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Le sujet dont tout le monde se câlice


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Il est 6:58. Ça fait 30 minutes que je suis réveillée. J'essaie de reprendre un horaire matinal étant donné que je recommence à travailler à temps plein lundi. J'ai dormi 5 heures, mais c'était voulu car je veux que mon corps veuille se coucher à 22:00.

J'avais oublié que ça existait, 6:30. C'est difficile en maudit.

Pfff, amatrice, j'me lève à 5h 4 fois semaine depuis 3 semaines. J'dors à 20h. J'ai pu de vie sociale et j'suis triste.

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Il est 6:58. Ça fait 30 minutes que je suis réveillée. J'essaie de reprendre un horaire matinal étant donné que je recommence à travailler à temps plein lundi. J'ai dormi 5 heures, mais c'était voulu car je veux que mon corps veuille se coucher à 22:00.

J'avais oublié que ça existait, 6:30. C'est difficile en maudit.

C'est là l'avantage d'être quelqu'un de matinal qui n'a pas besoin de beaucoup d'heures de sommeil! J'ai passé à peu près deux ans avec l'école de soir à avoir des horaires de sommeil d'étudiants de secondaire en vacances d'été (3h du mat - 11h du mat). Quand je suis retombé dans un rythme normal, mon corps a tout de suite suivi! Là j'me couche vers 22-23h et me lève à 6h30 pour commencer à travailler à 7h30 ... la vie est belle!

Sinon de mon côté grosse semaine au boulot mais ça va mieux quand t'aimes ce que tu fais :) C'est la première fois de ma vie que j'ai un emploi qui me donne envie de me lever le matin, première fois que je suis vraiment dans mon domaine! Ça fait du bien la différence entre une job "passagère" et le début de ta carrière!

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Je me leverais pendant 5 ans a 6:30 je me sentirais toujours comme une marde le matin je ne suis pas supposé vivre dans ce fuseau horaire c la réalité certaines personnes vivent au mauvais endroit sur la planete

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C'est là l'avantage d'être quelqu'un de matinal qui n'a pas besoin de beaucoup d'heures de sommeil! J'ai passé à peu près deux ans avec l'école de soir à avoir des horaires de sommeil d'étudiants de secondaire en vacances d'été (3h du mat - 11h du mat). Quand je suis retombé dans un rythme normal, mon corps a tout de suite suivi! Là j'me couche vers 22-23h et me lève à 6h30 pour commencer à travailler à 7h30 ... la vie est belle!

Sinon de mon côté grosse semaine au boulot mais ça va mieux quand t'aimes ce que tu fais :) C'est la première fois de ma vie que j'ai un emploi qui me donne envie de me lever le matin, première fois que je suis vraiment dans mon domaine! Ça fait du bien la différence entre une job "passagère" et le début de ta carrière!

T'es chanceux, je rêve d'être comme ça. J'ai toujours voulu me lever vers 6:00, faire un peu de yoga ou m'entraîner, relaxer, déjeûner et prendre mon temps pour arriver super en forme au boulot!

Même si j'aime mon travail, je suis toujours inévitablement fripée lorsque je me lève tôt. En 3 ans et demi avec un horaire de jour, je ne me suis pas souvent sentie éveillée avant 10:00 am hahaha. J'hésite parfois à avoir des enfants pour cette raison (entre autres).

Deux jours à peine après avoir quitté mon emploi précédent, j'ai repris mon rythme naturel, c'est à dire me coucher à 1:30 et me lever à 9:30 ou 10:00. J'ai eu droit à 3 mois de bonheur, je dois maintenant me reconditionner à être une vraie adulte. Par contre, je tiens à mon emploi de jour parce que j'aime trop avoir mes soirs et fins de semaine libres!

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Ouais ben, une chose que je m'ennuyais pas pentoute de l'école : les fins de sessions.

Fuckthatfuckthatfuckthatfuckthatfuckthatfuckthatfuckthatfuckthatfuckthatfuckthatfuckthatfuckthatfuck

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C'était ma premiètre semaine d'Université.

J'ai bien aimé mes cours, à l'exception de Littérature et Histoire de la langue qui est donné par un suisse à l'accent tellement prononcé et aux tics verbaux tellement nombreux que c'est dur de suivre. On est dans un ampithéâtre de 150-200 places et j'ai vu de nombreuses personne se pousser durant le cours. C'est dommage, parce qu'il semble assez callé dans son domaine.

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J'ai été longtemps à user d'la pâte/gel pour mes cheveux. Mais plus ça va, plus j'vois que ça les tues (J'ai aucun cas de calvitie dans ma famille pis j'commence à en faire...) donc c'est la fin des spikes...FOREVER.

Maudit dipididoo, chu sur qu'à l'époque ce fut mon pire poison! Ça te fesais des esti d'spike mais criss qu'en fin de journée t'avais les cheveux décalissés pis pleins de produits blancs causés par le gel dans les cheveux. Ça n'a pas dû aider...!

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J'viens d'être sollicité pour réviser un article scientifique sur mon domaine de recherche. Étrangement, c'est la deuxième fois que ça m'arrive en trois mois, alors que ça fait tout de même un bon moment que je travaille là dessus. Le premier article était pas terrible, mais celui-ci, selon la description et la liste des auteurs (que je reconnais d'autres publications), me semble plusieurs coches au dessus niveau contenu et qualité. Je vais sans doute accepter l'invitation.

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Belle journée en perspective pour mon "dimanche" (J'ai congé les lundis et mardis au boulot). Je viens juste de me lever et je pars pour ma 2eme journée de gaming avec deux de mes amis. Ça va faire du bien d'avancer ma game de Fallout New Vegas, j'ai resté stocké dans une partie de la game à cause d'une belle bourde! (Conseil : Ne jamais aller dans un lieu où il y a 30 personnes qui ne t'aiment pas quand t'es juste Level 15. Mourir en 15 secondes chronos à plusieurs reprises, c'est un peu môche).

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quelqu'un a laissé un petit mot sur un des verres en carton de la machine à café au bureau:

"À toi, consommateur de café.

Bonjour à toi! Sois toi-même et poursuis tes rêves car tu es magnifique autant à l'intérieur qu'à l'extérieur. Passe une excellente journée.

Une personne qui t'apprécie."

sympathique. une écriture de jeune femme.

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Bon.

Absence vie, petite rephase.

Petites inquiétudes, 10 jours d'auto recentrage, perte d'appétit et amaigrissement, rephasage professionnel, et investissement total dans mon cercle amical très très solide à présent.

J'ai fait la connaissance virtuelle d'un des deux membres de la Caution, Hi Tekk, et j'ai expérimenté ce saut bien connu du virtuel au réel pour repartir avec quelques déceptions. Je ne fais que croiser des miroirs ces temps ci; des gens qui sont tellement comme moi qu'ils en deviennent trop différents. Il m'a remplie de paroles de son et d'énergie, et l'éponge que je suis devenue s'est écrasée lentement. Dommage, donc, de trouver ce que l'on aime chez les autres qu'à travers les couches de nerfs. Mes batteries ont déchargé hier soir. C'est quand j'ai voulu partir qu'il a senti qu'il n'avait rien creusé réellement. Des fois c'est comme si les gens étaient prisonniers d'eux même: tu sens l'or brut au travers, mais il y a des strates de glace à faire fondre. Ça m'emmerde en fait. J'aurai voulu le détendre, j'aurai voulu accéder a sa douceur en vrai comme au virtuel. Mais c'est un coup a s'electrocuter.

"C'est comme une balade en voiture mais dans le coffre"

En parlant de Caution, j'ai dit à mon nouveau coloc de se casser au plus sacrant. Ça fait 10 jours qu'il est la et dès le premier jour j'ai compris que ce gars parlait plus que moi, sans écouter, capable de monologuer pendant des dizaines et des dizaines de minutes ( comme le type au dessus ahah). Le genre de truc qui te donne envie d'aller te recueillir avec des moines au fin fond du trou du cul du monde.

Donc, travaillant toute la semaine et n'ayant ni le temps ni le courage, je me lève ce matin en me disant que bon, faut faire du ménage ça commence a pas être glop. Je lui dis donc, alors qu'il est éternellement assis devant son ordinateur, qu'il va falloir s'activer. Aucune réponse, je lance donc que je vais jeter les poubelles et que s'il a envie, y a l'aspirateur et les lingettes sous l'évier. Appels de phares number 2.. Quand je reviens le gars n'a pas bougé. Comme depuis 10 jours, en fait. Je commence a aspirer dans le couloir et la je le vois passer devant moi pour sortir en disant " quand t'aura fini ton caca nerveux tu me diras".

WHAT

As-tu déjà dansé avec le diable au cœur de lune, fucktard ?!

Je lui ai donc dit de rester discuter. Il refuse. Right: Tu dégages. Il a affiché son petit ego de connard en descendant mes escaliers pour mieux me téléphoner la queue entre les jambes : " mais je ne comprends pas beuheuheu pourquoi tu réagis comme ça ?!"

Putain, et évidemment, après l'orgueil, la mauvaise foi. Tu as trop cru qu'on avait élevé les cochons ensemble, man. T'es clairement insupportable et ma patience a des putains de limites.

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J’m’en remets à toi, Dieu. J’imagine que j’peux encore faire ça, j’ai été baptisé pis, ok, j’ai sacré un peu, mais à part ça j’pense pas mal avoir été un bon chrétien. J’ai besoin d’aide. J’sais pas voir quoi, qui me tourner. Toutes ces belles paroles autour de moi qui ressemble à de l’air gaspillé. « On est là pour toi, Chuck. » « On t’aime nous autres. » « ‘sti de gros lard. » J’sais pu vers qui me tourner. J’te regarde pis j’me demande pourquoi t’as mis tout ça sur mon chemin. Si s’pas toé, j’me retourne vers le grand livre du Destin, pis j’vais essayer d’voir s’que les lignes me réservent. J’essaye de lire mais j’pas capable, c’est trop brouillé, j’ai trop d’eau din’s yeux pour être ça. J’ai mal « bon yeu ». Mon gars, criss j’ai mal. Je le sais pu quoi faire. J’ai envie de me saouler. M’plonger dans l’coma éthylique et dormir… DORMIR. M’reposer, faire une belllllle gran’ sieste. J’en veux pu. Prends moé, je le sais que j’serai même pas capable de finir tout ça moi-même, j’même pas capable de penser à moé rendu là. Je le sais que j’ferais trop de mal aux autres. Donne moé un cancer, un bin violent là. Fuck la chimio, j’garde, ironiquement, mes cheveux. J’ai mal osti. J’suis pu capable. J’t’ai jamais demandé grand-chose, mais là j’le fais. S’pas compliqué, une balle perdue dans Ascot. C’est pas trop demandé ! J’te jure ! Y a quoi, 2-3 personnes qui vont m’pleurer pour vrai et ensuite 100-200 qui vont juste être polis 5 minutes avant de passer à autre chose.

Pour vrai, sors moé d’icitte. Tire moé une chaise en haut… mieux, tire là d’en haut. D’après moi à hauteur que t’é, ça devrait être assez si c’est bin visé. Man, j’ai de l’alcool à côté, j’suis même pas capable d’m’y résigner pour vrai. J’pourrais la caller pis j’serais complètement parti pour assoir. Rien d’régler, sauf une nuit de sommeil. On dirait que tu me crois pas que j’te dis que j’en peux pu. Bin oui ,j’ai la santé, étonnant tout ce qu’on peut quand même échouer avec ça. S’tu possible que l’cœur se tue par en-dedans ? Genre qu’il arrête, parce que ça y tente pu ? Parce que j’te jure, j’sens pu rien là-dedans. C’est pourri là-dedans. Charpente pourri, penture pourrie, cadre fini, fondation pétée. Rien. Mon armure arraché morceau par morceau. Décalissé par chaque larme, chaque coup répété. Tellement fréquent, tellement violent, que j’en sens résonner les coups chaque fois que j’fais un pas. Combien encore esti ? COMBIEN ! Juste savoir. Parce que même en haut ça s’effrite. J’pense que mes neurones tombent une par une. J’pense que mes neurones fanent. Combien de coups j’dois prendre encore ? Quand est-ce que j’peux lancer la serviette ? J’l’ai compris ça. La vie a s’fatigue pas. La vie te rentre dedans chaque fois qu’elle peut.

J’ai mal. J’ai fucking mal. But who cares.

Je sais que ça vaut pas grand chose, un texte qui amplifie ce que j'vis en ce moment, mais bon. J'avais envie de le poster à quelque part, juste que du monde le voit.

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Bon.

Absence vie, petite rephase.

Petites inquiétudes, 10 jours d'auto recentrage, perte d'appétit et amaigrissement, rephasage professionnel, et investissement total dans mon cercle amical très très solide à présent.

J'ai fait la connaissance virtuelle d'un des deux membres de la Caution, Hi Tekk, et j'ai expérimenté ce saut bien connu du virtuel au réel pour repartir avec quelques déceptions. Je ne fais que croiser des miroirs ces temps ci; des gens qui sont tellement comme moi qu'ils en deviennent trop différents. Il m'a remplie de paroles de son et d'énergie, et l'éponge que je suis devenue s'est écrasée lentement. Dommage, donc, de trouver ce que l'on aime chez les autres qu'à travers les couches de nerfs. Mes batteries ont déchargé hier soir. C'est quand j'ai voulu partir qu'il a senti qu'il n'avait rien creusé réellement. Des fois c'est comme si les gens étaient prisonniers d'eux même: tu sens l'or brut au travers, mais il y a des strates de glace à faire fondre. Ça m'emmerde en fait. J'aurai voulu le détendre, j'aurai voulu accéder a sa douceur en vrai comme au virtuel. Mais c'est un coup a s'electrocuter.

"C'est comme une balade en voiture mais dans le coffre"

En parlant de Caution, j'ai dit à mon nouveau coloc de se casser au plus sacrant. Ça fait 10 jours qu'il est la et dès le premier jour j'ai compris que ce gars parlait plus que moi, sans écouter, capable de monologuer pendant des dizaines et des dizaines de minutes ( comme le type au dessus ahah). Le genre de truc qui te donne envie d'aller te recueillir avec des moines au fin fond du trou du cul du monde.

Donc, travaillant toute la semaine et n'ayant ni le temps ni le courage, je me lève ce matin en me disant que bon, faut faire du ménage ça commence a pas être glop. Je lui dis donc, alors qu'il est éternellement assis devant son ordinateur, qu'il va falloir s'activer. Aucune réponse, je lance donc que je vais jeter les poubelles et que s'il a envie, y a l'aspirateur et les lingettes sous l'évier. Appels de phares number 2.. Quand je reviens le gars n'a pas bougé. Comme depuis 10 jours, en fait. Je commence a aspirer dans le couloir et la je le vois passer devant moi pour sortir en disant " quand t'aura fini ton caca nerveux tu me diras".

WHAT

As-tu déjà dansé avec le diable au cœur de lune, fucktard ?!

Je lui ai donc dit de rester discuter. Il refuse. Right: Tu dégages. Il a affiché son petit ego de connard en descendant mes escaliers pour mieux me téléphoner la queue entre les jambes : " mais je ne comprends pas beuheuheu pourquoi tu réagis comme ça ?!"

Putain, et évidemment, après l'orgueil, la mauvaise foi. Tu as trop cru qu'on avait élevé les cochons ensemble, man. T'es clairement insupportable et ma patience a des putains de limites.

As tu dejà ecouté celle-ci ?

http://www.youtube.com/watch?v=R9w_I8WHg2I

Sinon, fuck yeah, menage !

Je sais que ça vaut pas grand chose, un texte qui amplifie ce que j'vis en ce moment, mais bon. J'avais envie de le poster à quelque part, juste que du monde le voit.

Qu'est-ce qui se passe avec toi champion ?

Attend voir que la neige fonde... On sait jamais.

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