais que leurs données brutes sont intéressantes à exploiter.

1984, le site gratuit le plus connu est GedMatch. Il comporte de très nombreux outils mais il est inutilisable sans se former un peu avant, notamment parce qu'Italie ne veut surtout pas dire Italie. Les tests de ma famille remontent à plusieurs années et je n'ai pas conservé les liens. Il y a beaucoup de tutos GedMatch sur youtube. J'ai retrouvé ce blog :

Il y avait aussi un site très détaillé de généticienne, que je vais encore un peu chercher mais je ne le retrouve plus pour l'instant. 

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Il existe trois principaux types de tests ADN généalogiques, chacun examinant une partie différente du génome et utile pour différents types de recherches généalogiques:

- autosomal

-mitochondrial (ADNmt)

-Y-ADN.

Les tests autosomiques peuvent donner lieu à une grande quantité de correspondances ADN (autres personnes avec lesquelles la personne peut être apparentée), le long de lignées mixtes mâles et femelles, chacune correspondant à une distance estimée dans l'arbre généalogique. Cependant, en raison de la nature aléatoire de la distance estimée, des conclusions fiables ne peuvent être tirées que depuis un petit nombre de générations. Les tests autosomiques sont également utilisés pour estimer la composition ethnique.

Les tests d'ADNmt et d'ADN-Y sont beaucoup plus fiables, également dans la recherche de relations préhistoriques avec l'ADN ancien. 

 

Deux parties du génome humain d'accès plus facile ont longtemps été seules exploitées pour déchiffrer l'histoire de l'Homme moderne. L'un est l'ADN mitochondrial, et l'autre le chromosome Y. Ce sont les deux seules parties du génome qui ne se recombinent pas au moment de la fécondation. Sur la base de ces éléments, la totalité de l'humanité actuelle aurait hérité son ADN mitochondrial d'une femme qui vivait en Afrique il y a environ 160 000 ans et tous les hommes d'aujourd'hui ont hérité leurs chromosomes Y d'un homme qui vivait en Afrique.

Plus de 90 % des hommes nés ailleurs qu'en Afrique descendent en ligne masculine du premier porteur de l'haplogroupe F.

L'étude de 53 populations a révélé trois groupes génétiques : les Africains, les Eurasiens (qui incluent les natifs d'Europe et du Moyen-Orient, jusqu'à l'ouest de l'actuel Pakistan), et les Asiatiques de l'Est, qui incluent les natifs d'Asie orientale, d'Asie du Sud, des Amériques et d'Océanie. La plupart des différences des groupes ethniques pouvaient être attribuées à la dérive génétique, et que les populations africaines modernes ont une plus grande diversité génétique que les deux autres groupes génétiques. Ce dernier point s'explique aisément quand on considère que la diversité génétique des Eurasiens n'a démarré qu'après la sortie d'Afrique, alors que celle des Africains a pu s'accumuler sur une période plus longue.

Certains chercheurs pensent que seules quelques personnes ont quitté l'Afrique dans le cadre d'une unique migration et qu'elles ont peuplé le reste du monde. Seul un petit groupe de près de 150 personnes aurait franchi la mer Rouge il y a 60 000 ans  lorsque le niveau de la mer était 70 mètres plus bas qu'aujourd'hui, c'est pourquoi, de tous les lignages présents en Afrique, seules les filles d'un seul lignage, L3, sont présentes hors d'Afrique.

D'autres chercheurs ont proposé un modèle de dispersion double selon lequel il y aurait eu deux sorties d'Afrique, dont l'une par la mer Rouge, qui se serait dirigée vers l'Inde en traversant les régions côtières et qui serait représentée par l'Haplogroupe M. La seconde impliquerait un autre groupe, porteur de l'haplogroupe N, qui aurait suivi le Nil à partir de l'Afrique de l'Est, se dirigeant vers le nord et gagnant le Levant à travers le Sinaï. Puis, ce groupe se serait séparé dans plusieurs directions, certains allant en Europe et d'autres se dirigeant vers l'est, en Asie. Cette hypothèse tente d'expliquer pourquoi l'haplogroupe N est prédominant en Europe et pourquoi l'haplogroupe M y est absent. 

La comparaison avec l'ADN de l'humanité actuelle montre que 1,8 % en moyenne du génome d'un non-africain actuel sont d'origine néandertalienne. L'hybridation avec Néandertal s'est produite juste après la sortie d'Afrique.

Homo sapiens arrive en Europe orientale il y a environ 48 000 ans. Il lui faudra 20 000 ans pour remplacer complètement l'Homme de Néandertal, établi en Europe depuis 400 000 ans et particulièrement bien adapté au climat glaciaire. La population fondatrice de tous les premiers Hommes modernes européens ultérieurs existait sur le continent il y a environ 37 000 ans ; par la suite l'Europe serait restée isolée génétique du reste du monde jusqu'à il y a 14 000 ans.

Plusieurs vagues de peuplement postérieures venues du Proche-Orient ou d'Europe orientale ont en effet profondément remanié la composition génétique des populations européennes entre le dernier maximum glaciaire et l'Âge du bronze, effaçant à chaque fois une partie importante du fond génétique antérieur.

 

L'haplogroupe I a dominé une grande partie de l'Europe avant l'expansion de l'haplogroupe G, représentatif des fermiers néolithiques issus d'Anatolie, puis de l'haplogroupe R1, porté par les envahisseurs semi-nomades issus de la culture Yamna, dans les steppes de Russie qui s'accouplèrent avec des femmes locales, évinçant largement les I et les G, sauf dans certaines zones comme la Scandinavie, la Sardaigne et les Balkans. Dans l'ex-Yougoslavie, les populations I ont fait la révolution agricole du Néolithique et développé de gros villages, poussant les R à commercer avec eux plutôt que de les combattre. Les haplogroupes I possèderaient dans leur patrimoine génétique la plus grande proportion génétique d'homme de Néandertal.

R1b-M269 est l'haplogroupe le plus courant en Europe de l'Ouest et notamment en France. En 2010, il était porté par environ 110 millions d'hommes en Europe. Selon des études génétiques récentes, l'haplogroupe R1b-M269, qui représente 60 % des lignées masculines en France, pourrait être associé aux Indo-Européens arrivés en Europe durant l'Âge du bronze et qui auraient remplacé une grande partie de la population néolithique masculine existant. Les populations celtiques seraient caractérisées par différents sous-groupes de l'haplogroupe R1b-M269 introduit en Europe par ces migrations indo-européennes.

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Femmes blanches : il faut vraiment en finir avec cette propension à vous enquérir de possibles et lointaines origines pour vous différencier et pouvoir dire dans quelque conversation que vous avez un peu de sang italien du côté de votre mère, des racines grecques à travers votre grand-père du côté paternel, du sang irlandais grâce à la soeur de votre arrière-grand-mère et peut-être un peu de sang mexicain parce que vous aimez bien vous commander des nachos sur la terrasse du Boston Pizza. Non, non et re-non; vous êtes des tabarnak de Blanches. Rien de plus et rien de moins.

Non, Sarah Tremblay, tu n'as pas un peu de sang chilien et un peu de sang algérien par je-ne-sais-quelle-fantaisie que t'as pu t'imaginer pour te sentir exotique dans ton paysage de Mascouche : t'es une tabarnak de Blanche qui aime Éric Lapointe et Occupation Double. Voilà la sombre et ultime vérité.

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Il y a 2 heures, cet obscur objet du désir a dit :

Femmes blanches : il faut vraiment en finir avec cette propension à vous enquérir de possibles et lointaines origines pour vous différencier et pouvoir dire dans quelque conversation que vous avez un peu de sang italien du côté de votre mère, des racines grecques à travers votre grand-père du côté paternel, du sang irlandais grâce à la soeur de votre arrière-grand-mère et peut-être un peu de sang mexicain parce que vous aimez bien vous commander des nachos sur la terrasse du Boston Pizza. Non, non et re-non; vous êtes des tabarnak de Blanches. Rien de plus et rien de moins.

Non, Sarah Tremblay, tu n'as pas un peu de sang chilien et un peu de sang algérien par je-ne-sais-quelle-fantaisie que t'as pu t'imaginer pour te sentir exotique dans ton paysage de Mascouche : t'es une tabarnak de Blanche qui aime Éric Lapointe et Occupation Double. Voilà la sombre et ultime vérité.

On sent le temps de lecture de Bio Tinder aux alentours de Mirabel.

Je me pose souvent des questions sur les étiquettes. Comment on dit les juger mais combien on aime les utiliser.... Je sais pas si je suis pour ou contre. Parce que je comprend le côté efficace de la chose. Les gens s'attribuent eux-mêmes des étiquettes parce qu'on pas le temps, pas la volonté de lire l'autre.

tl;dr: j'ai des grands  parents juif et allemand. Je mange du saucisson pendant shabbat.

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Il y a 18 heures, Daleko a dit :

Je pense que tous les gens qui utilisent sérieusement ces tests ont conscience de ce que tu racontes Ecce Homo, c'est bien ce qu'on veut dire quand on explique qu'il ne faut pas prendre un nom de pays pour argent comptant.

je ne pense pas que les gens soient si conscients que ça, justement. si tout le monde avait la clarté d'esprit de creuser un peu dans la méthodologie derrière ces analyses et le sens donné à ces pourcentages, comme tu sembles l'avoir fait toi, alors le modèle d'affaire de ces compagnies n'aurait pas autant de succès. tout le monde réaliserait la supercherie de leurs modèles et n'achèteraient pas leurs tests ou ne se contenteraient pas de la présentation très grossière de ces résultats, qui par ailleurs sont assortis d'une marge d'erreur très élevée qu'on ne se donne pas la peine de nous dévoiler t'sais.

tu parles de "réutilisation des données brutes". quelles sont-elles ? parce que ma critique, elle a été écrite en réaction à ce que j'ai vu dans le sujet, et surtout à la vue des résultats que 1984 a postés hier, présentés grossièrement sous forme de pourcentages associés à une carte du monde déclinée en pays et en régions. si on te donne accès à des "données brutes" qui sont réutilisables, alors c'est tant mieux, mais j'ignorais ce fait. 

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Il y a 4 heures, Ecce Homo a dit :

tu parles de "réutilisation des données brutes". quelles sont-elles ? parce que ma critique, elle a été écrite en réaction à ce que j'ai vu dans le sujet, et surtout à la vue des résultats que 1984 a postés hier, présentés grossièrement sous forme de pourcentages associés à une carte du monde déclinée en pays et en régions. si on te donne accès à des "données brutes" qui sont réutilisables, alors c'est tant mieux, mais j'ignorais ce fait. 

Tu peux télécharger le fichier excel qu'ils ont utilisé pour préparer tes estimations et t'en servir sur certains autres sites. Toutes les entreprises n'analysent pas les mêmes segments et ne présentent pas les mêmes données finales, c'est pour ça que certaines sont plus facilement acceptées que d'autres sur des sites tiers. 

Il y a 4 heures, Ecce Homo a dit :

je ne pense pas que les gens soient si conscients que ça, justement. si tout le monde avait la clarté d'esprit de creuser un peu dans la méthodologie derrière ces analyses et le sens donné à ces pourcentages, comme tu sembles l'avoir fait toi, alors le modèle d'affaire de ces compagnies n'aurait pas autant de succès. tout le monde réaliserait la supercherie de leurs modèles et n'achèteraient pas leurs tests ou ne se contenteraient pas de la présentation très grossière de ces résultats, qui par ailleurs sont assortis d'une marge d'erreur très élevée qu'on ne se donne pas la peine de nous dévoiler t'sais.

Je comprends totalement ta critique. J'avais moi-même créé un sujet (qui a floppé) quand mon frère m'a proposé de faire l'un de ces tests. Je ne voyais pas trop l'intérêt puisqu'on sait grosso modo d'où on vient depuis plusieurs générations et j'avais des craintes quant à la confidentialité de mes données. J'ai fini par céder, comme plusieurs personnes de ma famille, et j'en suis très contente parce que ça m'a beaucoup apporté. J'avais essayé de faire de la généalogie il y a bien longtemps et j'avais vite été bloquée. À l'époque il n'y avait pas de grosses entreprises avec des bases de données ni de documents aussi facilement disponibles sur Internet, mais au-delà de ça, les correspondances ADN ont apporté beaucoup de réponses que je n'aurais pas eues autrement.

J'ai aussi l'impression que ce que tu reproches aux tests s'applique tout autant à la généalogie classique. Tu as des gens qui ne cherchent qu'à agrandir leur arbre, à obtenir le plus de noms possibles et qui se retrouvent avec des arbres de 3000 personnes dont ils sont forcément très éloignés et sur les vies desquelles ils ne savent rien. À côté de ça, tu as ceux qui prennent le temps de creuser ce qu'étaient la vie de leurs ancêtres, de rassembler de vraies preuves, qui se renseignent sur les contextes historiques, etc.

Je ne considère pas leurs modèles comme des supercheries mais comme des modèles imparfaits, avec un côté commercial parfois un peu gênant, et dont les résultats sont régulièrement mis à jour. S'ils ne peuvent pas tout de dire, ils peuvent te donner des pistes. J'ai mis mes données sur trois sites, qui me donnent à peu près le même type de pourcentages et les mêmes régions assez vastes. Ce n'est pas assez pour dire que j'ai un ancêtre qui venait de tel endroit à tel date mais ça m'a permis d'identifier de quel grand-parent me venait cette origine, et c'est suffisant pour estimer que des échanges se sont produits entre le village dont j'ai la preuve que mes ancêtres venaient et une autre région beaucoup plus grande, il y a environ x générations. Tu te renseignes ensuite sur les flux migratoires, les invasions, etc. de l'époque et tu peux voir quelles hypothèses tiennent debout. Tu peux aussi comparer ton arbre à ceux de tes correspondances ADN qui partagent cette origine pour préciser tes idées.

Mais sur le fond, t'as assez raison. Beaucoup de personnes utilisent ça comme un divertissement rapide et ne cherchent pas à creuser ce que leurs données contiennent, et c'est dommage parce que c'est des mines d'or.

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Je m'en doutais :veronica:

Bon, un certain Carpuat vient de me contacter et l'annonce avoir remonté l'ascendance jusqu'en 1738.

Les affaires continuent ! 

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Il y a 6 heures, 1984 a dit :

Je m'en doutais :veronica:

Bon, un certain Carpuat vient de me contacter et l'annonce avoir remonté l'ascendance jusqu'en 1738.

Les affaires continuent ! 

Ralala, si dramatique. J'ai deux bébés à la maison hein, quand je disparais c'est pas par snobisme.

J'aime bien faire ça, tu voudrais de l'aide sur quoi ?

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C'était pour te faire répondre plus vite :huhu:

Et bien, je commence à essayer de remonter certains liens historiques. Notamment pour comprendre comment relier des noms et des origines ethniques, notamment, sur les mouvements migratoires de la zone baltique. Aussi j'aimerai pouvoir utiliser tes outils mais, eyh, je n'ai pas un cerveau aussi pur et tendre qu'une tranche de bœuf de Kobe, contrairement à vous autres, les super QI malins. 

On peut se plugger sur whatssap ? Je voulais t'envoyer un MP mais on ne peut pas. 

 

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  • 11 mois plus tard...
(modifié)

J'ai pas fait de test moi-même, mais mon frère en a fait un il y a plusieurs années et c'est revenu à 85% France, 11% Irlande/Écosse 3% Britannique et 1% Norvégien. On est issue des colons normands et de quelques Irlandais, j'suis pas trop étonné.

Notre défunt grand-père a déjà fait notre arbre généalogique de toute manière et le côté de ma mère doit être semblable. J'sais pas trop pourquoi il ferait un test du genre, on connaît déjà nos origines.

Modifié par LaFatigue
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Je serai bien triste d'avoir que des gènes de blancs. 

Je cherche encore d'où vient mon 1.3% d'inuit. Il ne vient pas du côté bulgare et russe de mon père, j'ai fait un test à ma tante ( sa sœur) et elle a des gènes scandinaves. A noter que dans ma partition personnel, je n'ai qu'un petit pourcentage de balte ( situé vers la Russie) donc, ça confirme quelque peu l'idée que nous portons des gènes qui se marquent plus ou moins selon notre répartition génétique. 

Je cherche donc l'inuit qui a marqué mon regard, et mon visage en général. J'ai rencontré une cliente qui a vécu en Polynésie et qui me disait que je leur ressemblais, et un client d'origine amérindienne qui m'a fait une réflexion similaire. Ça ne peut pas être une coincidence, mon patrimoine génétique ne peut pas marquer des traits asiatiques et mon visage aussi sans une origine certaine. Peut être vient il des origines caribeennes de ma mère, elle est la prochaine à passer le test. 

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L’Estonie est le pays balte le plus au nord. Les Estoniens parlent une langue ouralienne qui ne fait pas partie des langues indo-européennes et qui prend sont origine dans la Sibérie. Dans cette région, on retrouve les ancêtres des inuits qui ont traversé le détroit de Béring.

Je ne serai pas surpris d’apprendre que le russe le plus connu de l’univers (Vlad P) a un certain % innu dans son adn compte tenu de ses  pommettes hautes et ses petits yeux.

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Il y a 2 heures, Orphelin du crazy a dit :

L’Estonie est le pays balte le plus au nord. Les Estoniens parlent une langue ouralienne qui ne fait pas partie des langues indo-européennes et qui prend sont origine dans la Sibérie. Dans cette région, on retrouve les ancêtres des inuits qui ont traversé le détroit de Béring.

Je ne serai pas surpris d’apprendre que le russe le plus connu de l’univers (Vlad P) a un certain % innu dans son adn compte tenu de ses  pommettes hautes et ses petits yeux.

Oui, j'ai pris cet angle pour mes recherches. Mais cela n'a rien donné avec ma tante, celle qui a le type scandinave le plus marqué. En plus de ça, elle a les balkans, alors que je ne les ai pas dans mon résultat. C'est la sœur de mon père, donc si elle a des gènes scandinaves et des balkans, je les porte forcément dans mon patrimoine personnel. 

 En revanche, on a des yeux très particuliers du côté de ma mère. Mon grand père et mon cousin ont clairement des traits africains, mais pas que. Donc elle est ma prochaine piste. 

 

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